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Nicolas Boone
Catalogue : 2018Etage 39 | Fiction expérimentale | 4k | couleur | 29:0 | France | 2017
Nicolas Boone
Etage 39
Fiction expérimentale | 4k | couleur | 29:0 | France | 2017
Dans un espace indéterminé, face à des images de paysages vierges de toutes traces humaines, plages exotiques, montagnes ou déserts, forêt, littéraux et volcans, des X1 se déplacent. L’un d’eux, qu’on identifie vite comme une sorte de modérateur, entre et sort avec les autres. Il lance des sujets de conversation, les interrompt, les relance. Tous improvisent. 1 J’appelle ici les X les 10 personnages modèles au sens bressonien. ils ont étaient choisis pour leur grande éloquence ou leur imaginaire singulier.
A sa sortie des Beaux- Arts de Paris en 2001, Nicolas Boone réalise des tournages/performances, des “ films pour une fois “ sans caméra. Son travail, entre mise en scène et captation (où, parfois, le tournage devient le film lui-même) est protéiforme : série (BUP, 2007/2008), long métrage en coréalisation sorti en salle en 2013 (200%), films courts réunis dans un même programme (Les Dépossédés, 2012)... Ses films, qui ont fait l’objet d’une rétrospective intégrale au Vivo Art Center de Vancouver en 2011, ont été sélectionnés en maints festivals, à l’image du Rêve de Bailu (2013 ; présenté en 2015 au Festival international du film de Rotterdam et celui de Jeonju, ainsi qu’à IndieLisboa) ou encore de Hillbrow, présenté (entre autres) en 2014 au FID Marseille, au Festival Mostra Indies de Sao Paulo, au Festival du Nouveau Cinéma de Montréal (1er prix Loup Argenté), au festival “Entrevue “ de Belfort (prix du public, prix One+One, prix Camira) et, en 2015, au festival international du film court de Clermont-Ferrand ainsi qu’au Lago Film Fest (Italie ; Premier prix du jury). Ce film a également obtenu le Prix Scribe du cinéma en décembre 2014. A l’automne 2015, il a fait l’objet d’une installation à La Galerie de Noisy le Sec. Psaume, réalisé en 2015, a notamment été sélectionné au FID (Compétition française ; prix du CNAP et prix des lycéens), à la Viennale et aux RIDM. Le Rêve de Bailu, Hillbrow et Psaume ont été projetés à l’UnionDocs Center for Documentary Art (Brooklyn) en novembre 2015.
Catalogue : 2016Psaume | Fiction | 4k | couleur | 48:20 | France, Sénégal | 2015
Nicolas Boone
Psaume
Fiction | 4k | couleur | 48:20 | France, Sénégal | 2015
Dans un futur proche, les villages d’une région subsaharienne sont désertés, seul les fous, les handicapés, les enfants soldats continuent à errer sur ces terres arides. Dans un climat de survie, la vie sociale est rude.
A sa sortie des Beaux-Arts de Paris en 2001, Nicolas Boone réalise des tournages/perfor- mances, des « films pour une fois » sans caméra. Son travail, entre mise en scène et captation (où, parfois, le tournage devient le film lui-même) est protéiforme : série (BUP, 2007/2008), long métrage en coréalisation sorti en salle en 2013 (200%), films courts réunis dans un même programme (Les Dépossédés, 2012)... Ses films, qui ont fait l’objet d’une rétrospective intégrale au Vivo Art Center de Vancouver en 2011, ont été sélectionnés en maints festivals, à l’image du Rêve de Bailu (2013 ;; présenté en 2015 au Festival international du film de Rotterdam et celui de Jeonju, ainsi qu’à IndieLisboa) ou encore de Hillbrow, présenté (entre autres) en 2014 au FID Marseille, au Festival Mostra Indies de Sao Paulo, au Festival du Nouveau Cinéma de Montréal (1er prix Loup Argenté), au festival « Entrevue » de Belfort (prix du public, prix One+One, prix Camira) et, en 2015, au festival international du film court de Clermont-Ferrand ainsi qu’au Lago Film Fest (Italie ;; Premier prix du jury). Ce film a également obtenu le Prix Scribe du cinéma en décembre 2014. A l’automne 2015, il a fait l’objet d’une installation à La Galerie de Noisy- le-Sec. Psaume, réalisé en 2015, a notamment été sélectionné au FID (Compétition française ;; prix du CNAP et prix des lycéens), à la Viennale et aux RIDM. Le Rêve de Bailu, Hillbrow et Psaume ont été projetés à l’UnionDocs Center for Documentary Art (Brooklyn) en novembre 2015. 2015 Psaume (48 min ;; Gagué-Chérif, Sénégal) Dog Over (8 min ;; Paris ;; projet « Europoly » initié par le Goethe Institut) 2014 Hillbrow (32 min ;; Johannesburg) 2013 Les Dépossédés (50 min ;; Togo, Québec, Paris) Le Rêve de Bailu (12 min ;; Bailu, Chine) 2010 200% (80 min ;; Saint-Fons – Rhône-Alpes) 2009 Transbup (51 min ;; Ardèche) 2008/07 Série BUP (10 min ;; 9 épisodes) 2006 La Transhumance fantastique (54 min ;; Dordogne) 2005 La Nuit blanche des morts-vivants (30 min ;; Paris) Portail (40 min ;; Région Centre) 2004 Fuite (7 x 7 min ;; Lorraine) Plage de Cinéma (14 min ;; Nord) 2003 Lost Movie (11 min ;; Pontoise – Val d`Oise) 2002 Un film pour une fois (15 min ;; Paris)
Nicolas Boone
Catalogue : 2015HILLBROW | Fiction | hdv | couleur | 32:0 | France | 2014
Nicolas Boone
HILLBROW
Fiction | hdv | couleur | 32:0 | France | 2014
Hillbrow, l'ancien pôle culturel branché de Johannesbourg, est devenu un quartier (populaire) hyper dense, assez violent. A partir de récits collectés sur place, le film HILLBROW propose une traversée géographique guidée par des personnages fictifs qu'incarnent des habitants du quartier. En dix parcours HILLBROW dessine un labyrinthe de tensions urbaines.
A sa sortie des Beaux-Arts de Paris en 2001, Nicolas Boone réalise des tournages/performances, des « one shot » sans caméra. Son travail, entre mise en scène et captation, où le tournage devient le film lui-même, est protéiforme : série (BUP, 2007/2008), long métrage – en coréalisation – sorti en salle (200%, 2010), films courts réunis dans un même programme (Les Dépossédés, 2012…). Son travail au cinéma a fait l’objet d’une rétrospective intégrale au Vivo Art Center de Vancouver en 2011 et ses films ont été sélectionnés dans plusieurs festivals, à l’image de son dernier court métrage, Hillbrow, présent au FID Marseille, au Festival Indies de Sao Paulo et au Festival du nouveau cinéma de Montréal en 2014.
Catalogue : 2014Les dépossédés | Vidéo | | | 50:0 | France | 0
Nicolas Boone
Les dépossédés
Vidéo | | | 50:0 | France | 0
Un camion roule sur une piste en Afrique, magnétise les villageois jusqu?à les faire disparaître dans la brousse. Un prédicateur témoigne de sa propre (dé)possession. Une ado cherche son chemin dans la forêt guidée par d?étranges rencontres. Des danseurs tournent en rond dans une boîte de nuit qu?on croirait pensée par Dr. Frankenstein. En 4 chapitres, une fable déjantée sur l?aliénation.
Nicolas Boone a fait les Beaux Arts pendant de nombreuses années avant de se lancer dans une entreprise de déformatage total du cinéma.
Dan Boord, Dan Boord/Luis Valdovino
Catalogue : 2018A Feeling for Leaving | Doc. expérimental | hdv | couleur et n&b | 9:28 | USA | 2017
Dan Boord, Luis Valdovino
A Feeling for Leaving
Doc. expérimental | hdv | couleur et n&b | 9:28 | USA | 2017
Thinkof anybody who goes anywhere or stays at home and is an American and you will realize that it is something strictly American to conceive a space that is filled with moving. "Gertrude Stein" Stay all night, stay a little longer, Dance all night, dance a little longer, Pull off your coat, throw it in the corner, Don`t see why you can`t stay a little longer. Lyrics by Bob Wills and Tommy Duncan In this video we see a world from a rearview mirror, passing along 19th century settlement trails, monuments, gas stations, deserts, dinners, postwar suburbs and a movie motel drive-in. Our histories are visible, mobile and vanishing. Landscapes rush by Arizona, Colorado, New Mexico, and Utah. Destinations include a dinosaur along a highway, a ranch converted into a UFO observation park, an abandoned movie drive-in, a western parade in Wyoming and lonely stretches of road. There is music and radio along the way, communities floating among the airwaves. Ferde Grofé’s musical sunrise over the Grand Canyon accompanies a tourist’s panoramic journey meandering westward to the Westlake District of Daly City, California. Meanwhile, an immigrant embarks on a train trip across Amerika toward employment, belonging, and The Nature Theater of Oklahoma.
