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Yosr Gasmi, Mauro Mazzocchi
I Want to Go Mad, Raving Mad -L.E.N.Z.-
Fiction | hdv | noir et blanc | 379:19 | Tunisie | 2016
Une longue traversée des montagnes mène un inconnu chez une famille charitable. Le temps d`un séjour, l`étranger s`essaie à la vie, mais bientôt le chaos de la vie le rattrape. Je veux devenir fou, fou furieux -L.E.N.Z.- est une image-sonore née de la nouvelle de G.Bachner traitant de la schizophrénie de l`écrivain Lenz. Confronté à la folie du monde, une silhouette anonyme émerge pour traverser ce chaos. Elle trace une ligne de fuite qui ne cesse de se faire et se défaire. -L.E.N.Z.- est une histoire d`errance sans nom.
Mauro Mazzocchi, né en 1986 en Italie, est diplômé en philosophie et en théâtre. Dès l`âge de 15 ans, il réalise ses premiers moyens et courts métrages : La clarté transparente du cinéma, (Ach)ille, Artaud, etc,. Yosr Gasmi, née en 1984 en Tunisie, est une normalienne, diplômée en littérature françaises de l`Université Sorbonne Paris IV. Elle s`intéresse à l`image dans ses diverses expressions artistiques et scripturales. Les deux réalisateurs se considèrent comme une multiplicité technique et expressive. Ils travaillent ensemble dans la solitude de leur réflexion, s`occupant ainsi de tous les aspects de production, de réalisation et de postproduction cinématographiques. À partir de cette multiplicité technique se réalise l`expérimentation d`une création sans fragmentation des fonctions et sans hiérarchie, une expérimentation qui rend compte d`une anatomie hétérogène, d`une machine-cinéma dans son aspect le plus complet, avec la conscience des mouvements d`apparition et de disparition qui rythment discontinûment ses fonctions, à l`image d`un corps sans organe.
Lars Henrik Gass
Oberhausen International Short Film Festival
0 | 0 | | 0:0 | Allemagne | 2007
Die Kurzfilmtage haben sich im Verlauf von mehr als fünf Jahrzehnten zu einer der angesehensten Filmveranstaltungen der Welt entwickelt - ein Ort, wo FilmemacherInnen und KünstlerInnen wie Martin Scorsese, George Lucas, Roman Polanski, Alexander Kluge oder Werner Herzog, in jüngerer Zeit Ulrike Ottinger, Romuald Karmakar, Pipilotti Rist, Jean-Pierre Jeunet oder François Ozon ihre ersten Filme präsentiert haben. Bis in die Gegenwart hinein konnten die Kurzfilmtage immer wieder Filmemacher auf den Weg bringen und Trends setzen - sei es die frühe Anerkennung von Videos, die Beschäftigung mit Musikvideos, die Reflektion neuer digitaler Formate oder die Offenheit für die Interaktionen zwischen Kunst und kurzer Form. Durch ihre unkonventionelle Sicht des Kurzfilms entzogen die Kurzfilmtage sich immer mit großem Erfolg einer Festlegung auf ein bestimmtes Image, obschon durch das Festival viele politische und ästhetische Entwicklungen angestoßen wurden, wie etwa durch das Oberhausener Manifest, dem vielleicht wichtigsten Gruppendokument des deutschen Films. Durch sorgfältige Programmgestaltung und zukunftsweisende Themenwahl konnten die Kurzfilmtage ihre bemerkenswerte Alleinstellung in einem immer unüberschaubarer werdenden Markt ausbauen. Darüber hinaus konnten die Kurzfilmtage in Kooperation mit ihren Medienpartnern, ARTE, 3sat, Ki.Ka und INTRO dem Kurzfilm neue Zuschauerschichten erschließen. ARTE und 3sat kooperieren für ihre Kurzfilmprogramme seit Jahren mit den Kurzfilmtagen, MTV strahlte im Jahr 2001 insgesamt 25 Kurzfilme aus Programmen der Kurzfilmtage aus.
Lars Henrik Gass est directeur du Festival international du court-métrage d`Oberhausen. Son appréhension du cinéma se singularise par son exigence et son refus de considérer le film comme un bien de consommation. Sa perception de l`?uvre cinématographique en fait un sujet et non pas un objet pour une nouvelle économie consumériste. Le sens de l`?uvre cinématographique n`est pas dans l`image en mouvement dont on peut maîtriser le flux mais dans cet absolument autre qu`elle donne à voir, dans ce qui s`y dit et s`y montre et qui est passible d`ébranler le spectateur au plus profond de lui-même. L`expérience cinématographique doit demeurer une expérience de l`étrangeté.
Andrew Gaston
PURGATORIUM
Vidéo expérimentale | dv | noir et blanc | 10:10 | Irlande, Royaume-Uni | 2010
In a pattern matching of sequences, an ever-shifting multi-screen composition creates a momentum of unending suspense. Shadow filled rooms, corridors, doorways and staircases form an inescapable labyrinth of domestic interiors, in which each thread acts as an incomplete story. Unrelenting claustrophobia is contrasted with the continual threat from an unseen world. Is the intruder assassin or saviour? As the shadow persistently tries to visit - there is an absence of any denouement. In a failing chain of communication, the buzz of the intercom, the ring of the telephone, the knock at the door, cannot awake the dreamer.
