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Maryam Tafakory
Nazarbazi
Film expérimental | 35mm | couleur | 19:54 | Iran | 2021
Nazarbazi [the play of glances] is a film about love and desire in Iranian cinema where depictions of intimacy and touch between women and men are prohibited.
Maryam Tafakory is an artist filmmaker based between London and Shiraz. Her work has been exhibited internationally including MoMA Doc Fortnight; IFF Rotterdam; Edinburgh EIFF; Melbourne MIFF; True/False festival; Zurich Film Festival; Whitechapel Gallery; Pergamon Museum; M HKA; and Anthology Film Archives amongst others. She has received several awards including, the Ammodo Tiger Short at 51st IFFR, the First Jury Prize at DocumentaMadrid, the Best Short Film at Festival de Cine Lima Independiente, and she was the 2019 Flaherty/Colgate Distinguished Global Filmmaker in Residence, NY. Her work has appeared at Criterion's The Daily, the Sight&Sound magazine, Filmmaker Magazine, and Senses of Cinema.
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Theodore Tagholm
Conversations with Walt Whitman
Fiction expérimentale | | couleur | 5:50 | Royaume-Uni | 2009
Conversations with Walt Whitman explores belief and its context. Through flickering lights and morse code Walt Whitman has got in touch from beyond the grave to recite poetry to our protagonist. It turns out the Walt had previously got in touch with his grand mother with a spirit writer. Is he really in touch or is this some form of escape from the banalities of suburban existence.
Theodore Tagholm is an artist based in London. Working primarily in video he was recently shortlisted for the Jerwood Moving Image Awards.
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Theodore Tagholm
Plain Sight
Vidéo | hdv | couleur | 1:29 | Royaume-Uni | 2013
Hiding in plain sight, the photograph skims across the skin of reality. The work plays with the surface of the photographic image. Looking at how perceptual attention affects the surface of the image, revealing fractures on the infra slim surface.
Theodore Tagholm is a London based artist who has been working with time based media for over 15 years. Trained at Chelsea School of Art and Middlesex University.
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Theodore Tagholm
Turner came to me in a dream and told me cyprien g
Vidéo | | couleur | 1:29 | Royaume-Uni | 2009
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Young-jun Tak
Wish You a Lovely Sunday
Doc. expérimental | hdv | couleur | 18:38 | Coree du Sud, Allemagne | 2021
The video boldly combines and juxtaposes two distinctive spatial settings—a church and a queer club. For this filmic work, two choreographers and two dancers were paired up to create a new choreography, for the church “Kirche am Südstern” and the queer club “SchwuZ” in Berlin respectively. Each pair was assigned to a different Bach piano piece for four hands. After days of rehearsals and when the choreography was complete, their designated venues were then swapped. The participants did not know the exact location they would perform in until the actual day of filming, and, therefore, they had to reprogram their choreographies according to the new architectural features and atmosphere of the changed location. Although churches and queer clubs seem to function for starkly different purposes, both spaces share intriguing similarities as they both require specific rituals, behavioral norms and attitudes closely linked to the space and its role. In the film, the continuous change of scenes between the two kind of spaces with the dancer’s bodily presence, their movements and dialogues, aims at achieving a sort of almost impossible mergence or coexistence of religious practice on one side and club culture on the other side.
Young-jun Tak (born in 1989 in Seoul, South Korea) lives and works in Berlin, Germany. His solo exhibition took place at SOX (Berlin, 2022) and Fragment Gallery (Moscow, 2021). His works have been exhibited at the 9th Berlin Masters (2021), Gabriele Senn Galerie (2021, Vienna), the 11th Berlin Biennale (2020), Hall Art Foundation / Schloss Derneburg Museum (2020), Diskurs Berlin (2019), Seoul Museum of Art, SeMA Bunker (2019), Brandenburgischer Kunstverein Potsdam (2018), PS120 (2018, Berlin), the 15th Istanbul Biennial (2017), König Galerie (2016, Berlin) among others. He won “TOY Berlin Masters Award” (2021) and grants for International Exchange Program from Arts Council Korea (2021, 2020, 2017, 2016). He was Managing Editor for the 13th Gwangju Biennale (2021) and the 9th Busan Biennale (2019), and Editor for the South Korean monthly art magazine "Art in Culture" (2021–2015).
