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Georgi Lazarevski
Voyage en sol majeur
Documentaire | dv | couleur et n&b | 54:0 | France | 2006
Aimé a quatre-vingt onze ans et s?est enfin décidé à entreprendre le grand voyage au Maroc qu?il projette depuis quarante ans. Son petit fils, réalisateur et photographe, l?accompagne. Un voyage tendre et amer, plein de bonheurs fugitifs, de regrets et d?occasions gâchées. Comme la vie.
Georgi Lazarevski est né en 1968 à Bruxelles. Diplômé de l?école Louis Lumière, il alterne la pratique de la photographie et du cinéma comme chef opérateur. Il obtient ainsi des prix pour ses travaux photographiques. Il réalise des courts et moyens - métrages documentaires pour des ONG : « Guerre et peigne » en 1996, dans un camp de réfugiés croate, « Visages », tourné à Gaza en 1997 ainsi que « L?un pour l?autre » tourné au Mali, à Gaza et en Bosnie.
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Julia Lazarus
the briefing center
Documentaire | dv | couleur | 40:0 | Allemagne | 2008
The Briefing Center vient documenter le ballet du corps politique pendant le sommet du G8 de 2007 à Heiligendamm. A l?intérieur de la zone de sécurité éloignant la foule avec un clôture longue de 11 km, la caméra observe les représentants de la presse, des forces de sécurité, du personnel de service, ainsi que les décisionnaires politiques. Par-delà la critique aux buts politiques du sommet, le film donne un aperçu de la mise en scène médiatique et montre que les mouvements des individus sont fixés par le protocole.
Née à Berlin, Julia Lazarus suit les cours de l?École Supérieure des Arts de Berlin et de l?Institut Californien pour les Arts à Los Angeles. Ses films ont été montrés dans de nombreux festivals et expositions. Ses films en 16mm sont distribués par Sixpackfilm à Vienne.
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Stéphane Le Gall-viliker, Fahmi, Traoré, Preda,
STORIE MIGRANTI
Documentaire | dv | couleur | 38:50 | France, Italie | 2009
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Maxime Le Moing
SALLE OBSCURE
Fiction | mov | couleur et n&b | 45:7 | France | 2020
Recycler / Reprendre / Revoir / Refaire / Réadapter. Prenez un scalpel, coupez ces mots pour ne garder que le préfixe re-. Faites-en votre personnage principal, celui d’un détective. Placez-le parmi des mots macabres, des phrases sombres où la nuit ne cesse de pleuvoir. Une fois l’opération terminée, l’enquête peut commencer.
Maxime Le Moing respire à Metz (France). Depuis 10 ans, il est embauché à temps plein en tant que promeneur écoutant. Affilié à la pratique du maraîchage et de l'écriture sonore, il œuvre dans la radio, la poésie sonore, la performance musicale néo-animiste et le mash-up pour les oreilles. Ses créations sont ponctuées par les saisons: en hiver, il anime auprès du jeune publique des ateliers de poésies lettristes en leur enseignant le beat box; au printemps, il enregistre le son de la photosynthèse des plantes et élabore une thèse intitulée "La nature préfère la harsh-noise que la musique classique"; en été, il vagabonde avec sa trompette et sa mallette de bruiteur pour réanimer les espaces morts de la capitaloscène; en automne, il aménage des ronds-points, friches et petits bois pour remettre au goût la libre errance des rencontres sexuelles.
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Le Pavillon
Yumeji
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 48:0 | France | 2004
Le film Yumeji (Pathway to dreams), a été tourné à l?occasion d?un workshop des résidents du Pavillon, laboratoire de création du Palais de Tokyo au Japon en mai 2004. C'est un film collectif qui synthétise à la fois l?expérience de l?exposition à Hiroshima et celle du voyage. Il se présente sous la forme d?un film interactif. Son arborescence permet le passage du film collectif vers des rêves individuels imaginés par chaque artiste.
Le Pavillon est le laboratoire de création du Palais de Tokyo à Paris. La promotion 2003-2004 était composée de Ziad Antar, Louidgi Beltrame, Davide Bertocchi, Sophie Dubosc, Johannes Fricke Waldthausen, Shiho Fukuhara, Agnieszka Kurant, Gerald Petit. Tout au long de l?année, Ange Leccia (directeur), Christian Merlhiot (responsable pédagogique), Jean-Luc Vilmouth (artiste invité) et Pascal Beausse (critique d?art invité) ont accompagné leur réflexion.