Andrew Gaston is a video artist and creative director based in London. His art is regularly toured by the Visor Gallery, Valencia and he is currently directing commercials and music videos for some of the UK`s biggest production houses.
Lorenzo Gattorna
Marshy Place Across
Doc. expérimental | 16mm | couleur et n&b | 4:36 | USA | 2012
The title signifies the Native American name for Assateague Island, a national seashore and natural landmark located off the coast of Maryland. A passive bay and pristine beach compose the barriers of this subtle yet stunning passage. Distractions amongst the dunes awaken development of the ecological and departure of the artificial. The film culminates in close proximity to a small band of feral horses that share a common territory and domesticated ancestry.
Lorenzo Gattorna is a filmmaker and programmer originally from New York now residing in Baltimore. He received a BFA from Tisch School of the Arts at NYU in 2007. His short films have screened in exhibitions associated with ARKIPEL, Artsfest Film Festival, Baltimore City Paper, CCNY, Chicago Underground Film Festival, Colour out of Space, EMP Collective, Haverhill Experimental Film Festival, LMAKprojects, Maryland Film Festival, Maysles Cinema, Microscope Gallery, Onion City Experimental Film and Video Festival, Plug Projects, Rencontres Internationales, Sonic Circuits, Spectacle Theater, TULCA Festival of Visual Arts, UnionDocs, Utopia Film Festival, VIDEOMEDEJA and Views from the Avant-Garde at the New York Film Festival. He has programmed screenings for NYC microcinemas Maysles Cinema, Spectacle Theater and UnionDocs as well as Antimatter [Media Art] in Victoria, BC. Recently he received the 2012 Creative Alliance Media Makers` Fellowship for Falling Out and was selected as a Semi-Finalist for the 2013 Janet & Walter Sondheim Artscape Prize for Coupled Vision. Currently Lorenzo is running a roaming monthly screening series in Baltimore called Sight Unseen cofounded by Kate Ewald and Meg Rorison and supported by the 2012 MICA LAB Award.
Bertrand Gauguet
CHANTIER 3 - Pascal Battus-Bertrand Gauguet-Eric La Casa
Doc. expérimental | hdv | couleur | 25:27 | France | 2017
Musiciens, Pascal Battus, Bertrand Gauguet et Eric La Casa engagent des sessions improvisées sur des sites de chantier depuis 2010. Ces sessions ne sont pas destinées à être données devant un public, elles se caractérisent plutôt comme des instants de recherche intuitifs avec le milieu dans lequel ils se trouvent alors. Jouant avec la rumeur des espaces, avec les multiples sons des machines qui tournent, avec les gestes produits par les ouvriers et les paroles entendues, ils suivent une ligne indéfinie qui peut pencher d’un côté ou de l’autre de l’approche acousticienne, psycho-acousticienne, du paysage sonore, de la musique ou encore (mais plus rarement) de l’anthropologie. Ils espèrent ainsi concevoir un dispositif d’attention à partir duquel intervenir. En 2013, ils ont exploré le site de la Philharmonie Cité de la musique à Paris. S’écartant d’une approche documentariste, le film Chantier 3 déplie davantage une cartographie subjective donnant à voir et à entendre des moments de “ présence discrète ”. Ou comment, en ouvrant des interactions avec une architecture en devenir, l’écoute et l’improvisation sont à même de proposer d’autres seuils perceptifs du chantier.
Bertrand Gauguet chemine dans une pratique impliquant sans hiérarchie le sonore et le musical : comme saxophoniste improvisateur, comme compositeur de musique électronique et comme collecteur de sons. Il est engagé depuis 2010 dans une recherche intuitive aux côtés d’Eric La Casa et Pascal Battus en conduisant des sessions improvisées sur des sites de CHANTIER. Ces sessions ne sont pas destinées à être données devant un public, elles se caractérisent plutôt comme des instants d’improvisation avec le milieu dans lequel les trois musiciens se trouvent alors. En 2018, deux albums (Chantier 1 et Chantier 4), un texte (Chantier II) et un film (Chantier III) constituent les marqueurs cartographiques de ce projet.