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Naoko Takahashi
Good Morning At Night
Doc. expérimental | dv | couleur | 10:46 | Japon, Emirats arabes unis | 2005
Il y a tellement d'hommes qui restent là dans les rues du centre ville. Ils sont là pour travailler et envoyer de l'argent chez eux, à leurs familles. Il y a une place où ils attendent une opportunité de travail pour la journée. Le soir, ils se retrouvent et bavardent, buvant du thé et jouant aux cartes. Aucune femme ne se promène seule la nuit. Si vous marchez seul dans la ville la nuit, si vous ne portez pas un certain type de vêtements, vous pourriez être traité comme quelqu'un du bas de l'échelle sociale. Vous pourriez facilement vous égarer, vous embrouiller, vous retrouver isolé et humilié. Le film a été tourné en mini DV, en couleur - voice over en anglais et sous-titres arabes.
Artiste travaillant avec le texte, les médias contemporains, les installations et l'art vivant, elle vit à Londres. Elle est née à Nigata, Japon, en 1973. Depuis qu'elle est venue vivre au Royaume-Uni en 1992, Takahashi utilise sa seconde langue et vit entre deux cultures. Ses oeuvres s'intéressent à la notion de dispersion, de relocalisation, de l'appartenance à un pays étranger et de représentation dans une société multiculturelle et multi linguale, et aux notions d'identité nationale et individuelle. Au cours de ces dernières années, elle s'est intéressée aux oeuvres spécifiques aux lieux et cultures, qui s'engagent auprès des lieux et personnes des alentours. Takahashi expose ses oeuvres d'art et donne des représentations live lors de divers événements au Royaume-Uni et à l'étranger. En plus des précédents artistes en résidence, elle a récemment participé au Sharjah Biennial 7?s Artist-In-Residence-program. Ses oeuvres vidéo ont été sélectionnées et projetées lors de nombreux festivals internationaux, notamment le 24e Festival international du court-métrage de Uppsala, Suède, au "About Time Nordyllands Kunstmuseum", Danemark, et le Beck`s Futures 2 film & Video UK and BBC British Short Film Festival 2000.
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Pilvi Takala
Kuuluttaja
Vidéo | | couleur | 5:50 | Finlande | 2007
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Pilvi Takala
If Your Heart Wants It (Remix)
Vidéo | hdv | couleur | 15:21 | Finlande, USA | 2002
Chaque année, à Helsinki, se déroule SLUSH, un super événement de trois jours qui vise à revigorer la communauté des startups technologiques en réunissant entrepreneurs et investisseurs en capital-risque dans une ambiance de fête. "If your heart wants it (remix)" se base sur les recherches que Pilvi Takala a menées lors de l'édition 2018 de SLUSH. Avec une équipe interdisciplinaire et une équipe de tournage, elle a créé une startup afin de pouvoir y entrer.
Pilvi Takala est née en 1981. Elle vit et travaille entre Berlin (Allemagne) et Helsinki (Finlande). Ses œuvres vidéo sont basées sur des interventions performatives, dans lesquelles elle étudie des communautés spécifiques afin d’examiner les structures sociales et d’interroger les règles et réalités normatives de notre comportement dans différents contextes. Ses œuvres montrent qu'il est souvent uniquement possible de comprendre les règles implicites d'une situation sociale en la perturbant. Son travail a été présenté au MoMA PS1, New York (USA); au New Museum, New York (USA); au Kiasma, Helsinki (Finlande); au Palais de Tokyo, Paris (France); à la Kunsthalle Basel, Bâle (Suisse); à Manifesta 11, Zurich (Suisse); au Witte de With, Rotterdam (Pays-Bas); et à la 9e Biennale d'Istanbul (Turquie). Pilvi Takala a remporté le Prix de Rome néerlandais (Pays-Bas) en 2011, ainsi que le Emdash Award, Londres (Royaume-Uni), et le Finnish State Prize for Visual Arts (Finlande) en 2013.