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Joao Leal
Chasms
Vidéo | hdv | couleur | 8:34 | Portugal | 2016
A researcher trying to cope with his research, while avoiding narrative. Does he know where he is walking himself into? Will he be able to come out of it? A film so unsuccessful in resisting narrative as it is in finding answers.
Practitioner and teacher. Participates in solo and group exhibitions since 2001. Won in 2005, ex-aequo, the "Pedro Miguel Frade" award, from the Portuguese Centre of Photography, with the work "Night Order’. PhD candidate at the University of South Wales in connection to the European Centre for Documentary Research. Has a degree in Audiovisual Communication Technology at the Polytechnic Institute of Porto, majoring in Photography. Worked in Sao Joao and D.Maria II Portuguese National Theatres, RTP television, ‘Casa da Musica’. Full time assistant professor in theDepartment of Image Arts P.Porto | ESMAD.
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Joan Leandre
In the Name of Kernel! Song of the Iron Bird
Vidéo expérimentale | 0 | couleur | 0:0 | Espagne | 2007
Dans l'installation de Joan Leandre, Le kernel, qui est le coeur de la plupart des systèmes informatiques, devient le mythe autour duquel un événement symbolique se coagule, combinant la littérature de voyage, la tradition alchimique, la science fiction, le terrorisme et les théories de la conspiration, la programmation informatique, l?alpinisme, la modélisation 3D et le mapping par satellite, les hallucinations et les révélations. Joan Leandre explore l?imaginaire trouble d?un principe informatique fondamental, indifférent à son usage, militaire ou onirique. L?image elle-même, réalisée par manipulation informatique, change de statut. En même temps que des images, c?est la puissance aveugle du Kernel qui transparait, kernel au nom duquel tous les usages technologiques sont possibles. .
Joan Leandre est née en 1968. Elle vit et travaille à Barcelone. Elle est interprète média et membre des Archives OVNI depuis 1994. De 1994 a 1996, elle a travaillé sur la série d?interruptions média MAP (Mega Assembler Project), à la Fundación Zero et aux Serial Monuments. De 1995 à 1997, elle a participé au projet « Oigo Rom », et en 1998, elle a été associée aux President Archives de Brooklyn (USA). En 1999, elle a travaillé à nouveau avec les logiciels de divertissement de masse et a initié les projets « retroyou (RC) » et « retroyou (nostalG) » ainsi que « Black Boot Project » et la longue série, toujours en cours de réalisation, « retroyou nostalg2 ». « Velvet Strike » est un autre projet collectif auquel l'artiste a participé au cours de ces dernières années.
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Joan Leandre
OVNI
0 | 0 | | 0:0 | Espagne | 2007
L'OVNI (Observatoire de la vidéo non identifiée) a été fondé en 1993 par les artistes Joan Leandre, Toni Serra et Rosa Llop à Barcelone. Les archives de OVNI présentent un caractère international et thématique, il s'agit de faciliter une critique de la culture contemporaine en usant de diverses stratégies telles l'art vidéo, le documentaire indépendant et l'archéologie des mass média. Les archives recueillent toute une constellation de travaux disparates dont le dénominateur commun est la libre expression et la réflexion sur les peurs et la place des individus dans les collectivités, construisant et conjuguant une vision multiple, des milliers de petites oeuvres approfondissent et explorent notre monde ou annoncent d'autres possibles. Un discours dont les valeurs principales sont l'hétérogénéité, la pluralité, la contradiction en lesquels la subjectivité se réalise. Pour ce discours, la subjectivité est le seul répulsif au clonage et à la répétition des mass médias corporatifs. Tout au long des différentes éditions, le caractère thématique de cette convocation s'est transformé à travers les différentes sélections des travaux en une lecture, un registre particulier de quelques uns des rêves et cauchemars de notre époque. Ainsi il a pu être vérifier comment le spectre des préoccupations est allé en se concentrant progressivement, participant d'un éventail très développé dans les premiers moments d'OVNI 1993-96 ( développer et explorer les limites du langage vidéo rattrapant la liberté formelle et la thématique de ses débuts), jusqu'à se concentrer sur de plus en plus de thèmes plus spécifiques : l'Identité contre les Médias (1997-98), la Communauté (2000), la Globalisation (2002), les Conséquences du 11 Septembre (2003), les Résistances (2005) ou le Rêve Colonial Zones Autonomes (2006).