Stefanie Gaus, Volker SATTEL
Beyond Metabolism
Doc. expérimental | hdv | couleur | 40:0 | Allemagne | 2014
First triangles, then hexagons, the hexagon as the geometric DNA of an erratic architectural structure with an eerie lack of scale. Slowly, in the succession of hallways, apertures, views, and spaces, an enormous construction is disclosed. Already in its first images, Beyond Metabolism conveys a fascination for an utopia of architecture that imagines life in future societies in flexible, large structures, expandable at will. We find ourselves in the interior of the International Conference Center in Kyoto, which was built in 1966 by the Japanese architect Sachio Otani, a student of the famous Kenzo Tange. Fragments of documentary archive material recall what may be the most significant event ever to occur at this place, the 1997 World Climate Change Conference. What remains in the memory is Al Gore, environmental activist and filmmaker, who almost become the American president. The heart of the film, however, is made up of interviews conducted in situ and observations on the preparations and operations of such conferences. For instance, a simultaneous interpreter with a peaceful voice remembers the difficulties of that huge environmental conference with participants and observers from over 158 countries. She had accompanied the course of the meeting in small booths hidden in the walls, equipped with hexagonal windows. The conference ended with the decision on the first and to date only treaty under international law on climate protection, the so-called Kyoto Protocol. Otani died in 2013 at the age of 89. The spiritual optimism of his generation has gotten lost. Calm, clear shots finally show the building from the outside, harmoniously integrated despite its monumental size into a landscape that couldn't be more ideal. (Maria Morais/Thorsten Klooster)
The filmmaker Stefanie Gaus studied at Academy of Media Arts in Cologne. Her interest in poltical and socio-cultural impacts, also seen as matter of representation, and her distinctive view on architectural dimensions, are already evoked in her essayistic documentary End of an Elephant (2006) or Laufhaus (2006), both works shown at many international film festivals including Visions Du Réel, Nyon, Kurzfilmtage Oberhausen, Vancouver International Film Festival or Duisburger Filmwoche. She is currently teaching at the University of the Arts, Berlin. Volker Sattel is a filmmaker, writer, and cameraman who studied at Baden-Württemberg Film Academy in Ludwigsburg. He has made various films, which have been shown at festivals, on television and in exhibition spaces, eg. Unternehmen Paradise (2003) or the documentary Unter Kontrolle ? Eine Archäologie der Atomkraft (2011), premiered at the Forum of the Berlinale, followed by many festivals worldwide and winning several prices. He also collaborated on projects with the artist Olaf Nicaolai and Daniela Klein, musician Tim Elzer (don't dolby/Cologne) and author Mario Mentrup/ on several experimental features, or lately with Stephan Geene (b-books) doing cameraworks for Umsonst (2014). Their common work "Beyond Metabolism" was developed and shot during a residency at Villa Kamogawa, Goethe Institut Kyoto in 2013. They both work and live in Berlin.
Jakob Gautel
Et in Arcadia ego
Vidéo | super8 | couleur | 5:24 | Allemagne, Grèce | 2011
Et in Arcadia ego Vidéo, filmée sur une île grecque, été 2011 "Et in Arcadia ego" est une locution latine qui signifie : « Moi (la Mort), je suis aussi en Arcadie (le pays des délices). » Elle a été illustrée par plusieurs peintres, dont deux fois par Nicolas Poussin (1594-1665).
Jakob Gautel, né en 1965 à Karlsruhe, en Allemagne, vit et travaille à Paris et ailleurs. Il travaille avec la photo, la vidéo, l?installation, les projections, le livre, les interventions dans l`espace public etc. Le fil conducteur dans son travail n?est pas une technique ou un sujet, mais plutôt une recherche, sur la lisière entre la réalité et la fiction, entre le monde des apparences et ce qui se cache derrière, entre l?être et le paraître, et entre le monde extérieur et le monde intérieur. Pour plus d`information : jakob.gautel.net
Jakob Gautel
Flash Info (Les habits neufs de l'empereur)
Fiction expérimentale | dv | couleur | 1:12 | Allemagne, France | 2008
Flash Info (Les habits neufs de l?empereur) Vidéo, 1 min 03 sec. Strasbourg, 2008 Avec Nathalie Georges Production ARTE Il y a plus de 170 ans Hans Christian Andersen écrit « Les habits neuf de l`empereur », un conte qui est aujourd?hui mondialement connu. Il y est question de vanité, de pouvoir, de duperie, de manipulation et de vérité. Ce conte était déjà basé sur une version plus ancienne du recueil « El Conde Lucanor » de Don Juan Manuel de 1335. Je me suis posé la question de l?effet produit par une telle histoire de nos jours, retransmise par nos médias. Grâce à la complicité d`ARTE, nous avons tenté d?y donner une réponse. Jakob Gautel, 2008
Jakob Gautel, né en 1965 à Karlsruhe, en Allemagne, vient à Paris pour faire ses études à l?Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts. Il commence vite à exposer, en France et à l?étranger, et à expérimenter des formes d?art hors des espaces convenus. Il participe à des expositions dans des galeries, des musées et centres d?art, autant que dans des espaces d?artistes et espaces associatifs, participe à des actions dans l?espace urbain et à des projets et interventions cherchant à redéfinir le rapport de l?artiste à son public. Il réalise des ?uvres d?art pour l?espace public, collabore avec des artistes (notamment Jason Karaïndros, et la chorégraphe Sandra Martinez) et des artisans, part, entre 1995 et 1997, pendant six mois en Indonésie, sur les traces de son aïeule, et de 1999 à 2000 à la Villa Médicis à Rome. Il travaille le dessin, la photo, la vidéo, l?installation, les projections, les installations, le livre etc., choisissant à chaque fois la technique la plus appropriée pour son sujet. Le fil conducteur dans son travail n?est pas une technique ou un sujet, mais plutôt une recherche, sur la frontère entre la réalité et la fiction, entre le monde des apparences et l?essence, « zwischen Sein und Schein », entre l?être et le paraître,. Quelques dernières expositions et réalisations : 2004 place du Préfet Claude Erignac, Paris, 2005 Triennale d?art contemporain, Yokohama, Japon 2006 La Maréchalerie Versailles, 2006 Musée Zadkine, Paris, 2007 ZKM, Karlsruhe, 2008 ARTE, Strasbourg ?
