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Carl Elsaesser
Catalogue : 2022Home When You Return | Doc. expérimental | 16mm | couleur | 30:0 | USA | 2021
Carl Elsaesser
Home When You Return
Doc. expérimental | 16mm | couleur | 30:0 | USA | 2021
“Stretching and blurring the boundaries of video essay, experimental film and home movie, traces of a 1950s homemade melodrama by amateur filmmaker Joan Thurber Baldwin intermingle with a mournful homage to the author’s grandmother and her vacated home. A powerful mélange of cinematic and domestic spaces, past and present.”
Carl Elsaesser (1988, USA) graduated from Hampshire college and University of Iowa. He lives and works between midcoast and interior Maine and Brooklyn, NY. He has made several short films which have screened at festivals in New York, Berlin, Michigan, Amsterdam, Korea among others. In his work, Elsaesser mixes genres and materials to produce work that “critically investigates the overarching presence of the historical without losing sight of individual experiences of human connection.”
Walid Elsawi
Catalogue : 2014Do-Mystic Uni-Verse | Vidéo | | couleur | 3:10 | Egypte | 2012
Walid Elsawi
Do-Mystic Uni-Verse
Vidéo | | couleur | 3:10 | Egypte | 2012
Do-Mystic Uni-Verse: is a visual interpretation of the aftermath of the bomb that went off recently inside of me, It`s about hope and also showing the stagnant life we live. It`s a nine clips subtitled with nine vague, subtle, and desperate sentences "verses", about the dull life of mine, but in the same time there`s a sort of sarcasm in them? The motion mechanism is inspired by the motion of the solar system, performed with home worn out nick nacks. I emulate the solar system to represent infinity and continuation.
Walid elsawi, Egyptian visual artist, based and works in Alexandria. BFA in painting, Alexandria University, 2010. He works with different kinds of media, such as installation, video art and painting. He became interested in the concept of the alienation by the time he graduated, expressing his thoughts through oil paintings; he made a series of 14 oil paintings depicting his self-portrait. In 2011 he discovered the impact of the words and how strong they are, so he used texts and words as another form of showing his personality, he came up with three pieces concentrating on the subliminal messages and how tricky words can be In 2012 he made a piece entitled (a contemporary artist vs. a con artist) a dozen statements, taken from the artist?s ongoing interview project are written on glowing neon boxes, peppered around the space. The interview consists of responses he gives to the question ?are you an artist?? a means of exploring the current climate of contemporary art, and the cult of personality, with a tongue-in-cheek emphasis on certain stereotypes, perceived pre-requisites or trends. Alongside with that, In terms of the alienation concept, I decided to deal with it with a whole different form. I worked on manipulating personal domestic photos, because puzzling the viewer makes them think a little deeper, at the first glance they wouldn`t recognize, but when they take a closer look they would see the trick? Believing that the convincing image is the poor resolution one, the non-designed picture; this makes it more realistic by avoiding the aesthetics of photography, I don`t want to focus on a main item in the picture, I prefer to take raw pictures, to enhance the idea.
åsa Elzén, Wetzel, Markus
Catalogue : 2008I'll be you if you'll be me 4 - Love Hurts More | Fiction expérimentale | dv | couleur | 10:0 | Suède | 2007

Åsa ElzÉn, Markus Wetzel, Wetzel, Markus
I'll be you if you'll be me 4 - Love Hurts More
Fiction expérimentale | dv | couleur | 10:0 | Suède | 2007
"I'll be you if you'll be me 4 - Love Hurts More", une oeuvre d'Åsa Elzén et Markus Wetzel Pendant trois mois en 2006, les artistes se sont isolés sur une petite île inhabitée de la mer Baltique où ils ont réalisé ensemble une série de cours métrages. Dans le même film, ils ont constamment échangé leur rôles, de réalisateur à acteur et inversement, et grâce à cette méthode, ont développé des récits sur un personnage androgyne fictif. Celui qui jouait portait un masque et devenait cet étrange personnage silencieux, seul sur son île, essayant de venir à bout de la nature aliénante, de la solitude, de la mort et de son désir d'amour. Ce "trans-personnage" au sexe toujours changeant habite également un espace entre les deux artistes. Le séjour réel sur l'île est ici une métaphore de l'isolation forcée dans laquelle un couple peut se mettre, mentalement ou physiquement. Cet état ambivalent entre sécurité et isolation a influencé la situation dans laquelle la collaboration a eu lieu. Les artistes s'intéressent aux notions d'hétéronormativité, de genre et de sexualité, et aux limites entre sujet et autre. Au début de "Love Hurts More" (10 mn), le personnage chante la chanson "Love Hurts" sur les rives rocheuses la nuit. Il/elle utilise un générateur pour faire fonctionner une lampe et chante en même temps que le bruit du générateur. Ensuite, il/elle se dirige vers le centre de l'île en s'aidant de la lampe et en traînant le lourd générateur. Il/elle arrive enfin à destination et trouve un cristal caché dans les branches d'un vieil arbre. De retour dans sa petite maison avec son trophée, notre héro/héroïne tente sans enthousiasme de soigner son manque d'amour par une étrange incantation.
Åsa Elzen a obtenu son MFA au Royal University College of Fine Art de Stockholm en 2002. Actuellement, elle suit le Whitney Independent Study Program de New York. Elle travaille sur les installations et l'art vidéo, traitant souvent de féminisme et de questions post-coloniales. Markus Wetzel a obtenu son MFA à la Hochschule fur Gestaltung und Kunst à Zurich. Actuellement, il travaille à New York et Zurich. Dans ses projets, il utilise l'idée de l'île à la fois comme forme réelle et comme forme fictive: ses images numériques, ses installations et ses projets d'extérieur, tout comme ses collaborations tendent vers les limites de la fiction, de l'espace fictif et du récit, vers ce moment où la fiction semble basculer dans la réalité. Depuis 2005, Elzén et Wetzel ont collaboré à trois projets.
