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Richard Billingham
Sweep
Installation vidéo | dv | couleur | 14:10 | Royaume-Uni | 2004
Un panorama extrêmement lent sur des arbres sombres, contre un ciel au crépuscule. Tourné avec deux images par seconde, les mouvements des arbres semblent davantage être une photographie animée. Dans un silence complet, les arbres sont secoués par un vent fort, qui remue les couches et les textures de la forêt alors que, presque imperceptiblement, la caméra fait un panoramique de droite à gauche. C?est seulement lorsque la forêt s?éloigne que l?on prend conscience du mouvement de l?image, à la fois lentement et soudainement, juste comme la nuit qui prend la relève du jour et le calme qui succède à l?agitation. SWEEP possède certaines des qualités spatiales et temporelles habituellement associées à la peinture de paysage, de Ruysdael, Claude ou Poussin, Turner ou Constable, et manifeste du sentiment intense de l?environnement et de la nature de Richard Billigham. Il effectue une réappropriation contemporaine du paysage, dans ce mouvement de forêt lors d?une tempête. SWEEP a été projeté au festival de Locarno, et présenté au New Forest Pavilion à la biennale de Venise cette année
Richard Billingham est né en 1970. Il grandit dans une zone industrielle de Birmingham, alors très touchée par la crise économique. Il suit des cours à la fondation d?art de la ville et à l?université de Sunderland. Il prend des photographies de sa famille, et de son environnement immédiat. Ce travail photographique, intitulé « Who`s looking at the family », a été présenté à la Barbican Gallery, et dans de nombreuses expositions consacrées à l?art anglais. Billingham réalise aussi des vidéos, la plus connue est FISHTANK, qui reprend les mêmes éléments tirés de son environnement immédiat, et présente sa famille. FISHTANK est de type documentaire, mais avec des spécificités propres à un travail de plasticien, notamment l?utilisation que Billigham fait des très gros plans pour étudier le mouvement. Présenté en 1997 à la Anthony Reynolds Gallery, à Londres, il gagne en 1997 le prix de la Citybank, et est présent à Londres, Berlin, New York dans l?exposition de la collection Saatchi consacrée aux jeunes artistes britanniques. Il est nominé en 2001 pour le Turner Prize, avec sa vidéo RAY IN BED. Richard Billingham réalise actuellement des photographies de paysages non habités : terrains semi ruraux en déréliction, à l?arrière de murs de briques rouges, aire de jeux désertées dans les banlieues entre des blocs d?habitats sociaux, mais aussi des paysages infinis en pleine campagne, aux ciels orageux.
Sebastian Binder, Sebastian Fred SCHIRMER
U?ber Druck
Documentaire | 0 | couleur | 12:52 | Allemagne | 2016
Everyone knows it, everyone has it. No pressure in the kettle means deadlock. Nevertheless it always seems to strong. Pressure is not tangible, pressure ist mostly transparent. But if it is high enough it is noticeable. OVER PRESSURE (ÜBER DRUCK) cinematically searches for its manners in our everyday life. It shows truth, personality and surprise. A colourful atmospheric picture to think about.
Sebastian Binder. Born 1983 in Frankfurt am Main. Studied Media Design at Bauhaus- University in Weimar with emphasis on directing and postproduction from 2004 to 2009. After that postgraduate studies at the Academy of Media Arts Cologne. Winner, amongst others, of the Screenplay Award at the Kurzundschön Festival 2013, the MDR Unicato Award, the Award for Media Design of Bauhaus-University Weimar and the Jury Prize of the 5e Courts dans la Vallee. Sebastian Fred Schirmer was born 1981 in Filderstadt and raised in Lahr/Black Forest, Sebastian Fred Schirmer has been working as a camera assistant for Film and Televsion since 2002. He obtained his engineering degree from the Hochschule Offenburg in 2009. Between 2011 and 2015 he studied at the Academy of Media Arts in Cologne where he majored in Visual design/Camera. He lives and works in Cologne as a freelancing cameraman.
Juliette Bineau
Jour de chasse
| | | 10:19 | France | 0
Steeve, Le chasseur marche dans la neige. Il s`est levé très tôt ce sont les premiers neiges. Il tue le temps, puis tue la bête. Qui as dit : "Un roi sans divertissement est une homme plein de misères "?
Juliette Bineau est Francaise, elle est né en 74. Elle a été comédienne avant de réaliser des films. Elle a réalisée Gertrud un remake du film éponyme de C th Dreyer et La Tête, d`après Sam Peckinpah. En 2013 elle est Lauréate de la résidence Hors les Murs , elle travaille sur un projet autour de Robocop, memory of Detroit. (projet en cours)
Juliette Bineau
LA TÊTE
Fiction expérimentale | | couleur | 44:54 | France, Argentine | 2010
Road-trip, Argentine 2009. Un remake de « Apportez-moi le tête d?Alfredo Garcia » de Sam Peckinpah. Alfredo Garcia, l? homme que l?on recherche, est mort. Sa tête est mise à prix. Bennie convaint Elita de le conduire à sa tombe pour decapiter la tête du cadavre. Le couple roule au travers des montagnes arides du nord de l?Argentine, tels des Yankees traversant un purgatoire indien ....
