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Viet Hoai Son Cao
Catalogue : 2019Neon Sarcophagus | Doc. expérimental | hdv | couleur | 15:29 | Viet nam | 2018
Viet Hoai Son Cao
Neon Sarcophagus
Doc. expérimental | hdv | couleur | 15:29 | Viet nam | 2018
In a far away village Hai Hau of Vietnam, a group of Christians are building a spaceship to fly to the moon.
Cao Viet Hoai Son (Cao Viet Hoài S?n) was born in 1994, Hanoi, Vietnam. He was a film student in a collaborate course of Hanoi Academy of Theatre & Cinematography and Belgium Institut Supérieur des Arts. He is interested about human connections and inner desires
Gustavo Caprin
Catalogue : 2007Chamber Piece | Vidéo expérimentale | betaSP | couleur | 11:20 | Argentine, Espagne | 2005
Gustavo Caprin
Chamber Piece
Vidéo expérimentale | betaSP | couleur | 11:20 | Argentine, Espagne | 2005
La vidéo explore la fonctionnalité particulière de certains objets qui sont dans un état de candeur apparente : un livre d´art devient un modèle d´exercices sur le corps humain.
Gustavo Caprín est né en 1968 à Buenos Aires, Argentine. Il obtient un diplôme en Peinture aux Beaux Arts Prilidiano Pueyredón de Buenos Aires en 1992, et vient d´achever des études Post diplôme avancées à l´Université de Barcelone, Espagne, en 2005. Son oeuvre a été exposée régulièrement lors d'expositions individuelles depuis 1994. Parmi les plus récentes on peut citer des expositions à la Casa Elizade (Espagne, 2003), la Galerie Ross Farell (Etats-Unis, 1999) et le Musée Fernán Félix de Amador (Argentine, 1997). Il a égelement pris part dans de nombreuses expositions de groupe aux Etats-Unis (Galerie Kantor, Gallerie 121/los Angeles), en Espagne (Casa de America/Madrid, Casa de Cultura/Girona), en Italie (Casa Argentina/Rome, Festival Unimovie/Pescara), au Canada (6éme Biennale Champ Libre/Montréal, Galerie Shift/Toronto), en Colombie (Museo de Arte Moderno/Bogóta), au Pérou (Centro Cultural España/Lima), ainsi que dans d´autres pays européens et sud-américains. Il a vécu à Pasadena, californie, Etats-Unis, en 1999/2000 Il vit et travaille à Barcelone, Espagne, depuis 2001.
Caraballo-farman
Catalogue : 2006Normal behavior after shipwreck | Art vidéo | dv | couleur | 4:0 | USA, Argentine | 2004
Caraballo-farman
Normal behavior after shipwreck
Art vidéo | dv | couleur | 4:0 | USA, Argentine | 2004
Un vieux couple danse un tango sans musique.
Caraballo-Farman est un duo basé à New York. Ils collaborent sur divers projets artistiques depuis cinq ans. En duo, ils ont présenté leurs oeuvres lors de divers événements internationaux, et ont remporté plusieurs prix et bourses.
Eneos Carka
Catalogue : 2021The First Few Moments of the First of January | Film expérimental | mov | couleur | 12:39 | Albanie | 2020
Eneos Carka
The First Few Moments of the First of January
Film expérimental | mov | couleur | 12:39 | Albanie | 2020
Un film est projeté dans une chambre où dort une femme. Le personnage du film parle de l'avenir de l'humanité et ses paroles pénètrent dans la tête de la femme, envahissant son subconscient.
Eneos Çarka (1996, Albanie) a commencé sa formation cinématographique à l'Université des Arts d'Albanie en réalisation. Il a reçu la bourse du Government Fund of Excellence pour faire un Master en études cinématographiques au University College London (Royaume-Uni), où il a obtenu son diplôme avec distinction. Il fait actuellement partie de la 8e génération de DocNomads, un master conjoint Erasmus Mundus en Documentaire de création. Ses courts documentaires se concentrent sur les études de personnages et traitent souvent des thèmes de l'identité, de la migration et des relations familiales. Il porte une attention particulière aux problématiques des représentations, expérimentant différentes approches du cinéma documentaire. Son premier long métrage documentaire est actuellement en post-production.
Maia Cybelle Carpenter
Catalogue : 2006Lasso | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 6:0 | France, Canada | 2005
Maia Cybelle Carpenter
Lasso
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 6:0 | France, Canada | 2005
Ma médiation sur "The Wild West" : c'est un film spacial pur. J'ai exploré le potentiel virtuel de la ligne d'horizon pendant que je cadrais cette expérience spaciale.
Maïa Cybelle Carpenter est une artiste des images en mouvement et conservatrice qui est née en 1975 et a été élevée entre New York et le sud de la France. Elle a achevé un BA en Women?s Studies/Film Theory à Barmard College, à l?Université Colombia (1997) et possède un MFA de Film/Video/New Media Dept. De la School of the Art Institute of Chicago (2001). Elle habite en ce moment à San Fransisco et New York. Ses films et vidéos ont été exposé internationalement dans des festivals de films, des cinémathèques, des musées, des centres artistiques et des galeries. On peut compter dans ses expositions : Ars Electronica, Pacific Film Archives, The Ontario Cinematheque, Anthology Film Archives, Exit Art Gallery NY, Rencontres Internationales Paris/Berlin, Paris Cinema de la Clef ?Cinemas Differents?, Telluride International Experimental Film Festival, Yerba Buena Center for the Arts, The InterMedia Arts Center of Minneapolis, The Taiwan Cinematheque, PBS Television, Eye Drum Gallery, and recently, the First International Film Festival of Sexuality and Gender Plurality à Mumbai, Inde. Le Spring 2003 International Film and Video Journal comprend une édition limite de DVD et d?essais théoriques écrits pat Mary Slaughter sur la première ?uvre de Maïa en 16 mm ??Site Visit??. La cinémathèque de San Fransisco a récemment présenté une mini rétrospective de ses ?uvres eu Yenda Buena Center for Arts en tant que partie de leur ??Fresh Eyes Series? ? (octobre 2002). En plus de sa production artistique, Maïa est une conservatrice active de films et de programmes vidéos depuis 1996. En 1997, elle travaillait en tant que directrice des programmes pour MIX NYC : The New York Lesbian and Gay Experimental Film/Video Festival et a donc apporté son support aux programmes du festival. Elle a aussi été le juge pour les femmes dans la Director Chair 20th Anniversary Film/Video Festival en 2000 et juge à la New York Foundation for Arts Video Artists Fellowship Panel pour les bourses de 2002. L?été 2004, elle est venu visitée en tant que conservatrice la Cinémathèque de San Francisco, membre du Canyon Cinema et coordinatrice des Golden Gates Aards ainsi que programmatrice des courts métrages pour le San Francisco International Film Festival. Maïa a enseigné le travail manuel du film et des ateliers de techniques alternatives ainsi que donné des cours en tant qu?artiste invité à la School off the Art Institute off Chicago, la Academy off Arts de San Francisco et au Mills College, Liason of Independent Filmmakers de Toronto et au Phil Hoffman?s Independent Image-Making Retreat dans l?Ontario, Canada. La nouvelle ?uvre de Maïa en 16 mm, Working Portraits, fut projette comme travail en cours lors de l?édition 2005 du MIXNYC, Inside/Out, et du OutfestSon installation vidéo, Lasso fut projette comme travail en cours au Yerba Buena Center for the Arts dans une cinémathèque de San Francisco pour le programme 2004. Sa production actuelle est un long métrage bilingue (français-anglais) expérimental et narratif sur 16 mM titré "Nous". Ses ?uvres sont distribuées par Canyon Cinema et Canadian Filmmakers Distribution Centre.