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Ho Tam
In the Dark
Vidéo expérimentale | dv | noir et blanc | 6:0 | Canada | 2004
Réalisée l?année suivant l?épidémie de SRAS, la vidéo reprend des images publiées par les médias de Toronto. Pour mémoire, Toronto (Canada) a été la seule ville non asiatique affectée par l?épidémie. La ville était stigmatisée par quelques cas isolés ayant eu pour point de départ un transporteur de retour d?Asie. Au travers de photographies en noir et blanc elles-mêmes rephotographiaient, tout ce que nous voyons est la noirceur d?un temps passé, une ville qui subit une attaque, des politiciens qui cherchent à réconforter, des habitants vivant dans la peur, la méfiance, la paranoïa et la honte. Qu?y a-t-il à tirer de ces quelques mois qui ont paru durer une éternité ? Comme si nous étions revenus à l?âge des ténèbres, dans un temps où nous pensions que nous n?en ressortirions jamais. La vidéo, en faisant référence aux faiblesses de la nature humaine, soulève indirectement le problème de l?attention des médias dans un monde que nous avons créé. Si les medias sont le message, la vidéo pose la question de ses partis pris et de sa véracité. Afin de recréer cette époque troublée, les images dégradées et médiatisées et le son se répondent l?un l?autre pour exprimer le doute, le dégoût et le sentiment d?approcher un état d?abjection. Le projet a été tourné en lumière faible et avec un caméscope familial. Il en résulte des signaux instables que le caméscope est destiné à détecter et à capter (sans succès dans ce cas). Dans cette démarche, la vidéo suit pratiquement le même processus scientifique médical que la guerre bactériologique. Utilisant la vidéo dans la production mais en faisant également référence aux langages des films expérimentaux, ?In the dark ?, rend hommage au cinéaste d?avant-garde Stan Brakhage (1933-2003), décédé lors de l?apparition du SRAS.
Ho Tam est né à Hong Kong et a fait ses études à Toronto, au Canada. Il a travaillé dans la publicité et dans des dispensaires psychiatriques avant de se consacrer à l?art. Il exerce dans différentes disciplines telles que la peinture, la vidéo, la photographie, l?édition et l?art public. Il a exposé dans différentes villes en Amérique du Nord. Sa première vidéo, « The Yellow Pages » est une commande du groupe d?art public PUBLIC ACCESS pour une installation/projection à la Union Station, la gare de Toronto en 1994/1995. Depuis lors Tam a produit plus de 15 vidéos expérimentales. Son travail est présenté dans l?exposition itinérante « Magnetic North : Canadian Experimental Video » organisée par le Walker Art Center du Minnesota. Tam enseigne à l?université de Victoria. Il est diplômé du Whitney Museum Independent Studies Program du Bard College (MFA) et a bénéficié de diverses bourses d?études et de recherche
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Marion Tampon-lajarriette
Natura Naturata
Vidéo | hdv | couleur | 8:34 | France, Suisse | 2018
Dans la continuité d’un ensemble de projets réalisé au sein de musées d’art, d’archéologie et d’Histoire naturelle, l’artiste poursuit son travail de déplacement du visiteur et des collections qui basculent dans un registre fantastique souvent inspiré de la science-fiction. Natura Naturata met en scène un groupe de gymnastique pluri générationnel au sein des collections de cristaux, d’animaux et de coraux du Muséum d’Histoire Naturelle de Genève. Sur des fragments de texte murmurés ou chantés extraits de l’ouvrage Monadologie et Sociologie écrit par le philosophe et sociologue Gabriel Tarde en 1893, les images mettent en rythme ce qui constituait, selon Gilles Deleuze, une "dialectique de la différence et de la répétition qui fonde, sur toute une cosmologie, la possibilité d’une microsociologie". Ainsi s’agence en équilibre précaire une vision tardienne de l’univers mettant en relation les "sociétés animales, cellulaires, atomiques, et stellaires". L'ensemble des images a été réalisé dans les galeries permanentes du Muséum d'histoire naturelle de la ville de Genève. Merci pour leur soutien et participation.