Juliette Bineau Est né en 1974. Elle fait les beaux Arts de Rennes et suit l?enseignement de théâtre de l?auteur scène Didier George Gabily, ce qui la mène à être un temps comédienne et metteur en scène. Elle est aujourd`hui musicienne (batteuse du groupe de free noise psychédélique Minitel)vidéaste et performeuse. Depuis quelques années elle s?intéresse particulièrement au remake comme moyen de revisiter et de s?approprier de grandes formes cinématographiques, de remettre en jeu dans ses films des questions de théâtre (la répétition, l?interprétation d?une ?uvre). Elle réalise « Gertrud » d?après le « Gertrud » de Carl Th. Dreyer. Ce projet a été soutenu par la DRAC Île-de-France (Bourse individuelle à la création 2008) et est montré à la Fémis par le collectif Point Ligne Plan, au centre Culturel de la Récolta de Buenos Aires, au Film Festival de Rotterdam, à la Cinémathèque Française, au Palais de Tokyo? En 2009, elle réalise « La Tête « d?après Apportez-moi la tête de SamPeckinpah : Un road movie argentin, dans le cadre d?une résidence de Cultures-France, avec le concours de l?allocation Image mouvement.
Juliette Bineau
Pleura
0 | 0 | couleur | 0:0 | France, Brésil | 2011
"Dieu? prit un de ses "pleura" (côte ou côté), l`édifia pour en faire une femme et l`amena à Adam?" Utopie androgyne et cannibale, Pleura décline en l`union et la séparation des amants. Diptyque : 1. Dans l`ascenseur de verre, nulle part au milieu du dehors, s`élévant au dessus d`un jardin inaccessible, un homme et une femme sont tues de pensées inavouables. 3. Ils s`enfoncent dans une forêt suintante, c`est après la chute, ils sont couverts de boue ou peints pour un rituel cannibale. Défloraison androgyne, ils dansent entre les branches, rognent un phallus reptilien...
Juliette Bineau est né en 1974. Elle étudie aux Beaux?Arts de Rennes puis auprès de l`auteur metteur en scène Didier George Gabily. Elle est comédienne, performeuse dans des groupes de noise music, cinéaste (Gertrud 2009, La Tête 2010, Robocop memory Room 2011). Elle rencontre la danseuse Cécilia Bengoléa en 2005, lors de la création de la pièce du duo Chaignaud-Bengoléa Pâquerette qu`elle accompagne à la batterie (tribale) dans son groupe Minitel.
Juliette Bineau
Pleura (Part. 1)
Vidéo | hdv | couleur | 3:49 | France, Brésil | 2011
"Dieu? prit un de ses "pleura" (côte ou côté), l`édifia pour en faire une femme et l`amena à Adam?". Utopie androgyne et cannibale, Pleura décline en l`union et la séparation des amants. Dans l`ascenseur de verre, nulle part au milieu du dehors, s`élevant au dessus d`un jardin inaccessible, un homme et une femme sont tues de pensées inavouables.
Juliette Bineau Est né en 1974. Elle fait les beaux Arts de Rennes et suit l?enseignement de théâtre de l?auteur scène Didier George Gabily, ce qui la mène à être un temps comédienne et metteur en scène. Elle est aujourd`hui musicienne (batteuse du groupe de free noise psychédélique Minitel)vidéaste et performeuse. Depuis quelques années elle s?intéresse particulièrement au remake comme moyen de revisiter et de s?approprier de grandes formes cinématographiques, de remettre en jeu dans ses films des questions de théâtre (la répétition, l?interprétation d?une ?uvre). Elle réalise « Gertrud » d?après le « Gertrud » de Carl Th. Dreyer. Ce projet a été soutenu par la DRAC Île-de-France (Bourse individuelle à la création 2008) et est montré à la Fémis par le collectif Point Ligne Plan, au centre Culturel de la Récolta de Buenos Aires, au Film Festival de Rotterdam, à la Cinémathèque Française, au Palais de Tokyo? En 2009, elle réalise « La Tête « d?après Apportez-moi la tête de SamPeckinpah : Un road movie argentin, dans le cadre d?une résidence de Cultures-France, avec le concours de l?allocation Image mouvement
Ines Birkhan, Ines Birkhan
den kreisrunden Todengwalzer tanzen
performance | dv | couleur | 26:0 | Autriche | 2004
Dans les prairies, dans les forêts, dans les champs enneigés, sur les sommets, sur les courants, vivent et batifolent les petits habitants des Alpes ainsi qu'un orque gonflable en quête du blanc absolu. Un conte de fée tordu avec des jeux de mots, des chansons et des danses.