Heinz Emigholz
Catalogue : 2021The Last City | Fiction | hdv | couleur | 100:0 | Allemagne | 2020
Heinz Emigholz
The Last City
Fiction | hdv | couleur | 100:0 | Allemagne | 2020
Un archéologue et un concepteur d'armes, qui se sont connus dans une autre vie où l’un était cinéaste et l’autre psychanalyste, se rencontrent sur un site de fouilles dans le désert du Néguev, et entament une conversation sur l'amour et la guerre, qu'ils poursuivent dans la ville israélienne de Be'er Sheva. Puis, avec des acteurs changeants dans des rôles changeants, le film entame une ronde qui les mène à travers Athènes, Berlin, Hong Kong et São Paulo. Apparaissent: un vieil artiste qui rencontre le jeune homme qu’il était, une mère qui vit avec ses deux fils adultes - un prêtre et un policier, une Chinoise et une Japonaise, un curatrice et un cosmologiste. Leurs dialogues traitent de tabous sociaux devenus obsolètes, de conflits de générations, de culpabilité de guerre, et de cosmologies. Les architectures des cinq villes servent de troisième participant au dialogue des protagonistes, et complètent leurs parcours philosophiques et métaphysiques.
Heinz Emigholz est né en 1948 à Achim, près de Brême (Allemagne). Il a d'abord suivi une formation de dessinateur, avant d'étudier la philosophie et la littérature à Hambourg (Allemagne). Il a commencé à réaliser des films en 1968, et travaille depuis 1973 comme réalisateur, artiste, écrivain et producteur, en Allemagne et aux États-Unis. En 1974, il a commencé sa série de dessins encyclopédiques "The Basis of Make-Up". Il a de nombreuses expositions, rétrospectives, conférences et publications à son actif. En 1984, il a entamé sa série de films "Photography and beyond". Il a été professeur de cinéma expérimental à la Universität der Künste Berlin (Allemagne) de 1993 à 2013, et y a cofondé le Institute for Time-based Media et le programme Art and Media. En 2003, la Filmgalerie 451, Berlin (Allemagne), a lancé une édition de tous ses films sur DVD. Entre autres publications, citons: "Krieg der Augen, Kreuz der Sinne", "Seit Freud gesagt hat, der Künstler heile seine Neurose selbst, heilen die Künstler ihre Neurosen selbst", "Normalsatz - Siebzehn Filme", et "Das schwarze Schamquadrat" (ces quatre livres ont été publiés chez Verlag Martin Schmitz, Berlin [Allemagne]); "Die Basis des Make-Up (I) et (II)", "Der Begnadete Meier", "Kleine Enzyklopädie der Photographie" et "Die Basis des Make-Up (III)" (publiés dans "Die Republik" No. 68-71, 76-78, 89-91, 94-97 et 123-125); et "Sense of Architecture", avec plus de 600 photographies. Heinz Emigholz est membre de l'Académie des Arts de Berlin (Allemagne).
Heinz Emigholz
Catalogue : 2018Streetscapes [Dialogue] | Doc. expérimental | 4k | couleur | 120:10 | Allemagne | 2017
Heinz Emigholz
Streetscapes [Dialogue]
Doc. expérimental | 4k | couleur | 120:10 | Allemagne | 2017
There are streets, paths, motorways, alleys, boulevards and promenades. And there are life paths, intersections and dead ends. Two men sit on the shady raised platform of a brick building somewhere in Montevideo. They are submerged in a conversational marathon that never ceases throughout the entire film. The younger of the two is an analyst; the older man his analysand. Their nationalities are unclear; they speak a simple, internationally understandable English. They talk about a childhood among the ruins and the traumatised people of Germany shortly after the Second World War, about fleeing, about an obsessive interest in architecture and about manic writing. And they speak about work with the film camera, which is a technical instrument for the young analyst, but a lifeline for the old film director. The starting point of the six-day marathon is the psychological and physical block that prevents the director from starting a last great film, the Streetscapes saga. The conversation, which in a slow process dissolves the director’s block, takes place in changing places in extreme architectures. The camera, which portrays them both and sets them in relation to the architecture, becomes a third partner. The camera repeatedly disengages from where they are and explores the surrounding streets and neighbourhoods before returning to the two protagonists. The shell constructions of the Uruguayan builder Eliado Dieste where they sojourn resemble gigantic braincases and thus provide a framework for the site and the theme of the project that emerges in the course of their talk: trauma and architecture.
Né en 1948, l’artiste allemand poursuit des études de philosophie et des études littéraires à Hambourg. Il fonde la société cinématographique Pym Films en 1978 et devient professeur de cinéma expérimental à l’Université des arts de Berlin de 1993 à 2013. Co-fondateur de l’Institut pour Time-Based Media, il lance son propre cours en ‘’arts et medias’’ au sein de l’Université. Artiste freelance depuis 1973, Emigholz est monteur, écrivain, scénariste,réalisateur et journaliste. Depuis quinze ans, l’artiste expérimental allemand se dédie à une série de documentaires ambitieuse qui se concentre sur le travail visionnaire des architectes du 20ème siècle. C’est à travers l’image et l’architecture que l’artiste s’exprime, car selon lui ‘’l’Architecture projette l’espace. Les œuvres cinématographiques traduisent cet espace en images projetées dans le temps. Le cinéma est ensuite utilisé sous une nouvelle forme : comme un espace offert pour réfléchir sur les immeubles’’. A travers son travail, il cherche à développer chez le spectateur une meilleure connaissance des moments critiques de l’histoire de l’architecture. Entremêlant photographie et architecture, Emigholz questionne la notion de temps, d’espace et de narration. Réalisateur internationalement reconnu, Heinz Emigholz a remporté de nombreux prix : prix du ‘’meilleur scénario’’ et ‘’meilleur film’’ au German Film Critics Association Awards 2017, déjà salué dans le même festival par le prix spécial en 2001, 2008 et 2009 et en 1983 pour le prix du meilleur film ; prix du meilleur documentaire au Festival de Berlin (1988). Le réalisateur a aussi été nommé dans un grand nombre de festivals : Festival International du Court Métrage d’Oberhausen (2013), meilleure photgraphie et meilleur montage au German Film Critics Award (2017). Son oeuvre video a aussi été montrée dans de nombreuses institutions berlinoises, mais aussi à la Biennale de l’architecture (Venise, 2008), et notamment à Kassel, Toronto, Tel Aviv, ou encore Vienne.