Biography/Dan Boord: Dan Boord is a Professor in the Critical Media Practices Department at the University of Colorado, Boulder. He received grants from The Center for New Television, The Ohio Arts Council, WNET/WGBH and the Southwest Alternate Media Project. His work has been exhibited at the Whitney Museum of American Art, New York; The Museum of Modern Art, New York; Walker Art Center, Minneapolis; The Metropolitan Museum of Art, New York; Museum of Fine Arts, Boston; The Venice Biennale, Venice, Italy; Stedelijk Museum, Amsterdam, Holland; Centre Georges Pompidou, Paris, France; Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia, Madrid, Spain; Institute of Contemporary Art, London, England; Museo Nacional de Bellas Artes, Santiago, Chile; European Media Art Festival, Osnabruck, Germany; Toronto Film Festival, Toronto, Canada; World Wide Video Festival, The Hague, Holland; Les Rencontres Internationales; Edinburgh Film Festival, Scotland, and the Oberhausen Film Festival, Germany. His works are in the collections of The Museum of Modern Art, New York; Walker Art Center, Minneapolis and The Long Beach Museum , Long Beach, CA. Boord’s works have been broadcasted on WNET, New York and WGBH, Boston, presented at the International Public Television Conference in Stockholm and at the 50th Robert Flaherty Film Seminar. Biography/ Luis Valdovino: Luis Valdovino is Professor of Art at the University of Colorado, Boulder, CO. He has received grants from the American Film Institute, the National Endowment for the Arts, Arts International/N.E.A., Illinois Arts Council, Colorado Council for the Arts, and The Center for New Television, Chicago. His works have been included in numerous exhibitions including The Museum of Modern Art, New York; The Museum of Contemporary Art, Los Angeles; The Walker Art Center, Minneapolis; The Metropolitan Museum of Art, New York; San Francisco Museum of Modern Art, San Francisco; Museum of Fine Arts, Boston; Venice Biennale, Venice, Italy; The Stedelijk Museum, Amsterdam, Holland; The Institute of Contemporary Art, London, England; Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia, Madrid, Spain; Centre Georges Pompidou, Paris, France; Centro Nacional de Las Artes, Mexico City, Mexico; Museo Nacional de Bellas Artes, Santiago, Chile; Berlin Video Festival, Berlin, Germany; World Wide Video Festival, The Hague, Holland; Les Rencontres Internationales; Toronto Film Festival, Toronto, Canada; Edinburgh Film Festival, Scotland and Oberhausen Film Festival, Oberhausen, Germany. Valdovino’s videos have been presented at the 37th and 50th Robert Flaherty Film Seminar, The Kitchen, New York, and broadcasted on “Independent Focus†at WNET and Deep Dish Network, New York.
Catalogue : 2011Tree of Forgetting | Doc. expérimental | dv | couleur et n&b | 8:43 | USA | 2009
Dan Boord, Dan Boord
Tree of Forgetting
Doc. expérimental | dv | couleur et n&b | 8:43 | USA | 2009
The world?s shortest short story takes a detour to a place where time is a forking path of possibilities leading to the same eventuality ? the past. A place where it was possible to vanish among family and friends and where the places and things of everyday life may also take on horrific features and meanings. Tree of Forgetting is a place where a poet laureate may aspire to become an inspector of chickens and where many live in a state of exile. Here you forget not to remember those things others wish to forget.
Dan Boord is Professor in the Film Studies Program at the University of Colorado, Boulder and Luis Valdovino is Professor in the Art & Art History Department at the University of Colorado, Boulder. Exhibitions: The Museum of Modern Art, New York, The Metropolitan Museum of Art, New York, Venice Biennale, Venice, Italy, The Stedelijk Museum, Amsterdam, Holland, Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia, Madrid, Spain, Centre Georges Pompidou, Paris, France, The Museum of Contemporary Art, Los Angeles; The Walker Art Center, Minneapolis; Centro Nacional de Las Artes, Mexico City, Mexico; Museo Nacional de Bellas Artes, Santiago, Chile; Center of Contemporary Art, Tel Aviv, Israel; Robert Flaherty Film Seminar, Oberhausen Film Festival, Germany and Toronto Film Festival, Canada.
Catalogue : 2009Not Enough Night | | dv | couleur et n&b | 7:44 | USA | 2007
Dan Boord, Boord Dan
Not Enough Night
| dv | couleur et n&b | 7:44 | USA | 2007
La station de gaz de Longmont Colorado dont Jack Kerouac parle dans son livre « Sur la Route » a été déplacée deux fois pour être protégée de possibles détériorations. Les jours présents écrasent le passé, tel un bulldozer, afin de faire place aux étranges condominiums et maisons qui imitent les cottages et les squares de l?Amérique d?antan. « Not Enough Night » est le chant du cygne des hippies d?autrefois, qui désiraient ardemment plus de « vie » parmi les conquérantes banlieues de l?après Seconde Guerre Mondiale, les centres commerciaux et l?existence solitaire des consommateurs. Ce film commémore l?éphémère cinquantième anniversaire de la publication de « Sur la route » et de « Les Américains » de Robert Frank.
Dan Boord et Luis Valdovino enseignent à l'Université de Colorado de Boulder (USA). Leurs oeuvres ont été montrées au Museum of Modern Art et au Metropolitan Museum of Art de à New York (USA), à la Biennale de Venise (Italie), au Stedelijk Museum d?Amsterdam (Pays-Bas), au Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia de Madrid (Espagne), au Centre Georges Pompidou de Paris (France), au Museum of Contemporary Art de Los Angeles (USA), au Walker Art Center de Minneapolis (USA), au Centro Nacional de Las Artes de Mexico (Mexique), au Museo Nacional de Bellas Artes de Santiago (Chili), au Berlin Video Festival (Allemagne), au Robert Flaherty Film Seminar et au Toronto Film Festival (Canada).
Catalogue : 2008El Museo de la Memoria | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 10:35 | USA | 2006
Dan Boord, Dan Boord/Luis Valdovino
El Museo de la Memoria
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 10:35 | USA | 2006
En utilisant des notes électroniques de Jérusalem, d'Italie, de France, d'Allemagne, du Pérou, de Buenos Aires, de Mexico et des Etats-Unis, le Musée de la Mémoire cherche un référant sans attaches, la déconnexion entre l'image et son univers historique. "Non pas le symbole, mais ce que le symbole représente, ce qui est vivant dans l'air et qui ne change jamais..." a écrit Wallace Stevens. La relation entre un monde regardé et un monde vécu est mise en évidence dans un petit village de Mexico où chaque soir, des danseurs du troisième âge relient le passé et le présent dans un danzón. Le souvenir, le voyage et la photographie prennent place dans une cabine de train: un personnage s'efforce de se rappeler des expériences vécues tandis q'un autre se bat contre son incapacité à oublier. Dans le Musée de la Mémoire, la photographie devient le lieu détenteur du "réel", une carte éclair pour les lieux et les objets pour lesquels les histoires ont été inventées. L'image photographique, l'image souvenir, celle de l'enfance, celle d'hier et d'aujourd'hui, ces images nous font reconnaître qu'il y a des choses que nous savons, mais ne comprenant pas. Dans le Musée de la Mémoire, une caméra peut inventer son propre monde - un monde qui existe pour être perçu et représenté dans des cartes postales.
Dan Boord et Luis Valdovino enseignent à l'université de Colorado, Boulder. Leurs oeuvres ont été montrées au Museum of Modern Art et au Metropolitan Museum of Art, à New York, à la Biennale de Venise, au Stedelijk Museum, à Amsterdam, au Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia, à Madrid, au Centre Georges Pompidou, à Paris, au Museum of Contemporary Art, à Los Angeles, au Walker Art Center, à Minneapolis, au Centro Nacional de Las Artes, à Mexico City, au Museo Nacional de Bellas Artes, à Santiago, au Chili, au Berlin Video Festival, en Allemagne, au Robert Flaherty Film Seminar et au Toronto Film Festival, au Canada.