Ines Birkhan 1974 in Wien geboren, Tänzerin, Choreografin, Schriftstellerin. Studierte Bildhauerei an der Hochschule für Angewandte Kunst, Wien. Studierte Tanz und Choreographie am SNDO (School for New Dance Development) Amsterdam. Ihr Tanztraining reicht von Release Technique, Modern Dance über Westafrikanische Tänze, Bauchtanz, bis Butoh und Body Weather Training. Zur Zeit macht sie eine Ausbildung als Iyengar Yoga Lehrerin. In den letzten zwei jahren wurde sie als Schriftstellerin tätig und produzierte so einige Kurzgeschichten und den Roman: Bilder vom Entkommen Laufende Projekte: ?Mythen für die Zukunft 1?, Video Installationen und Schlußperformance in Zusammenarbeit mit Bertram Dhellemmes, Cabaret Renz, 2.-12. Dez. 2005 ?den kreisrunden Todengwalzer tanzen?, Tanz/Text Performance in Zusammenarbeit mit Bertram Dhellemmes, WUK, Festival: Wilde Mischung, Dez. 2005 "On the Bush administration", Performance iniziert von Robert Steijn, mit Kyung Sun Baek, Ro Hagers, Veem Theater, Amsterdam, Jan. 2006 "Butterflies, sex & hypochondria", Residenz für Tanz/Text Performance, Le Point Ephémère, Paris, June 2006. Bertram Dhellemmes Geboren 1967 in Lille, Multimedia Künstler, lebt und arbeitet in Berlin und Amsterdam. Studierte bildende Kunst und Film in Lille und Paris (Mag.dipl.), Postgraduate in bildender Kunst im Studio National des Arts Contemporains du Fresnoy, 1999, Musikalische Ausbildung und Praktik seid der Kindheit. Zuerst arbeitet er als bildender Künstler (Ausstellungen in Malerei und Installationen u.a. in Lille, Bourges, Paris, Nantes, Pittsburgh, Publikation von Photoarbeiten), als Videokünstler (Video Kunst und Videoinstallationen in mehreren Festivals, u.a. Herouville-St Clair, Rennes, Bourges, Helsinki) und als Musiker und Komponist (Mitglied verschiedener Bands experimenteller und improviserter Musik, zwei Cds im Label Kinpatsu und Even Stilte rausgebracht). Später vereint er diese verschiedenen Disziplinen in transmedialer Praxis, in Form von Videos und Film (Partie 0.1,1998, Alpiner Exorzismus mit Ines Birkhan, 2004), und transmedialen Performances (Oudapo, L.I.S.I.M., Ubik, N log h?). Von dieser Beschäftigung mit Performance ausgehend, studiert er und arbeitet seit 1996 mit ehemaligen Tänzern Min Tanakas Butoh Kompanie Maijuku, vor allem mit Christine Quoiraud und Body Weather Amsterdam (Frank van de Ven, Katerina Bakatsaki) und mit Min Tanaka selbst, u.a. während einem Japanaufenthalt in 1999, während er mit Akira Kasai und Kazuo Ohno studierte. Die letzten Jahre sind hauptsächlich dem Tanz gewiedmed ? u.a. gründete er die Kompanie Real Dance Super Sentai (kreierte das Stück Of human being as an animal degenerated by intellegence für das Aeronef, Lille, 2003) ? meistens im Zusammenspiel mit Musik, Video, Neuen Medien und Rauminstallationen. Er arbeitet regelmäßig mit Tänzerin in Choreographin Ines Birkhan für Performance und Video Projekte zusammen. Er ist auch Kunst und Film Kritiker und Theoretiker und ist ein Gründungsmitglied der Zeitschrift für audiovisuelle Kultur, Tausend Augen. Laufende Projekte: the wood for the trees (Tanz und Video, mit Esther Mugambi, Melkweg Theater, Amsterdam, Okt. 2005), mad scientists?(Tanz und New Media Langzeitprojekt, präsentiert beim Monaco Dance Forum, Dez. 2004, in Residenz im V2 institute für unstable media in Rotterdam in 2005), den kreisrunden Todengwalzer tanzen (Tanz und Videoinstallationen mit Ines Birkhan, Cabaret Renz und WUK, Wien, Dez. 2005), Wenchi travelogue (in Ghana gedrehter Tanz Dokumentarfilm, wird zur Zeit geschnitten), le fantôme qui ne revient pas (Kino-Konzert zum Film Abram Rooms von 1927, Juni 2005 im Festival 10 Vagues, Lille, tourt 2005-2006).