Heinz Emigholz
Catalogue : 2023Mamani in El Alto | Documentaire | 4k | couleur | 95:0 | Allemagne | 2022

Heinz Emigholz
Mamani in El Alto
Documentaire | 4k | couleur | 95:0 | Allemagne | 2022
The civil engineer and architect Freddy Mamani Silvestre (*1971), has designed more than 60 building projects in the Bolivian city of El Alto since 2008, which mock the norms of a formulaic modern architecture shaped and enforced with global aspirations by the Bauhaus. Mamani comes from a humble background and belongs to the Aymara people. His self-taught architecture is a counter-utopia that grew out of local usages and opens up a view of preferences other than sparseness and global stylistic adherence. The film shows many of the “cholets” he built with their magnificent ballrooms in their urban setting. Mamani became the founder of neo-Andean architecture.
Born in 1948 near Bremen in Germany, Heinz Emigholz trained first as a draftsman before studying philosophy and literature in Hamburg. He began filmmaking in 1968 and has worked since 1973 as a filmmaker, artist, writer and producer in Germany and the USA. In 1974 he started his encyclopaedic drawing series “The Basis of Make-Up”. He looks back on numerous exhibitions, retrospectives, lectures and publications. In 1984 he started his film series “Photography and beyond”. He had held a professorship in Experimental Filmmaking at the Universität der Künste Berlin 1993-2013, and co-founded the Institute for Time-based Media and the Art and Media program, there. In 2003 Filmgalerie 451 started an edition of all his films on DVD. Publications a.o.: Krieg der Augen, Kreuz der Sinne (War of Eyes, Cross of Senses), Seit Freud gesagt hat, der Künstler heile seine Neurose selbst, heilen die Künstler ihre Neurosen selbst (Since Freud Said That the Artist Heals His Neuroses Himself, Artists Have Been Healing Their Neuroses Themselves), Normalsatz – Siebzehn Filme (Ordinary Sentence – Seventeen Films) and Das schwarze Schamquadrat (The Black Sqare of Shame) (all four books were published at Verlag Martin Schmitz); “Die Basis des Make-Up (I) and (II)”, “Der Begnadete Meier”, “Kleine Enzyklopädie der Photographie” (Small Encyclopaedia of Photography) and “Die Basis des Make-Up (III)” (in Die Republik No. 68-71, 76-78, 89-91, 94-97 and 123-125); Sense of Architecture with more than 600 photographs. Heinz Emigholz is a member of the Academy of the Arts in Berlin.
Laura Engelhardt
Catalogue : 2021Auftritt und Abgang von Mascha B. | Doc. expérimental | 4k | couleur | 14:0 | Allemagne, 0 | 2020
Laura Engelhardt
Auftritt und Abgang von Mascha B.
Doc. expérimental | 4k | couleur | 14:0 | Allemagne, 0 | 2020
"Entrance and Exit of Mascha B." suit une jeune femme dans un processus de transformation numérique. Dans les locaux d'une grande entreprise de visualisation architecturale, des opérations délicates donnent naissance à un rendu photo-réaliste, destiné à promouvoir un futur bureau. La pièce virtuelle est meublé et habité par Mascha B. et ses collègues numériques. Le processus de rendu final est accompagné d’un air extrait de l'opéra fantastique "Les Contes d'Hoffmann" (1881), dans lequel le héros tombe désespérément amoureux d’Olympia, une marionnette mécanique.
Laura Engelhardt est née en 1988 à Brême (Allemagne). Elle est diplômée en en architecture et en beaux-arts, après des études à Londres (Royaume-Uni), à Stuttgart (Allemagne) et à Berlin (Allemagne), et suit actuellement un programme de troisième cycle en cinéma à la Kunsthochschule für Medien, Cologne (Allemagne). Son travail porte sur les architectures construites et imaginées, ainsi que sur les relations fragiles entre le corps humain et son environnement. Ses films sont présentés dans des festivals et des expositions à l'international. Elle écrit et développe actuellement son premier long métrage.
Jérôme Enrico
Catalogue : 2007L'Art et la Manière - Coop Himmelb(l)au | Documentaire | betaSP | couleur | 26:0 | France | 2006

Jérôme Enrico
L'Art et la Manière - Coop Himmelb(l)au
Documentaire | betaSP | couleur | 26:0 | France | 2006
Présentation de l`oeuvre Coop Himmelblau est un collectif d?architectes fondé en 1968 par Wolf d. Prix et Helmut Swicinsky, qui a travaillé à de nombreux projets d?urbanisme, d?architecture et de désign partout dans le monde. Parmi les principales réalisations, on peut citer le maître plan de la ville de Melun-Sénart, l?Académie des Beaux-Arts de Munich, la transformations des anciens gazomètres en complexes d?habitation à Vienne, le Musée des confluences à Lyon, le Musée d?art d?Akron dans l?Ohio, l?aire centrale de la faculté de Los Angeles, l?opéra Guangzhou en Chine, le showroom BMW à Munich, la Banque Centrale Européenne à Francfort? En 1998, Marc Wigley analyse pour la première fois le déconstructivisme à l?occasion d?une exposition au MOMA. Sous ce nom, il rassemble les ?uvres de Franck Gehry, Daniel Libeskind, Rémi Coolhaas, Peter Eisenman, Zaha Hadid, Bernard Tschumi et du collectif Coop Himmelb(l)au
Fils de Robert Enrico, réalisateur des Grandes gueules (1965) et du Vieux fusil (1975), Jérôme Enrico débute au cinéma en tant qu'acteur, avec un petit rôle dans Un peu, beaucoup, passionnément... que son père met en scène en 1971. C'est cependant au début de la décénnie suivante qu'il entame véritablement une double carrière, à la fois d'assistant-réalisateur - Clara et les chics types (1980 ; Jacques Monnet) ? et de metteur en scène, puisqu'il signe deux courts métrages, Le rat noir d'Amérique (1981) et La dernière image (1983), qui sont, l'un et l'autres, couronnés dans différents festivals. En tant qu'assistant, il travaille notamment avec Gérard Oury et, surtout, Robert Enrico, sur Au nom de tous les miens (1983), Zone rouge (1985) et Vent d'est (1991) - où il est, pour la première fois, premier assistant-réalisateur. Il le restera pour Prêt-à-porter (1994 ; Robert Altman) et La reine Margot (1993 ; Patrice Chereau), film sur lequel il assure également la direction de la seconde équipe. En 2000, Jérôme Enrico réalise son premier long métrage, L'origine du monde, avec Roschdy Zem et Angela Molina.