Jakob Gautel
Souffle
Vidéo expérimentale | mp4 | couleur | 28:34 | Allemagne, France | 2020
Livestream performance, Paris, le 22 mars 2020, pendant le 1er confinement du coronavirus. Assis à une table, à très grande proximité d’une bougie, à quelques centimètres. Rester immobile et respirer. À chaque respiration la flamme vacille.
Jakob Gautel Né en 1965 à Karlsruhe, en Allemagne, vit et travaille à Paris et ailleurs. Etudes à l’Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris. Dans son travail protéiforme (photo, video, installation, performance, dessin, livre...), il questionne l'image, et explore la limite entre être et paraître, réalité et fiction. Production de sens plutôt que production d’objets ...
Jakob Gautel
Ville nouvelle ?
Doc. expérimental | dv | couleur | 23:13 | Allemagne, France | 2010
Ville nouvelle ? Installation vidéo, Jakob Gautel 2010 Dans le cadre des interventions urbaines du projet artis?cité, coordonné par Le 19 ? Centre régional d?art contemporain de Montbéliard. Projet culturel inscrit dans le cadre du Programme de rénovation urbaine de l?ANRU porté par la Communauté d?Agglomération du Pays de Montbéliard, avec le soutien de la Ville de Valentigney. En 1961, Philippe Bardinet a réalisé, sur commande de Peugeot, un film sur le nouveau quartier des Buis, un quartier modèle qui vient d?être construit à Valentigney, près de Montbéliard, pour héberger les milliers de nouveaux ouvriers et employés de Peugeot venant de différentes régions de France, d?Espagne, d?Italie ou d?Algérie, pour travailler à l?usine de Sochaux. Ce film, bien qu?une commande, pose des questions toujours d?actualité sur la nature de ce type de quartier : « Sauront-ils tous s?adapter, enfants et parents ? S?agit-il d?une une cité d?habitation ou bien d?une ville ? » « L?homme ne se satisfait pas seulement de sommeil et de nourriture. Il lui faut ? Il lui faut ... ». Il questionne la place des jeunes, l?intégration, le commerce, et présente des grandes qualités cinématographiques. Entretemps le quartier a beaucoup changé. Baisse de population, chômage augmentant, danger de ghettoïsation etc. On est loin de la cité idéale de 1961. 50 ans après, à l?occasion de la fête de l?anniversaire du quartier, j?ai réalisé un « film-miroir », projeté en vis-à-vis, opposant aux images anciennes des vues du quartier d?aujourd?hui, barres délabrées ou vouées à la démolition, magasins fermés, mais aussi de la vie sociale du quartier, des enfants et des jeunes, mêlées à des vues de spectateurs du film, prises lors de trois projections publiques du film, organisées par la MJC. Ces projections ont été suivies de débats, animés par Guy Vandeneeckhoutte. Remerciements à Maxime Fraissinet pour son assistance précieuse.
Jakob Gautel, né en 1965 à Karlsruhe, en Allemagne, vient à Paris pour faire ses études à l?Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts, où il travaille le dessin, les arts graphiques, la photographie, et des démarches d?installation avec Christian Boltanski. Il vit et travaille à Paris et ailleurs. Il expose en France et à l?étranger, et expérimente des formes d?art hors des espaces convenus : affichages, action, performances, interventions ? Il participe à de nombreuses expositions dans des galeries, des musées et centres d?art, dans des espaces d?artistes et espaces associatifs, participe à des biennales d?art en France et à l?étranger, des actions dans l?espace urbain, des interventions dans des villes et quartiers ainsi qu?à des projets et interventions cherchant à redéfinir le rapport de l?artiste à son public, travaille avec des metteurs en scène et chorégraphes, fait des projets avec des enfants. Il réalise des ?uvres d?art pour l?espace public, fait des propositions de 1 %, collabore avec des artisans, part, entre 1995 et 1997, pendant six mois en Indonésie, et de 1999 à 2000 à la Villa Médicis à Rome. En 2008 il est nommé Chevalier de l?ordre des Arts et des Lettres. Il travaille avec la photo, la vidéo, l?installation, les projections, le livre etc., choisissant à chaque fois la technique la plus appropriée pour son sujet. Le fil conducteur dans son travail n?est pas une technique ou un sujet, mais plutôt une recherche, sur la lisière entre la réalité et la fiction, entre le monde des apparences et ce qui se cache derrière, entre l?être et le paraître, et entre le monde extérieur et le monde intérieur. Depuis 2001 il est aussi enseignant à l?école d?architecture, d?abord à Versailles et depuis plusieurs années à La Villette, en premier cycle et au cycle mastère dans le pôle « Art, scénographie et architecture ».
