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Mauro Santini
Vaghe Stelle - Mizar
Vidéo expérimentale | 4k | couleur | 11:0 | Italie | 2017
“Vaghe stele” is a seven-chaptered film, conceived as a musical album and composed of seven movements, which can be watched singly (like songs), or in the established order (like a record) or also mixing the films creating new combinations or possible narrations. The “songs” are seven as the principal stars of the Ursa Major. It will be a nocturnal wandering with the starry sky as a reference: an earthly pilgrimage looking for epiphanies or the drift of a hypothetical interstellar trip.
Since 2000, Mauro Santini (Fano, Italy, 1965) has composed a series of video diaries, stories told in the first person about time, memory and the search for oneself. One of these, “Da lontano”, won the Italian competition at the 2002 Torino Film Festival. He has participated at the international film festivals of Locarno, Venezia, Oberhausen, Jeonju, Annecy, Rencontres Paris/Berlin, DocLisboa, Cinémas Différents Paris, Montpellier, Pesaro etc In 2006, he made the feature film Flòr da Baixa and participated in 2008 with different works at “La cité des yeux, une saison italienne”, about Italian avant-garde cinema from 1968 to 2008, which was organized by the Cinémathèque Française in Paris and curated by Nicole Brenez and Federico Rossin.
Mauro Santini
Notturno
Film expérimental | dv | couleur | 7:0 | Italie | 2009
An indefinite image appears: a journey begins, a drift in the dark, in an unknown sea, waiting for a landing at the end of the night. ?I have always tried to use shaky shots, unusable leaders or time dilation of fragments to find testimony of a past that has been lived. In Notturno, this search continues within the image, penetrating it, running the pleasurable risk of getting lost inside it.? Mauro Santini
Mauro Santini (Fano, Italy, 1965) since 2000 has composed a series of video diaries, stories told in the first person about time, memory and the search for oneself. One of these, ?Da lontano?, won the Italian competition at the 2002 Torino Film Festival. He has participated at the international film festivals of Locarno, Oberhausen, Jeonju, Annecy, DocLisboa, Cinémas différents in Paris, Rencontres Paris/Berlin/Madrid, Montpellier, Pesaro and Bellaria. In 2006, he made the feature film Flòr da Baixa and in 2008 he participated with different works at the festival La cité des yeux, une saison italienne, about Italian avant-garde cinema from 1968 to 2008, which was organized by the Cinémathèque française of Paris and curated by Nicole Brenez.
Mauro Santini
Rio de Janeiro
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 32:0 | Italie | 2005
Avec "Rio de Janeiro" nous nous trouvons dans les limites du video-art et du video quotidien. Petits scenes hors focus, tremblantes, presque avec texture, nous montrent perspectives d'une ville qui pourrait être n'importe lequelle.
Mauro Santini est né en 1965 dans la ville de Fano. Après des études d?Art en graphisme et photographie, il a fait de la vidéo pendant dix ans et en 2000, il a commencé ??Dove sono stato??, une série de carnets de voyages, une archive personnelle d?images et de sons où l?aspect carnet et voyage s?entrelacent et la narration par les images se mélange avec la vidéo artistique. ??Da lotano?? a remporté le premier prix du festival du film de Turin en 2002, dans la section Compétition italienne. ??Fermo net Tempo?? et ??Petite mémoire?? (présenté lors du festival de Locarno en 2003) continue à suivre la recherche de la mémoire. Dans ??Da qui, sopra il mare??, le temps devient un élément et la recherche ne font plus qu?un, sans distinction entre la mémoire et le présent.
Vasco Braga Santos
Bars & Tone
Art vidéo | dv | couleur | 1:10 | Portugal | 2004
Le temps, la couleur et les repères de volumes venant d?une émission télévision sont le point initial. Ces notions de manipulation sont utilisées pour créer une lecture visuelle, sonore et des fautes temporelles. Les repères des cibles perdent de leur sens, la boucle de développement suggère une action de fin qui n?arrive jamais, ce qui amène du suspens.