Redmond Entwistle
Catalogue : 2010Belfast Trio | Doc. expérimental | 16mm | couleur | 10:20 | Royaume-Uni | 2009

Redmond Entwistle
Belfast Trio
Doc. expérimental | 16mm | couleur | 10:20 | Royaume-Uni | 2009
Revised synopsis Belfast Trio (Tea at Four O'Clock/The Hollow Ball/The Apprentice)is a sequence of three 3-minute films, which can be shown in different orders. Each film is a piece of a puzzle of which the three films form a whole. Taking their titles from classic mid-20th century novels of Belfast life, each film is at once a description of a film to be made, a conversation between characters in a love triangle, and a portrait of a city attempting to refashion itself for entry into a global economy. The films restage original interviews with professionals from the film and IT industry in Belfast, two industries through which the city hopes to attract investment and establish itsâ?? position within an international pecking order of knowledge economies and creative industries. Interwoven with these interviews are moments of melodrama and documentary explorations of redevelopment projects. The films were made with a crew drawn from Northern Irelandâ??s film industry, and allude to this image-making economy in which on the one hand local history has a market function, and on the other the city can stand-in for any number of other cities or time periods. Originally shown in three separate cinemas around Belfast before feature films, most of which were North American, the films hint at the promises and thwarted desires of mobility and economic participation at an international level that characterize the new economy.
Redmond Entwistle (b. London, 1977) is an artist-filmmaker currently living in New York. Entwistle employs documentary and abstract modes of film-making, often investigating histories of social displacement and creating portraits of cities anchored on the invisible or the implied. Recent works include Monuments (2009), a narrative exploration of the origins of Post-Minimalist art in the economic and spatial relationship between New York and New Jersey, Skein (2007), a video portrait of migration to the towns that spread out from New York, and Paterson ? Lódz (2006), a 16mm expanded film about two towns (Paterson, New Jersey, and Lódz, Poland) and their interrelated history of politics and migration in the early years of the 20th century. Redmond Entwistle studied at California Institute of the Arts and the Whitney Independent Study Program. He has presented projects at recent group shows at Miguel Abreu Gallery (NY), Nought to Sixty (ICA, London), a film performance at Gallery TPW (Toronto), and a recent solo exhibition at Belfast Exposed (UK).
Redmond Entwistle
Catalogue : 2013Walk-Through by | Doc. expérimental | hdv | couleur | 18:0 | Royaume-Uni | 2012

Redmond Entwistle
Walk-Through by
Doc. expérimental | hdv | couleur | 18:0 | Royaume-Uni | 2012
A film exploring the role and value of art education today through the history of the seminal California Institute of the Arts. WALK-THROUGH revisits the history of pioneering Los Angeles art school, the California Institute of the Arts, to explore wider questions about the purpose and value of education today. This newly commissioned film by artist filmmaker Redmond Entwistle will premier at Tramway for the Glasgow International Festival on 20th April. It will then tour to Cubitt Gallery, London, and International Project Space, Birmingham, reaching a wide audience through out the UK, with plans to tour further in the US and Europe.
Redmond Entwistle (b. London, 1977) is an artist and filmmaker based in New York and London. Working across a range of film forms from expanded cinema to narrative, his work has shown in both galleries and film festivals internationally. In 2008 his film Paterson ? Lódz won Best International Film On-Screen at Images Festival. His films have been included in recent group shows Nought to Sixty (ICA, London) and Greater New York: Artists Cinema (PS1 MOMA). His last film Monuments had its gallery premiere at Art in General in 2010 and had its festival premiere in competition at the Rotterdam International Film Festival 2010 and has been shown in a number of festivals and curated programs internationally including the National Gallery of Art Washington, Viennale, FID Marseilles, Hors Pistes at the Centre Pompidou, Argos Center for Art and Media, Anthology Film Archives and the Walker Art Center. His work is distributed by Lux Artists Film and Video.
Mélissa Epaminondi
Catalogue : 2015LAVEZZI | Vidéo | hdv | couleur | 12:35 | France | 2013
Mélissa Epaminondi
LAVEZZI
Vidéo | hdv | couleur | 12:35 | France | 2013
/Volumes/MELISSA-2/LAVEZZI/DIVERS/Paris Berlin Madrid/LAVEZZI SYNOPSIS .pdf
/Volumes/MELISSA-2/LAVEZZI/DIVERS/Paris Berlin Madrid/LAVEZZI BIOGRAPHIE .pdf
Mélissa Epaminondi, Esteban Ulrich
Catalogue : 2021Deconstructing Niemeyer | Doc. expérimental | mp4 | couleur | 1:9 | France | 2020
Mélissa Epaminondi, Esteban Ulrich
Deconstructing Niemeyer
Doc. expérimental | mp4 | couleur | 1:9 | France | 2020
Sur une succession d'images documentant le chantier de remise en état de la coupole du siège du Parti Communiste Français, la voix de l'architecte brésilien Oscar Niemeyer traverse le temps pour nous dévoiler le cœur de son œuvre et de sa pensée.
Mélissa Epaminondi est née en 1977. Elle vit et travaille entre Paris (France) et Oletta (Corse, France). Elle est DPLG diplômée de l’École d’Architecture de Luminy Marseille (France). Architecte et artiste, son travail reflète une vision sensible en même temps qu’une réflexion étayée sur les questions environnementales. Elle poursuit sa pratique initiale et réalise des films, vidéos et installations. Esteban Ulrich est né à Buenos Aires, Argentine, en 1975 il étudie dans des écoles françaises avant de commencer sa carrière professionnelle chez Los Inrockuptibles, la version argentine du magazine français. Depuis, il se partage entre le journalisme, le cinéma, la photographie et l'expérimentation avec les nouvelles technologies appliquées à l'art et aux médias. Il vit à Paris (France) depuis 2015.