Steve Carr
Catalogue : 2012Burn Out | Vidéo | | couleur | 4:53 | Nouvelle-Zélande | 2009
Steve Carr
Burn Out
Vidéo | | couleur | 4:53 | Nouvelle-Zélande | 2009
Burn Out, 2009 16mm transferred to DVD Duration 4 mins 53 secs
Steve Carr is an artist living and working in Auckland, New Zealand. In 2002 he completed his MFA (1st Class honours) from Elam School of Fine Arts, Auckland University. His work has been in many major national and international exhibitions including Videos of New Zealand, a touring exhibition through New Zealand, Germany and Denmark. He also represented New Zealand at the Busan Biennale, Metropolitan Art Museum, South Korea in 2006. In 2010 he was the recipient of the Sapporo Artist in Residence in Japan. Steve is represented in New Zealand by Michael Lett Gallery and in Melbourne, Australia by Kalimanrawlins Gallery.
Sidse Carstens
Catalogue : 2013Contact | Vidéo | hdv | couleur | 8:25 | Danemark | 2012
Sidse Carstens
Contact
Vidéo | hdv | couleur | 8:25 | Danemark | 2012
In the video "Contact" Sidse Carstens seeks to change our collective awareness of Marilyn Monroe through rituals and manifestations in collaboration with performance artist Ramona Macho and a spiritual medium. "Contact" has been exhibited i connection with "Mirror Mirror" at The Black Diamant, Copenhagen.
Sidse Carstens lives and works as film director and visual artist in Copenhagen, Denmark. Main themes in the works of Sidse Carstens are displacement and transformation. Through film, video and images she examines the transition between fiction and reality. She is educated as an animation director from The National Film School of Denmark. Sidse Carstens is a member of the Danish Film Directors Association, and her work is supported by i.a. The Danish Filminstitute / filmworkshop and The Danish Arts Agency. Her films are exhibited and screened both in Denmark and internationally. Together with the Danish writer Katrine Grünfeld, she is the director of an artists? workspace and salon in Copenhagen.
Catalogue : 2011Show Dream | Art vidéo | 16mm | couleur | 13:30 | Danemark | 2009
Sidse Carstens
Show Dream
Art vidéo | 16mm | couleur | 13:30 | Danemark | 2009
Show Dream is an emotionally disturbing film. It explores the world of transformation and dreams. The conjurer, the avenger, the woman with a new face, the horse and the egg woman is the four characters presented in Show Dream The film is a metamorphosis, we are thrust straight in to the middle of the story. There is no explanation to the rising questions; what?s burning? Why is that woman being made up? Where is she going? In Show Dream we detect the story before it happens ? something happened before we enter the scene ? and we leave the stage before the story ends. These unfinished stories, events before events will stick with the viewer long after the film finishes.
Sidse Carstens (1971) graduated in 2000 as an Animation Director from The National Film School of Denmark. She now works as Film director and visual artist in Copenhagen, Denmark. Her films have been screened at some of the most well renowned museums and galleries in Denmark and international at festivals. Her work is funded by Danish Film Institute and The Danish Arts Agency. Recently Sidse Carstens directed several music videos for the Danish band "Under Byen". She teaches courses in artfilm at The National Film school and recently guest edited a volume of the Danish Film director Association Magazine. In the summer of 2010 Sidse Carstens was invited to Northcap Norway, as Artist in Residency there. She is currently finishing a new film shot in Norway during her residency.
Quimu Casalprim
Catalogue : 2010ZEITRISS | Fiction expérimentale | 16mm | couleur et n&b | 11:0 | Allemagne | 2009
Quimu Casalprim
ZEITRISS
Fiction expérimentale | 16mm | couleur et n&b | 11:0 | Allemagne | 2009
L`immobilité physique bascule vers une fissure dans le temps. Tout s`effondre dans une expérience de lumière, de bruit et de mouvement.
Charley Case
Catalogue : 2007Friday, June 18, 1999, City of London | Documentaire | betaSP | noir et blanc | 8:12 | Belgique, Royaume-Uni | 1999
Charley Case
Friday, June 18, 1999, City of London
Documentaire | betaSP | noir et blanc | 8:12 | Belgique, Royaume-Uni | 1999
Alors que les groupes élitistes qui contrôlent l?Etat et le capital deviennent de plus en plus anonymes, leur peur des visages que prend la résistance quotidienne grandit. Et pourtant d?une certaine manière, les victimes du pouvoir qu?ils exercent ? les pauvres, les oppressés, les personnes ruinées et désespérées ? ne se font jamais entendre et sont toujours anonymes. Aujourd?hui nous allons donner un visage à cette résistance : car en revêtant nos masques nous révélons notre unité et en défilant ensemble dans les rues, nous exprimons notre colère face à l?anonymat du pouvoir.
Charley Case est né en 1969 et a étudié le graphisme à La Cambre de Bruxelles et s?est occupé des illustrations et de la conception de différents journaux internationaux et projets. Après avoir collaboré avec différents groupes activistes il a commencé à travailler indépendamment pour le collectif Sangam. Il choisit son moyen d?expression ? photographie, film, peinture, graphisme ou performance ? en fonction de ses objectifs. La plupart de ses thèmes sont marqués par une prise de conscience sociale et ancrés dans le conflit, entre images et sens, en contexte et parmi le peuple. Son travail a été présenté entre autres au Fifart Festival International du film sur l?art de Lausanne, au Dallas Video Festival et au MACBA museum de Barcelone.
Dani Castillo, Enrique Corrales
Catalogue : 2008Calle Leganés, por ejemplo | Doc. expérimental | dv | couleur | 17:0 | Espagne | 2007
Dani Castillo, Enrique Corrales
Calle Leganés, por ejemplo
Doc. expérimental | dv | couleur | 17:0 | Espagne | 2007
Rue Leganés, par exemple. La rue Leganés ne veut pas disparaître; dés que les maisons inhabitées se vident, les bâtiments vont être détruit pour continuer à construire. Avançant sans relâche, les bulldozers se moquent des souvenirs...ils ne demandent pas... n'hésitent pas.