Catalogue : 2006Themes | Doc. expérimental | dv | couleur | 28:24 | USA | 2004
Dan Boord, Dan BOORD
Themes
Doc. expérimental | dv | couleur | 28:24 | USA | 2004
?Themes? reprend le travelogue commençé avec Standards. Cette histoire postérieure à la guerre froide présume que l´histoire ne s?est pas arrêtée avec la chute du Mur de Berlin, mais a été réinventée dans une production théâtrale pour enfants, de Doña Faustina, quelque part dans le Yucatan, au Mexique. Dans ?Themes?, le passé, le présent et le futur convergent alors que la Venise de Dante devient un hôtel à Las Vegas. Ni le symbole ni sa raison d?être - le ?thème?, n´est la pierre angulaire du monde observé. ?Themes? observe ici avec nostalgie qu?ils ne font pas le futur de la manière dont ils le faisaient.
Dan Brood est professeur et Luis Valdovino est professeur associé à l´University du Colorado, à Bouleder. Ils ont fait de nombreuses expositions : au Museum of Modern Art de New York, puis au Metropolitan Museum of Art dans la même ville. Ils ont présenté leurs travaux à la Venice Biennale de Venise en Italie, puis au Stedelijk Museum à Amsterdam ainsi qu?au Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia de Madrid en Espagne.Ils ont aussi exposé en France à Paris, au Centre Georges-Pompidou ainsi qu?au Chili, au Museo Nacional de Bellas Artes de Santiago. Ils comptent aussi dans leurs expositions le Robert Flaherty Film Seminar, le Toronto Film Festival au Canada, le World Wide Video Festival à La Hague en Hollande et le Oberhausen Film Festival en Allemagne.
Dan Boord, Luis Valdovino
Catalogue : 2018A Feeling for Leaving | Doc. expérimental | hdv | couleur et n&b | 9:28 | USA | 2017
Dan Boord, Luis Valdovino
A Feeling for Leaving
Doc. expérimental | hdv | couleur et n&b | 9:28 | USA | 2017
Thinkof anybody who goes anywhere or stays at home and is an American and you will realize that it is something strictly American to conceive a space that is filled with moving. "Gertrude Stein" Stay all night, stay a little longer, Dance all night, dance a little longer, Pull off your coat, throw it in the corner, Don`t see why you can`t stay a little longer. Lyrics by Bob Wills and Tommy Duncan In this video we see a world from a rearview mirror, passing along 19th century settlement trails, monuments, gas stations, deserts, dinners, postwar suburbs and a movie motel drive-in. Our histories are visible, mobile and vanishing. Landscapes rush by Arizona, Colorado, New Mexico, and Utah. Destinations include a dinosaur along a highway, a ranch converted into a UFO observation park, an abandoned movie drive-in, a western parade in Wyoming and lonely stretches of road. There is music and radio along the way, communities floating among the airwaves. Ferde Grofé’s musical sunrise over the Grand Canyon accompanies a tourist’s panoramic journey meandering westward to the Westlake District of Daly City, California. Meanwhile, an immigrant embarks on a train trip across Amerika toward employment, belonging, and The Nature Theater of Oklahoma.
Biography/Dan Boord: Dan Boord is a Professor in the Critical Media Practices Department at the University of Colorado, Boulder. He received grants from The Center for New Television, The Ohio Arts Council, WNET/WGBH and the Southwest Alternate Media Project. His work has been exhibited at the Whitney Museum of American Art, New York; The Museum of Modern Art, New York; Walker Art Center, Minneapolis; The Metropolitan Museum of Art, New York; Museum of Fine Arts, Boston; The Venice Biennale, Venice, Italy; Stedelijk Museum, Amsterdam, Holland; Centre Georges Pompidou, Paris, France; Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia, Madrid, Spain; Institute of Contemporary Art, London, England; Museo Nacional de Bellas Artes, Santiago, Chile; European Media Art Festival, Osnabruck, Germany; Toronto Film Festival, Toronto, Canada; World Wide Video Festival, The Hague, Holland; Les Rencontres Internationales; Edinburgh Film Festival, Scotland, and the Oberhausen Film Festival, Germany. His works are in the collections of The Museum of Modern Art, New York; Walker Art Center, Minneapolis and The Long Beach Museum , Long Beach, CA. Boord’s works have been broadcasted on WNET, New York and WGBH, Boston, presented at the International Public Television Conference in Stockholm and at the 50th Robert Flaherty Film Seminar. Biography/ Luis Valdovino: Luis Valdovino is Professor of Art at the University of Colorado, Boulder, CO. He has received grants from the American Film Institute, the National Endowment for the Arts, Arts International/N.E.A., Illinois Arts Council, Colorado Council for the Arts, and The Center for New Television, Chicago. His works have been included in numerous exhibitions including The Museum of Modern Art, New York; The Museum of Contemporary Art, Los Angeles; The Walker Art Center, Minneapolis; The Metropolitan Museum of Art, New York; San Francisco Museum of Modern Art, San Francisco; Museum of Fine Arts, Boston; Venice Biennale, Venice, Italy; The Stedelijk Museum, Amsterdam, Holland; The Institute of Contemporary Art, London, England; Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia, Madrid, Spain; Centre Georges Pompidou, Paris, France; Centro Nacional de Las Artes, Mexico City, Mexico; Museo Nacional de Bellas Artes, Santiago, Chile; Berlin Video Festival, Berlin, Germany; World Wide Video Festival, The Hague, Holland; Les Rencontres Internationales; Toronto Film Festival, Toronto, Canada; Edinburgh Film Festival, Scotland and Oberhausen Film Festival, Oberhausen, Germany. Valdovino’s videos have been presented at the 37th and 50th Robert Flaherty Film Seminar, The Kitchen, New York, and broadcasted on “Independent Focus†at WNET and Deep Dish Network, New York.
Catalogue : 2011Tree of Forgetting | Doc. expérimental | dv | couleur et n&b | 8:43 | USA | 2009
Dan Boord, Dan Boord
Tree of Forgetting
Doc. expérimental | dv | couleur et n&b | 8:43 | USA | 2009
The world?s shortest short story takes a detour to a place where time is a forking path of possibilities leading to the same eventuality ? the past. A place where it was possible to vanish among family and friends and where the places and things of everyday life may also take on horrific features and meanings. Tree of Forgetting is a place where a poet laureate may aspire to become an inspector of chickens and where many live in a state of exile. Here you forget not to remember those things others wish to forget.
Dan Boord is Professor in the Film Studies Program at the University of Colorado, Boulder and Luis Valdovino is Professor in the Art & Art History Department at the University of Colorado, Boulder. Exhibitions: The Museum of Modern Art, New York, The Metropolitan Museum of Art, New York, Venice Biennale, Venice, Italy, The Stedelijk Museum, Amsterdam, Holland, Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia, Madrid, Spain, Centre Georges Pompidou, Paris, France, The Museum of Contemporary Art, Los Angeles; The Walker Art Center, Minneapolis; Centro Nacional de Las Artes, Mexico City, Mexico; Museo Nacional de Bellas Artes, Santiago, Chile; Center of Contemporary Art, Tel Aviv, Israel; Robert Flaherty Film Seminar, Oberhausen Film Festival, Germany and Toronto Film Festival, Canada.
Catalogue : 2009Not Enough Night | | dv | couleur et n&b | 7:44 | USA | 2007
Dan Boord, Boord Dan
Not Enough Night
| dv | couleur et n&b | 7:44 | USA | 2007
La station de gaz de Longmont Colorado dont Jack Kerouac parle dans son livre « Sur la Route » a été déplacée deux fois pour être protégée de possibles détériorations. Les jours présents écrasent le passé, tel un bulldozer, afin de faire place aux étranges condominiums et maisons qui imitent les cottages et les squares de l?Amérique d?antan. « Not Enough Night » est le chant du cygne des hippies d?autrefois, qui désiraient ardemment plus de « vie » parmi les conquérantes banlieues de l?après Seconde Guerre Mondiale, les centres commerciaux et l?existence solitaire des consommateurs. Ce film commémore l?éphémère cinquantième anniversaire de la publication de « Sur la route » et de « Les Américains » de Robert Frank.