Vasco Braga Santos est né à Lisbonne, le 8 janvier 1980. En 2005, il a commencé un Master en Education Artistique à la Belas Artes da Universidade de Lisboa (Fbaul). En 2004, il a fini le College in Fine Arts à Escola Superior de Arte e Design (ESAD) avec une note de 16/20. En 2005, il participe à la Galeria Cubic, à l?exposition ?Near Step ?, au Video Centro Cultural de Paredes de Coura, puis au XVII Bienal de Cerveira, au Vídeo Lisboa, mais aussi le Vídeo Show 2005, le ETICVídeo Sevilha, le Festival Zemos 98, à la Participation in Zemos 98 Fest, et enfin à l?Informative Selection. En 2004, il fait partie de Group Exibithion Caldas Da Rainha, d'ESAD04, ainsi que de Exposição Colectiva Porto, Labor.04 et enfin Colectiv Exibithion in Fernando Santos Galeria, Oficina e Padaria Independente
Davor Sanvincenti
Skoro nista: i dalje noc
Film expérimental | 16mm | couleur et n&b | 12:0 | Croatie | 2017
Le film tourne autour de l'ampoule comme la Terre tourne autour du Soleil. La lumière rend le film visible. En orbite autour de la tragédie du film et de notre réalité, l'image résiste à la cruauté de l'expérimentation.
Davor Sanvincenti (1979) is a multimedia artist specifically interested in audiovisual phenomenology and anthropology of visual culture, particularly focused on the conditions and forms of human senses and perceptions. His artistic practice takes shape in the variety of media - film and video, photography, physical light and sound installations and live media performances. His work plays with the concept of illusion, exploring the possible boundaries of perception and the construction of experience. In 2010, he was recipient of the Radoslav Putar Award for the best Croatian artist under 35. Davor Sanvicenti`s work has been exhibited and presented internationally, including festivals like Rotterdam, Music Biennale - Zagreb, Rencontres Internationales - Paris/Berlin/Madrid, Device_Art Triennale - Montreal, LOOP - Barcelona, World Film Festival - Bangkok, 25FPS - Zagreb, VideoEX - Zurich and venues including Centre Georges Pompidou, Paris; ZKM, Karlsruhe; Lincoln Center, New York; Universal Museum Joanneum, Graz; Museo de Arte Contemporanea, Oaxaca; Camera Austria, Graz; FRAC Pays de la Loire, Carquefou; MoCA, Zagreb; NIU, Barcelona; La Triennale, Milano; Filmoteca Española, Madrid; Glassbox, Paris; Haus der Kulturen der Welt, Berlin.
Davor Sanvincenti
The River
Vidéo expérimentale | betaSP | noir et blanc | 7:30 | Croatie | 2009
Through multiple crackling structures The River spreads audiovisual resources to create atmospheres that combine narrative and aesthetic concepts beyond one photography, Versus, captured with 82 years old camera-box which portrays the social landscape that is devoid of any romanticism. The work investigates and examines the human like the unforeseeable active presence between the nature and technology, analogue and digital, static and dynamic. It explores and reveals a research for the essence of seeing and hearing, for ontology of the audiovisual landscape.
Davor Sanvincenti a.k.a. Messmatik (b.1979) is a Croatian multimedia artist. Over the last years he has been specifically interested in a field of audiovisual research and anthropology of visual culture, particularly oriented on the conditions and forms of human senses and perceptions, developing experimental videos and immersive installations which are at the intersection of video and performing arts. He explores aesthetical and qualitative capabilities of different media as direct communication with the spectator which becomes an inevitable part of the work, a reflecting contemplative-physical structure. He is recipient of several art awards, including the Radoslav Putar Award 2010 for the best Croatian artist under 35. His physical video installation "1001" is part of the AV collection of the Museum of Contemporary Art in Zagreb.
Abtin Sarabi
PARCELLES S7
Doc. expérimental | hdv | couleur | 27:47 | Iran, Sénégal | 2020
Des entrailles brulées des champs, soudain, apparut l’aurore. Ici, l’homme est seul. Dans cette solitude, l’ombre des cannes à sucre s’étend à l’infini.
Abtin Sarabi est né en 1984 à Téhéran (Iran). Il est cinéaste, photographe, plasticien. Dès l’adolescence, Abtin Sarabi développe un travail photographique tendant vers le documentaire et la sociologie, autant que vers une photographie plus mise en scène. Après avoir étudié la philosophie orientale, la peinture et la photographie à l’Université d'Art et d'Architecture de Téhéran (Iran), où il obtient son diplôme en 2009, il s'oriente vers l'art vidéo et le cinéma. Après quatre années d'études à l'École des Beaux-Arts de Toulouse (France), où il réalise des courts métrages, des vidéos d'art et plusieurs séries de photographies argentiques, il obtient un Diplôme national supérieur d'expression plastiques en 2014. Il poursuit ses recherches durant deux ans au Fresnoy, le Studio national des arts contemporain de Tourcoing (France), où il obtient son post-diplôme. Ses créations, fortement imprégnées par l’art pictural, sont souvent apparentées à un "cinéma poétique", sans doute à cause de la présence constante d’une dimension symbolique et de références à la mythologie.