ZAUNKA was founded in 2004 by Dani Castillo and Quique Corrales. Their work talk about the relationship between people and their enviroment in contemporary world. They try to explore our society, developing projects between Art and Documentary. Dani Castillo (Vitoria 1974). Photographer and filmmaker. Specialist in on-line image solution. Quique Corrales (Madrid 1969). Photographer and filmmaker. Teaching Art and Photography in Universidad Europea de Madrid.
Jeannette Castioni
Catalogue : 2015everywhere´s local | Vidéo | hdv | couleur | 6:0 | Islande | 2014
Jeannette Castioni
everywhere´s local
Vidéo | hdv | couleur | 6:0 | Islande | 2014
Public and private spaces make people develop political and social questions reaching beyond localities, widening questions about their role in the formation of political subjectivity. "Everywhere´s local" intends to examine how conventions about mobility as counter resistance affects identities of individuals and small communities as well as in working places and private locations; how these conventions speak about subjectivity ; their way of quest political and social visibility, and whether actions of reciprocity might be the source of mutual support allowing civilians to activate endurance in the development of social structures. The piece investigates the role of the aesthetic vision within the process of objectification, juxtaposing documents of daily practices where individual actions become the apparatus that institutions use to master control and by doing so reducing civilians as objects. Spaces create distinctive features for subjectivity to be activated where meanings of defiance alongside civil resistance are deepened inside description of subjectivity within differentiation of forms. Where actions are endorsed by connotation and not by their visible value. Interpretation of actions are investigated as potential fields, where their manifestations compared coloured smokes, aim to empower people visibility and at the same time longing to dismiss a system.
education: 1989/9 Institute for Arts and Restoration, Palazzo Spinelli. MA(Diploma) in Painting Conservation and Restoration on wood and canvas, Florence Italy, 1999/02 Academy of Arts, Painting department Bologna, Italy. 2004/06 LHÍ University of Arts, BA in Fine Arts Reykjavík, Iceland. 2006/07 LHÍ University of Arts, MA (I grade) Art Education, Reykjavík, Iceland. 2012/14 Goldsmiths University of London MFA in Fine Art. awards: 2010- 1 Year Research Prize from the Visual Artists Foundation of Iceland 2010- Art Prize from the Guðmunða Andresdottir Cultural Foundation for Postgraduate studies in Art. 2012-“Visual Art Award” Icelandic Prize as the best artist of the year 2012. 2013- 6 Months Research Prize from the Visual Artist foundation of Iceland grants: 2007- Travel Grant from the Icelandic Ministry of Education and Culture, for cultural exchanges between Greenland, Iceland and Foræ Islands. 2010-Travel Grant from MUGGUR, Artist Foundation of Iceland 2011-CIA International Travel grant, from the Centre for Icelandic Art residency/ workshops: 2008 Kangerullussuak Atuarfiat, Nuuk, Greenland. Two weeks workshops with pupils from secondary local schools, deepening questions around issues on memories and cultural connotations. 2008 Silamiut Theatre Nuuk, Greenland/ Theatre rehearsals with students from schools 2010/11 Circle Scandinavo in Rome/ Hosted performances and seminars on the rhetoric of language. group exhibition: 2008 After Urban - University of Pennsylvania in Philadelphia, PA – USA. New Media & Video Festival at the Indiana University Art Gallery, USA. Art & Architecture event at Monkey town in Williamsburg Brooklyn, New York. The law of dialectic at The New Branch “Grassroots’ 2008”, the Icelandic emergent artist Exhibition in Hjalteyri, Iceland. The entropy of landscape /God words Municipal Art Museum of Akureyri. 2009 Communism didn´t happen /Solitude Landscape, Exhibition at the Kulturhaus in Ahrenshoop, North-east Germany. Sometimes they’ll return Exhibition at the Natural History Museum of Kopavogur in Reykjavik, Iceland. ATTITUDE Festival- Centre for Contemporary Public Arts - Bitola, Macedonia. 2010 Anamnesis/ be known to knowledge, at the Árnesinga Art Museum in Hveragerði, Iceland DRA the Dieter Roth Academy in Hjalteyri Iceland 2011 In between ,Hafnaborg Hafnafjörður, Iceland 2012 The painting site Akureyri Municipal Art Museum 2014 Big Screen/Latitude Festival Southwold , Suffolk UK. 2014 6th Cairo Video Festival. Medrar films Cairo, Egypth
Libia Castro, Ólafur Ólafsson
Libia & ólafur Castro & ólafsson, Libia Castro & Ólafur Ólafsson
Catalogue : 2012Il Tuo Paese Non Esiste (Your Country Doesn't Exist), 2011 | Vidéo expérimentale | 0 | couleur | 16:0 | Espagne, Italie | 2011
Libia & Ólafur Castro & Ólafsson, Libia Castro & Ólafur Ólafsson
Il Tuo Paese Non Esiste (Your Country Doesn't Exist), 2011
Vidéo expérimentale | 0 | couleur | 16:0 | Espagne, Italie | 2011
"Il tuo paese non existe" est l?enregistrement d?une performance musicale et chantée, réalisée en public à Venise. Se réappropriant tout à la fois du cliché et de la réalité du gondolier, une mezzo soprano chante une sérénade contemporaine, accompagnée d?une trompette et d?une guitare, pendant que la gondole qui l?accueille vogue sur les canaux de la ville. Les paroles de la chanson, écrites par les artistes, se composent de la même phrase, répétée dans différentes langues : « ceci est un message de Libia et Ólafur : votre pays n?existe pas, votre pays n?existe pas ». Les artistes ont collaboré avec la compositrice islandaise Karólína Eiríksdóttir, qui a écrit la partition. La performance et le tournage ont été effectués au début du mois de mai dans différents lieux de la ville, à différents moments de la journée, dans les heures dorées des après-midi de ces jours de printemps. Au final, il s?agit d?un montage de plusieurs versions de la performance, toujours sous fond de la vie quotidienne de la ville, et de la réalité omniprésente du tourisme.
Libia Castro et Ólafur Ólafsson, respectivement de nationalité espagnole et islandaise, vivent et travaillent actuellement entre Berlin et Rotterdam. Ils se sont rencontrés aux Pays-Bas en 1997, où ils ont débuté leur collaboration artistique. Ils explorent les relations existantes entre l?art, la vie quotidienne, les problématiques sociopolitiques ou liées au croisement des cultures. Ils s?interrogent sur les manières dont la globalisation affecte les cultures locales, transforme les industries nationales, et a mené à une augmentation de la mobilité tout en creusant les injustices sociales. Castro et Ólafsson réalisent leurs projets en lien avec un lieu, une situation donnée, et travaillent souvent en collaboration, que ce soit avec d?autres artistes, des professionnels, des citoyens locaux, des décisionnaires, des activistes, ou avec des immigrants illégaux, qui servent alors de catalyseurs dans des contextes donnés. Ils opèrent par assemblage, par re-présentation, avec des éléments hétérogènes qui viennent déstabiliser une situation donnée, il peut s?agir de conflits spécifiques, ou de groupes sociaux qui passent inaperçus, et ils opèrent ensuite un mouvement de retour vers ces communautés de départ, avec des vidéos documentaires, des performances publiques, de la sculpture, des photographies, des interventions ou des installations multimédias. Castro et Ólafsson ont représenté l?Islande à la 54ème biennale de Venise. Leur travail est également montré dans expositions internationales, des musées, des centres d?art contemporain, des galeries, des biennales. En 2008 ils ont participé à la Manifesta 7. En 2009, ils reçoivent le troisième prix du prestigieux prix d?art hollandais, Prix de Rome, pour leur travail vidéo Lobbyists.