L'artiste catalan Joan Leandre est membre d'OVNI (Observatoire de la vidéo non identifiée) depuis 1993. De 1994 à 1996 il travaille sur la série MAP (Mega Assemble Project), Fundacion Zero et Serial Monuments. En 1996, il est l'instigateur du projet Oigo Romo, subventionné par l' Instituto Universitario del Audiovisual qui procure un lieu au Mega Assemble Project MSN ? Adult Playground 1.0. En 1998, il s'implique auprès des President Archives de New York. En 1999, il commence le projet retroyou.org composé pour la série d'interruption de logiciel retroyou RC, retroyou nostal(G), retroyou nostalg2 et la mailing list autoreplicant http://ddtpv-txmx7-bbgj9-wgy8k-b9ghm.org. Ces dernières années il a réalisé de projets en collaboration avec Archivos Babilonia et Velvet Strike.
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Joan Leandre
In the Name of the Kernel Series - Magic Line
Animation | hdv | couleur | 22:25 | Espagne | 2010
An exhibition of HD video, digital print and text by Barcelona based artist Joan Leandre. As the second Gallery exhibition in the artist?s extensive history, In the Name of Kernel ! The Magic Line is the third installment of the In the Name of Kernel series, introducing Leandre?s critical practice of media interpretation and reverse engineering to a new audience. The first two films of the series toured internationally to venues such as Sonar Festival, Barcelona 2008, 3rd Moscow Biennial, Moscow, 2009, and Centre George Pompidou, Paris 2009.
"Media interpreter and member of the OVNI Archives since 1994. From 1994 to 1996 I worked on a series of media interruptions called MAP (Mega Assemble Project), Fundación Zero and Serial Monuments. From 1995-1997 I was involved in the Oigo Rom project, and later in 1998 in Brooklyn I was involved with the President Archives. In 1999, I began working again with mass entertainment software and started the projects retroyou (RC) and retroyou (nostalG), and continue to work on the series retroyou nostalg2 and the Black Boot Project. Other collective projects include Velvet Strike and the Archivos Babilonia.? J.Leandre
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Joan Leandre
In the Name of Kernel Series - Lonely Record Sessi
Vidéo | dv | couleur | 20:0 | Espagne | 2009
Depuis 2006, le travail de Joan Leandre porte essentiellement sur l?analyse et la déconstruction de logiciels de jeux, de simulation ou d?entraînement militaire. « In the Name of Kernel ! The Magic Line » est la troisième installation de la série « In the Name of Kernel », nous introduisant dans la pratique critique de Leandre qui s?intéresse à l?interprétation des medias et à inverser cette ingénierie pour un nouveau public. « In the Name of Kernell » regroupe, en un cycle ouvert, ses dernières vidéos. Produites à partir de logiciels dont il modifie les paramètres elles transforment ?une machine à produire du réel en une machine à produire une illusion?. Elles proposent au spectateur une fiction narrative complexe dans laquelle il peut décoder les mécanismes de la fascination technologiques à laquelle nous sommes habituellement soumis, mécanismes qui vont ensuite conditionner notre perception du monde. C?est en ce sens qu?il faut considérer l??uvre de Joan Leandre comme une ?uvre subversive.
Joan Leandre vit et travaille à Barcelone. Il un interprète et un membre d? OVNI Archives(Observatoire de Vidéos Non Identifiées). depuis 1994. De 1994 à 1996, il a travaillé sur une série de piratage des medias intitulée MAP (Mega Assemble Project), Fundación Zero et Serial Monuments. De 1995 à 1997, il a collaboré au projet « Oigo Rom », et plus tard en 1998 à Brooklyn, aux « President Archives ». En 1999, il a commencé à travaillé est les logiciels de divertissement grand public et a commencé le projet « Retroyou (RC) and Retroyou (nostalG) », et il continue à travailler avec la série « Retroyou nostalg2 and the Black Boot Project ».D?autres projets collectifs ont été montés, comme « Velvet Strike » et « the Archivos Babilonia ». Joan Leandre est un interprète des médias, un archéologue de l?Internet. Il y fait des fouilles permanentes et collectionne des données. Il archive sur son propre site quantité d?informations qui sont « oubliées », sur le site d?une entreprise par exemple, ou, au contraire qui ne feront qu?une courte apparition avant de devenir confidentielles ou que leur lecture soit rendue impossible par une évolution technologique qui les rende muettes. Allant au-delà de la convivialité apparente de telle ou telle interface, il tend à faire émerger une prise de conscience de ce que la machine est capable de nous faire faire grâce à notre du pouvoir du conditionnement idéologique dans lequel nous plongent les images pour la compréhension du réel qui est le nôtre aujourd?hui. Depuis 2006, le travail de Joan Leandre réside essentiellement sur l?analyse et la déconstructionde jeux video, de logiciels de simulation ou d?entrainement militaire. Son travail a été montré au Sonar festival, Barcelone, au Transmediale, Berlin ; à la Whitney Biennial du Whitney Museum of American Art, New York, au Centre d?art contemporain Laboral, Gijon, à la biennale de Moscou, et au ZKM, Karlsruhe.