Denis Saraginovski, Stevceska SLOBODANKA, Talevski SASHO
Let's talk about?
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 7:0 | Macédoine | 2003
Installés devant leur caméra, les trois artistes du groupe OPA§HA, , évoquent la situation de l'art contemporain et plus particulièrement le rôle qu'ils jouent sur la scène de l’art macédonien. La vidéo montre leur combat.
OPA§HA est une collaboration entre trois auteurs: Denis Saraginovski (né en 1971 en Macédoine, diplômé de la Faculté des Beaux Arts de Skopje, artiste visuel et vidéographe freelance); Slobodanka Stevceska (née en 1971, également diplômée de la Faculté des Beaux Arts de Skopje, artiste visuelle et pédagogue en art) et Sasho Talevski (né en 1967 en Macédoine, diplômé de la Faculté de Philosophie de Skopje, artiste conceptuel, écrivain et journaliste). La collaboration OPA§HA (qui en français signifie Agression Obsessive et Possessive, et Arrogance Chronique)débute en 2002 avec des projets impliquant action, performance, vidéo, "mockumentaries", travail particulier. Parmi les projets de trois artistes figurent: "Professional Site Specific Installers", "Don’t miss the MISS", "Reality Macedonia", etc. Leur travail est centré sur la position/relation de l'artiste dans/avec différents systèmes culturels ou sociaux. Ils traitent des problèmes politiques, culturels et sociaux avec humour et abordent les préoccupations et situations locales d'un point de vue critique. En 2004, ils ont reçu le prix DENES des meilleurs jeunes artistes macédoniens. Ils ont exposé dans plusieurs pays d'Europe et aux Etats-Unis.
Arfang Sarr
L'Infini chez soi
Documentaire | dv | couleur | 52:0 | Sénégal | 2008
L?INFINI CHEZ SOI Synopsis Chez les sérères, la deuxième ethnie la plus nombreuse au Sénégal, la vie de l?individu est rythmée par des évènements importants qui lui confèrent son statut au sein de la communauté. L?initiation appelée « Ndout » en sérère est un moyen d?éducation primordial chez les hommes et marque le passage à l?age adulte pour les garçons. Elle a lieu tous les dix ans et se fait dans la brousse. Chez les femmes, cette même cérémonie se fait à l?occasion du mariage et à la fin,la jeune mariée,accompagnée des jeunes femmes initiées de son quartier,ramassent le linge des plus vieilles personnes du village, qu?elles vont laver dans un marigot, loin de tous regard. Ce rituel se fait à travers une longue procession accompagnée de chants initiatiques. Cette initiation qui constitue un moment de prières pour la fécondité et l?abondance des prochaines récoltes est également un événement particulier dans la vie de la communauté où de nombreux chants épiques et poétiques provoquent la fierté, l?attachement au terroir mais également le sentiment d?appartenance à la communauté. L?infini chez est un documentaire qui tente d?analyser la problématique identitaire dans la société sérère islamisée et de plus en plus connectée aux interfaces culturelles ouvertes par la mondialisation. Le film a été entièrement tourné dans le petit village insulaire de Simal, qui est un maillon essentiel de ce chapelet d?îles piégées entre tans (terres salées) et bolongs (bras de mer) dans ce que le poète Léopold Sédar Senghor appelle le Royaume d?enfance.