Anibal Catalan
Catalogue : 2010babel | Vidéo | dv | couleur | 3:10 | Mexique | 2009
Anibal Catalan
babel
Vidéo | dv | couleur | 3:10 | Mexique | 2009
Babel is a video taken with a cellphone camera. A scafolding its being constructed over the roof of some building without any apparent reason. The idea of contemplation its a fundamental principal in my video works , Babel its made from basic video tools, like cell pone cameras and photo digital cameras, the video was editing from this small cuts during a week, showing the process of construction as a methaphore of how the cities and its usuaries grows, get empowerment or loss everything in a second. The title Babel comes from the ancient history of the tower, in many ways big metrópolis and its biggest owners such as: enterprises, coorporations, goverments, and privates are represented trough the idea of high and big towers or construcrions to reflect their power, making this as a global and in some occasions a trendy effect.
Anibal Catalan was born in 1973 in the small Mexican village of Iguala. He attended the School of Architecture at Anahuac University, Mexico City (1993-1997) and earned his MFA from the National School of Painting, Sculpture and Engraving, La Esmeralda, Mexico City (2006). He has had solo exhibitions at Steve Turner Contemporary, Los Angeles (2008); Brasilea Kulturhaus, Switzerland (2006); Gallery 415, San Francisco (2007) and National Center for the Arts, Mexico City (2004). Catalan?s work has also been included in the group exhibitions Qui Vive? at I Moscow International Biennale for Young Art, Moscow Museum of Modern Art (2008); Festival Miden Kalamata, Grecce(2009), Its not Easy ,Exit Art. New York (2008); Draw In 00130 Gallery, Helsinki Finland (2008); VIII Biennial Monterrey FEMSA, San Idelfonso Museum, Mexico City (2007); Shangri L.A. Architecture as a State of Flux, 18th Street Arts Center, Santa Monica CA. (2009) and Mexi-Cali Biennial 09-10, Los Angeles (2009). His works are represented in collections such as: Artists Pension Trust APT (USA), Mexic-Arte Museum (USA), Sayago & Pardon Collection (USA), National Auditórium(MEX)
Wim Catrysse
Catalogue : 2015MSR | 0 | 0 | couleur | 14:58 | Belgique, Koweït | 2014
Wim Catrysse
MSR
0 | 0 | couleur | 14:58 | Belgique, Koweït | 2014
With 'MSR' we are set amidst the vast emptiness of the Kuwaiti desert where, to a great extent, the landscape has been claimed by two imperious industries, that is, the oil companies and the military machine that protects their interests. As they both make great effort to keep their stealthy activities concealed, the landscape, as we perceived it, is somehow being held hostage in a state of suspense… Located next to the 'Main Supply Route' (the route designated within an area of operations upon which the bulk of traffic flows — hauling beans, bullets and fuel — in support of military operations), we are confronted with a sequence of documentary footage that puts the focus on the travails and tactics of 'survivors', i.e. a pack of stray dogs that dwells within the boundaries of a dystopian world. In order to outlive an enraged desert storm, they seek shelter behind scattered pieces of waste and continuously dig holes in the sand, determined to withstand their antagonistic environment.
Wim Catrysse (°1973 born in Leuven, lives and works in Antwerp) gained a Masters degree in Visual Arts at the Higher Institute St-Lukas, Brussels in 1997. From 1997 to 2000, he followed a post-program course at the Higher Institute for Fine Arts (HISK) in Anvers followed by a one-year course at The Glasgow School of Art. Ever since the late 1990s Catrysse has been surveying the confines of visual constructions in his video installations, taking an architectural structure or the topographical features of a site as his starting point. He translates this investigation into cinematographic works in which the exposing and balancing of elementary forces play an essential role. The result is an accumulation of images that jerk us out of our comfort zone, that convey a physical threat, images that have about them something unheimlich and often unseat the obviousness of our most common perceptions. Moreover, Catrysse`s particular artistic method combines two apparently irreconcilable extremes: impulsiveness, physical directness, intuition and experimentation (almost nothing is worked out in detail beforehand) on the one hand and on the other an acute artistic and technical reasoning that can sometime lead to complex cinematographic image constructions.
Catalogue : 2006Catch-as-catch-can | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 7:56 | Belgique | 2005
Wim Catrysse
Catch-as-catch-can
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 7:56 | Belgique | 2005
Wim Catrysse est né en 1973 à Lovent en Belgique. Il a étudié à l?institut supérieur de Saint-Lukas de Brussel (1993 - 1997) et a obtenu un Master en arts visuels. En 1997 ? 2000, il a suivit le post-programme Higher Institute for Fine Arts (HISK), d?Anvers en Belgique. En 2000-2001, il a suivit le post-programme de la Glasgow School of Art, Glasgow, au Royaume-Uni.Son projet pour 2006-2007 : Künstlerhaus Bethaniën, Berlin, Allemagne.