Dan Boord et Luis Valdovino enseignent à l'Université de Colorado de Boulder (USA). Leurs oeuvres ont été montrées au Museum of Modern Art et au Metropolitan Museum of Art de à New York (USA), à la Biennale de Venise (Italie), au Stedelijk Museum d?Amsterdam (Pays-Bas), au Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia de Madrid (Espagne), au Centre Georges Pompidou de Paris (France), au Museum of Contemporary Art de Los Angeles (USA), au Walker Art Center de Minneapolis (USA), au Centro Nacional de Las Artes de Mexico (Mexique), au Museo Nacional de Bellas Artes de Santiago (Chili), au Berlin Video Festival (Allemagne), au Robert Flaherty Film Seminar et au Toronto Film Festival (Canada).
Catalogue : 2008El Museo de la Memoria | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 10:35 | USA | 2006
Dan Boord, Dan Boord/Luis Valdovino
El Museo de la Memoria
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 10:35 | USA | 2006
En utilisant des notes électroniques de Jérusalem, d'Italie, de France, d'Allemagne, du Pérou, de Buenos Aires, de Mexico et des Etats-Unis, le Musée de la Mémoire cherche un référant sans attaches, la déconnexion entre l'image et son univers historique. "Non pas le symbole, mais ce que le symbole représente, ce qui est vivant dans l'air et qui ne change jamais..." a écrit Wallace Stevens. La relation entre un monde regardé et un monde vécu est mise en évidence dans un petit village de Mexico où chaque soir, des danseurs du troisième âge relient le passé et le présent dans un danzón. Le souvenir, le voyage et la photographie prennent place dans une cabine de train: un personnage s'efforce de se rappeler des expériences vécues tandis q'un autre se bat contre son incapacité à oublier. Dans le Musée de la Mémoire, la photographie devient le lieu détenteur du "réel", une carte éclair pour les lieux et les objets pour lesquels les histoires ont été inventées. L'image photographique, l'image souvenir, celle de l'enfance, celle d'hier et d'aujourd'hui, ces images nous font reconnaître qu'il y a des choses que nous savons, mais ne comprenant pas. Dans le Musée de la Mémoire, une caméra peut inventer son propre monde - un monde qui existe pour être perçu et représenté dans des cartes postales.
Dan Boord et Luis Valdovino enseignent à l'université de Colorado, Boulder. Leurs oeuvres ont été montrées au Museum of Modern Art et au Metropolitan Museum of Art, à New York, à la Biennale de Venise, au Stedelijk Museum, à Amsterdam, au Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia, à Madrid, au Centre Georges Pompidou, à Paris, au Museum of Contemporary Art, à Los Angeles, au Walker Art Center, à Minneapolis, au Centro Nacional de Las Artes, à Mexico City, au Museo Nacional de Bellas Artes, à Santiago, au Chili, au Berlin Video Festival, en Allemagne, au Robert Flaherty Film Seminar et au Toronto Film Festival, au Canada.
Catalogue : 2006Themes | Doc. expérimental | dv | couleur | 28:24 | USA | 2004
Dan Boord, Dan BOORD
Themes
Doc. expérimental | dv | couleur | 28:24 | USA | 2004
?Themes? reprend le travelogue commençé avec Standards. Cette histoire postérieure à la guerre froide présume que l´histoire ne s?est pas arrêtée avec la chute du Mur de Berlin, mais a été réinventée dans une production théâtrale pour enfants, de Doña Faustina, quelque part dans le Yucatan, au Mexique. Dans ?Themes?, le passé, le présent et le futur convergent alors que la Venise de Dante devient un hôtel à Las Vegas. Ni le symbole ni sa raison d?être - le ?thème?, n´est la pierre angulaire du monde observé. ?Themes? observe ici avec nostalgie qu?ils ne font pas le futur de la manière dont ils le faisaient.
Dan Brood est professeur et Luis Valdovino est professeur associé à l´University du Colorado, à Bouleder. Ils ont fait de nombreuses expositions : au Museum of Modern Art de New York, puis au Metropolitan Museum of Art dans la même ville. Ils ont présenté leurs travaux à la Venice Biennale de Venise en Italie, puis au Stedelijk Museum à Amsterdam ainsi qu?au Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia de Madrid en Espagne.Ils ont aussi exposé en France à Paris, au Centre Georges-Pompidou ainsi qu?au Chili, au Museo Nacional de Bellas Artes de Santiago. Ils comptent aussi dans leurs expositions le Robert Flaherty Film Seminar, le Toronto Film Festival au Canada, le World Wide Video Festival à La Hague en Hollande et le Oberhausen Film Festival en Allemagne.
Dan Boord, Dan BOORD
Catalogue : 2018A Feeling for Leaving | Doc. expérimental | hdv | couleur et n&b | 9:28 | USA | 2017
Dan Boord, Luis Valdovino
A Feeling for Leaving
Doc. expérimental | hdv | couleur et n&b | 9:28 | USA | 2017
Thinkof anybody who goes anywhere or stays at home and is an American and you will realize that it is something strictly American to conceive a space that is filled with moving. "Gertrude Stein" Stay all night, stay a little longer, Dance all night, dance a little longer, Pull off your coat, throw it in the corner, Don`t see why you can`t stay a little longer. Lyrics by Bob Wills and Tommy Duncan In this video we see a world from a rearview mirror, passing along 19th century settlement trails, monuments, gas stations, deserts, dinners, postwar suburbs and a movie motel drive-in. Our histories are visible, mobile and vanishing. Landscapes rush by Arizona, Colorado, New Mexico, and Utah. Destinations include a dinosaur along a highway, a ranch converted into a UFO observation park, an abandoned movie drive-in, a western parade in Wyoming and lonely stretches of road. There is music and radio along the way, communities floating among the airwaves. Ferde Grofé’s musical sunrise over the Grand Canyon accompanies a tourist’s panoramic journey meandering westward to the Westlake District of Daly City, California. Meanwhile, an immigrant embarks on a train trip across Amerika toward employment, belonging, and The Nature Theater of Oklahoma.
Biography/Dan Boord: Dan Boord is a Professor in the Critical Media Practices Department at the University of Colorado, Boulder. He received grants from The Center for New Television, The Ohio Arts Council, WNET/WGBH and the Southwest Alternate Media Project. His work has been exhibited at the Whitney Museum of American Art, New York; The Museum of Modern Art, New York; Walker Art Center, Minneapolis; The Metropolitan Museum of Art, New York; Museum of Fine Arts, Boston; The Venice Biennale, Venice, Italy; Stedelijk Museum, Amsterdam, Holland; Centre Georges Pompidou, Paris, France; Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia, Madrid, Spain; Institute of Contemporary Art, London, England; Museo Nacional de Bellas Artes, Santiago, Chile; European Media Art Festival, Osnabruck, Germany; Toronto Film Festival, Toronto, Canada; World Wide Video Festival, The Hague, Holland; Les Rencontres Internationales; Edinburgh Film Festival, Scotland, and the Oberhausen Film Festival, Germany. His works are in the collections of The Museum of Modern Art, New York; Walker Art Center, Minneapolis and The Long Beach Museum , Long Beach, CA. Boord’s works have been broadcasted on WNET, New York and WGBH, Boston, presented at the International Public Television Conference in Stockholm and at the 50th Robert Flaherty Film Seminar. Biography/ Luis Valdovino: Luis Valdovino is Professor of Art at the University of Colorado, Boulder, CO. He has received grants from the American Film Institute, the National Endowment for the Arts, Arts International/N.E.A., Illinois Arts Council, Colorado Council for the Arts, and The Center for New Television, Chicago. His works have been included in numerous exhibitions including The Museum of Modern Art, New York; The Museum of Contemporary Art, Los Angeles; The Walker Art Center, Minneapolis; The Metropolitan Museum of Art, New York; San Francisco Museum of Modern Art, San Francisco; Museum of Fine Arts, Boston; Venice Biennale, Venice, Italy; The Stedelijk Museum, Amsterdam, Holland; The Institute of Contemporary Art, London, England; Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia, Madrid, Spain; Centre Georges Pompidou, Paris, France; Centro Nacional de Las Artes, Mexico City, Mexico; Museo Nacional de Bellas Artes, Santiago, Chile; Berlin Video Festival, Berlin, Germany; World Wide Video Festival, The Hague, Holland; Les Rencontres Internationales; Toronto Film Festival, Toronto, Canada; Edinburgh Film Festival, Scotland and Oberhausen Film Festival, Oberhausen, Germany. Valdovino’s videos have been presented at the 37th and 50th Robert Flaherty Film Seminar, The Kitchen, New York, and broadcasted on “Independent Focus†at WNET and Deep Dish Network, New York.