Marion Tampon-Lajarriette (b.1982 in Paris) lives and works in Geneva. She received an MFA from the École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Lyon (France) in 2007 and an MA in Arts and New Media from the Haute École d’Art et de Design de Genève (HEAD) in 2008. She has had numerous solo exhibitions, including: Museo Villa Pia (Lugano, 2019); Les Brasseurs (Liège, 2015); Mois de la Photo Festival (Paris, 2012); Loop Art Fair (Barcelona, 2008). Her work has also been shown at the Palais de Tokyo, Paris; MAMCO, Geneva; Swiss Institute, New York City; Capture Photography Festival, Vancouver; and is part of the permanent collection at MAMCO, Geneva; MEP, Paris; NMNM, Monaco; the Francois Pinault Foundation; among others. In 2016-2017 she was awarded a residency at the Swiss Institute in Rome, and took part in the Swiss Art Awards in Basel. In 2013, she was awarded the Société des Arts grant and the FCAC-Geneva grant and residency in New York City. The artist’s second monograph, Echos, will be edited in March 2020 by Casa Grande (331 pages, texts by Mark Lewis, Lucille Ulrich, Valeria Venditti). She is represented by Galerie Laurence Bernard in Geneva.
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Marion Tampon-lajarriette
Une Histoire déjà racontée
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 6:0 | France | 2005
Mon activité consiste essentiellement à réinvestir des grands films, très présent dans notre mémoire collective, en intervenant sur l`unité de leur image ou de leur déroulement temporel (ici: substituer et ré-enregistrer entièrement la bande son originale, faire se rencontrer les deux seconds rôles féminins, demeurer dans un lieux en dehors de l`action..) J`essaie, dans ce cadre bien défini du film existant, d`ouvrir d`autres espaces-temps possibles, d`autres logiques, dans les interstices même de sa progression narrative. Trouver d`autres voies par lesquelles entrer et naviguer à l`intérieur d`un récit donné: des chemins qui ressembleraient davantage à celui du ?flâneur?, qui avance sans but prédéfini dans un Univers sans ordre ni sens, sans repère ni limite. Une activité de réappropriation qui s`appuie donc d`abord sur ma position de ?récepteur" en réaction à un "Cinéma de Grands Récits" donnant à voir une représentation très puissante du Monde comme territoire ordonné, hiérarchisé, où l`on distingue encore le Bien du Mal, le Vrai du Faux, où il existe un sens unique à l`Histoire (figure du héros, du destin,du scénario..). Ici les protagonistes eux-même explorent la fiction comme la vie: à tâton, car il n`y a pas une voie unique mais une infinité de possibles..
Marion Tampon-Lajarrirtte est née quelque part dans les années 80. Ailleurs elle a suivi des études artistiques à la Villa Arson. Autre part elle a entreprit un ensemble de portraits vidéo éloquents et de cartes postales muettes, avec l`appui d`une bourse du Medialab-Centro Cultural Conde Duque. Plus loin elle poursuit des études à l`école des Beaux Arts de Lyon et sous d`autres latitudes un master Nouveaux Media à l`HEAA genevoise. Elle filme ou se réapproprie des films, écrit ou recoupe, photographie ou recadre.
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Fiona Tan
A Lapse of Memory
Vidéo expérimentale | 35mm | couleur | 27:10 | Indonésie, Pays-Bas | 2007
Henry, un vieil homme qui n'a plus toute sa tête, vit seul dans un immeuble désert qui ressemble beaucoup à un palais. Il n'est pas sorti depuis des années et passe ses journées hors du temps, dans un exil volontaire pour échapper au reste du monde. La caméra filme sa routine quotidienne et ses rituels soignés mais excentriques. Il ressemble beaucoup à l'immeuble qu'il occupe. Henry n'est pas le seul personnage du film. Le second personnage est le bâtiment lui même : le Royal Pavilion à Brighton (Royaume-Uni).