Wim Catrysse
Catalogue : 2018Outpost | Doc. expérimental | 4k | couleur | 34:41 | Belgique | 2018
Wim Catrysse
Outpost
Doc. expérimental | 4k | couleur | 34:41 | Belgique | 2018
“ A transfixing look at how Belgian artist filmmaker Wim Catrysse surveys the dynamics of self-constructed, architectural settings or the fictitious characteristics of phenomenal environments ? dissecting subjectivity and thereby also the illusion of control. His films and video installations challenge both participants and viewers in a primordial way through the evocation of vertigo. This precondition of boundaries operates to expose the observer to underlying motives. His artistic approach combines intuition with technical reasoning, which often leads to complex, cinematographic image constructions. ”
Born 1973 in Leuven (BEL) Lives and works in Antwerpen (BEL) Studied at ESA St-Luc Bruxelles (BEL), Higher Institute for Fine Arts, Anvers( BEL) and The Glasgow School of Art (GBR)
Filipa Cesar
Filipa Cesar
Catalogue : 2008F for Fake | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 19:0 | Portugal | 2005
Filipa Cesar
F for Fake
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 19:0 | Portugal | 2005
When the flush of a newborn sun fell first on Eden`s green and gold, Our father Adam sat under the Tree and scratched with a stick in the mold; And the first rude sketch that the world had seen was joy to his mighty heart, Till the Devil whispered behind the leaves: "It`s pretty, but is it Art?" (?) Rudyard Kipling "F for Fake" est une vidéo sur la vérité, le mensonge, la contrefaçon et la condition d'auteur qui concerne à la fois l'art et la vie. Filipa César prend comme point de départ le dernier long-métrage d'Orson Welles et apporte une nouvelle dimension à cette meta-narration en introduisant 5 nouveaux personnages : un avocat, un acteur, un écrivain, un critique d'art et un cochon d'Inde qui jouent leurs propres rôles et incarnent les personnages Elmyr de Hory, Oja Kodar, Orson Welles, Clifford Irving, le cochon d'Inde, Monsieur Hugo, jouant Howard Hughes. Ce film présente un intéressant décalage entre le fond et la forme. Derrière une structure (post-)moderne, "F for Fake" laisse entrevoir un intérêt presque romantique pour le savoir faire et la signature de l'auteur. En s'inspirant des techniques de montage de la télévision, Filipa César présente une réalité qui dépasse les apparences. Ainsi, narration et mode de narration relèvent de niveaux différents. Il est ici question de la relation entre l'acte et l'actant et de l'attitude éthique qui en découle, c'est à dire, la valeur de l'auteur et le crédit chimérique accordé à la totalité symbolique au détriment de la dimension artistique. Pourtant, le montage dénote un monde parfaitement conscient de son appareil médiatique, qui altère la réalité en affichant ses propres outils. Ce monde qui est le nôtre, produit du cinéma et d'autres technologies, ne peut s'empêcher de regarder en arrière avec nostalgie. Il s'agit d'un monde schizophrène qui respecte et moque son héritage culturel, pictural et littéraire, et passe pourtant le plus clair de son temps à le commenter. En utilisant à son tour la vidéo pour commenter un dispositif cinématographique et en reprenant les propres techniques de montage du film, Filipa César pénètre dans l'ère électronique et finit ainsi ce qu'Orson Welles avait commencé. "F for Fake" devient un processus de juxtaposition et d'insertion où le spectateur n'est jamais à l'intérieur ni à l'extérieur du film dans la mesure où intérieur et extérieur sont depuis longtemps devenus de simples points de vue, pôles interchangeables de l'émetteur-récepteur.
Filipa César Born in Porto 1975 Lives and works in Berlin 1999 Graduated in Fine Arts ? Painting at the Fine Art Faculty, University Lisbon 1996 BA in Fine Arts ? Painting at the Fine Art Faculty, University Porto Grants and Prizes 2007 Fellow Artist, HFF Konrad Wolf, Potsdam 2005 Hauptstadtkulturfonds Berlin, Ringbahn Project 2003-04 Fundação Calouste Gulbenkian Grant, Berlin 2003 União Latina Preis, Lisbon 2002 Pépinières européennes pour jeunes artistes Grant, Bad Ems 2001 Post-Graduation ? DAAD Stipendium, Munique 2000 Young Creators ? Centro Nacional de Cultura Stipendium, Lisbon Solo Exhibitions 2007 Allee der Kosmonauten, Museu Atelier António Duarte, Caldas da Rainha (curated by David Etxeberria) Rapport Raccord, Distrito Cu4tro, Madrid 2006 Filipa César, Mai 36 Galerie, Zurich F for Fake and Ringbahn, Sint-Lukas Gallery, Brussels ( curated by Filip Luycky) 2005 Ringbahn, Serralves Museum, Porto (curated by João Fernandes) Berlin, Noga Gallery of Contemporary Art, Tel Aviv Ringbahn, Küchenstudio, Schaubühne am Lehniner Platz, Berlin F for Fake, Cristina Guerra Contemporary Art, Lisbon Aura, Galeria Espacio Distrito Cu4tro, Madrid 2004 Transmediterráneo, Centre d?Art Santa Mónica, Barcelona (curated by Miguel von Hafe Pérez) Berlin Zoo, Part 02, Project Space, Karlsplatz ? Kunsthalle Wien, Vienna Menschen Tiere Attraktionen, bergstueblPROJEKTE, Berlin 2003 Product Displacement, Fundação Calouste Gulbenkian, Lisbon 2002 Sets for thoughts, Galeria Cristina Guerra, Lisbon Hotel, Emser Arkaden, Bad Ems SlowMotion, Estgad, Caldas da Rainha and Fundação Calouste Gulbenkian, Lisbon Group Shows (selection) 2007 Stream, White Box, New York (curated by João Silvério) Art Summer University, Tate Modern, London (curated by Manuel Saiz) Por Entre as Linhas, Museu das Comunicações, Lisbon ( curated by Isabel Carlos) Shot an go, Isola di San Servolo, Venice (curated by Raffaele Gavarro) In the Eye of the Storm, Kunstmuseum St. Gallen, St. Gallen (curated by Konrad Bitterli) Unversagt, Das Hotel Balzer!, Schloss Balmoral, Bad Ems (curated by Rainer Hofmann) Sines Local, Emmerico Nunes Cultural Center,, Sines (curated by Isabel Silva) 2006 Tales from the Travel Journal Vol. 1 CAC Vilnius (curated by Catherine Hemelryk) Concrete language, CAG, Contemporary Art Gallery, Vancouver ( curated by Christina Ritchie) Urban Spaces, Galerie Dina 4, Munique (curated by Patricia Drück) Das Fest, Residenz der Portugiesischen Botschaft in Berlin (curated by Ana Pinto) Diegesis, Schleswig Holsteinhause, Staatliches Museum Schwerin, 16. Filmkunstfest, Schwerin (curated by Nuno Faria) Sede e Museu da F.C.G: A Arquitectura dos anos 60, Fundação Calouste Gulbenkian, Lisbon (curated by Ana Tostões) 2005 Portugal Novo: Artistas de Hoje e amanhã, Pinacoteca, São Paulo (curated by Alexandre Melo) Tableaux Vivants, Museu de Arte Contemporânea Serralves, Porto (curated by Ulrich Loock und Sandra Guimarães) Temporary