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Joan Leandre
Magic Line
Vidéo | dv | couleur | 20:0 | Espagne | 2010
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Joan Leandre
Retroyou_nostal(g)
Installation multimédia | 0 | | 0:0 | Espagne | 2007
?Retroyou_nostal(g)? est un projet de recherche logiciel dont le but est de transformer les programmes originaux en environnements simulés autogérés. Les conditions de quatre programmes de simulation de vol sont modulées de sorte qu?ils ne puissent quasiment plus être contrôlé par de vrais pilotes. Prix Ars Electronica 2006, Mention Honoraire Art Interactif
L'artiste catalan Joan Leandre est membre d'OVNI (Observatoire de la vidéo non identifiée) depuis 1993. De 1994 à 1996 il travaille sur la série MAP (Mega Assemble Project), Fundacion Zero et Serial Monuments. En 1996, il est l'instigateur du projet Oigo Romo, subventionné par l' Instituto Universitario del Audiovisual qui procure un lieu au Mega Assemble Project MSN ? Adult Playground 1.0. En 1998, il s'implique auprès des President Archives de New York. En 1999, il commence le projet retroyou.org composé pour la série d'interruption de logiciel retroyou RC, retroyou nostal(G), retroyou nostalg2 et la mailing list autoreplicant http://ddtpv-txmx7-bbgj9-wgy8k-b9ghm.org. Ces dernières années il a réalisé de projets en collaboration avec Archivos Babilonia et Velvet Strike.
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Sonia Leber, David Chesworth
Earthwork
Vidéo | hdv | couleur | 5:0 | Australie | 2016
Earthwork’s screen is positioned flat on the floor, facing upwards. The visitor, looking down, gets a bird’s-eye view of a suburban landscape in which there are destroyed buildings, damaged roads, fences, and gardens. The image suggests a world that has undergone massive disruption. It is unclear whether accident, entropic forces, or warfare has caused this result. Superimposed upon Earthwork’s devastated landscape is another smaller image that presents the viewer with an alternative framing the site. We see diagrams: symbols of what might be location coordinates, suggesting an ongoing search for boundaries, and an intention. The two images appear to be attempting to “ line-up ”, but this is never achieved. The title, Earthwork, references the American Land Art movement of the 1960s; Leber and Chesworth’s videowork further explores Robert Smithson’s concept of the “ non-site ”. A non-site is an artwork situated in a gallery that metaphorically represents a remote actual site. As Smithson suggests “ the site is evading you all the while its directing you to it ”.
Sonia Leber and David Chesworth are known for their distinctive installation artworks, using video, sound, architecture, and public participation. Developed through expansive research in places undergoing social change, Leber and Chesworth’s works are speculative and archaeological, responding to architectural, social, and technological settings.