Dara Birnbaum
Canon: Taking to the Streets (Part One: Princeton University – Take Back the Night)
Documentaire | 0 | couleur | 10:0 | USA | 1990
In Canon: Taking to the Streets, Birnbaum breaks with traditional documentary format. Using tools from the low-end and high-end of technology, she episodically views recent events of student activism in the United States. This is a study of the 1987 Take Back the Night march on the Princeton University campus. Birnbaum's treatment of the original student-recorded VHS footage reveals this march as having the potential to develop political awareness through personalized experience. The students attempt to "put across a historical message" that was started in San Francisco in 1978: the protest of any form of violence against women. Take Back the Night now represents men and women, in solidarity with one another, marching against sexual violence of any kind. Here the activity remains specific to violence as perpetrated against persons in the Princeton community.
For four decades, Dara Birnbaum's pioneering works in video, media and installation have questioned the ideological and aesthetic character of mass media imagery, and are considered fundamental to our understanding of the history of media practices and contemporary art. Dara Birnbaum was born in New York City in 1946 where she continues to live and work. Dara Birnbaum received a B.A. in architecture from Carnegie Mellon University in Pittsburgh, a B.F.A. in painting from the San Francisco Art Institute, and a certificate in video and electronic editing from the Video Study Center at the New School for Social Research in New York. Dara Birnbaum was one of the first artists to develop complex and innovative installations that juxtapose images from multiple sources while incorporating three-dimensional elements - large-scale photographs, sculptural or architectural elements - into the work. She is known for her innovative strategies and use of manipulated television footage. Birnbaum's work has been exhibited widely at MoMA PS1, New York (2019); National Portrait Gallery, London (2018); Cleveland Museum of Art, Ohio (2018); South London Gallery, UK (2011); major retrospectives at Serralves Foundation, Porto, Portugal (2010) and S. M.A.K. Stedelijk Museum voor Actuele Kunst, Ghent, Belgium (2009); Center for Contemporary Art, CCA Kitakyushu (2009); Museum of Modern Art, New York (2008); Kunsthalle Wien, Vienna, Austria (2006); and The Jewish Museum, New York (2003). His work has been exhibited at Documenta 7, 8 and 9. Birnbaum has won several prestigious awards including: John Simon Guggenheim Memorial Foundation Fellowship (2021); The Rockefeller Foundation Bellagio Center Arts Residency (2011); the Pollock-Krasner Foundation Grant (2011); and the prestigious United States Artists Fellowship (2010). In 2016, she was recognized and honored for her work by The Kitchen, New York, at their annual gala. She was the first woman in video to receive the prestigious Maya Deren Award from the American Film Institute in 1987. In February 2017, Carnegie Mellon University's School of Art established the Birnbaum Award in her honour.
Dara Birnbaum
Technology/Transformation: Wonder Woman
Vidéo | 0 | couleur | 5:50 | USA | 1979
Explosive bursts of fire open Technology/Transformation, an incendiary deconstruction of the ideology embedded in television form and pop cultural iconography. Appropriating imagery from the 1970s TV series Wonder Woman, Birnbaum isolates and repeats the moment of the "real" woman's symbolic transformation into super-hero. Entrapped in her magical metamorphosis by Birnbaum's stuttering edits, Wonder Woman spins dizzily like a music-box doll. Through radical manipulation of this female Pop icon, she subverts its meaning within the television text. Arresting the flow of images through fragmentation and repetition, Birnbaum condenses the comic-book narrative — Wonder Woman deflects bullets off her bracelets, "cuts" her throat in a hall of mirrors — distilling its essence to allow the subtext to emerge. In a further textual deconstruction, she spells out the words to the song Wonder Woman in Discoland on the screen. The lyrics' double entendres ("Get us out from under... Wonder Woman") reveal the sexual source of the superwoman's supposed empowerment: "Shake thy Wonder Maker." Writing about the "stutter-step progression of 'extended moments' of transformation from Wonder Woman," Birnbaum states, "The abbreviated narrative — running, spinning, saving a man — allows the underlying theme to surface: psychological transformation versus television product. Real becomes Wonder in order to "do good" (be moral) in an (a) or (im)moral society."