Philippe-aubert Gauthier, Tanya St-Pierre
La production fantôme
Vidéo | hdv | couleur | 4:0 | Canada | 2016
"La production fantôme - The Phantom Production" est une oeuvre vidéo sous forme de diptyque. Un double écran présente en simultané une vidéo filmée et une vidéo de synthèse. Inspiré par le photo-réalisme (comment les marques ou imitations de caméra augmentent le réalisme des images de synthèse), c`est le mouvement de la caméra de la vidéo filmée qui est imitée par la vidéo de synthèse. Avec cette oeuvre et installation vidéo diptyques, les tensions entre séquences vidéo tournées et synthètiques proposent un processus de production cinématographique interrompu, ouvert à l`analyse critique. "La production fantôme - The Phantom Production" se décline de plusieurs façons : installation vidéo dyptique ou projection.
La pratique artistique de Philippe-Aubert Gauthier est consèquente de ses profils : artiste sonore, artiste en arts numériques, ingénieur mécanique junior, docteur en acoustique et professeur à lUniversité de Sherbrooke. Méthode artistique et savoir scientifique ou technique deviennent des matières brutes pour une démarche artistique réflexive liée aux implications et influences sociales, culturelles et historiques des technologies de communication et des médias. Tanya St-Pierre est artiste en arts visuels, sonores et numériques. En explorant les relations possibles entre les arts visuels ou numériques et la narration, elle transforme divers systèmes d'altération de la narration en propositions politiques et conceptuelles. On trouve dans ses oeuvres des traces déchirées de narrations et de fictions. Depuis 2003, leurs démarches se rencontrent dans des projets collaboratifs. Leurs intéréts et engagements respectifs sont abordés dans des échanges amenant des propositions artistiques hybrides qui résultent de joutes d'autocritiques et d'inventions en duo.
Philippe-aubert Gauthier, Tanya St-Pierre
Modabe: mod stream
Vidéo | hdv | couleur | 15:0 | Canada | 2021
« Modabe: mod stream » est une animation basée sur une performance sonore de Philippe-Aubert Gauthier produite en temps réel par synthèse modulaire matérielle. En plaçant la performance sonore dans un environnement virtuel et dans un monde imaginaire, l'animation propose un montage vidéo-sonore hétérogène par jump-cut peuplé de références populaires et bruitistes. Initialement créées et produites dans le contexte particulier que l’on connaît de 2021, la performance en studio, sans audience, et la construction virtuelle vidéographique sont non sans rappeler les salles de concerts et de cinéma désertes de 2021.
Philippe-Aubert Gauthier se penche sur les interactions entre arts, cultures, sciences et technologies. Ses œuvres explorent la construction sociale et culturelle des technologies : techno-fiction ou archéologie des médias qui sondent les passés et futurs technologiques. Il s’intéresse au matérialisme numérique, à la spéculation comme méthode. Les formes qu’il déploie appartiennent aux arts sonores et numériques. Il est professeur à l’École des arts visuels et médiatiques de l’Université du Québec à Montréal et directeur de la recherche artistique du Centre for Interdisciplinary Research in Music, Media and Technology. Tanya St-Pierre est artiste en arts visuels, sonores et numériques. En explorant les relations possibles entre les arts visuels ou numériques et la narration, elle transforme divers systèmes d'altération de la narration en propositions poétiques et conceptuelles. Propositions qui, s'inscrivant dans un schéma plus général, déjouent et questionnent les notions de représentation et d’artefacts culturels. On trouve dans ses œuvres des traces déchirées de narrations et de fictions. Gauthier et Saint-Pierre travaillent souvent en duo pour créer des installations et des vidéos, ou même des performances. Ils vivent et travaillent à Montréal (Canada).
Philippe-aubert Gauthier, Tanya St-Pierre
Intertypes
Vidéo | hdv | couleur | 20:0 | Canada | 2019
Fiction reposant sur des progrès scientifiques et techniques obtenus dans un passé plus ou moins lointain, dans un passé fictif, dans un univers parallèle au nôtre, un univers possédant ses propres dimensions d?espace et de temps et, où l'avenir promet toujours des progrès techniques. Futur, l'impression existe-t-elle encore? Cessera-t-elle un jour? Pourtant, plaques d’impression courbes, mises en pâte, autres défauts et noir de fumée habitent et forment toujours nos cultures, subtilement. Galaxie d'artefacts historiques imprimés, résidus de scénarios et organisations passés. Sorte d’encodage historique imbriquant cultures et technologies, des indices laissés aux historiens qui décodent. Maintenant, qu'est-ce que cette impression en trois dimensions. Qu'est-ce qu'elle nous dit, quel est son message? Pourquoi emprunte-t-elle le déguisement ou le marketing de l'impression? Nous promettant un futur digne des science-fictions et d’une fabrication instannée voire, magique, est-elle, cette impression 3D, si lisse et si parfaite? Avec Intertypes, nous lisons l'impression 3D dans la ligne historique et culturelle de l'impression. Intertypes : entre les types, entre des époques, il reste une trame. Solidifier des encres et des chimies, la fumée et ses poussières. Intertypes : projection ou installation vidéo. Soutien du CALQ, partenariat avec la Galerie d'art Foreman et la Société d'histoire de Sherbrooke.