Catalogue : 2011Tree of Forgetting | Doc. expérimental | dv | couleur et n&b | 8:43 | USA | 2009
Dan Boord, Dan Boord
Tree of Forgetting
Doc. expérimental | dv | couleur et n&b | 8:43 | USA | 2009
The world?s shortest short story takes a detour to a place where time is a forking path of possibilities leading to the same eventuality ? the past. A place where it was possible to vanish among family and friends and where the places and things of everyday life may also take on horrific features and meanings. Tree of Forgetting is a place where a poet laureate may aspire to become an inspector of chickens and where many live in a state of exile. Here you forget not to remember those things others wish to forget.
Dan Boord is Professor in the Film Studies Program at the University of Colorado, Boulder and Luis Valdovino is Professor in the Art & Art History Department at the University of Colorado, Boulder. Exhibitions: The Museum of Modern Art, New York, The Metropolitan Museum of Art, New York, Venice Biennale, Venice, Italy, The Stedelijk Museum, Amsterdam, Holland, Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia, Madrid, Spain, Centre Georges Pompidou, Paris, France, The Museum of Contemporary Art, Los Angeles; The Walker Art Center, Minneapolis; Centro Nacional de Las Artes, Mexico City, Mexico; Museo Nacional de Bellas Artes, Santiago, Chile; Center of Contemporary Art, Tel Aviv, Israel; Robert Flaherty Film Seminar, Oberhausen Film Festival, Germany and Toronto Film Festival, Canada.
Catalogue : 2009Not Enough Night | | dv | couleur et n&b | 7:44 | USA | 2007
Dan Boord, Boord Dan
Not Enough Night
| dv | couleur et n&b | 7:44 | USA | 2007
La station de gaz de Longmont Colorado dont Jack Kerouac parle dans son livre « Sur la Route » a été déplacée deux fois pour être protégée de possibles détériorations. Les jours présents écrasent le passé, tel un bulldozer, afin de faire place aux étranges condominiums et maisons qui imitent les cottages et les squares de l?Amérique d?antan. « Not Enough Night » est le chant du cygne des hippies d?autrefois, qui désiraient ardemment plus de « vie » parmi les conquérantes banlieues de l?après Seconde Guerre Mondiale, les centres commerciaux et l?existence solitaire des consommateurs. Ce film commémore l?éphémère cinquantième anniversaire de la publication de « Sur la route » et de « Les Américains » de Robert Frank.
Dan Boord et Luis Valdovino enseignent à l'Université de Colorado de Boulder (USA). Leurs oeuvres ont été montrées au Museum of Modern Art et au Metropolitan Museum of Art de à New York (USA), à la Biennale de Venise (Italie), au Stedelijk Museum d?Amsterdam (Pays-Bas), au Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia de Madrid (Espagne), au Centre Georges Pompidou de Paris (France), au Museum of Contemporary Art de Los Angeles (USA), au Walker Art Center de Minneapolis (USA), au Centro Nacional de Las Artes de Mexico (Mexique), au Museo Nacional de Bellas Artes de Santiago (Chili), au Berlin Video Festival (Allemagne), au Robert Flaherty Film Seminar et au Toronto Film Festival (Canada).
Catalogue : 2008El Museo de la Memoria | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 10:35 | USA | 2006
Dan Boord, Dan Boord/Luis Valdovino
El Museo de la Memoria
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 10:35 | USA | 2006
En utilisant des notes électroniques de Jérusalem, d'Italie, de France, d'Allemagne, du Pérou, de Buenos Aires, de Mexico et des Etats-Unis, le Musée de la Mémoire cherche un référant sans attaches, la déconnexion entre l'image et son univers historique. "Non pas le symbole, mais ce que le symbole représente, ce qui est vivant dans l'air et qui ne change jamais..." a écrit Wallace Stevens. La relation entre un monde regardé et un monde vécu est mise en évidence dans un petit village de Mexico où chaque soir, des danseurs du troisième âge relient le passé et le présent dans un danzón. Le souvenir, le voyage et la photographie prennent place dans une cabine de train: un personnage s'efforce de se rappeler des expériences vécues tandis q'un autre se bat contre son incapacité à oublier. Dans le Musée de la Mémoire, la photographie devient le lieu détenteur du "réel", une carte éclair pour les lieux et les objets pour lesquels les histoires ont été inventées. L'image photographique, l'image souvenir, celle de l'enfance, celle d'hier et d'aujourd'hui, ces images nous font reconnaître qu'il y a des choses que nous savons, mais ne comprenant pas. Dans le Musée de la Mémoire, une caméra peut inventer son propre monde - un monde qui existe pour être perçu et représenté dans des cartes postales.
Dan Boord et Luis Valdovino enseignent à l'université de Colorado, Boulder. Leurs oeuvres ont été montrées au Museum of Modern Art et au Metropolitan Museum of Art, à New York, à la Biennale de Venise, au Stedelijk Museum, à Amsterdam, au Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia, à Madrid, au Centre Georges Pompidou, à Paris, au Museum of Contemporary Art, à Los Angeles, au Walker Art Center, à Minneapolis, au Centro Nacional de Las Artes, à Mexico City, au Museo Nacional de Bellas Artes, à Santiago, au Chili, au Berlin Video Festival, en Allemagne, au Robert Flaherty Film Seminar et au Toronto Film Festival, au Canada.
Catalogue : 2006Themes | Doc. expérimental | dv | couleur | 28:24 | USA | 2004
Dan Boord, Dan BOORD
Themes
Doc. expérimental | dv | couleur | 28:24 | USA | 2004
?Themes? reprend le travelogue commençé avec Standards. Cette histoire postérieure à la guerre froide présume que l´histoire ne s?est pas arrêtée avec la chute du Mur de Berlin, mais a été réinventée dans une production théâtrale pour enfants, de Doña Faustina, quelque part dans le Yucatan, au Mexique. Dans ?Themes?, le passé, le présent et le futur convergent alors que la Venise de Dante devient un hôtel à Las Vegas. Ni le symbole ni sa raison d?être - le ?thème?, n´est la pierre angulaire du monde observé. ?Themes? observe ici avec nostalgie qu?ils ne font pas le futur de la manière dont ils le faisaient.
Dan Brood est professeur et Luis Valdovino est professeur associé à l´University du Colorado, à Bouleder. Ils ont fait de nombreuses expositions : au Museum of Modern Art de New York, puis au Metropolitan Museum of Art dans la même ville. Ils ont présenté leurs travaux à la Venice Biennale de Venise en Italie, puis au Stedelijk Museum à Amsterdam ainsi qu?au Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia de Madrid en Espagne.Ils ont aussi exposé en France à Paris, au Centre Georges-Pompidou ainsi qu?au Chili, au Museo Nacional de Bellas Artes de Santiago. Ils comptent aussi dans leurs expositions le Robert Flaherty Film Seminar, le Toronto Film Festival au Canada, le World Wide Video Festival à La Hague en Hollande et le Oberhausen Film Festival en Allemagne.
Dan Boord, Boord Dan
Catalogue : 2018A Feeling for Leaving | Doc. expérimental | hdv | couleur et n&b | 9:28 | USA | 2017
Dan Boord, Luis Valdovino
A Feeling for Leaving
Doc. expérimental | hdv | couleur et n&b | 9:28 | USA | 2017
Thinkof anybody who goes anywhere or stays at home and is an American and you will realize that it is something strictly American to conceive a space that is filled with moving. "Gertrude Stein" Stay all night, stay a little longer, Dance all night, dance a little longer, Pull off your coat, throw it in the corner, Don`t see why you can`t stay a little longer. Lyrics by Bob Wills and Tommy Duncan In this video we see a world from a rearview mirror, passing along 19th century settlement trails, monuments, gas stations, deserts, dinners, postwar suburbs and a movie motel drive-in. Our histories are visible, mobile and vanishing. Landscapes rush by Arizona, Colorado, New Mexico, and Utah. Destinations include a dinosaur along a highway, a ranch converted into a UFO observation park, an abandoned movie drive-in, a western parade in Wyoming and lonely stretches of road. There is music and radio along the way, communities floating among the airwaves. Ferde Grofé’s musical sunrise over the Grand Canyon accompanies a tourist’s panoramic journey meandering westward to the Westlake District of Daly City, California. Meanwhile, an immigrant embarks on a train trip across Amerika toward employment, belonging, and The Nature Theater of Oklahoma.