Import, Artforum, Berlin (curated by Suzanne Titz) In Progress, 58. Internationales Film Festival in Locarno, Locarno Art Unlimited, Basel (curated by Simon Lamunière) Artstars-Shooting Star, ON25, Luxemburg (curated by Diana Baldon) 60th Anniversary of ONU, NUOI, Geneva (curated by Simonetta Luz Afonso) Portugal: Algumas Figuras, Alameda Art Laboratory (LAA), Mexico City (curated by João Pinharanda) 2004 Video Zone, 2nd International Video Art Biennial, Tel Aviv, Israel (curated by Sergio Edelsztein) Believe it or not, Kunstraum Kreuzberg / Künstlerhaus Bethanien, Berlin (curated by C. Burbaum, M. Röhrborn und O. Pietsch) Continental Breakfast, 45 October Salon, Cultural Center, Belgrade (curated by Anda Rottenberg) Close by (Time Space Architecture), Mai 36 Galerie, Zurich Re-Produtores de Sentido, SESC Rio, Rio de Janeiro (curated by Miguel Von Hafe Pérez) Carte Blanche, Théâtre des Salins (curated by Rui Pedro Morais) Video Shop, Intervenciones en la calle Alfonso, Zaragoza (curated by Pilar Cruz and Maribel Perpiñá) True Lies, Kallmann-Museum, Munique (curated by Reinhard Spieler) Arte Contemporânea na Assembleia: César, Queiroz, Sendas, Vasconcelos, Palácio de S. Bento, Lisbon (curated by Simonetta Luz Afonso) SESIÓN CONTINUAD VIDEO, Galería DV, San Sebastián, (curated by Margarita Sanchez) PØRTUGÅL- 30 artists under 40, The Stenersen Museum, Oslo (curated by Pedro Portugal) True Lies, Franz Gertsch Museum, Bern (curated by Reinhard Spieler) Meeting between 2 Collections: Serralves Foundation ? ?La Caixa? Foundation, Caixa Forum, Barcelona 2003 Off Loop`00, Post-Portugal, met. Room, Barcelona (curated by Pilar Cruz and Maribel Perpiñá) Otras alternativas. Novas experiencias visuales en Portugal, MARCO, Vigo (curated by David Barro) Trabalho, Centro de Artes Visuais, Coimbra (curated by Albano da Silva Pereira und Miguel Amado) Poetic Justice, 8. Istanbul Biennial, Yerbaten Cistern, Istanbul (curated by Dan Cameron) União Latina Prize, Culturgest, Lisbon Balmoral in Berlin, Landesvertretung Rheinland-Pfalz, Berlin Cutting Edges, ARCO, Madrid (curated by Miguel von Hafe Pérez) 2002 Video Lounge, Art Basel, Miami Contemporary Art from Portugal, European Central Bank, Frankfurt (curated by Pedro Lapa/ Heike Sutter) Video Zone, 1st International Video Art Biennial, Tel Aviv, Israel (curated by Miguel Wandschneider/ Catarina Campino) Seiten, Antiquariat Gundel Gelbert, Cologne Home Sweet Home, MAN, Nuoro (curated by Chiara Leoni) and then there were nine, Kulturamt in der Fruchthalle, Kaiserslautern (curated by Andrea Edel) Narrando Espaços, Tempo, Histórias?, XXVII Bienal de Arte de Pontevedra, Pontevedra (curated by Maria de Corral) Deutsches Eck, Galerie Václava Spály, Prag (curated by Jiri Suruvka) Expect the world, moi non plus, Sparwasser HQ and Parkhaus, Berlin (curated byAna Pinto) 2001 Voyager ? Experimenta Design, Lisbon (curated by Pedro Gadanho) Situation Zero, Yerba Buena Center for the arts, San Francisco (curated by René de Guzman) Night Visions ? Schnittraum, Ludwig Museum, Cologne (curated by Corinna Schnitt) Biberstein, César, Onofre, Sarmento, Sendas, Toscano, Galeria Cristina Guerra, Lisbon Streetwear, Galeria da Mitra, Lisbon (curated by Fransisco Vaz Fernandes) Milano Europa 2000 ? Anteprima Bovisa, Triennale, Milan , (curated by Alexandre Melo) Voyager-Experimenta Design, Milan, (curated by Pedro Gadanho) Disseminações, Culturgest, Lisbon (curated by Pedro Lapa) Ausgewählte Bibliographie / Bibliography (selection) Edelsztein, Sergio `Filipa César` Ice Cream, edited by Phaidon, 2007 Hemelryk, Catherine "Tales from the Travel Journal Vol. 1" edited by CAC Vilnius, 2006 Faria, Nuno, Diegesis, mit Essays von Antje Weitzel "Two or 3 Thing I know about her"; Nuno Faria "Raccord (on the diegesis project) edited by Fundação Calouste Gulbenkian, 2006 Cesar, Filipa, Ringbahn, essays by João Fernandes "Filipa César?s Video-situations: exception and rule", Ana Pinto "Mind the Gap" und David Gieselmann "Die Berliner Ringbahn" (eng. und port.), edited by Serralves Museum, 2005 César, Filipa, Belgradee Footnotes, mit einem Essay von Simone Homem de Mello (eng.) edited by Revolver, 2004 Spieler, Reinhard, In-between realities, in "True Lies. Lies and other trues in the contemporary photography", edited by Reinhard Spieler und Museum Franz Gertsch, 2004 Rottenberg, Anda, Continental Breakfast, 45th October Art Salon, edited by Cultural Center, Belgradee, 2004 Wandschneider, Miguel, Filipa César, in "Narrando Espacios, Tempos e Histórias... XXVIII Bienal de Arte de Pontevedra", edited by Deputación Provincial de Pontevedra, 2002 Wandschneider, Miguel, 9 Portuguese artists, 18 Video Works, in ?Video Zone, First International Art Biennial, Tel Aviv?, edited by Center for Contemporary Art, Tel Aviv, 2002 Lopes, Diogo, Berlin Zoo, in "Poetic Justice, 8. Istanbul Bienal", edited by Istanbul Foundation for Culture and Arts, 2003 Barro, David, Filipa César, in "Outras Alternativas visuais: Novas experiências visuais em Portugal", edited by Museo de Arte Contemporánea de Vigo, 2003 Silva Pereira, Albano / Amado, Miguel, Trabalho / Work, edited by Centro de Artes Visuais, 2003 Edel, Andrea, Observations from offstage, in "Sets for Thoughts", edited by Filipa César and Künstlerhaus Schloß Balmoral, 2002 Leoni, Chiara, Case: un Catalogo, in ?Casa Dolce Casa?, edited by Museo d?arte provincia di Nuoro, 2001 Lapa, Pedro, Disseminações, edited by Culturgest, 2001 Melo, Alexandre, Filipa César, in ?Milan Europa 2000?, edited by Electa, 2001
Filipa César
Catalogue : 2017Transmisson from the Liberated Zones | Doc. expérimental | hdv | couleur | 30:0 | Portugal | 2016
Filipa CÉsar
Transmisson from the Liberated Zones
Doc. expérimental | hdv | couleur | 30:0 | Portugal | 2016
Transmission from the Liberated Zones prend comme point de départ le concept de « Zones Libérées », terme utilisé pour décrire les territoires de la Guinée-Bissau arrachés à la domination portugaise et gérés, pendant les 11 ans de la guerre de libération (1963-1974), par des militants de la Guerilla du Parti Africain pour l’Indépendance de la Guinée et du Cap-vert (PAIGC). Les témoins du film sont tous suédois et ont en commun d’avoir visité cette zone au début des années 70. Il s’agit du diplomate Folker Löfgren, de la cinéaste Lennart Malmer, de la cinéaste et psychologue Ingela Romare et de la femme politique Birgitta Dahl. Pour agencer documents et témoignages, aller et venir du passé au présent, Filipa César met en scène un jeune narrateur dont le corps et la voix deviennent les outils d’un voyage temporel.