La pratique artistique de Philippe-Aubert Gauthier est conséquente de ses profils : artiste sonore et numérique, musicien, ingénieur, M.Sc., docteur en acoustique et professeur à l’École des arts visuels et médiatiques de l’UQAM. Le cœur de sa démarche artistique est basé sur l’interaction des arts, des cultures, des sciences et des technologies. Ces champs de connaissances sont utilisés pour le développement de pièces artistiques et musicales qui abordent les constructions sociales des technologies et des cultures liées aux technologies. Gauthier explore aussi la composition et l’improvisation sonores par l’usage de la synthèse modulaire comme un espace de jeu pour la création de systèmes génératifs rudimentaires et bruyants. Tanya St-Pierre est artiste en arts visuels, sonores et numériques. En explorant les relations possibles entre les arts visuels ou numériques et la narration, elle transforme divers systèmes d'altération de la narration en propositions poétiques et conceptuelles. Propositions qui, s?inscrivant dans un schéma plus général, déjouent et questionnent les notions de représentation et d’artefacts culturels. On trouve dans ses œuvres des traces déchirées de narrations et de fictions. Depuis 2003, leurs démarches se rencontrent dans des projets collaboratifs.
Fabienne Gautier
Night Walk
Vidéo expérimentale | super8 | couleur | 6:55 | France | 2004
Une ballade nocturne improvisée dans Paris la nuit.
L'Artiste Fabienne Gautier réside et travaille à Paris. Elle utilise divers média notamment la photographie, la vidéo et le film. Née en 1967, elle obtient un diplôme supérieur d'art plastique en 1991 à Dijon. Elle a collaboré avec Tom Jarmusch sur plusieurs projets. Son travail a été montré au niveau international dans des galeries et des festivals, parmi lesquels le New Museum of Contemporary Art de New York, le Kitchen de New York, le festival du Film de Locarno, de Rotterdam, Videoformes de Clermont?Ferrand, les Rencontres Paris-Berlin, Media City au Canada et le festival underground de New York...
Maria Del Pilar Gavilanes
de sol a sol
Documentaire | dv | couleur | 18:43 | Equateur | 2004
Le diptyque vidéo de "sol a sol" dresse le portrait d`Antonio Preciado, un poète équatorien. Sa poésie est fortement liée à son pays et plus particulièrement à sa ville natale, Esmeraldas. En 2003, il était ambassadeur de l'Equateur à Paris. Cette vidéo relate l'histoire de quelqu'un qui est déplacé, d'un individu inscrit en dehors de son contexte habituel. Dans l'écran de gauche défilent les paysages de sa ville Esmeraldas, tandis que celui de droite présente des fragments d'un entretien réalisé dans sa résidence parisienne. Les images mettent en relation et rapprochent deux espaces de la vie de ce même homme. Antonio Preciado nous raconte en images, sa vie, ses souvenirs d'enfance et son futur de poète. Il parvient à donner à ce sujet spécifique une dimension beaucoup plus vaste, conter l'histoire de la communauté noire de la ville d'Esmeraldas et son expérience d'ambassadeur équatorien en France.
Je suis née à Quito, Equateur. J`habite en France depuis 8 ans et je parle le français, l`anglais et bien sûr l`espagnol. J`ai étudié à l`Ecole d'Arts de l'Université Centrale d'Equateur ainsi qu`à l`Institut Supérieur d`Art à La Havane, à Cuba. J`ai poursuivi mes études à l`Ecole Nationale Supérieure d`Arts de Cergy, à Paris, où j`ai obtenu le DNSEP avec les félicitations du jury. J`ai participé l`année dernière au programme du Post-diplôme à l`Ecole nationale des Beaux-Arts de Lyon et je réalise actuellement une maîtrise à l`UFR Arts, Philosophie et Esthétique à l`Université Paris VIII.
Đuro Gavran
Presuda
Documentaire | hdv | couleur | 11:20 | Croatie | 2013
Sixteen years after the war, in the main square of Zagreb several thousand people gathered to watch a live broadcast of the verdict to Croatian generals. Through a series of close-ups, the film documents the eruption of emotions caused by the verdict.