Fiona Tan est née en 1966 en Indonésie et vit aux Pays-Bas. Elle a étudié à la Rietveld Academie et à la Rijksakademie d'Amsterdam. Ses travaux ( films, installations vidéos, photographies) sont reconnus dans le monde entier et ont notamment été présentés à la Biennale de Venise, à la Documenta 11, à la Triennale de Yokohama, à la biennale de Berlin, à la biennale d'Istanbul et à la biennale de Sydney. Ses oeuvres font partie des collections de la Tate Modern, du Stedelijk Museum d'Amsterdam, de la Don Rubell, du Schaulager et de la Goetz Sammlung.
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Tsuneko Taniuchi
Marianne Tsuneko /Tsuneko Marianne
Art vidéo | dv | couleur | 3:50 | France | 2002
Micro-événement n°18 /Marianne Tsuneko /Tsuneko Marianne : La vidéo a été réalisée lorsque de performance de "Marianne Tsuneko / Tsuneko Marianne", à Window, Paris, 2002 J`étais dans la vitrine de "Window", habillée d?un T-shirt blanc sur lequel était écrit "Marianne", au recto, et Tsuneko, au verso. Au lieu du bonnet phrygien, je portais une perruque rouge et j?avais mis des bottes bleues. Sur le mur, derrière moi, était accroché le drapeau français. Et je dansais sur "La Marseillaise". Dans la rue, il y avait des passants et le public de l?exposition Profession de foi artistique qui avait eu lieu pendant la période des élections présidentielles, avant le 27 avril 2002.
Artiste plasticienne,française d`origine japonaise, elle est née à Hyôgo au Japon. Elle vit et travaille à Paris depuis 1987 explorant les arts visuels, notamment la performance interactive, nommée "Micro-événement". Elle crée également des vidéos, des installations et des photographies. Par ses Micro-événements, Tsuneko Taniuchi s`attache donc à figurer le conditionnement social, le statut d`exclu, la condition féminine et les natures des échanges contemporains.
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Antti Tanttu
Noli Timere
Animation | 0 | noir et blanc | 6:29 | Finlande | 2022
Noli Timere is a work about the experience and emotion of fear or anxiety. What is common or private in those feelings and what do they have in common? The work contemplates on the collective fear and its elements. ?
Antti Tanttu was born in Malaga, Spain and currently lives and works in Helsinki. He studied at the Academy of Fine Arts in Helsinki between 1984–89. His works often deal with issues such as solitude, absence and longing. Tanttu has participated in solo and group exhibitions since 1986 in e.g. Gallery Heino in Helsinki, Sara Hildén Art Museum in Tampere, Finland and Norrtälje Kunsthalle in Sweden, as well as in festivals and events around the world.
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Julian Tapprich
Coming Soon
Vidéo | hdv | couleur | 7:30 | Suisse, Autriche | 2011
Julian Tapprich?s video work Coming Soon is based on the trailer for Michael Haneke?s film, ?La pianiste (The Piano Teacher)?. Tapprich examines the referentiality of trailers. The trailer to "La pianiste" does not only refer to a story but also contains a self-referential element. In a scene with a Schubert soundtrack the pianist (Isabelle Huppert) announces a letter which arrives immediately and is once again read out to her. Tapprich picks up this closed circuit: the letter is repeatedly announced and continually extended by new literary texts. By mixing the literary texts with those of the trailer the mood and tone of voice of the narrator are in a state of permanent change ? a form of disassociation that refers to the abbreviated nature of image, text and sound in trailers.
Julian Tapprich, born 1982 in Zurich, Switzerland. Since 2003 studies of comparative literature in Vienna and Paris. Since 2007 studies of photography at the university of applied arts in Vienna.