Catalogue : 2020Princess | Vidéo | hdv | couleur | 6:31 | France, USA | 2019
Mélissa Epaminondi
Princess
Vidéo | hdv | couleur | 6:31 | France, USA | 2019
Défilent les façades de Brooklyn NY sur le trajet de l'aéroport. Au volant du taxi, Princess raconte son quotidien. Vis-à-vis / visage-à-visage / de corps de bâtiment à corps de bâtiment Fenêtres, bow-window, blocs, entrée, store, ventilateur de plafond, ONE WAY, bow-window, porche, CHINESE KITCHEN, fenêtre à guillotine, arbre, nuit, pluie, intérieure lumière jaune, guirlande, lumière rouge appartement, blanche, STOP, brique, bardage, bâche, bardage bois, fenêtre à guillotine, appuis de fenêtre, intérieur lumière jaune, linteau blanc, vitrine, escalier, GROCERY, DELI GROCERY, rideau, ampoules blanches…
Mélissa Epaminondi, née en 1977, travaille entre Paris et Oletta (Corse). Diplômée de l’Ecole d’Architecture de Marseille Luminy, architecte et artiste, elle poursuit sa pratique initiale et réalise des films, vidéos et installations. En 2009 elle co-fonde le collectif L140. Dans le prolongement des bâtiments qu’elle construit, ses films, vidéos et installations sont des architectures projectives révélant l’inconscient individuel ou collectif.
Catalogue : 2017La Villa | Vidéo | hdv | couleur | 5:34 | France | 2016
Mélissa Epaminondi
La Villa
Vidéo | hdv | couleur | 5:34 | France | 2016
LA VILLA Etre dans sa maison L’été 2016, je filme le caveau familial à peine achevé. Cet ouvrage minimaliste, projet de mon père, est bâti dans le cimetière d`Oletta en Corse. Le marbre de Carrare, reflète dans sa permanence l`architecture du village dont certaines villégiatures.
Mélissa Epaminondi est née en 1977. Elle vit et travaille entre Paris et Oletta (Corse). Elle est diplômée de l’Ecole d’Architecture de Marseille Luminy. Architecte et artiste, elle poursuit sa pratique initiale et réalise des films, vidéos et installations. Depuis 2008 elle mène son activité d’architecte au sein du collectif L140. Elle enseigne l’art-vidéo à l’Université de Corse Pascal Paoli. Dans le prolongement des bâtiments qu’elle construit, ses films, vidéos et installations sont des architectures projectives révélant l’inconscient individuel ou collectif. Les références à la culture populaire sont présentes dans ses oeuvres dont l’univers part d’un regard alternativement amusé et grinçant sur le monde. Tout dans son travail est à la faveur des projections mentales. Chaque non-dit, chaque manque, chaque vide permet l’ambiguité. Les objets y sont transitionnels, faisant appel à la mémoire, à l’interprétation, au désir à la faveur d`un renversement du regard. Les mouvements de caméra sont synthétiques. S’ils ne suivent pas la trajectoire du corps qui porte la caméra ils s’opèrent grâce à un mécanisme présent sur place au moment du tournage.
Catalogue : 2016Il Grattacielo Nuovo | Film expérimental | hdv | couleur | 8:10 | France, Italie | 2015
Mélissa Epaminondi
Il Grattacielo Nuovo
Film expérimental | hdv | couleur | 8:10 | France, Italie | 2015
La place Castello est surmontée de l’une des transformations urbaines les plus discutées de la ville de Sassari, construite par Fernando Clemente en 1965. Ce bâtiment, baptisé “Il Grattacielo Nuovo”, a été le premier édifice d’architecture moderne en Sardaigne. Le gratte-ciel est visible de tous les points de la ville, et jusqu’en 1970 une étoile filante lumineuse était installée à son sommet pendant les fêtes de Noël. Dans le même période, entre 1965 et 1970 l’homme a rejoint la Lune. Le film est une évocation de la chute des utopies. Deux plans séquences se succèdent : l’un suit le mouvement vertical de la nacelle électrique suspendue à la façade est du gratte-ciel en cours de rénovation ; l’autre, vue du ciel, traverse horizontalement la ville de Sassari depuis la campagne périurbaine jusqu’au centre historique de la place Castello. Sous la forme d’un karaoké la lecture de ces images est accompagnée par la chanson I want to know dans laquelle Adriano Celentano critique la société, son mode de vie et son urbanisme. Ce titre sort en 1976 dans les premières années d`existence de cette tour symbole de modernité. Sur la place Castello j’ai installé une sculpture représentant une étoile filante en métal. Elle est posée à l’horizontale au centre de la place à même le sol. Elle a été réalisée selon le dessin de l’artiste sarde Leonardo Boscani, faisant appel à son souvenir d’enfant.
Née en 1977 à Bastia, Mélissa Epaminondi est architecte et artiste, elle vit et travaille entre la Corse et Paris. Elle s’est engagée dans un processus de travail établissant des liens entre l’art et l’architecture au travers de la notion de projection. Son approche architecturale lui permet d’appréhender l’installation et l’art vidéo d’une manière singulière, questionnant le rapport entre le corps, l’architecture et le cinéma. Elle s’attache particulièrement aux espaces en lien avec l’intime. Depuis 2008 elle mène également son activité au sein du collectif l 140 (bureau de conception de projets d’art et d’architecture). Depuis 2013 Mélissa Epaminondi est représentée par la société de production Stanley White au sein de laquelle le producteur et historien d’art Fabien Danesi accompagne ses projets cinématographiques.
Mélissa Epaminondi
Catalogue : 2021Deconstructing Niemeyer | Doc. expérimental | mp4 | couleur | 1:9 | France | 2020
Mélissa Epaminondi, Esteban Ulrich
Deconstructing Niemeyer
Doc. expérimental | mp4 | couleur | 1:9 | France | 2020
Sur une succession d'images documentant le chantier de remise en état de la coupole du siège du Parti Communiste Français, la voix de l'architecte brésilien Oscar Niemeyer traverse le temps pour nous dévoiler le cœur de son œuvre et de sa pensée.
Mélissa Epaminondi est née en 1977. Elle vit et travaille entre Paris (France) et Oletta (Corse, France). Elle est DPLG diplômée de l’École d’Architecture de Luminy Marseille (France). Architecte et artiste, son travail reflète une vision sensible en même temps qu’une réflexion étayée sur les questions environnementales. Elle poursuit sa pratique initiale et réalise des films, vidéos et installations. Esteban Ulrich est né à Buenos Aires, Argentine, en 1975 il étudie dans des écoles françaises avant de commencer sa carrière professionnelle chez Los Inrockuptibles, la version argentine du magazine français. Depuis, il se partage entre le journalisme, le cinéma, la photographie et l'expérimentation avec les nouvelles technologies appliquées à l'art et aux médias. Il vit à Paris (France) depuis 2015.