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Sonia Leber, David Chesworth
Where Lakes Once Had Water
Vidéo | 4k | couleur | 28:14 | Australie | 2020
‘Where Lakes Once Had Water contemplates how the Earth is experienced and understood through different ontologies – ways of being, seeing, sensing, listening and thinking – that reverberate across art, Indigenous thought, science, ancient and modern cultures, and the non-human.’ Sonia Leber and David Chesworth travelled with a team of Earth and environmental scientists who are investigating changes in the climate, landscape and ecology over 130,000 years. Their journey took them to Australia’s Northern Territory, to spectacular yet challenging environments, from locations of long-term aridity to lush, green waterways. Where Lakes Once Had Water channels the experience, where Indigenous rangers, Elders and community members collaborate with scientists. Working across the ancient shorelines, everyone is receptive to the signs, signals and rhythms of the land. Meanwhile, non-human cohabitants continue their struggles for survival. Leber and Chesworth deploy video as a tool, scanning tree lines, erosions, termite mounds, and the effects of water, sun and fire. Their disquieting sound design encompasses natural and human-made sounds, and the hidden signals and energies that exist beyond human hearing. The project is a journey across audio-visual realms, scientific endeavour and Indigenous knowledge – a coalescence of efforts to understand the ancient land. "Where Lakes Once Had Water" was commissioned by the Australian Research Council Centre of Excellence for Australian Biodiversity and Heritage (CABAH) in association with Bundanon. It was filmed on the lands and waters of the Mudburra, Marlinja, Jingili, Elliot, Jawoyn and Larrakia communities in Northern Territory, with additional filming and editing on Barkandji, Dharawal, Djabugay, Yidinji and Wurundjeri Country. University of Wollongong Art Collection, Australia.
Australian artists Sonia Leber and David Chesworth are known for their distinctive video, sound and architecture-based installations that are audible as much as visible. Leber and Chesworth’s works are speculative and archaeological, often involving communities and elaborated from research in places undergoing social, technological or local geological transformation. Their works emerge from the real but exist significantly in the realm of the imaginary, hinting at unseen forces and non-human perspectives. Leber and Chesworth’s artworks have been shown in the central exhibitions of the 56th Venice Biennale: All The World’s Futures (2015) and the 19th Biennale of Sydney: You Imagine What You Desire (2014). Solo exhibitions include What Listening Knows, Messums Wiltshire, UK (2021) and the survey exhibition Architecture Makes Us: Cinematic Visions of Sonia Leber & David Chesworth, Centre for Contemporary Photography, Melbourne, Australia (2018) touring to Griffith University Art Museum, Brisbane (2019) and UNSW Galleries, Sydney (2019).
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Dwayne Leblanc
CIVIC
Fiction | dcp | couleur | 19:49 | USA | 2022
CIVIC is a short film that follows Booker on his first trip back home to South Central, L.A. after several years of self-imposed exile. Without any clear motive, or even a warning, Booker returns to the place that holds his origins and the people who shaped him. Framed almost exclusively inside of his car, CIVIC tracks Booker’s fleeting and fragmented encounters around his old streets. Booker spends most of his time with his childhood best friend, Tee. They ride around to liquor stores and lingering in parking lots after closing time. Closeness and distance ebbs and flows between them as they talk about their lives, old and new. The repaved ground between them allows Booker to dive deep into the past, seemingly letting go of the tension in the present. However, we soon realize Booker is avoiding his responsibility to his family members across this trip. Just as he plans his disembark from L.A., he has an unexpected encounter that helps to reframe his perspective in the world. CIVIC is an introspective film, giving life to the wordless exchanges, the mundane and the familiar shorthand of unfettered Black life.
Dwayne LeBlanc is a Los Angeles based, first generation, Caribbean-American artist and filmmaker. Primarily self taught, his practice focuses on themes of migration, visibility and dual identities. His debut narrative short film, Civic (2022), an introspective short film about homecoming, was awarded a production grant from Ghetto Film School and Netflix while simultaneously developed at Berlinale Talents 'Short Form Station.' Civic has been screened and awarded at international film festivals around the world, including International Film Festival Rotterdam, Clermont-Ferrand, New Orleans Film Festival, Atlanta Film Festival and Indie Memphis. LeBlanc was also named as part of the "future of cinema" at the 2023 New Directors / New Films festival in NY where Civic was screened at Lincoln Center and the Museum of Modern Art. LeBlanc is a MacDowell fellow and a member of the Writers Guild of America.