For four decades, Dara Birnbaum's pioneering works in video, media and installation have questioned the ideological and aesthetic character of mass media imagery, and are considered fundamental to our understanding of the history of media practices and contemporary art. Dara Birnbaum was born in New York City in 1946 where she continues to live and work. Dara Birnbaum received a B.A. in architecture from Carnegie Mellon University in Pittsburgh, a B.F.A. in painting from the San Francisco Art Institute, and a certificate in video and electronic editing from the Video Study Center at the New School for Social Research in New York. Dara Birnbaum was one of the first artists to develop complex and innovative installations that juxtapose images from multiple sources while incorporating three-dimensional elements - large-scale photographs, sculptural or architectural elements - into the work. She is known for her innovative strategies and use of manipulated television footage. Birnbaum's work has been exhibited widely at MoMA PS1, New York (2019); National Portrait Gallery, London (2018); Cleveland Museum of Art, Ohio (2018); South London Gallery, UK (2011); major retrospectives at Serralves Foundation, Porto, Portugal (2010) and S. M.A.K. Stedelijk Museum voor Actuele Kunst, Ghent, Belgium (2009); Center for Contemporary Art, CCA Kitakyushu (2009); Museum of Modern Art, New York (2008); Kunsthalle Wien, Vienna, Austria (2006); and The Jewish Museum, New York (2003). His work has been exhibited at Documenta 7, 8 and 9. Birnbaum has won several prestigious awards including: John Simon Guggenheim Memorial Foundation Fellowship (2021); The Rockefeller Foundation Bellagio Center Arts Residency (2011); the Pollock-Krasner Foundation Grant (2011); and the prestigious United States Artists Fellowship (2010). In 2016, she was recognized and honored for her work by The Kitchen, New York, at their annual gala. She was the first woman in video to receive the prestigious Maya Deren Award from the American Film Institute in 1987. In February 2017, Carnegie Mellon University's School of Art established the Birnbaum Award in her honour.
Dara Birnbaum
Kiss the Girls: Make Them Cry
Vidéo | 0 | couleur | 6:26 | USA | 1979
Birnbaum manipulates off-air imagery from the TV game show Hollywood Squares in Kiss The Girls: Make Them Cry, a bold deconstruction of the gestures of sexual representation in pop cultural imagery and music. Minor celebrities (who Birnbaum terms "iconic women and receding men") confined in a flashing tic-tac-toe board greet millions of TV viewers, animating themselves as they say "hello." Birnbaum isolates and repeats these banal and at times bizarre gestures of male and female presentation — "repetitive baroque neck-snapping triple takes, guffaws, and paranoid eye darts" — wrenching them from their television context to expose stereotyped gestures of power and submission. Linking TV and Top 40, Birnbaum spells out the lyrics to disco songs ("Georgie Porgie puddin' and pie/kissed the girls and made them cry") with on-screen text, as the sound provides originally scored jazz interpolation and a harsh new wave coda. The result is a powerful, layered analysis of the meaning of the gestures of mass cultural idioms.
For four decades, Dara Birnbaum's pioneering works in video, media and installation have questioned the ideological and aesthetic character of mass media imagery, and are considered fundamental to our understanding of the history of media practices and contemporary art. Dara Birnbaum was born in New York City in 1946 where she continues to live and work. Dara Birnbaum received a B.A. in architecture from Carnegie Mellon University in Pittsburgh, a B.F.A. in painting from the San Francisco Art Institute, and a certificate in video and electronic editing from the Video Study Center at the New School for Social Research in New York. Dara Birnbaum was one of the first artists to develop complex and innovative installations that juxtapose images from multiple sources while incorporating three-dimensional elements - large-scale photographs, sculptural or architectural elements - into the work. She is known for her innovative strategies and use of manipulated television footage. Birnbaum's work has been exhibited widely at MoMA PS1, New York (2019); National Portrait Gallery, London (2018); Cleveland Museum of Art, Ohio (2018); South London Gallery, UK (2011); major retrospectives at Serralves Foundation, Porto, Portugal (2010) and S. M.A.K. Stedelijk Museum voor Actuele Kunst, Ghent, Belgium (2009); Center for Contemporary Art, CCA Kitakyushu (2009); Museum of Modern Art, New York (2008); Kunsthalle Wien, Vienna, Austria (2006); and The Jewish Museum, New York (2003). His work has been exhibited at Documenta 7, 8 and 9. Birnbaum has won several prestigious awards including: John Simon Guggenheim Memorial Foundation Fellowship (2021); The Rockefeller Foundation Bellagio Center Arts Residency (2011); the Pollock-Krasner Foundation Grant (2011); and the prestigious United States Artists Fellowship (2010). In 2016, she was recognized and honored for her work by The Kitchen, New York, at their annual gala. She was the first woman in video to receive the prestigious Maya Deren Award from the American Film Institute in 1987. In February 2017, Carnegie Mellon University's School of Art established the Birnbaum Award in her honour.
Dara Birnbaum
Fire!/Hendrix
Vidéo | 0 | couleur | 3:13 | USA | 1982
Commissioned by VideoGram International, Ltd., for a videodisc of music by Jimi Hendrix, Fire! uses the stylized visuals and pacing of a music video to critique the representational economies of sexuality and consumerism. Translating the psychedelic fervor of the Hendrix song into a contemporary visual vernacular, Birnbaum similarly recasts the lyrics' meaning. A young woman is the "protagonist" of a fragmented narrative in which Birnbaum re-frames images of American consumerism and commodities — fast food, cars, the exchange of money. Birnbaum calls attention to the woman's relation to the advertising image: she is consumed as she is consuming.