NOTE BIOGRAPHIQUE DE L?AUTEUR Arfang Sarr-Crao est l?un des artistes montant de la scène dakaroise des arts plastiques. Diplômé en sciences (math, physique chimie et sciences naturelles), il tourne le dos à la fac de science de l?université Cheikh Anta Diop de Dakar pour s?adonner à la peinture et à la création littéraire (poésie et nouvelles). En tant que plasticien autodidacte, il a participé à plusieurs biennales Dak?Art et à de nombreuses expositions au Sénégal et à l?étranger (France, Belgique, Canada, Suède Espagne etc.). Arfang est également lauréat du Grand Prix Birago Diop de poésie en 2004 avec son premier recueil Litanie pour les cheveux de Fadima publié aux Editions Feu de Brousse. Artiste polyvalent, porte étendard de la nouvelle génération des créateurs sénégalais férus de nouvelles technologies, Arfang a opté très tôt pour un mélange des genres et des outils de création à travers une démarche expérimentale qui associe arts plastiques, cinéma, photographie et littérature. Il est l?auteur de plusieurs vidéo installation et de documentaires parmi lesquels : Art Manifest ou le rêve de la jeune peinture sénégalaise, Dakar une syntaxe urbaine et l?Infini chez soi entre autres. Il prépare le tournage de sa première fiction Histoires de Sowanna, avec le FACMAS (Fonds d?Appui à la production de Courts Métrages en Afrique)
Varun Sasindran
Omarska
Documentaire | hdv | couleur | 19:0 | Inde, France | 2018
In this film, the filmmaker enters into conversation with the survivors of the Omarska concentration camp in Prijedor (Bosnia-Herzegovina). The film begins with the recollection of their memories and eventually touches on the present situation of the former camp. Former site of the concentration camp Omarska is now a factory owned by Arcelor Mittal Company. The company’s manufacturing process now takes place where the civilians used to be detained. Despite of several requests from survivors, there is no memorial for the killed victims at Omarska. Once in a year, the premises are open to public for the commemoration. Film intents to construct a memorial in 3D animation from the archive images, videos, recent photographs -guided by the testimonies of the survivors of the camp.
Thirty two years old (2nd April 1987), born and raised in Kerala, India. He graduated in Electronics and Communication engineering, during the year of 2008. Post study, worked as a software engineer for four years. In 2012, he decided to quit the job and decided to study films. He mainly got inspired from the film he has seen in the international film festivals he attended during the course of this time. He pursued his further studies in Visual media Studies from Calicut University. And then he joined for M.A at Sarajevo Film Academy followed by the research from Le Fresnoy, where he received a full scholarship from Institut Francais. His Film “Omarska”, has already won Honorable jury mention at Berlinale, Jury special mention at Kyiv international short film festival, Best Director award at Bucharest international experimental film festival and has been also presented at many other festivals all over the world.
Martin Sastre
Bolivia 3: Confederation Next
Fiction expérimentale | dv | couleur | 15:0 | Uruguay, Espagne | 2007
"Bolivia 3: Confederation Next" nous transporte dans le futur et plus précisément en 2876, à une époque ou la carte politique du continent américain est à l'opposé de celle que nous connaissons aujourd'hui. L' Amérique du Sud est devenue une gigantesque confédération appelée Bolivie tandis que l'Amérique du Nord s'est divisée en petits pays émancipés des anciens Etats Unis et Canada. Un futur où Tom Cruise est un vampire immortel vivant dans les sombres marécages que sont devenus Hollywood et où l'on nous raconte comment les américains ont remporté la guerre pour le contrôle de la fiction au terme d'un duel à l'épée entre Martin Sastre et Matthew Barney.
Martin Sastre est né en 1976 à Montevideo (Uruguay). Fortement influencé par la culture vidéo des années 80, il expérimente l'image vidéo et cinématique depuis son plus jeune âge. Il est aujourd'hui considéré comme l'un des artistes latino-américains les plus représentatifs de sa génération. Ses ?uvres ont été présentées dans le monde entier, à la 1ère Biennale de Prague; à la 8e Biennale de La Havane, à la 28e Biennale de Sao Paulo, à la 51e Biennale de Venise et à la 11e Biennale de l'Image en Mouvement de Genève. Il travaille actuellement sur son dernier long métrage ainsi qu'au développement de la Martin Sastre Foundation for the Super Poor Art dont l'objectif est de soutenir les artistes latino-américains qui ne peuvent habituellement pas accéder aux circuits internationaux et faire ainsi évoluer les définitions de centre et de périphérie.
Martin Sastre
Diana, The Rose Conspiracy
Fiction expérimentale | dv | couleur | 20:0 | Uruguay | 2005
« Diana, The Rose Conspiracy » se déroule autour de l'idée que la princesse Diana n?est pas morte dans un accident de voiture à Paris mais qu'elle vit maintenant une nouvelle vie heureuse et secrète, dans un quartier pauvre de Montevideo, en Uruguay.