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Ange Leccia
Nuit bleue
Fiction expérimentale | | couleur | 86:0 | France | 2010
"Celui qui n`accepte pas de se laisser égarer n`empruntera jamais que des chemins déjà tracés: il risquera de manquer celui qui le concernerait en propre. A moins qu`il ne sabote tous les chemins, les coupe et les embrouille." L?égarement de mes personnages dans « Nuit Bleue » s?imprègne de la pensée du philosophe Jean Toussaint Desanti ; mes émotions visuelles tentent de l?illustrer. A. LECCIA
Ange Leccia est né le 19 avril 1952 à Minerviù en Corse. Artiste plasticien, il a été pensionnaire de la villa Médicis à Rome en 1981-1983, puis résident à la villa Kujoyama à Kyoto en 1992-1993. Professeur à l?École Régionale des Beaux-Arts de Grenoble de 1985 à 1997, puis à l`l?École nationale supérieure des Beaux-Arts de Cergy de 1997 à 2000, il est actuellement directeur du Pavillon, le laboratoire de création du Palais de Tokyo. Ses oeuvres ont été exposés dans de nombreux musées (Guggenheim, Centre Georges Pompidou) et manifestations (Kassel, Sydney) en France et à l`étranger et il a réalisé de nombreux films dont Ile de Beauté (1996) et Gold (2000) avec Dominique Gonzales-Foerster, ainsi que Azé (2004) ou encore La déraison du Louvre (2005).
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Johanna Lecklin
Paljon on iloakin
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 10:0 | Finlande | 2005
Le scénario de "Il y a beaucoup de joie aussi" s'appuie sur des conversations avec un petit garçon atteint du syndrome d'Asperger. Le scénario devient un dialogue fictif entre la mère et le petit garçon. Ils ne se rencontrent jamais à l'écran, ils sont montrés chacun dans leur chambre, côte à côte. Le petit garçon raconte ses rêves pendant que la mère se confie quant à ce qu'il en est de la vie avec un enfant différent.
Johanna Lecklin étudie à l'Académie des Beaux-Arts d'Helsinki en Finlande. Les sujets qu'elle traîte sont la narration, le documentaire et la performance vidéo, très proches de sa pratique artistique. son parcours inclut un échange Erasmus à Slade, l' école des Beaux-Arts à Londres en 1998/99, l'obtention de son diplôme à l'académie des Beaux-Arts d'Helsinki en 2003. elle a aussi participé à un film et à des festivals vidéos comme le Raindance film Festival de Londres, "bzzz" Pépinières européennes pour jeunes artistes au 18ème festival international des programmes audiovisuels de Biarritz en France en 2005, au festival Kasseler Dokumentarfilm et videofest en Allemagne en 2004. Elle a fait plusieurs shows seul et en groupe dans des musées en Finlande et à l'étranger. En 2001 elle gagnait le premier prix de l'Association d'Artiste finlandais.
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Elise Leclercq
D'ici Là
Doc. expérimental | dv | couleur | 19:35 | France, Allemagne | 2005
La séparation, le déracinement sont abordés à travers la recherche de nouveaux repères situés dans l?espace public de Berlin. Chaque intervenant participe à la construction physique et imaginaire de sa représentation. L?auto mise en scène engage un processus de projection et de réflexion intime sur l?histoire et les parcours de chacun, situés à la périphérie de la « grande histoire ». La frontière Germano-polonaise présente une séparation territoriale qui évoque une autre temporalité faisant écho à l?aspect éphémère des interventions en milieu urbain et à leur dépendance vis à vis d`un paysage politique historique.
Née à Paris en 1980, Elise Leclercq, partant de trois années d?études en scénographie à L?ENSAV-La Cambre (Bruxelles), réoriente ses recherches vers la vidéo au sein de l?atelier d?Espaces Urbains. Elle réalise plusieurs projets documentaires dans différents quartiers de Bruxelles et à Berlin tous orientés autour des problématiques urbaines contemporaines. La question des moyens de représentation individuels et des usages symboliques que font les habitants d?un quartier de ce que l?on nomme l?espace public est centrale. Elle commence actuellement un master en anthropologie à l?EHESS à Paris, au cours duquel elle compte approfondir les réflexions qu?ont suscités ces différents projets artistiques et les confronter à une réflexion scientifique.
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Samuel Lecocq
Fragility and obsolescence
Doc. expérimental | hdv | couleur | 10:0 | France | 2017
En septembre 2016, le centre de prévention, d’insertion, et de citoyenneté (CIPC) ouvre ses portes. Il est désigné comme le premier centre de “ deradicalisation ” français. Ses moyens, son organisation, son existence sont constamment débattus. Son accès est restreint, ses alentours hyper-sécurisés, il est inaccessible aux journalistes encore moins aux artistes. Cette vidéo est le récit d’une tentative d’appréhension. La mise en place d’une stratégie narrative, dans le but de générer une Représentation de ce territoire physique, esthétique et philosophique. Marie-Jose Mondzain, dans son essai “ Confiscation ” propose une re-appropriation du terme clivant : “ Deradicaliser ”. Il devient, une fois extrait de sa définition réductrices (inverser une croyance extrémiste), le moyen de révéler fragilité et obsolescence dans le réel. C’est depuis ce postulat conceptuel que la vidéo est organisée, montée et réalisée.