For four decades, Dara Birnbaum's pioneering works in video, media and installation have questioned the ideological and aesthetic character of mass media imagery, and are considered fundamental to our understanding of the history of media practices and contemporary art. Dara Birnbaum was born in New York City in 1946 where she continues to live and work. Dara Birnbaum received a B.A. in architecture from Carnegie Mellon University in Pittsburgh, a B.F.A. in painting from the San Francisco Art Institute, and a certificate in video and electronic editing from the Video Study Center at the New School for Social Research in New York. Dara Birnbaum was one of the first artists to develop complex and innovative installations that juxtapose images from multiple sources while incorporating three-dimensional elements - large-scale photographs, sculptural or architectural elements - into the work. She is known for her innovative strategies and use of manipulated television footage. Birnbaum's work has been exhibited widely at MoMA PS1, New York (2019); National Portrait Gallery, London (2018); Cleveland Museum of Art, Ohio (2018); South London Gallery, UK (2011); major retrospectives at Serralves Foundation, Porto, Portugal (2010) and S. M.A.K. Stedelijk Museum voor Actuele Kunst, Ghent, Belgium (2009); Center for Contemporary Art, CCA Kitakyushu (2009); Museum of Modern Art, New York (2008); Kunsthalle Wien, Vienna, Austria (2006); and The Jewish Museum, New York (2003). His work has been exhibited at Documenta 7, 8 and 9. Birnbaum has won several prestigious awards including: John Simon Guggenheim Memorial Foundation Fellowship (2021); The Rockefeller Foundation Bellagio Center Arts Residency (2011); the Pollock-Krasner Foundation Grant (2011); and the prestigious United States Artists Fellowship (2010). In 2016, she was recognized and honored for her work by The Kitchen, New York, at their annual gala. She was the first woman in video to receive the prestigious Maya Deren Award from the American Film Institute in 1987. In February 2017, Carnegie Mellon University's School of Art established the Birnbaum Award in her honour.
José Miguel Biscaya
Neuland
Vidéo | dv | couleur | 7:22 | Portugal, Pays-Bas | 2009
Neuland - 7min 22sec - 4:3 - dv_pal - 2009 A dutch landscape. The video-work `Neuland` (Virgin Soil, Unknown Territory) belongs to a series of landscape studies. The definition of the `Argument` and the `By-work` is questioned. It remains unclear if the `Argument` refers to the subject aimed by the camera or the one passing by. The attention is turned to an artificial landscape which stands for modernity and progress. Routine reveals itself as mechanical ritual. Seen from this perspective there is no place for the individual.
Biography José Miguel Biscaya, born in Lisbon in 1973, is a Mixed-Media Artist and Curator living and working in Amsterdam. He graduated at the Sandberg Institute where he received his Master-degree in Fine Arts (MFA). His work has been shown in numerous international festivals and group-exhibitions. He co-curated and produced several shows, including Volume and Hiscox Art Award. In 2007, he created in association with Jonathan Sullam and Tom Hillewaere the Mobile Institute in Brussels. As a jury member of the Media Art Friesland commission in 2009, José co-curated and lined up the Friesland International Media Art Competition program. Currently he is working on a new series of video-works.
Rossella Biscotti, Kevin VAN BRAAK
New Crossroads
Doc. expérimental | dv | couleur | 21:11 | Italie, Pays-Bas | 2006
Quelques habitants de New Crossroads (Cape Town), tentent de transformer un lieu par une intervention non fonctionnelle. Dans un espace public, ils construisent une tour de cinq mètres en empilant des poutres en bois peintes en vert vif. Quand la structure atteint son sommet, d'autres résidents sont invités à venir la démanteler et à prendre les matériaux pour leur usage personnel. La tour prend ainsi tout son sens une fois détruite et fragmentée. L'image de la tour comme symbole unique et point de référence de la ville disparaît dans l'horizontalité du quartier.
La collaboration entre les deux artistes Rossella Biscotti (Molfetta, Italie, 1978) et Kevin van Braak (Warnsveld, Pays-Bas, 1975) a commencé avec le projet de New Crossroads à Cape Town (Afrique du Sud). L'oeuvre est basée sur leur intérêt commun pour la relation entre l'environnement réel, pur ou idéaliste et le contexte fictionnel, créé par l'homme dans la société contemporaine. Les deux artistes ont également collaboré à différents projets impliquant la photographie, les installations et la sculpture. En 2006, ils ont réalisé un deuxième film, "The renovation of the empty bath", sur la rénovation d'une piscine à Rome, construite pendant la période fasciste. Ensemble, ils ont exposé au Fonds BKVB à Amsterdam, à l'American Academy de Rome et à la Fondazione Adriano Olivetti à Rome. Séparément, ils ont aussi exposé dans différents galleries et musées.