Catalogue : 2020Princess | Vidéo | hdv | couleur | 6:31 | France, USA | 2019
Mélissa Epaminondi
Princess
Vidéo | hdv | couleur | 6:31 | France, USA | 2019
Défilent les façades de Brooklyn NY sur le trajet de l'aéroport. Au volant du taxi, Princess raconte son quotidien. Vis-à-vis / visage-à-visage / de corps de bâtiment à corps de bâtiment Fenêtres, bow-window, blocs, entrée, store, ventilateur de plafond, ONE WAY, bow-window, porche, CHINESE KITCHEN, fenêtre à guillotine, arbre, nuit, pluie, intérieure lumière jaune, guirlande, lumière rouge appartement, blanche, STOP, brique, bardage, bâche, bardage bois, fenêtre à guillotine, appuis de fenêtre, intérieur lumière jaune, linteau blanc, vitrine, escalier, GROCERY, DELI GROCERY, rideau, ampoules blanches…
Mélissa Epaminondi, née en 1977, travaille entre Paris et Oletta (Corse). Diplômée de l’Ecole d’Architecture de Marseille Luminy, architecte et artiste, elle poursuit sa pratique initiale et réalise des films, vidéos et installations. En 2009 elle co-fonde le collectif L140. Dans le prolongement des bâtiments qu’elle construit, ses films, vidéos et installations sont des architectures projectives révélant l’inconscient individuel ou collectif.
Catalogue : 2017La Villa | Vidéo | hdv | couleur | 5:34 | France | 2016
Mélissa Epaminondi
La Villa
Vidéo | hdv | couleur | 5:34 | France | 2016
LA VILLA Etre dans sa maison L’été 2016, je filme le caveau familial à peine achevé. Cet ouvrage minimaliste, projet de mon père, est bâti dans le cimetière d`Oletta en Corse. Le marbre de Carrare, reflète dans sa permanence l`architecture du village dont certaines villégiatures.
Mélissa Epaminondi est née en 1977. Elle vit et travaille entre Paris et Oletta (Corse). Elle est diplômée de l’Ecole d’Architecture de Marseille Luminy. Architecte et artiste, elle poursuit sa pratique initiale et réalise des films, vidéos et installations. Depuis 2008 elle mène son activité d’architecte au sein du collectif L140. Elle enseigne l’art-vidéo à l’Université de Corse Pascal Paoli. Dans le prolongement des bâtiments qu’elle construit, ses films, vidéos et installations sont des architectures projectives révélant l’inconscient individuel ou collectif. Les références à la culture populaire sont présentes dans ses oeuvres dont l’univers part d’un regard alternativement amusé et grinçant sur le monde. Tout dans son travail est à la faveur des projections mentales. Chaque non-dit, chaque manque, chaque vide permet l’ambiguité. Les objets y sont transitionnels, faisant appel à la mémoire, à l’interprétation, au désir à la faveur d`un renversement du regard. Les mouvements de caméra sont synthétiques. S’ils ne suivent pas la trajectoire du corps qui porte la caméra ils s’opèrent grâce à un mécanisme présent sur place au moment du tournage.
Catalogue : 2016Il Grattacielo Nuovo | Film expérimental | hdv | couleur | 8:10 | France, Italie | 2015
Mélissa Epaminondi
Il Grattacielo Nuovo
Film expérimental | hdv | couleur | 8:10 | France, Italie | 2015
La place Castello est surmontée de l’une des transformations urbaines les plus discutées de la ville de Sassari, construite par Fernando Clemente en 1965. Ce bâtiment, baptisé “Il Grattacielo Nuovo”, a été le premier édifice d’architecture moderne en Sardaigne. Le gratte-ciel est visible de tous les points de la ville, et jusqu’en 1970 une étoile filante lumineuse était installée à son sommet pendant les fêtes de Noël. Dans le même période, entre 1965 et 1970 l’homme a rejoint la Lune. Le film est une évocation de la chute des utopies. Deux plans séquences se succèdent : l’un suit le mouvement vertical de la nacelle électrique suspendue à la façade est du gratte-ciel en cours de rénovation ; l’autre, vue du ciel, traverse horizontalement la ville de Sassari depuis la campagne périurbaine jusqu’au centre historique de la place Castello. Sous la forme d’un karaoké la lecture de ces images est accompagnée par la chanson I want to know dans laquelle Adriano Celentano critique la société, son mode de vie et son urbanisme. Ce titre sort en 1976 dans les premières années d`existence de cette tour symbole de modernité. Sur la place Castello j’ai installé une sculpture représentant une étoile filante en métal. Elle est posée à l’horizontale au centre de la place à même le sol. Elle a été réalisée selon le dessin de l’artiste sarde Leonardo Boscani, faisant appel à son souvenir d’enfant.
Née en 1977 à Bastia, Mélissa Epaminondi est architecte et artiste, elle vit et travaille entre la Corse et Paris. Elle s’est engagée dans un processus de travail établissant des liens entre l’art et l’architecture au travers de la notion de projection. Son approche architecturale lui permet d’appréhender l’installation et l’art vidéo d’une manière singulière, questionnant le rapport entre le corps, l’architecture et le cinéma. Elle s’attache particulièrement aux espaces en lien avec l’intime. Depuis 2008 elle mène également son activité au sein du collectif l 140 (bureau de conception de projets d’art et d’architecture). Depuis 2013 Mélissa Epaminondi est représentée par la société de production Stanley White au sein de laquelle le producteur et historien d’art Fabien Danesi accompagne ses projets cinématographiques.
Zachary Epcar
Catalogue : 2021The Canyon | Fiction expérimentale | 16mm | couleur | 15:43 | USA | 2020
Zachary Epcar
The Canyon
Fiction expérimentale | 16mm | couleur | 15:43 | USA | 2020
Un portrait d’un complexe résidentiel urbain qui tombe dans l'oubli. Plus de beaux bébés, plus de chaises en rotin emballées à la main.