Đuro Gavran (Bjelovar - Croatia, 1982.) Đuro Gavran was born in 1982 in Bjelovar. He graduated from the Academy of Dramatic Arts in Zagreb MA film and television directing. He graduated also from the Faculty of Graphic Arts at the University of Zagreb. He is the author of five documentary features (Bojan; Kelts; We Wanted Workers and All We Got Were People; The Big Day; The Verdict) and two experimental films (Glassballetdancer and Our Beautiful Homeland). As a cinematographer he worked on documentary films Above average (dir. Igor Bezinović; Restart prod, 2008), Irreversible (dir. Igor Bezinović, Restart, 2009) and The Blockage (dir. Igor Bezinović, Factum and Restart, 2012). In addition to film, he is involved in other forms of visual art (photography, graphics and installations). He has held three individual and about thirty collaborative national and international exhibitions. Since 2008 he is a member of ULUPUH (Croatian Association of Artists in Applied Arts), multimedia department. Together with Miljenka Čogelja and Boris Vido?ević, in 2012 he started Pipser d.o.o., a film production company and a design studio.
Jean-didier Gazeau
Le pain
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 14:49 | France | 2010
Le pain est un tableau, chapitre tiré d`un travail documentaire en cours s`articulant autour d`une famille de bédouins en Syrie sur une décennie. Ce documentaire est sonore, musical, il a ses chants et ses voix, mais pas un dialogue. Le projet, commencé en Août 2000 en collaboration avec l`anthropologue libanaise Danielle Davie, est composé sous forme de corpuscules nomades, autonomes et interactifs. Le pain, bénéficiant ici d`un nouveau montage , ouvre le projet final.
Jean-Didier Gazeau, artiste contemporain né en France en 1980, diplômé des Beaux-Arts de Paris, réside et travaille entre Paris, Tours et Bruxelles.
Omar Gámez
Coreomanía
Vidéo | 4k | couleur | 19:36 | Mexique | 2021
1518 : Une épidémie se déclare lors d’une danse collective à Strasbourg en France. Selon certaines interprétations, elle serait due à l'ingestion de champignons du seigle. 1520 : l'épidémie de variole entraîne la mort d'indigènes à Tenochtitlán et Tlatelolco, ce serait là une des principales causes de la chute des deux villes. 2020 : la pandémie de COVID-19 est déclarée, nous vivons un événement sans précédent dans l’histoire contemporaine, il a alors fallu protéger le corps, limiter son espace, son interaction, sa mobilité. Coreomanía relie ces trois moments historiques à travers un concours de danse qui se déroule dans les environs de Tlatelolco, à Mexico. Les gagnants sont les participants qui n'ont pas cessé de danser. L'action est enregistrée dans une vidéo qui est ensuite montée comme une pièce chorégraphique. Les mouvements, les corps qui se rassemblent à nouveau font allusion à la construction collective et à la force d'être ensemble. Omar Gámez consacre son travail d'artiste visuel à rendre visibles les communautés dissidentes, ainsi qu'à explorer différentes manières de représenter le corps. Son travail se distingue par l'élargissement des possibilités offertes par les médias visuels afin de présenter une autre façon d'interagir. Coreomanía est une célébration de la vie par le mouvement du corps, une célébration de l'interaction collective par la danse. Luis Josué Martinez Rodríguez Commissaire
Le travail d'Omar Gámez (vit et travaille à Mexico) génère une réflexion sur les actions provoquées directement ou indirectement, où le corps est déployé comme un sous-thème. Le corps est le moyen de propitier des pratiques concrètes. C'est dans la documentation photographique et vidéo que son travail est généralement compris. Chaque projet intervient dans des espaces publics et privés avec des activations spécifiques, générant des réflexions sur le corps en déployant divers thèmes tels que le désir, les communautés dissidentes et la production de liens affectifs. Il a présenté son travail vidéo à LesGaiCineMad 2023 ; La Nuit Blanche à l'Institut Cervantes à Paris, France, 2008 ; ADD TV et NewFest, New York, 2007 ; LesGaiCineMad, Madrid ; Video_dumbo, New York ; Expresión en Corto, Guanajuato ; Mostra Lambda, Barcelone ; Athens Video Art Festival ; Inside Out Festival à Toronto, Canada, en 2006 ; et les IXe et Xe Festival MIX à la Cineteca Nacional de México, 2005, 2006 et 2023.
Jeff Gburek
Invisible Trio
Création sonore | 0 | | 45:0 | USA, Allemagne | 2006
Puisque aller vers le réductionnisme conduit à un démantèlement des limites de la musique traditionnelle, trouver un nouveau chemin va plutôt au delà de la réduction. Il en résulte une nouvelle sécession enrichie de sonorités presque palpables et des plus approfondies pour chaque instrumentiste et les matériaux qu?il doit transformer. L?intensité auditive dépende de la sensibilité d?écoute. Cette écoute approfondie est possible aussi bien lorsque l?atmosphère sonore est dense que lorsqu?elle est légère. Chaque musicien est qualifié pour tirer des sons peu familiers d?instruments anormalement considérés comme bien compris. L?expérience de Davies avec la scène londonienne lui permet de faire preuve non seulement d?intégrité dans l?improvisation, mais aussi d?un désir de prendre de nouveaux risques et de faire en sorte que cela fonctionne. Capece, à l?aise avec de faibles sons et de nouvelles compositions est pourtant capable de laisser derrière lui les modes sûrs et idéalistes pour se consacrer à un travail élémentaire sur un nouveau modèle avec son saxophone. Gburek s?attache toujours à suivre un chemin qui se faufile entre les genres et le rend invisible, si ce n?est qu?on entend soudainement sa musique lorsque les autres joueurs se retirent, et on réalise qu?ils ont été comme des arbres dans une vallée qui ont toujours été là, créant ensemble de l?oxygène, de manière presque anonyme.