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Alejandro Telemaco Tarraf, Alejandro Telémaco Tarraf
Piedra Sola
Documentaire | 4k | couleur | 72:0 | Argentine | 2020
"Piedra Sola" s'inspire de la cosmovision andine, dans laquelle on pense que le passé est devant et l'avenir derrière. Ce film dresse le portrait d'une petite communauté vivant en altitude dans la Puna argentine, et dont les moyens de subsistance sont encore régis par leur union sacrée avec Pachamama – la Terre-Mère. "Piedra Sola" rend hommage à ces gens en tant que gardiens d'un savoir vital, tant dans le contexte local qu'universel. Ce film, comme un voyage alchimique entre temps et dimension, suit le voyage mystique d'un éleveur de lamas autochtone ainsi que ses rencontres avec ses ancêtres et avec la forme changeante du puma.
Alejandro Telémaco Tarraf est cinéaste. D’origine argentine, il a étudié le cinéma à l'université de Buenos Aires (Argentine) et la réalisation au SICA – Sindicato de la industria cinematográfica argentina (Argentine). Son travail a été présenté dans des festivals internationaux, notamment au Festival international du film de Rotterdam (Pays-Bas); au BAFICI – Buenos Aires International Festival of Independent Cinema (Argentine); au AFI Fest, Los Angeles (USA); au Ficunam – Festival Internacional de Cine UNAM, Mexico (Mexique); au Busan International Film Festival, Busan (Corée du Sud); à Visions Du Reel, Nyon (Suisse); au ICA - Institute of Contemporary Arts, Londres (Royaume-Uni). En 2014, il a été sélectionné pour le 9e Buenos Aires Talents de la Berlinale (Allemagne) et en 2015, il a été sélectionné comme artiste audiovisuel pour la Bienal Arte Joven Buenos Aires (Argentine). En 2020, il a présenté son premier long métrage, "Piedra Sola", dans le cadre de la compétition officielle (Tiger Awards Competition) du Festival international du film de Rotterdam (Pays-Bas).
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Paul Tarragó
Paul and the Badger - Episode 1
Fiction | dv | couleur | 11:15 | Royaume-Uni | 2005
Un souvenir que Badger avait réprimé durant toutes ces années refait surface à la vision d´un squelette d´étude, ce qui le pousse à exiger de son ami Paul des réponses plutôt délicates à des questions toutes aussi délicates sur la vie, la mort et les sacrifices personnels. "The Badger series" (2005-2006) est constitué de quatre épisodes qui imitent un programme télé, et qui contient à parts égales: morale et jeu narratif, qu´un cinéaste expérimental s´est efforcé de présenter comme un divertissement d´enfant. Site internet du projet: www.wemakeourowntv.com
Paul Tarragó est un artiste et réalisateur vidéo, qui travaille dur sur les images en mouvement au Sud de Londres. Son travail? Un mélange d´expérimentation alternative et de méta-fiction, qui tient du langage filmique mais qui tire également vers le narratif. On peut fréquemment voir son travail sur le circuit international, ce qui inclut des récentes projections à l'"European Media Art Festival", "ArtSway Gallery" et le "New York Underground Film Festival". Ses oeuvres seront présentes lors de la tournée EMAF 2006/2007. Il est également un activiste depuis 13 ans au sein d´Exploding Cinema, un collectif dirigé par des artistes et qui se consacre à des projections libres d´accès ainsi que des méthodes d´exposition alternatifs. Lorsqu´il ne travaille pas sur ses oeuvres, l´artiste gagne sa vie en enseignant.
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Paul Tarragó
Paul and the Badger - Episode 2
Art vidéo | dv | couleur | 9:30 | Royaume-Uni | 2006
"Badger and the Squirrel" présente le monde à travers un objectif. La série des Badgers (2005-6) est composée de quatre épisodes d'une fausse émission de télévision, mêlant enseignement moral et jeu narratif, menée par un réalisateur expérimental endossant le costume d'amuseur d'enfants.