Né à Montevideo (Uruguay) en 1976, Martin Sastre a été exposé internationalement depuis 2002 et a participé aux biennales de Busan (Corée) en 2008, d?Usuahia (Argentine), de Pontevedra (Espagne) en 2007, de Genève (Suisse) en 2006, de Venise (2005), de Sao Paulo (Brésil) en 2004, de La Havane (Cuba) en 2003, de Prague (République tchèque) en 2002, ainsi qu?à la Biennale du Mercosur en 2001. Lui ont été décernés les prix suivants : le Prix ARCO de la Foire Internationale d?Art de Madrid en 2004 et le prix Faena en 2008, attribué par un jury formé de Jessica Morgan (Tate Modern), Okwui Enwezor (San Francisco Institute of Art) et Carlos Basualdo (Philadelphia Museum of Art) pour une intervention urbaine à Buenos Aires (Argentine).
Martín Sastre
Montevideo : the dark side of the pop
Fiction expérimentale | dv | couleur et n&b | 15:0 | Uruguay, Espagne | 2006
Martin Sastre was born in 1976 in Montevideo, Uruguay. He now lives and works in Madrid, Spain.
Ari Satria Dharma
Igra
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 2:15 | Indonésie | 2005
About how if letters, which form words and then sentences ? part of our daily life as a medium for communication and promotion ? would suddenly go away slowly, or become "erased", leaving the platform space empty. Is it because we are a consumptive society that we really see it as a empty space? Or do the letters just want to convey their own messages? What if this really happened?
Expositions: Transmediale.05 (Berlin, Fevrier 2005); Ko Video Festival (Durban , Octubre 2005); ]]]Prog:Me[[[ (Rio de Janeiro, Septembre 2005)
Reetu Sattar
Shabnam
Film expérimental | 4k | couleur et n&b | 22:32 | Bangladesh | 2022
Shabnam unfolded a research on my colonial history in relation to Muslin where I tried to visualize a certain nerve-racking situation when people from a certain part of the world reflect an accumulation of knowledge and wealth. Sometimes the monumental museum display gives a strange complexity. The difference between the one who needs to rumble around archives all around the world to connect the threads between past and present and one who gets everything compiled and labelled is an important one. By process, Shabnam is like a patchwork. The idea was cautiously extended over found images and sounds. Here, the Bangla language is a part of the sonic experience; that is why the subtitle is always coming later as part of an image. I think the sonic experience of the film is something to bear the uneasiness about unequal relationships and exchanges that we have in this world. The drawing of the Bangla letters or the sound of the language played a pivotal role in telling disturbed cartography. What was a work about cotton and lost heritage, has reached me to few questions. How do you visualize the feeling of ‘other’? How do you visualize the churn in your stomach when you find yourself in front of unresolved loss?
Reetu Sattar is an artist and film-maker, based in Dhaka, Bangladesh. Her practice, both performative and experimental in nature, questions human perception and imperceptible nature by re-examining history and the creation of knowledge. In a constant dialogue with immediate surroundings, her work engages with the poetics of environments and explores inner urges for change, perception, (re)relation to body and matter. Born in Dhaka Reetu works and lives in Dhaka. Her recent exhibitions include Istanbul Biennial, British Textile Biennial, International Film Festival Rotterdam, Liverpool Biennial, and Dhaka Art Summit as well as venues including the British Film Institute, London; Alserkal Avenue, Ishara Art Foundation, Dubai; Artspace, Sydney; Palais de Tokyo, Paris and NTU CCA Singapore. Her performances have been staged internationally at venues in London, Birmingham, Bangkok and Goa. Reetu’s first film premiered at International Film Festival Rotterdam, in 2019 and the second film Shabnam premiered at the latest IFFR. Reetu’s performance installation programmed in Spring 2020 will be presented at The Museum of Modern Art, New York on a date forthcoming. Reetu Sattar is a member of Britto Arts Trust, an artist collective based in Dhaka. She also works with Dhaka-based theatre group Prachyanat. Reetu is currently in an 11-month residency at Jan Van Eyck, Netherlands.
Volker Sattel
Unternehmen Paradies
Doc. expérimental | 16mm | couleur | 60:0 | Allemagne | 2003
?Unternehmen Paradies? Un essai filmique sur Berlin qui parvient de façon presque incidente à fixer des relations complexes. Les images marquantes, arrachées au cours amorphe du temps, se rassemblent en un collage sur l'urbanisme, la masse et la solitude. Le film, magnifiquement composé, s'émancipe ainsi d'un sujet apparemment rebattu et rend une partie de son innocence à l'objet de l'observation. Il ne fictionnalise pas la réalité, mais découvre plutôt ses possibilités de mise en scène publique, et ce faisant il a le mérite de saisir les oscillations cachées qui entrent en interaction pour constituer le caractère d'un ensemble urbain, et de les amplifier en douceur.