Filipa César est une artiste et réalisatrice dont le travail explore la porosité entre les frontières de l’image en mouvement et sa réception, les dimensions fictionnelles du documentaire et l’économie, la politique et la poétique, inhérents au cinéma comme praxis. Une large partie des films expérimentaux de Filipa César se concentrent sur les spectres de la résistance dans l’Histoire géo-politique du Portugal, en questionnant les mécanismes de production de l’Histoire et proposent des espaces performatifs d’une approche subjective au savoir. Depuis 2011, Filipa César entreprend des recherches sur les origines du cinéma en Guinée-Bissau, son imaginaire et son potentiel, au travers d’une recherche collective initiée dans le projet Luta ca caba inda (La lutte n’est pas encore terminée). Elle a également participé aux projets de recherche Living Archive (20111-2013) et Visionary Archive (2012-2013) organisés par l’Arsenal - Institute for Film and Video Art - à Berlin.
Catalogue : 2016Sol miné | Doc. expérimental | hdv | couleur | 34:0 | Portugal | 2014
Filipa CÉsar
Sol miné
Doc. expérimental | hdv | couleur | 34:0 | Portugal | 2014
Dans ce film-essai qui fait partie d`un projet de recherche en cours, "People are the mountain", l`artiste portugaise Filipa César revisite le travail de l`agronome guinéen Amilcar Cabral, de l`étude de l`érosion du sol de la région portugaise de l`Alentejo jusqu`à son engagement comme l`un des leaders du Mouvement Africain de Libération. A ce chemin de pensée se mêle la documentation du site d`une mine d`or expérimentale, gérée aujourd`hui par une compagnie canadienne et située dans la même zone qu`étudia Cabral à l`époque. Le film explore les définitions présentes et passées du sol comme une zone de dépôt de la mémoire, de la trace et de l`exploitation.
Filipa César est née au Portugal en 1975 ; elle vit et travaille à Berlin. Elle a étudié à la Faculté des Arts de Porto et de Lisbonne, à l’Académie des Arts de Munich et a obtenu le Master Art in Context de l’Université des Arts de Berlin (2007). Son travail interroge la relation poreuse entre l’image animée et sa réception publique. Intéressée aux aspects fictionnels du documentaire, et motivée par un désir de pointer le politique derrière l’image animée, l’artiste se situe entre le storytelling, la chronique, le documentaire et le film expérimental. Ses films – F for Fake (2005), Rapport (2007), Le Passeur (2008), The Four Chambered Heart (2009), et Memograma (2010) – ont été présentés à la 8e Biennale d’Istanbul, 2003 ; à la Kunsthalle Wien, 2004 ; au Serralves Museum, 2005 ; au Festival International du Film de Locarno, 2005 ; à la CAG- Contemporary Art Gallery, Vancouver, 2006 ; à la Tate Modern, 2007 ; au St. Gallen Museum, 2007 ; au SF MOMA, San Francisco 2009 ; à la 1ère Biennale d’Architecture de Venise, à la 29e Biennale de São Paulo et à Manifesta 8, Cartagena.
Julie Chaffort
Catalogue : 2022Printemps | Vidéo | mov | couleur | 7:40 | France | 2020
Julie Chaffort
Printemps
Vidéo | mov | couleur | 7:40 | France | 2020
Un chant d’oiseaux nous, ouvrant sur une forêt verdoyante un jour de pluie. Une langue de brume s’insinue lentement dans l’image et s’enroule autour des arbres. Des silhouettes humaines la traversent, paisibles malgré les flammes qui lèchent leurs vêtements. Ces âmes errantes fuient-elles quelque catastrophe urbaine ou font-elles partie du bestiaire de créatures merveilleuses peuplant les forêts ? Sont-elles des messagers de l’Apocalypse ou des martyrs, après un geste ultime de protestation ? Le cheval qui les observe sans broncher, tapis dans les fougères, se contente de renforcer l’inquiétante tranquillité de la scène sans donner de réponse. Julie Chaffort connaît bien ce sentiment, pour avoir tourné dans les forêts nombre de ses vidéos, la figure animale y étant quasi omniprésente. Pour l’artiste, le cheval est le « témoin privilégié de quelque chose que l’on arrive plus à percevoir en tant qu’humain ». Un témoin dans une partition tragi-comique nous menant d’un univers « intemporel » et obscur propre aux contes.
Les vidéos de Julie Chaffort mirent le paysage, le toisent et le parcourent ; on y croise des hommes au destin tragique et des héros aussi beaux que les chants qui les accompagnent – peut être pour en donner la mesure. Les gestes accomplis sont tout à la fois drôles et absurdes, l’avenir toujours incertain et les paroles s’envolent, attrapées par les branches d’une forêt ou englouties dans les eaux d’un lac. Les plans fixent les branches ; ils convoquent les tableaux de l’école de Barbizon où les bruns apparaissent comme chargés de bitume et les lumières s’accrochent aux pâtes colorées. Les récits s’écrivent entre les longs plans-séquence et se devinent dans les détails que la lenteur permet d’observer comme l’on admire une nature morte. L’artiste ouvre des univers parallèles, atemporels et insituables, où le monde se signale à nous par ses infimes déplacements et l’infinité de ses signaux – étrangement menaçants. Pour Julie Chaffort, le cinéma est un médium dominant, naturel, qu’elle choisit très tôt de développer, à l’école des Beaux-Arts de Bordeaux où elle étudie, puis auprès de Roy Andersson qu’elle assiste en Suède, et de Werner Herzog dont elle suit le séminaire à sa Rogue Film School à New-York. Elle expose en France et à l’international. Ses œuvres font parties de collections nationales et privées Julie Chaffort est née en 1982. Elle vit à Bordeaux et travaille partout.
Catalogue : 2022Fauves | Doc. expérimental | mov | couleur | 52:0 | France | 2021
Julie Chaffort
Fauves
Doc. expérimental | mov | couleur | 52:0 | France | 2021
"L’odeur des fauves en nous". L’oeuvre s’inscrit dans la démarche assurément poétique de Julie Chaffort qui imagine et fabrique des situations relevant de l’instant magique. Les ingrédients sont le vivant, le chant, la musique, la visibilisation de corps contraints à une trop grande discrétion. Au coeur de ces situations aussi fascinantes que troublantes, Julie Chaffort filme les relations qui existent entre les terrestres (l’ensemble des êtres vivants, sans hiérarchie), les éléments (eau, terre, air et feu), les voix, les sons et les musiques qui prolongent les corps. Le chant des oiseaux, la voix d’une humaine, la puissance d’une chorale, le râle du vent. Les animaux (humain.es compris.es) interagissent avec ferveur et tendresse avec les arbres, la neige, les rivières, les sols. Pensées comme des scènes refuges où les corps existent librement, exultent et s’expriment, les oeuvres réveillent des émotions et des sentiments profondément inscrits dans nos chairs terrestres : l’attention, l’inquiétude, l’écoute, l’amour, la perte, la sensibilité, l’absence, la jouissance, la vulnérabilité ou encore le réconfort. Un ensemble d’états qui nous attache les un.es aux autres et qui rythme les cycles d’une longue métamorphose commune aux êtres visibles et invisibles qui peuplent le vivant.