Biography/Dan Boord: Dan Boord is a Professor in the Critical Media Practices Department at the University of Colorado, Boulder. He received grants from The Center for New Television, The Ohio Arts Council, WNET/WGBH and the Southwest Alternate Media Project. His work has been exhibited at the Whitney Museum of American Art, New York; The Museum of Modern Art, New York; Walker Art Center, Minneapolis; The Metropolitan Museum of Art, New York; Museum of Fine Arts, Boston; The Venice Biennale, Venice, Italy; Stedelijk Museum, Amsterdam, Holland; Centre Georges Pompidou, Paris, France; Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia, Madrid, Spain; Institute of Contemporary Art, London, England; Museo Nacional de Bellas Artes, Santiago, Chile; European Media Art Festival, Osnabruck, Germany; Toronto Film Festival, Toronto, Canada; World Wide Video Festival, The Hague, Holland; Les Rencontres Internationales; Edinburgh Film Festival, Scotland, and the Oberhausen Film Festival, Germany. His works are in the collections of The Museum of Modern Art, New York; Walker Art Center, Minneapolis and The Long Beach Museum , Long Beach, CA. Boord’s works have been broadcasted on WNET, New York and WGBH, Boston, presented at the International Public Television Conference in Stockholm and at the 50th Robert Flaherty Film Seminar. Biography/ Luis Valdovino: Luis Valdovino is Professor of Art at the University of Colorado, Boulder, CO. He has received grants from the American Film Institute, the National Endowment for the Arts, Arts International/N.E.A., Illinois Arts Council, Colorado Council for the Arts, and The Center for New Television, Chicago. His works have been included in numerous exhibitions including The Museum of Modern Art, New York; The Museum of Contemporary Art, Los Angeles; The Walker Art Center, Minneapolis; The Metropolitan Museum of Art, New York; San Francisco Museum of Modern Art, San Francisco; Museum of Fine Arts, Boston; Venice Biennale, Venice, Italy; The Stedelijk Museum, Amsterdam, Holland; The Institute of Contemporary Art, London, England; Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia, Madrid, Spain; Centre Georges Pompidou, Paris, France; Centro Nacional de Las Artes, Mexico City, Mexico; Museo Nacional de Bellas Artes, Santiago, Chile; Berlin Video Festival, Berlin, Germany; World Wide Video Festival, The Hague, Holland; Les Rencontres Internationales; Toronto Film Festival, Toronto, Canada; Edinburgh Film Festival, Scotland and Oberhausen Film Festival, Oberhausen, Germany. Valdovino’s videos have been presented at the 37th and 50th Robert Flaherty Film Seminar, The Kitchen, New York, and broadcasted on “Independent Focus†at WNET and Deep Dish Network, New York.
Catalogue : 2011Tree of Forgetting | Doc. expérimental | dv | couleur et n&b | 8:43 | USA | 2009
Dan Boord, Dan Boord
Tree of Forgetting
Doc. expérimental | dv | couleur et n&b | 8:43 | USA | 2009
The world?s shortest short story takes a detour to a place where time is a forking path of possibilities leading to the same eventuality ? the past. A place where it was possible to vanish among family and friends and where the places and things of everyday life may also take on horrific features and meanings. Tree of Forgetting is a place where a poet laureate may aspire to become an inspector of chickens and where many live in a state of exile. Here you forget not to remember those things others wish to forget.
Dan Boord is Professor in the Film Studies Program at the University of Colorado, Boulder and Luis Valdovino is Professor in the Art & Art History Department at the University of Colorado, Boulder. Exhibitions: The Museum of Modern Art, New York, The Metropolitan Museum of Art, New York, Venice Biennale, Venice, Italy, The Stedelijk Museum, Amsterdam, Holland, Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia, Madrid, Spain, Centre Georges Pompidou, Paris, France, The Museum of Contemporary Art, Los Angeles; The Walker Art Center, Minneapolis; Centro Nacional de Las Artes, Mexico City, Mexico; Museo Nacional de Bellas Artes, Santiago, Chile; Center of Contemporary Art, Tel Aviv, Israel; Robert Flaherty Film Seminar, Oberhausen Film Festival, Germany and Toronto Film Festival, Canada.
Catalogue : 2009Not Enough Night | | dv | couleur et n&b | 7:44 | USA | 2007
Dan Boord, Boord Dan
Not Enough Night
| dv | couleur et n&b | 7:44 | USA | 2007
La station de gaz de Longmont Colorado dont Jack Kerouac parle dans son livre « Sur la Route » a été déplacée deux fois pour être protégée de possibles détériorations. Les jours présents écrasent le passé, tel un bulldozer, afin de faire place aux étranges condominiums et maisons qui imitent les cottages et les squares de l?Amérique d?antan. « Not Enough Night » est le chant du cygne des hippies d?autrefois, qui désiraient ardemment plus de « vie » parmi les conquérantes banlieues de l?après Seconde Guerre Mondiale, les centres commerciaux et l?existence solitaire des consommateurs. Ce film commémore l?éphémère cinquantième anniversaire de la publication de « Sur la route » et de « Les Américains » de Robert Frank.
Dan Boord et Luis Valdovino enseignent à l'Université de Colorado de Boulder (USA). Leurs oeuvres ont été montrées au Museum of Modern Art et au Metropolitan Museum of Art de à New York (USA), à la Biennale de Venise (Italie), au Stedelijk Museum d?Amsterdam (Pays-Bas), au Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia de Madrid (Espagne), au Centre Georges Pompidou de Paris (France), au Museum of Contemporary Art de Los Angeles (USA), au Walker Art Center de Minneapolis (USA), au Centro Nacional de Las Artes de Mexico (Mexique), au Museo Nacional de Bellas Artes de Santiago (Chili), au Berlin Video Festival (Allemagne), au Robert Flaherty Film Seminar et au Toronto Film Festival (Canada).
Catalogue : 2008El Museo de la Memoria | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 10:35 | USA | 2006
Dan Boord, Dan Boord/Luis Valdovino
El Museo de la Memoria
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 10:35 | USA | 2006
En utilisant des notes électroniques de Jérusalem, d'Italie, de France, d'Allemagne, du Pérou, de Buenos Aires, de Mexico et des Etats-Unis, le Musée de la Mémoire cherche un référant sans attaches, la déconnexion entre l'image et son univers historique. "Non pas le symbole, mais ce que le symbole représente, ce qui est vivant dans l'air et qui ne change jamais..." a écrit Wallace Stevens. La relation entre un monde regardé et un monde vécu est mise en évidence dans un petit village de Mexico où chaque soir, des danseurs du troisième âge relient le passé et le présent dans un danzón. Le souvenir, le voyage et la photographie prennent place dans une cabine de train: un personnage s'efforce de se rappeler des expériences vécues tandis q'un autre se bat contre son incapacité à oublier. Dans le Musée de la Mémoire, la photographie devient le lieu détenteur du "réel", une carte éclair pour les lieux et les objets pour lesquels les histoires ont été inventées. L'image photographique, l'image souvenir, celle de l'enfance, celle d'hier et d'aujourd'hui, ces images nous font reconnaître qu'il y a des choses que nous savons, mais ne comprenant pas. Dans le Musée de la Mémoire, une caméra peut inventer son propre monde - un monde qui existe pour être perçu et représenté dans des cartes postales.
Dan Boord et Luis Valdovino enseignent à l'université de Colorado, Boulder. Leurs oeuvres ont été montrées au Museum of Modern Art et au Metropolitan Museum of Art, à New York, à la Biennale de Venise, au Stedelijk Museum, à Amsterdam, au Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia, à Madrid, au Centre Georges Pompidou, à Paris, au Museum of Contemporary Art, à Los Angeles, au Walker Art Center, à Minneapolis, au Centro Nacional de Las Artes, à Mexico City, au Museo Nacional de Bellas Artes, à Santiago, au Chili, au Berlin Video Festival, en Allemagne, au Robert Flaherty Film Seminar et au Toronto Film Festival, au Canada.