Volker Sattel Né en 1970 à Speyer. 1993-1999: études de mise en scène/caméra à la Filmakademie du Bade- Wurtemberg. Cinéaste indépendant. Différents travaux en tant qu'auteur, metteur en scène et caméraman dans le domaine du long-métrage, film documentaire et expérimental. Collaborations à divers projets de films, de théâtre et de vidéo avec les artistes Olaf Nicolai et Daniel Klein, le musicien Tim Elzer (don?t dolby/Cologne) et l'auteur Mario Mentrup (Maas Media/Berlin). 2002 Création du "Büro für Film und Gestaltung" à Berlin. 2005 création du Vakant Film avec Mario Mentrup. Filmographie (sélection) Letztes Jahr im Rossija en cours de préparation, documentaire, 70min After Effect (caméra) en cours, film de Stefan Geene, 90min Pascha (caméra) en cours, documentaire de Stefanie Gaus, 30min Stadt des Lichts Film en collaboration avec Mario Menrtup, 60min, vidéo 2005 invain Opéra de Georg Friedrich Haas, mise en scène Olaf Nicolai, Theater Basel, réalisation visuelle d'une projection vidéo sur 6 écrans | 65 min | 16mm | 2003 Unternehmen Paradies Documentaire| 59 min | Super16 | 2002 Die Welt in der wir wohnten pour une série de manifestations de Maas Media Berlin | Video | 13 min | 2002 Pocket Park im Auftrag des Kulturkreis des BDI e.V. | Video| 5min | 2001 Über den morgendlichen Blick eines gebeutelten Filmemachers auf einer ziemlich langen Fahrt durch London Video | 30 min | 2001 040 Documentaire | Film pour l'obtention du diplôme de la Filmakademie | 16 mm | 34 min |1999 Sattel der Liebe Documentaire | 16 mm | 30 min | 1999 Fer-sehen court-métrage Super 16 | 5 min | Coproduction avec Südwestfunk | 1996 Wirrsaal court-métrage | 10 min | 16 mm | 1995
Heta Saukkonen
Powyłamywanymi
Vidéo | hdv | noir et blanc | 10:42 | Finlande | 2015
Powyłamywanymi is an experimental video. The inspiration and the title comes from a polish tongue twister "Stół z powyłamywanymi nogami" meaning "a table with broken legs". The word in the title means breaking only in context of this sentence. Supposedly it dates back to the Soviet times when everything used to be more or less broken. Through repetitive breaking of different tables the work examines how absurd is constructed, but also fragilities of any given systems such as language, political structures or a human body.
Heta Saukkonen (b. 1990) has a Bachelor of Arts from Aalto University and currently completes master’s degrees in Photography at Aalto University and in Time and Space Arts at University of the Arts Helsinki. She works with mediums of video, photography and installation in the borderline between the visual and the verbal and is interested in the absurd, systems and the unexplainable.
Nicolas Sauret, Ashley WONG
Nønspace
Installation vidéo | | couleur | 22:55 | France, Hong Kong | 2009
Nønspace A filmic artwork by Nicolas Sauret & Ashley Wong 2-channel video / 23min / 2009 Nønspace is a work that attempts to probe at the often puzzling and elusive space of Hong Kong. Through its unique history, geography and politics, Hong Kong has sprouted from a small Chinese fishing village to a globalized financial city. From British influence of Western capitalism to a return to a long lost Chinese reality, Hong Kong has formed into a place of in-betweenness. Through interwoven voice interviews with artists, academics, architects, Nønspace approaches notions of space to reveal aspects of a city and culture that is difficult (and perhaps impossible) to underpin. Topics of density, public/private space, colonialism/post-colonialism, identity, society, urban development, and government policy quickly emerge. Through collected materials, photographs and field-recordings from a two and three year stint in Hong Kong, the creators piece back through memory in a desire to understand and in a dialogue with the city and self. Nønspace is hazy in content and in form. The fluid construction of photographic stills and voice, speak around a city, but never at it. It is an approach to space that can be used to navigate any city and environment to explore what is behind the construction of a space and place. Conversations with: Linda LAI (professor, City University), Andrew LAM, (director Museum of Site), Kit LAM (sociologist, Chinese University), Warren LEUNG (independent artist), Map Office (Laurent Gutierrez & Valérie Portefaix, artists), Alvin YIP (architect, Poly University)
Nicolas Sauret is a filmmaker and artist based in Paris, France. After attaining a degree in Engineering of Cultural Industries at Université de Technologie of Compiègne, he spent 3 years in Laos working in documentary film. He later moved to Hong Kong to pursue an MFA in Creative Media at City University. His work has been featured in a number of exhibitions and festivals including the Tokyo Video Festival, Hong Kong Asian Film Festival and Urban Nomad Film Festival. Ashley L. Wong is an artist and curator/facilitator. Born and raised in Canada, she attained a BFA in Digital Image/Sound and the Fine Arts from Concordia University in Montreal. She is founder of experimental events project LOUDSPKR and is former project manager of Videotage - Hong Kong`s Media Art Institution. She is completing an MA at Goldsmiths`, University of London.