Rossella Biscotti
The Undercover Man
Film expérimental | 16mm | noir et blanc | 30:0 | Italie, USA | 2008
L?agent du FBI Joseph D. Pistone, alias Donnie Brasco, est interrogé par l'artiste sur ses six années d?opération au sein de la mafia américaine (1976-1982). Pistone a été le premier agent du FBI à avoir réussi à infiltrer la mafia new-yorkaise, et à livrer au FBI des informations internes sans jamais être découvert. Il a réussi à la fois à impliquer certains membres de la mafia dans des activités criminelles entièrement mises en place par le FBI et à introduire d'autres agents du FBI en tant qu?« associés criminels ». Le film est tourné dans un décor, spécialement dessiné et construit à l?occasion, qui revisite l'esthétique du film noir des années 1940. Le mythe de la pègre, la double face de la réalité (la tombée de la nuit et la lumière, l'enquêteur et le suspect), relie l'histoire de Joseph D. Pistone à celle des gangsters ainsi qu?à la connaissance que nous en avons à travers le cinéma américain.
Rossella Biscotti est née à Molfetta (Italie) en 1978. Elle vit et travaille actuellement à Rotterdam (Pays-Bas). Elle est devenue célèbre grâce à ses vidéos sur les traces de la vie des autres, généralement des anonymes de l'histoire. Ils constituent des sources stimulantes pour mener une réflexion sur la situation (collective et personnelle) de l'identité et de la mémoire aujourd?hui. En 2007, sa vidéo « The Sun Shines in Kiev » a remporté le Grand Prix de la Ville de Genève lors de la 12e Biennale de l'Image en Mouvement du Centre pour l'Image Contemporaine de Genève, et la Vache d'Or du Gstaadfilm de Gstaad (Suisse).
Jules Bishop
Pay & display
Fiction | 35mm | couleur | 12:0 | Royaume-Uni | 2004
Interweaving stories inside a multi-storey car park.
Christophe Bisson
Silêncio
Documentaire | 4k | couleur | 56:0 | France | 2016
Dans un grand palais abandonné, hors du monde, des anciens sans-abris de Porto font le récit de leur expérience de vie dans la rue.
Christophe Bisson, né en 1969, vit et travaille à Caen. Arpès un parcrs universitaire en philosophie, il se consacre ensuite aux arts plastiques. Jusqu’en 2009, il participle à de nombreuses expositions personnelles en France et dans le monde (Paris, Budapest, Barcelone, Kiev, Vilius, New York, Moscou…). En 2007, il co-réalise avec la réalisatrice Maryann De Leo le documentaire White Horse, très remarqué dans les festivals internationaux et nominé pour l’Ours d’Or à la Berlinale. Il se consacre progressivement entièrement au cinéma à partir de 2010. Ses films (Description d’un combat, Road Movie, Liquidation, Au Monde, etc.) oscillent entre documentaire et art vidéo. Ils connaissent un franc succès dans les grands festivals internationaux (FID Marseille, Cinéma du Réel) et internationaux (Viennale, Curta Cinema, Karlovy Vary International Film Festival). Son premier long métrage documentaire Sfumato reçoit une Mention Spéciale à l’édition 2016 du festival Cinéma du Réel et un an après avoir été lauréat du FID Lab son dernier film Silêncio reçoit le prix des lycéens au dernier FID Marseille. Il travaille actuellement sur son prochain film (Un souvenir d’archives), toujours produit par Triptyque Films.
Hisham Bizri
A Film
Film expérimental | 16mm | noir et blanc | 8:32 | Liban, USA | 2010
This is a film poem about love. A Lebanese-American filmmaker photographs a woman in Paris: as a trapeze artist, a model, a lover, and a child. The film attempts to capture that moment between wakefulness and dream. It carries within it melancholy and loneliness, sadness and joy, adulthood and childhood. It evolves out of the metaphor that life is a circular journey whose end is "to arrive where we started / And know that place for the first time" (T.S. Eliot, Little Gidding).
Hisham Bizri is a Lebanese-American filmmaker born in Beirut. He has made several short films and has had retrospectives and screenings at Anthology Film Archives and MOMA in NYC, Centre Georges Pompidou and the Cinémathèque Française (Paris), Cairo Opera House (Egypt), among others. He has worked with Raùl Ruiz and Miklós Jancsó and was a jury member at several international film festivals, including the Chicago International Film Festival. Hisham has won several awards such as the Guggenheim and the American Academy Rome Prize. He is currently working on his feature "Until Morning" with producer Andrew Fierberg.
Hisham Bizri
Asmahan
Film expérimental | 35mm | noir et blanc | 21:20 | Liban | 2005
Asmahan est une méditation visuelle et filmique au motif avant-gardiste. Le film est fondé sur Gharam Wa Intiqam (Passion et vengeance, 1944) le dernier film d?Asmahan, une chanteuse Egypto-syrienne née en 1912 et morte en 1944. Sa forme filmique mélange les chansons d?Asmahan avec une intrigue et de l?action pour montrer un aperçu de la relation entre la vie tragique de la star dans l?Egypte coloniale et la nature du cinéma.