Catalogue : 2006Themes | Doc. expérimental | dv | couleur | 28:24 | USA | 2004
Dan Boord, Dan BOORD
Themes
Doc. expérimental | dv | couleur | 28:24 | USA | 2004
?Themes? reprend le travelogue commençé avec Standards. Cette histoire postérieure à la guerre froide présume que l´histoire ne s?est pas arrêtée avec la chute du Mur de Berlin, mais a été réinventée dans une production théâtrale pour enfants, de Doña Faustina, quelque part dans le Yucatan, au Mexique. Dans ?Themes?, le passé, le présent et le futur convergent alors que la Venise de Dante devient un hôtel à Las Vegas. Ni le symbole ni sa raison d?être - le ?thème?, n´est la pierre angulaire du monde observé. ?Themes? observe ici avec nostalgie qu?ils ne font pas le futur de la manière dont ils le faisaient.
Dan Brood est professeur et Luis Valdovino est professeur associé à l´University du Colorado, à Bouleder. Ils ont fait de nombreuses expositions : au Museum of Modern Art de New York, puis au Metropolitan Museum of Art dans la même ville. Ils ont présenté leurs travaux à la Venice Biennale de Venise en Italie, puis au Stedelijk Museum à Amsterdam ainsi qu?au Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia de Madrid en Espagne.Ils ont aussi exposé en France à Paris, au Centre Georges-Pompidou ainsi qu?au Chili, au Museo Nacional de Bellas Artes de Santiago. Ils comptent aussi dans leurs expositions le Robert Flaherty Film Seminar, le Toronto Film Festival au Canada, le World Wide Video Festival à La Hague en Hollande et le Oberhausen Film Festival en Allemagne.
Guillaume Bordier
Catalogue : 2007J'ai pas tué Saddam ! | Documentaire | dv | couleur | 51:30 | France | 2005
Guillaume Bordier
J'ai pas tué Saddam !
Documentaire | dv | couleur | 51:30 | France | 2005
Au cours d`un long voyage en Afghanistan, le réalisateur fait étape quelques semaines dans une auberge perdue dans les montagnes du Hazaradjat. Une rencontre documentaire avec les voyageurs, commerçants, soldats, paysans ou trafiquants condamnés à attendre que passe l'hiver.
Guillaume Bordier est né en France en 1978. Son désir de réaliser des fims documentaires a grandi au cours des nombreux voyages qu`il a effectué dans différentes régions du monde. En 2003, au cours d`un long voyage en Afghanistan, il réalise son premier film, J`ai pas tué Saddam ! Il vient d`achever le tournage d`un second film : le portrait de travailleurs dans une boulangerie à l`ouest de l`Afghanistan.
Andrea Bordoli
Catalogue : 2021Requerimiento | Film expérimental | 16mm | couleur et n&b | 8:9 | Suisse | 2020
Andrea Bordoli
Requerimiento
Film expérimental | 16mm | couleur et n&b | 8:9 | Suisse | 2020
Le terme requerimiento désigne une proclamation de droit divin de la monarchie espagnole de Castille de prendre possession des territoires du Nouveau Monde, et de soumettre, d’exploiter, et, si nécessaire, de combattre les habitants autochtones. Ce film court expérimental en 16mm explore l'esthétique d'un temps mythologique, ainsi que ses créatures et matérialisations archétypiques. En particulier, en suivant les trajectoires d'un serpent et d'un fragment de météorite, "Requerimiento" développe une narration entrelacée, qui interroge les altérités humaines et non humaines, à différentes époques et dans différentes cultures.
Andrea Bordoli a obtenu une Licence en anthropologie et philosophie à l'Université de Neuchâtel (Suisse) [2015], et un Master en anthropologie visuelle à l'Université de Manchester (Royaume-Uni) [2017]. Il vit actuellement à Genève (Suisse), où il étudie le cinéma à la HEAD - Haute École d'Art et Design, tout en développant ses recherches personnelles à l'intersection entre la théorie anthropologique, le cinéma documentaire et les arts visuels.
Myriam Bornand, Caméra Charles Castella,son Vincent Pipponnier avec Charlotte Rampling
Catalogue : 2012Future is back:les Déchirures | Vidéo | | noir et blanc | 1:53 | France | 2007
Myriam Bornand, caméra Charles Castella,son Vincent Pipponnier avec Charlotte Rampling
Future is back:les Déchirures
Vidéo | | noir et blanc | 1:53 | France | 2007
LES DECHIRURES Dans cette video la thématique de la DIVISION se retrouve sur trois plans : La déchirure(le geste)- l? ACTION. Les coupures(les mots)- le SON. et La séparation entre l?action qui se déroule et son(off) Charlotte Rampling est assise de dos on la voit déchirer, couper où arracher quelque chose d?imprécis. On entend en même temps sa voix mais on ne comprend pas ce qu?elle dit et s?il s?agit d?une langue étrangère où de mots inventés .Sa voix est enregistrée en off.Les mots que l?on entend sont un extrait de la chanson du jardinier dans Sylvie et Bruno de Lewis Carroll. Ce texte est dit en français et en anglais d?une façon découpée ,déstructurée, saccadée par une ponctuation d?arrêts et de reprises ,cette déconstruction du langage suffit ,en nous faisant perdre nos repères ,à nous égarer dans notre comprehension alors qu?aucun mot ne manque. Pendant ce temps Charlotte Rampling continue sans cesse de déchirer ce qu?elle tient sur ses genoux La séquence se termine quand on entend un bruit de ciseaux qui tombent au sol ,Charlotte se baisse légérement,l?image reste arrêtée sur son dos. Future is back.
MYRIAM BORNAND. Artiste plasticienne Franco-Suisse . Vit et travaille actuellement à Marseille France après Genéve Suisse La démarche artistique générale explore depuis le début des thématiques récurrentes l?un et la division le centre les opposés les strates la manipulation par l?image les automatismes de pensée Pour traiter ces diverses problématiques différentes techniques sont employées telles que : collages, peinture, vidéos, écritures, installations, sérigraphie, assemblages, photos. Le développement des concepts est absolument imbriqué dans la façon d?en restituer la problématique visuellement. Ils sont explorés généralement sous forme de série ou bien d?ensemble, ce qui est le cas de « Future is Back » qui est un travail qui se compose de trois volets : les Insultes,les Ciseaux et les Déchirures. ci dessous quelques unes des expositions présentées : Personnelles : LA PASSERELLE . 2001 . Marseille.FRANCE LES DANAÏDES. 2002 . Marseille.FRANCE LOFT 131.Installation. 2009 .Brooklyn .USA PULLMAN PALM BEACH. 2010. Marseille.FRANCE GALERIE PORTE AVION. 2010. Marseille.FRANCE GALERIE DU TABLEAU Mai 2011 Marseille. France De groupe GALERIE CHAVE .1993 . Vence FRANCE MUSÉE INGRES .1994 . « Les Récréations de la Création » Montauban.FRANCE ARTHOTHÉQUE du département de la Réunion « Aboli pas aboli » 1998.LA RÉUNION V.A.C en Février 2003 .« Hommage aux Anti-Barbares ». Ventabren .FRANCE CONCEJALIA de Educacion y Cultura : « COSLART 03 » . 2003.Coslada ESPANA . G.BLEUS 2005. « S.L.K » .Limburg. BELGIUM. MINISTERE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION DE PARIS . 2008 « Assises »Paris.FRANCE M.A.C.A. « Assises Opéra in sedute » 2009 Acri ITALIA
Catalogue : 2012Future is back:les Insultes | Vidéo | | noir et blanc | 1:52 | France | 0
Myriam Bornand, Caméra Charles Castella,son Vincent Pipponnier avec Charlotte Rampling
Future is back:les Insultes
Vidéo | | noir et blanc | 1:52 | France | 0
Charlotte Rampling est debout et porte une robe noire, elle semble assister à une soirée formelle,seul son visage et son buste sont légèrement mobiles. Son expression souriante évoque les formules de courtoisie habituelles ou quelques commentaires anodins à un interlocuteur qui ne serait pas dans le champ de la caméra,alors que le langage qu?elle emploie est violent et ordurier. Cette vidéo pointe le principe de la dualité,de la division en utilisant des contraires. Le calme et le raffinement que dégage la personnalité de Charlotte Rampling sont en complet décalage avec les propos violents et orduriers qu`elle emploie. Le mode choisi pour le « chapelet d?insultes est aussi décalé, il est rythmé selon la récitation des « Mantras »tibétains (syllabes-priéres) répétés comme des psalmodies hachées . On retrouve ici encore un autre décalage, c`est l?utilisation d?une pratique à d?autres fins que celles qui en découlent habituellement, puisqu?il s?agit en employant le mode des Mantras (paroles sacrées) d?énoncer des paroles profanes, dans un esprit tout à fait inverse à la prière.