Samuel Lecocq est né à Paris en 1992. Il vit et travaille à Bruxelles.
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Jean François Lecourt, Thomas Auriol
Tir dans le miroir
Performance | hdv | couleur | 0:0 | France | 2010
Jean-François Lecourt est né dans le Perche le 3 Novembre 1958, au sein d’une famille d’agriculteurs. Il entre à 17 ans à l’école des Beaux-Arts du Mans où enseigne Gina Pane, une des artistes fondatrices du mouvement de l’art corporel. Parallèlement, il suit l’éducation d’un Maître d’Arts Martiaux en Karaté Do (la voie des mains nues) de l’école Shotokan, et s’adonne assidûment aux pratiques du Tir à l’arme à feu et du Tir à l’arc. Sa démarche est basée sur l’analogie et l’identification. Une méthode qui le conduit à la découverte de l’aspect cyclique et symétrique des processus de tir et de photographie ; d’où le concept majeur de son œuvre : Le Tir dans l’appareil photographique.Cet acte artistique est un cérémonial immuable qu’il pratique depuis 1977. Il ne s’agit pas pour lui d’illustrer une névrose autodestructrice mais de tenter, en un retour immédiat, d’abolir l’arrêt fatal du cliché. La photographie est donc ici un Art martial. Comme dans le Kuy-Do, la cible à atteindre est soi-même, le but étant la réalisation au présent de celui qui pratique. Une nouvelle création vidéo de 2010 implique une série de films qui mettent en jeu l’autoportrait, la détonation, effondrement et la renaissance du paysage, ce travail s’intitule « Les tirs dans le miroir ».
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Alejandro Lecuna
718 Nebel und Rauch
Art vidéo | dv | | 7:18 | Venezuela, Allemagne | 2005
La situation politique du Venezuela comme un documentaire asymétrique qui montre l?espace public et privé dans la capitale, Caracas. La peur constante comprise par l?instabilité politique et l?incapacité du gouvernement à garantir la sécurité publique a participé à la montée ces dernières années d?une industrie de la sécurité ménagère qui a reformé l?espace public et l?espace privé. Les grilles en fil barbelé ou électrique sont les nouvelles décorations à la mode dont toutes les maisons doivent être équipées afin d?être protégée de l' ?autre ?. Caracas en un endroit où la nature, les Hommes et la panique semblent pouvoir cohabiter dans une harmonie sous tension.
Alejandro Lecuna a commencé sa carrière dans les arts comme apprenti d?un artiste opus vénézuélien Carlos Cruz Diez. Il a étudié l?esthétique graphique à l?Instituto de de Diseño de Caracas et à la School Of Visual Arts Of New York avec le professeur Milton Glanzer, professeur Tony Palladino et Pr. Ed Benguinat. Il a récemment terminé ses études en communication visuelle et art vidéo à l?université des arts de Berlin avec les professeurs en art vidéo Maria Vedder et Holger Matthies (Univesität des Künste). Il est pour le moment Mainsterschüler (étudiant en master) avec Pr Vedder. Dans le monde professionnel, son expérience repose dans le domaine du design numérique et imprimable pour les grandes entreprises. Il a travaillé pour plusieurs compagnies comme SME qui détient la marque FDTdesign à New York et Frogdesign en Allemagne. Parmi ses clients et ses projets l?on peut compter Coca-Cola, DaimlerChrysler, Smart, Consors, NHL, NFL, NBA et le label de musique de David Byrne Luala Bop. Dans le monde de l?art, son travail vidéo a trouvé un espace sur la scène nocturne berlinoise. Ces travaux les plus récents comprennent de spectacle "Dis-appearances" en 2004 dans le Opel Haus à Berlin Friedrichstrasse (catalogue) et le 48 Stünden Neu-Koln Kunst un Kultur Festival. Il a concentré son art dans l?utilisation de l?espace publique comme objet et objectif de son travail. Il est aussi un chargé de cours régulier à l?école d?art et d?esthétique au Venezuela.