Hisham est un réalisateur libanais. Il a étudié aux Etats Unis avec les réalisateurs Raoul Ruiz et Miklós Jancsó et a donné des cours sur la réalisation aux Etats-Unis, au Liban, en Irlande, en Corée, en France et au Japon. La plupart de son travail peut être vu comme des méditations sur les thèmes de l?exile et de la mélancolie. Ces méditations visuelles sont forgées sur le mélange qu?il a lui-même expérimenté entre le Moyen Orient et son éducation arabo-musulmane et l?art et la culture anglo-européenne. Son travail, qui prend son inspiration de ce contexte personnel, est le reflet de préoccupations politiques et sociales vis-à-vis de la politique arabe contemporaine et de la culture ainsi que de préoccupations esthétiques vis-à-vis des valeurs picturales et de la poétique de la vie moderne. Son travail a été montré dans le monde arabe ainsi qu?à l?échelle internationale, comme par exemple au Louvre, au Cairo Opera House en Egypte, à la Biennale Des Cinéma Arabes à Paris, au Milan Film Festival en Italie, au Walker Art Center à Minneapolis, à l?Institut du Monde Arabe à Paris, aux Harvard Film Archives à Cambridge, et au Museum of Modern Art à New York.
Hisham Bizri
Asmahan
Film expérimental | 35mm | noir et blanc | 20:0 | Liban | 2005
Asmahan est l`histoire d`une femme qui prend la vengeance sur l`homme qu`elle pense a tué son mari, mais tombe amoureuse de lui pendant l'opération. Pendant le pelliculage, l`actrice dans le film qui chante les deux belles chansons sur la bande sonore, meurt dans un accident de voiture et la fin a dû être changée de sorte que son personnage meure également. Asmahan est une vraie personne qui était la figure quintessencielle du péché et de la liberté aux femmes dans le monde arabe. Elle a laissé sa maison et mari en Syrie dans les années 30 pour poursuivre la renommée en Egypte. Elle a été assassinée en 1944 et son meurtre demeure un mystère, on dit qu'elle était un agent double, travaillant pour les gouvernements britanniques et égyptiens. La vie d`Asmahan a été enveloppée dans le mythe, l`intrigue et plusieurs histoires au sujet de son attitude moderne dans la vie. Elle fumait et buvait, et ses liaisons romantiques continuent à produire une aura autour d`elle-même après sa mort. Mon film montre son aura par un langage cinématographique inspiré de sa chanson, de sa vie.
Hisham est un réalisateur libanais. Il a étudié aux USA avec des réalisateurs Raoul Ruiz et Miklós Jancsó et a enseigné réalisation aux Etats-Unis, au Liban, en Irlande, en Corée, en France, et au Japon. Beaucoup de son travail peut être vu comme des méditations sur les thèmes de l`exil et de la mélancolie. Ces méditations visuelles sont formées par son expérience personnelle à l`intersection entre le Moyen-Orient de son éducation d`Arabo-Musulmane et son art et culture Anglon-Européenne. Émergeant de ce contexte personnel, son travail reflète des soucis politiques et sociaux envers la politique et culture arabe contemporaine et une inquiétude esthétique envers le mantra des valeurs et de la poésie de la vie moderne. Son travail a été montré dans le monde arabe et internationalement, y compris et entre autres au musée du Louvre (France), la Biennale Des Cinéma Arabes (Paris, France), au festival du film de Milan (Italie), au Walker Art Museum (Minneapolis), à l'Institut du Monde Arabe (Paris), au Museum of Modern Art (New York).
Hisham Bizri
Song for the Deaf Ear
Film expérimental | 16mm | couleur et n&b | 17:0 | Liban | 2008
« Song for the Deaf Ear » est une méditation cinématographique sur la folie de la guerre et la violence au Liban, le pays de l?auteur.
Hisham est un cinéaste libanais. Il a étudié aux Etats-Unis avec les réalisateurs Raoul Ruiz et Miklos Jancso et donné des conférences sur le cinéma aux Etats-Unis, au Liban, en Irlande, en Corée, en France et au Japon. Une grande partie de son ?uvre peut être considérée comme une méditation sur les thèmes de l'exil et de la mélancolie. Son ?uvre a été montrée dans le monde arabe ainsi qu?à l?échelle internationale, notamment au Musée du Louvre de Paris (France), à la Biennale du Cinéma Arabe de Paris, au Festival du Film de Milan (Italie), au Walker Art Center de Minneapolis (USA), à l'Institut du Monde Arabe de Paris, aux Harvard Film Archives de Cambridge (USA), au Reina Sofia de Madrid (Espagne), au Museum of Modern Art de New York (USA), à la Cinémathèque Française de Paris, au Centre Pompidou de Paris, à l?Opéra du Caire (Égypte), entre autres.
Maija Blafield
Maailmaa pelastamassa
Documentaire | betaSP | couleur | 54:48 | Finlande | 2005