Pour Julie Chaffort, le cinéma est un médium dominant, naturel, qu’elle choisit très tôt de développer, à l’école des beaux-arts de Bordeaux où elle étudie, puis auprès de Roy Andersson qu’elle assiste, et de Werner Herzog dont elle suit le séminaire à sa Rogue Film School. Les vidéos de Julie Chaffort mirent le paysage, le toisent et le parcourent ; on y croise des hommes au destin tragique et des héros aussi beaux que les chants qui les accompagnent – peut être pour en donner la mesure. Les gestes accomplis sont tout à la fois drôles et absurdes, l’avenir toujours incertain et les paroles s’envolent, attrapées par les branches d’une forêt ou englouties dans les eaux d’un lac. Les récits s’écrivent entre les longs plans-séquence et se devinent dans les détails que la lenteur permet d’observer comme l’on admire une nature morte. L’artiste ouvre des univers parallèles, atemporels et insituables, où le monde se signale à nous par ses infimes déplacements et l’infinité de ses signaux – étrangement menaçants. En 2013, Julie Chaffort expose au Centre International d’Art et du Paysage de Vassivière, le film « Hot-Dog », moyen-métrage qu’elle y a réalisé la même année en résidence. L’année suivante, elle présente sa première exposition personnelle « Jour Blanc » au Centre Clark de Montréal, avec des installations vidéos et sonores créées in situ. En 2015 lors de sa résidence à Pollen à Monflanquin, elle réalise le moyen-métrage « La barque silencieuse » ; ce film, « aussi facétieux qu’émouvant, aussi déroutant que respectueux de tout ce qui s’offre à voir et à entendre » pour Jean-Pierre Rehm, est sélectionné en 2016 en compétition française et premier film au FID Marseille. Il est également projeté à la galerie Thaddaeus Ropac à Paris Pantin lors de l’exposition Jeune création 66ème édition et remporte deux prix indépendants, avec deux expositions à la clé, l’une pour la Progress Gallery, « Entre chiens et loups », et l’autre pour la galerie du Pavillon à Pantin, « Les cowboys », sélectionné également au FID 2017. Julie Chaffort remporte en 2015 le prix Bullukian et crée « Somnambules », une exposition personnelle présentée à la fondation. L’artiste a été lauréate du prix « Talents Contemporains » 2015 de la fondation François Schneider pour l’oeuvre « Montagnes Noires » et obtient la même année, le prix Mezzanine Sud et expose au Musée des Abattoirs de Toulouse. Le film « La barque silencieuse » entre en 2017 dans la collection du FRAC Aquitaine ainsi que la vidéo « Nostalgia » dans celle du FRAC Occitanie Toulouse. En 2018, Julie Chaffort est lauréate du prix Mécènes du Sud Montpellier-Sète et obtient en 2019 la bourse de soutien à la création du CNAP pour l’élaboration de son projet vidéo « PRINTEMPS » dont une exposition monographie du même titre est présentée à l’ancien palais épiscopal des musées de Béziers avec le soutien de Mécènes du Sud Montpellier-Sète en 2020. Son dernier film « Légendes » a fait partie de la compétition officielle française et la compétition CNAP du FIDMarseille 2020.
Catalogue : 2020Summertime | Doc. expérimental | hdv | couleur | 24:36 | France | 2018
Julie Chaffort
Summertime
Doc. expérimental | hdv | couleur | 24:36 | France | 2018
Une trentaine de personnes qui ne se connaissent pas acceptent de voyager ensemble pendant 5 jours et de tourner dans un film sans scénario préétabli. Chacun tiendra son propre rôle, vêtu de costumes choisi par la réalisatrice. Portraits de familles, blagues, danse, roller, chants se dévoilent aux spectateurs sous le regard d’un cheval tranquille et bienveillant.
Oeuvrant dans les champs du cinéma et de l’art contemporain, Julie Chaffort s’intéresse tout particulièrement à l’immensité et à la vacuité des territoires naturels, à leur aspect désertique et délaissé ; ses films et vidéos sont habités par une certaine lenteur, invitant à l’écoute et à la contemplation, mais jouant aussi sur les registres de l’absurde, de la chute, de la surprise et du décalage. Pour Julie Chaffort, le cinéma est un médium dominant, naturel, qu’elle choisit très tôt de développer, à l’école des beaux-arts de Bordeaux où elle étudie, puis auprès de Roy Andersson qu’elle assiste, et de Werner Herzog dont elle suit le séminaire à sa Rogue Film School. En 2013, elle expose au Centre International d’Art et du Paysage de Vassivière Hot-Dog, moyen-métrage qu’elle y a réalisé la même année en résidence. L’année suivante, elle présente sa première exposition personnelle Jour Blanc au Centre Clark de Montréal, avec des installations vidéos et sonores créées in situ. En résidence à Pollen à Monflanquin 2015, elle réalise le moyen-métrage La barque silencieuse ; ce film, "aussi facétieux qu’émouvant, aussi déroutant que respectueux de tout ce qui s’offre à voir et à entendre" pour Jean- Pierre Rehm, est sélectionné en 2016 en compétition française et premier film au FID Marseille. Il est également projeté à la galerie Thaddaeus Ropac à Paris Pantin lors de l’exposition “Jeune création 66ème édition” et remporte deux prix indépendants, avec deux expositions à la clé, l’une pour la Progress Gallery, Entre chiens et loups, et l’autre pour la galerie du Pavillon à Pantin, Les cowboys (également selectionné au FID en 2017). Julie Chaffort remporte aussi en 2015 le prix Bullukian et crée Somnambules, une exposition personnelle présentée à la fondation. L’artiste a été lauréate du prix "Talents Contemporains" 2015 de la fondation François Schneider pour l’oeuvre Montagnes Noires et obtient la même année, le prix Mezzanine Sud et expose au Musée des Abattoirs de Toulouse. Le film La barque silencieuse entre en 2017 dans la collection du FRAC Aquitaine et la vidéo Nostalgia dans celle du FRAC Occitanie Toulouse. Julie Chaffort vient d’être lauréate du prix Mécènes du Sud Montpellier-Sète. et d’obtenir une bourse à la création du CNAP pour la réalisation de son projet vidéo PRINTEMPS.
George Chakravarthi, Chakravarthi