Zachary Epcar est né à San Francisco (USA). Il est réalisateur, et ses œuvres ont notamment été présentées au New York Film Festival (USA); au Toronto International Film Festival (Canada); au Festival international du film de Rotterdam (Pays-Bas); au Museum of Contemporary Art Chicago (USA); et à la Pacific Film Archive, Berkeley (USA).
Catalogue : 2020Billy | Fiction expérimentale | 16mm | couleur | 8:3 | USA | 2019
Zachary Epcar
Billy
Fiction expérimentale | 16mm | couleur | 8:3 | USA | 2019
The reenactment of a scene from a primetime soap opens this domestic psychodrama, an anxious look into the horrors of interior decoration and the boundless entanglement of things.
Zachary Epcar (b. San Francisco) is a filmmaker whose work has screened at the New York Film Festival, Toronto International Film Festival, International Film Festival Rotterdam, Museum of Contemporary Art Chicago, Pacific Film Archive, Ann Arbor Film Festival, Rencontres Internationales, Onion City, Images Festival, and elsewhere.
Catalogue : 2019Life After Love | Film expérimental | 16mm | couleur | 8:25 | USA | 2018
Zachary Epcar
Life After Love
Film expérimental | 16mm | couleur | 8:25 | USA | 2018
A shifting in the light of the lot, where parked cars become containers for a collective estrangement.
Zachary Epcar (b. 1987, San Francisco) has screened at the New York Film Festival - Projections, Pacific Film Archive, Ann Arbor Film Festival, San Francisco Cinematheque's Crossroads, Images Festival, Rencontres Internationales Paris / Berlin, the Rotterdam, Edinburgh, San Francisco International Film Festivals, and elsewhere. He studied at Bard College and is a current MFA candidate in the Film, Video, Animation, & New Genres program at the University of Wisconsin Milwaukee.
Catalogue : 2017Return to Forms | Film expérimental | 16mm | couleur | 10:13 | USA | 2016
Zachary Epcar
Return to Forms
Film expérimental | 16mm | couleur | 10:13 | USA | 2016
A constellation of objects, each emerging into the soft peach-light void of an indeterminate condominium space.
Zachary Epcar (b. 1987, San Francisco) is a film and video maker based in Oakland, California. His work has shown at the New York Film Festival - Projections, Ann Arbor Film Festival, San Francisco Cinematheque’s Crossroads, Les Rencontres Internationales Paris/Berlin, Images Festival, and the Rotterdam, Edinburgh, and San Francisco International Film Festivals.
Catalogue : 2016Night Swells | Vidéo | hdv | couleur | 5:14 | USA | 2015
Zachary Epcar
Night Swells
Vidéo | hdv | couleur | 5:14 | USA | 2015
And you love that humid atmosphere/ And you look so lush under glass.
Zachary Epcar (b. 1987, San Francisco) is a film and video maker currently based in Oakland, California. His work has shown at the New York Film Festival - Projections, Ann Arbor Film Festival, San Francisco Cinematheque’s Crossroads, FLEXfest, Images Festival, 25 FPS, and the Rotterdam, Edinburgh, and San Francisco International Film Festivals.
Andro Eradze
Catalogue : 2023Raised in the Dust | Vidéo | 4k | couleur | 7:45 | Georgie | 2022

Andro Eradze
Raised in the Dust
Vidéo | 4k | couleur | 7:45 | Georgie | 2022
Inspired by Donna Haraway and John Berger’s contemporary theories on interspecies relations, Andro Eradze fills the frames of his works with plants and animals poised to exceed their boundaries. His camera follows scenes on the cusp of something undefined: a smouldering campfire, a stormy forest of wind-whipped trees, a flooding football pitch. Accompanied by haunting, transcendent soundtracks, his films feel like a compilation of the transitional moments of a feature film, leaving the viewer with a sense of expansive anticipation. Eradze’s new video installation for The Milk of Dreams, titled Raised in the dust (2022), stems from the conclusion of classical Georgian poet Vazha-Pshavela’s The Snake Eater (1901). The poem’s protagonist has a supernatural talent for understanding the language of nature; he must decide between his connection to nature and his social responsibilities, ultimately bowing to the latter. Eradze’s film takes place in a forest. Taxidermized animals appear one by one, disturbed by an uproar of New Year’s Eve fireworks. Critical of the human carnival that is disruptive, toxic, and fatal for wildlife, Eradze’s film repositions fireworks as an entry point onto the dark and mythological side of the forest, a world of plants, animals, and phantoms.
Andro Eradze (b. 1993) lives and works in Tbilisi, Georgia. He studied at the Shota Rustaveli Film Academy, as well as CCA-T (Center of Contemporary Art Tbilisi) MFA program. His works meditate on the qualitative nature of images, still as well as moving. Working primarily in Georgia, Eradze experiments with introducing narratives to the outskirts of human habitation, in the literal and figurative sense. The feeling of an uncanny, non-anthropocentric presence in his works invites the viewer to the liminal space between the subjective and the visceral, between cognition, perception and the alien otherness of non-human experience. Animals, objects, plants, and digital artifacts permeate a sense of presence in a landscape that exists simultaneously parallel and entangled human experience. Eradze’s practice investigates the potentiality of animism as method. Photography, installations, experimental cinema practices and video blend into a project contemplating the fading present, in which the Anthropocene is faltering, and everything operates independently of it. Building upon the legacy of alternative approaches to reality—surrealism and magical realism—his images blur the distinction between the imaginary and the real.
Daniel Erb, Patrik METZGER
Catalogue : 2007West-Berlin | Documentaire | dv | couleur | 3:47 | Allemagne | 2006

Daniel Erb, Patrik METZGER
West-Berlin
Documentaire | dv | couleur | 3:47 | Allemagne | 2006
Histoires de l'est de Berlin-Ouest. Ou pourquoi Berlin-Ouest se trouve très loin en République kalmouke.