Le réalisateur vit dans le sud de Londres. Il travaille sur les images en mouvement. Son oeuvre est un mélange d'expérimentation underground et de métafiction, qui bouleverse le langage filmique tout en s'efforçant de garder la maîtrise du récit.
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Patrick Tarrant
Frankston
Doc. expérimental | 16mm | couleur | 21:16 | Australie | 2020
Frankston is a study of the place I grew up, a satellite of Melbourne with affordable housing, nature-strips and beach views. The downright ordinary nature of the opportunities and festivities afforded by Frankston, and the ambivalence one can feel going back there, nonetheless give rise to a new aesthetic: the suburban symphony. In this case the symphony is rendered in strange hues and luminescences as though affirming Robin Boyd’s depiction of ‘the Australian ugliness’ in 1960, where he claims that “taste has become so dulled and calloused that anything which can startle a response on jaded retinas is deemed successful.”
Patrick Tarrant (Melbourne, 1969) is an Associate Professor in filmmaking at London South Bank University who has written on feature-length portrait films such as Where Does Your Hidden Smile Lie?, Two Years At Sea and Manakamana. Patrick has made video portraits and observational city films, while developing a hybrid filmmaking method that brings digital video and a 16mm film projector together (in The Take-Up, The Trembling Giant & Another Self Portrait ). Patrick has had films screened at the Hong Kong, Cork and Melbourne International Film Festivals, and was nominated for Best Short Film at the 2016 London Film Festival.
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Thomas Taube
Dark Matters
Fiction expérimentale | hdv | couleur | 19:15 | Allemagne | 2014
The Film is based on interviews with questions considering the night, which were held with night watchmen in Tokyo, Moscow, Kabul, Tirana, Yaoundè, St. Louis, Monterey and Teheran. Actor Lars Rudolph plays a character who is trapped or saved in a zone were the relation between inner and outer space is uncertain.
I started my studying career in 2007 when I got enrolled to the Humboldt-University in Berlin to start theology. But since my wish to become an artist was stronger than to get educated as a theological philosopher I applied parallel to the beginning of the theological study at the Academy of Visual Arts in Leipzig where I got accepted and where I started in 2008. From 2008 to 2010 at the Basic Study with Prof. Christin Lahr, from 2010 to 2013 during my main study period in the class of Prof. Günther Selichar. I participated in various group-exhibitions and gained different stipends such as a production grant by the Austrian National Television (ORF III). My film "Sorry that I asked" was broadcasted nationwide,in May 2013. In 2013 Prof. Clemens von Wedemeyer started his professorship at the Academy of Visual Arts Leipzig and I continued my Study in his class (Class-Name: expanded cinema). In July 2014 I graduated with my diploma including a honour distinction. Since 2010 I am additionally a guest student in the class of Prof. Candice Breitz at the HBK Braunschweig. I was born the 19th of April, 1984 in Munich. After my school career I got educated as a graphic designer.
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Thomas Taube
Narration
Fiction expérimentale | 4k | couleur | 45:19 | Allemagne | 2016
NARRATION links issues of social relevance, such as the systematic exploitation of workers on arab building sites, with questions of awareness and the perception of (constructed) narratives in our everyday lives. Different languages and associated concepts – such as imagination and seeing – are interleaved into a well arranged field of associations. In Taube`s work the "flow of images" becomes a symbol for the flux of visual concepts and the impossibility of them ever coming to a halt. The impact of the film is also due to the performance of its protagonists, who, at times far from playing a role, represent and reflect their own actions: the actor comes to represent the narrator on a stage.
Thomas Taube is a German video artist who is living and working in Leipzig. He studied from 2008 to 2014 at the Academy of Visual Arts (HGB) Leipzig and graduated from Prof. Clemens von Wedemeyer class with an honourable distinction. He is currently a „Meisterschüler“ of Clemens von Wedemeyer. From June until December 2016 Taube was resident at the ISCP in New York. The residency was sponsored by the Cultural Foundation of the Free state Saxony (KDFS). His video works are concept-based films which question obvious and seemingly self-evident circumstances of our daily lives.