Jeff Gburek est un guitariste, un compositeur de musique électronique et un artiste sonore qui vit actuellement à Berlin. Il utilise des techniques de guitare riches et élaborées, le traitement de signal, des logiciels ?open source? et la phonographie pour créer de la musique pleine de texture, dans laquelle les pianissimos poussés à l?extrême, la manipulation d?objets organiques et le silence sont en contraste avec les crescendos énergiques des sons électroniques déchaînés. Il a travaillé pendant 10 ans avec l?artiste Ephia, danseuse et actrice de théâtre, dans Djalma Primordial Science, développant une pratique du corps et du son à travers la performance et la pédagogie. Il a récemment réorienté son environnement électronique au STEIM à Amsterdam en 2005 et a obtenu une bourse en 2006 pour étudier la composition à Darmstadt avec Helmut Lachenmann. Voir le site www.futurevessel.com/orphansound/
Jeff Gburek
Van Bebber/Gburek
Création sonore | 0 | | 50:30 | USA, Allemagne | 2006
Claus Van Bebber est un des grands scratcheurs allemands qui reste pourtant largement inconnu en dehors de son pays. Par exemple, ce n?est que l?année dernière qu?il a fait équipe avec Philip Jeck à Cologne. Jeff Gburek a eu l?opportunité d?enregistrer avec Van Bebber aux studios Nur Nicht Nur en 2006, à Kleve en Allemagne. La session était unique puisque Claus Van Bebber n?a joué que sur platine au lieu de 6 ou 8. la musique est spontanée, imprévisible mais aussi très mesurée, elle reflète l?expérience que les deux musiciens ont précisément des percussions. Van Bebber a été batteur de jazz freelance et Gburek a étudié les complexités rythmiques de la musique gamelan. Ce duo rassemble les talents de deux multi instrumentistes qui ont une expérience à la croisée des media et des genres : van Bebber grâce à son expérience d?artiste d?installation, de sculpteur, d?artiste de performance et Gburek grâce à l?utilisation du son analogue, du son numérique et de la phonographie (enregistrement sur le terrain).
Jeff Gburek est un guitariste, un compositeur de musique électronique et un artiste sonore qui vit actuellement à Berlin. Il utilise des techniques de guitare riches et élaborées, le traitement de signal, des logiciels ?open source? et la phonographie pour créer de la musique pleine de texture, dans laquelle les pianissimos poussés à l?extrême, la manipulation d?objets organiques et le silence sont en contraste avec les crescendos énergiques des sons électroniques déchaînés. Il a travaillé pendant 10 ans avec l?artiste Ephia, danseuse et actrice de théâtre, dans Djalma Primordial Science, développant une pratique du corps et du son à travers la performance et la pédagogie. Il a récemment réorienté son environnement électronique au STEIM à Amsterdam en 2005 et a obtenu une bourse en 2006 pour étudier la composition à Darmstadt avec Helmut Lachenmann. Voir le site www.futurevessel.com/orphansound/ Claus Van Bebber est né en 1949 à Niedderhein en Allemagne. Il travaille en tant que musicien et artiste. Il a participé à plusieurs expositions en Allemagne et à l?étranger, il a réalisé des performances et fait des concerts. Il est également co-fondateur du groupe d?artistes ?Heinrich Mucken? ; il a participé à ?documenta 8? à Kassel en 1987 ; et il a également fait plusieurs LP et CD. Il a fait des performances avec son `Schallplattenkonzerten` f.e. au `Loft` Köln en 1990, à l?Ave Festival Arnhem de 1991, à la `Kunsthalle` de Recklinghausen, au `Performance Festival` de Turin en 1992, au ` Galerie Pankow` de Berlin, au `Dodorama` de Rotterdam, au `Festival für improvisierte Musik` de Copenhague en 1994 et à `de Fabriek` à Eindhoven en 1995.
Nicolas Gebbe
Lockdown Dreamscape VR
VR vidéo 360 | 0 | couleur | 7:0 | Allemagne | 2021
When spending a lot of time at home in isolation, the walls begin to move. The sense of time fades, the days pass quietly, everything seems to repeat itself endlessly. Spaces, conversations, visual impressions and sounds merge and make everything seem like a long dream.
Nicolas Gebbe was born in London in 1986. He currently lives and works in Frankfurt am Main / Germany as a 3D artist, filmmaker and sound designer. 2018 he receives his art diploma at Hochschule für Gestaltung Offenbach with a film major. He focuses on experimental 3D animation and hybrid film formats. Since graduation, his animated short films have been screened on a variety of festivals such as Locarno Film Festival, Festival du Nouveau Cinèma Montreal and Ann Arbor Film Festival.