Marcin Sauter
Za Ploten
Documentaire | dv | couleur | 15:0 | Pologne | 2005
L'une des principales motivations à l'origine de ce film est d'essayer de retourner au temps de l'enfance, des vacances et des étés chauds . Je me souviens du sentiment éprouvé lorsque le nombre illimité de détails remarquables, de choses à découvrir, d'histoires à explorer et de sujets auxquels réfléchir, donnaient l'impression que chaque jour durait une éternité.
Marcin Sauter Né en 1971. Il travaille comme photographe de presse pour les quotidiens les plus importants de Pologne. Il est auteur des projets de décors photographiques pour le théâtre et co-réalisateur d'un long-métrage, "I co wy na to, Ga³uszko" (2000), projeté dans les cinémas d'art et essai de Pologne. Diplômé du "Documentary Course" à la Andrzej Wajda Master School of Film Directing. "Behind the Fence" (10 min, 2005) est son premier documentaire.
Renu Savant
Aaranyak
Fiction expérimentale | 35mm | couleur | 22:20 | Inde | 2014
The film strives to create the symbolic echoes in the story of two girls searching for their imaginary friend, whose invisible quality they associate with the anonymity of the industrial black hole - the water pipe. On this, the backdrop of another story - an elemental and existential search for water in a dried up river by two migrant workers from the city. The film moves between the lyrical and the referential, the self-reflexive statement and the existential search, ending in an ironic arrival into the real.
The director, Renu Savant, is a graduate from the Film and Television Institute of India, Pune. Before this she has worked as researcher, journalist, lecturer. Her short film, Airawat, received the National Award in 2012, apart from other accolades.
Denis Savary
Pégase
Vidéo | dv | couleur | 1:51 | Suisse | 2009
A la vallée de Joux, en Suisse, un vélo cycliste tente la traversée d`un lac gelé. Le titre de la vidéo, Pégase, provient de la sculpture que l’on voit en arrière plan. Ce petit film s’inscrit dans une série d’une trentaine de films autonomes réalisés entre 2003 et aujourd’hui.
Denis Savary est né en 1981 à Granges-Marnand en Suisse. Il vit et travaille à Genève. Diplômé de l’Ecole Cantonale d’Arts de Lausanne, il est en résidence à l’atelier des Arques, puis au Pavillon du Palais de Tokyo en 2006/2007. Il a participé à de nombreuses expositions de groupe : Enchanté château, organisée par Christian Bernard à la Fondation pour l’art contemporain Claudine et Jean-Marc Salomon en 2005, au MAMCO de Genève en 2006, Voici un dessin suisse (1990-2010), au Musée Rath (Genève), Wind, me souffle entre les images au Quartier à Quimper, au Printemps de Septembre à Toulouse en 2009 et 2008... Son travail a également été montré en 2008 au Jeu de Paume (Paris) dans le cadre de la programmation Satellite et au Musée Jénisch à Vevey (Suisse). Lors de l’exposition Le Narrenschiff au Centre Pasquart en 2010, on a pu découvrir un vaste ensemble de films de l’artiste. En 2012, la Kunsthalle de Berne lui consacre une exposition intitulée Balthiques. Plus récemment, une sélection de ses films a été projetée au Centre Georges Pompidou (Paris) lors du festival Hors Pistes. En 2015, une exposition monographique lui sera consacrée au MAMCO de Genève.