DANIEL ERB, né le 08/08/1976 Cameraman et cinéaste. Sélection de films: DIE AFFEN IN DEN BÄUMEN DES ODYSSEUS (1999), film documentaire expérimental IN MEMORIAM (2003), clip documentaire PARTISAN (2004), film documentaire THE PICK-UP (2004), court-métrage 2800km NACH HAUSE (2005), film documentaire court PATRIK METZGER, né le 19.05.1969 Sélection de films: FUNKEL (2002), film d'animation
Köken Ergun
Catalogue : 2007The Flag | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 9:1 | Turquie | 2006

Köken Ergun
The Flag
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 9:1 | Turquie | 2006
?The Flag? ('Le Drapeau') est la seconde partie de la série de vidéos de Köken Ergun sur les cérémonies contrôlées par l?état en Turquie lors de fêtes nationales. Tourné lors du ?Jour des Enfants? du 23 avril, date qui marque la mise en place du nouveau parlement turc et la chute officielle de l?Empire Ottoman en 1920, ce film témoigne d?une représentation patriotique pompeuse conçue par les adultes dans le but d'être mise en scène par des enfants. Durant la cérémonie, présidée par le maire et le gouverneur d?Istanbul et avec la participation d?un général de haut rang, les élèves d?une école primaire lisent à voix haute des poèmes et des serments. Le patriotisme se métamorphose alors en nationalisme pur et dur. L?un des textes, ?Le Drapeau?, est récité par une petite fille qui jure de ?détruire le nid de tous les oiseaux qui ne saluent pas le drapeau [de son pays] durant son vol? et de ?creuser la tombe de toutes les personnes qui ne regardent pas le drapeau [comme elle le fait].?
Né à Istanbul, Köken Ergun a été l?élève du dramaturge Güngör Dilmen et de l?actrice Yildiz Kenter au Conservatoire d?état d?Istanbul et il a effectué son diplôme de troisième cycle au King?s College de Londres. De 1998 à 2002 il a travaillé avec le réalisateur américain Robert Wilson. Ergun a également travaillé avec Aydin Teker à Istanbul en jouant dans ?Density? et ?iiao?. En septembre 2001, Ergun a présenté ?öte-oceanwide?, un projet d?installation/performance, à l?occasion de la Biennale d?Istanbul avec Carlos Soto, Ferhat Karakaya et Dominic Reeves. Bénéficiaire de l?American Center Foundation et de la Jerome Robbins Foundation, Ergun a plus récemment exposé une installation sonore à Kiasma à Helsinki. Il écrit actuellement sa thèse à l?Istanbul Bilgi University sur ?L?Elément de stress sur le corps contemporain dans les nouveaux arts médiatiques d?aujourd?hui.? La résidence d?Ergun à Location One est financée par la Jerome Robbins Foundation ; le Ministère des affaires étrangères de Turquie, Mavi Jeans ; Istanbul Bilgi University, le Marmara-Manhattan et le Moon and Stars Project.
Jan Erichsen
Catalogue : 2016Destroyer | Vidéo | hdv | couleur | 1:30 | Norvège | 2015
Jan Erichsen
Destroyer
Vidéo | hdv | couleur | 1:30 | Norvège | 2015
Destroyer is a video where several plants and food items are demolished in a dramatic fashion. A variety of kinetic sculptures have been constructed with the sole purpose of destroying these things most efficiently. In the video you can see the artist operating the machines in a very calm manner, sometimes destroying the object and sometimes doing little more damage than knocking it over.
Jan Hakon Erichsen is a Norwegian artist who works within a variety of media focusing on topics like fear, anger and frustration. He has spent several years perfecting a D.I.Y aesthetic with found objects being the main source of work material. Erichsen has exhibited widely in Norwegian and international galleries and partaken in numerous international video festivals after he finished his education at the National Academy of Arts in Oslo.
Jonas Erler
Catalogue : 2025Der Junge mit dem Perlenohrring | Fiction expérimentale | 16mm | couleur | 8:33 | Allemagne | 2023
Jonas Erler
Der Junge mit dem Perlenohrring
Fiction expérimentale | 16mm | couleur | 8:33 | Allemagne | 2023
The boy is familiar with his surroundings. His path is linear and without any detours. Slowly, doubts creep into his mind and he begins to question the status quo. Where does his path lead?
Jonas Erler is studying at the Academy of Fine Arts Leipzig (HGB) in the class of Heidi Specker. In 2022 he took part in the Connecting Talents program "Visegrád in Short(s)" of Filmfest Dresden under the mentorship of Csaba Bollók and in 2024 in the Oberhausen Seminar. He works closely with the Chemnitzer Filmwerkstatt. Currently he is working as assistant director for Luise Donschen.
Ryan Ermacora, Johnson, Jessica
Catalogue : 2016Ocean Falls | Doc. expérimental | 16mm | couleur | 13:14 | Canada | 2015
Ryan Ermacora, Johnson, Jessica
Ocean Falls
Doc. expérimental | 16mm | couleur | 13:14 | Canada | 2015
"We imagine the lives under the mortar, but how do we recognize the end of a bottomless silence?" - Michel-Rolph Trouillot
Ryan Ermacora (1991, British Columbia) and Jessica Johnson (1988, Nova Scotia) are award winning filmmakers based in Vancouver, B.C. Their work investigates the traces of history in landscape. While they make documentaries and documents, they’re critical of the genre`s claim to truth and objectivity, therefore they approach their practise using structuralist, self-reflexive and affective strategies to undermine the possibility of those claims in their own work. As a result, their films are often materially playful and inventive. They have screened at the Vancouver International Film Festival, DOXA Documentary Film Festival, WNDX: Festival of Moving Image, and as a two channel film installation at the Alternator Center for Contemporary Art.
Louise Ernandez
Catalogue : 2017Sarragan | Documentaire | hdv | couleur | 10:36 | France | 2015
Louise Ernandez
Sarragan
Documentaire | hdv | couleur | 10:36 | France | 2015
Quatre hommes creusent sans relâche une montagne. De cette excavation née un palais aux mille couloirs et colonnades. L’homme et le calcaire s’affrontent au cœur d’un conflit d’échelle et de matières, en sort un lien unique et perceptible, une métaphore de ce que nous sommes, de nos origines.
Louise Ernandez est une jeune diplômée de la promotion 2015 de la section Photo-Vidéo de l’école Nationale Supérieur des Arts Décoratifs (ENSAD). Après 10 ans de pratique en autodidacte de la photographie argentique, elle a développé durant son cursus a l’Ensad son langage visuel vidéographique qui se compose lui aussi de lumières naturelles, cherchant la limite entre la réalité et l’abstrait. Elle explore dans celle-ci la dualité entre la présence et l’absence et la nostalgie qui s’en dégage.