MYRIAM BORNAND. Artiste plasticienne Franco-Suisse . Vit et travaille actuellement à Marseille France après Genéve Suisse La démarche artistique générale explore depuis le début des thématiques récurrentes l?un et la division le centre les opposés les strates la manipulation par l?image les automatismes de pensée Pour traiter ces diverses problématiques différentes techniques sont employées telles que : collages, peinture, vidéos, écritures, installations, sérigraphie, assemblages, photos. Le développement des concepts est absolument imbriqué dans la façon d?en restituer la problématique visuellement. Ils sont explorés généralement sous forme de série ou bien d?ensemble, ce qui est le cas de « Future is Back » qui est un travail qui se compose de trois volets : les Insultes,les Ciseaux et les Déchirures. ci dessous quelques unes des expositions présentées : Personnelles : LA PASSERELLE . 2001 . Marseille.FRANCE LES DANAÏDES. 2002 . Marseille.FRANCE LOFT 131.Installation. 2009 .Brooklyn .USA PULLMAN PALM BEACH. 2010. Marseille.FRANCE GALERIE PORTE AVION. 2010. Marseille.FRANCE GALERIE DU TABLEAU Mai 2011 Marseille. France De groupe GALERIE CHAVE .1993 . Vence FRANCE MUSÉE INGRES .1994 . « Les Récréations de la Création » Montauban.FRANCE ARTHOTHÉQUE du département de la Réunion « Aboli pas aboli » 1998.LA RÉUNION V.A.C en Février 2003 .« Hommage aux Anti-Barbares ». Ventabren .FRANCE CONCEJALIA de Educacion y Cultura : « COSLART 03 » . 2003.Coslada ESPANA . G.BLEUS 2005. « S.L.K » .Limburg. BELGIUM. MINISTERE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION DE PARIS . 2008 « Assises »Paris.FRANCE M.A.C.A. « Assises Opéra in sedute » 2009 Acri ITALIA
Ellen Bornkessel
Catalogue : 2006Länger bleiben | Art vidéo | dv | couleur | 6:0 | Allemagne | 2005
Ellen Bornkessel
Länger bleiben
Art vidéo | dv | couleur | 6:0 | Allemagne | 2005
Un homme est debout à côté d'une table. Il fume et boit. Dans quatre prises de vue statiques nous voyons des hommes dans des situations similaires. Pas grand chose se passe, à part le narrateur, qui décrit le déroulement de la fête. Dans les images fixes il y a à la fois un mélange de statique et de mouvement, de lumière et d'obscurité, d'ennui, de fête battant son plein et d'une ambiance triste n'échappant pas à une teinte d'humour. Le film tourne autour d'un moment d'immobilité au milieu de la vie citadine animée. Les images sont pleines de contrastes. Le vide intérieur se reflète aussi dans les pièces. L''immobilité des personnes se miroitant dans les prises de vue fixes. Les possibilités pour échapper de ces situations sont comprises dans l'image ou dans le texte, mais ne peuvent être perçues uniquement par le spectateur, ce qui confère au fil une teinte tragi-comique.
Ellen Bornkessel née le 12.02.1969 à Hammelburg 1995-1997 Études de communication visuelle à l'école supérieure spécialisée de Bielefeld 1997- 2001 Études de photographie et d'art des médias à l'École Supérieure d'Arts Graphiques et d'Arts du Livre. Vit et travaille à Cologne, en Allemagne.
Mark Boswell
Catalogue : 2008The St. Petersburg Paradox | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 8:22 | USA | 2006
Mark Boswell
The St. Petersburg Paradox
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 8:22 | USA | 2006
Le paradoxe de Saint-Pétersbourg a été inventé par le mathématicien suisse Nicolas Bernoulli en 1713. Le PSP décrit un jeu de casino particulier (dans un casino hypothétique à Saint Pétersbourg en Russie) qui se caractérise par une variable aléatoire avec une valeur espérée infinie. Le jeu implique le lancer d'une pièce de monnaie. Deux cas sont possibles: a) la pièce tombe du côté pile et le jeu est fini, le joueur reçoit une petite somme d'argent; ou b) la pièce tombe du côté face et la somme est doublée, le jeu continue alors jusqu'à ce que la pièce tombe du côté pile. Cependant, pour participer à ce jeu,le joueur doit verser une somme d'argent astronomique au Casino. Le PSP présente la situation classique dans laquelle un joueur arrive à une théorie naïve, ne prenant en compte que la possibilité de gagner. Aucune personne rationnelle ne prendrait une telle décision. Le film utilise des images de "Night and the Living Dead", de "Un plus un" de Godard et de "Casino" de Martin Scorsese, et à travers un montage hallucinatoire, dessine un portrait sarcastique de l'Etranger avec un final dadaïste coup de poing.
Mark Boswell a étudié l'histoire de l'art, le cinéma et la production à l'American Center of Paris, en France, de 1986 à 1989 et au Phillips College of Melbourne, en Floride de 1990 à 1992. Il a montré ses films expérimentaux dans 25 pays à travers le monde, dans des musées, des biennales, et des festivals de films, parmi lesquels The Transmediale Berlin (2003, 2004, 2007,) The 10th Biennial of The Moving Image, Genève, Suisse, The Avanto Media Arts Festival of Helsinki, Finlande (2003, 2004, 2006), The National Center of Contemporary Art, Saint-Pétersbourg, Russie, The Los Angeles Freewaves Video Biennial (Hammer Museum), Los Angeles, Californie, et the New York Video Festival au Lincoln Center, New York, New York. En 2004, il a été récompensé de l'International Media Art Award par le musée ZKM de Karlsruhe, en Allemagne.
Louise Botkay
Catalogue : 2015Vertières I,II,III | Film expérimental | super8 | couleur | 9:36 | Brésil, Haiti | 2014
Louise Botkay
Vertières I,II,III
Film expérimental | super8 | couleur | 9:36 | Brésil, Haiti | 2014
Vertières est le nom d'un quartier de la ville du Cap-Haïtien où, en 1803, a eu lieu la grande bataille qui a fini par expulser l'armée de Napoléon de l`île, Haïti à ce moment devient le premier pays au monde a conquérir son indépendance face aux puissances colonialistes.
Formation: La FEMIS, école nationale du cinéma-France, (diplômée juin 2006) Faculté de Design à Rio (diplômée en 2000) Bourse Aprofundamento-Parque Lage RJ (2014) Louise Botkay réalise des films utilisant autant le télephonne portable, que la vidéo, les pellicules super-8, 16 et 35 millimètres qui souvent sont développées "artisanalement". Travail nomade,elle réalise des films en Haïti, au Congo, Niger, Tchad, Hollande, Françe et Brésil.. Ses films on été sélectionnés et primés en festivals comme le Festival 1er Plan d`Anger, le festival de Brive, le festival Janela international de Recife, le festival de curtas de São Paulo, entre autres. Son film "Mammah" a été exhibé à la Galerie Christopher Grimes (Santa Monica), au Yerba Buena Center for the Arts (São Francisco) et au MAM-Rio de Janeiro en 2013, dans l'expo collective SP8. Elle a reçu la bourse "Villa Hors les murs", de l'Institut Français, pour produire son plus récent travail réalisé en Acre, Amazonie Brésilienne avec le peuple Hunikui. Elle vit à Rio de Janeiro et travaille entre le Brésil et la France.
Eliane Esther Bots
Catalogue : 2023In Flow of Words | Documentaire | dcp | couleur | 22:15 | Pays-Bas | 2021
Eliane Esther Bots
In Flow of Words
Documentaire | dcp | couleur | 22:15 | Pays-Bas | 2021
In Flow of Words follows the narratives of three interpreters of the International Criminal Tribunal for the former Yugoslavia. They interpreted shocking testimonies from witnesses, victims and perpetrators, without ever allowing their own emotions, feelings and personal histories to be present. Contrary to their position at the tribunal, this film places their voices and experiences center stage.
Eliane Esther Bots (1986, The Netherlands) graduated cum laude from the Master of Film at the Netherlands Film Academy in Amsterdam. Her films have been screened at ‘IDFA’ (NL) ‘Berlinale’, Berlin (DE), ‘Cinema du Reel’, Paris (FR), ‘New York Film Festival’ (USA), ‘International short film festival Oberhausen’ (DE), ‘Go Short’, Nijmegen (NL), Kassel Dokfest (DE). She works as a lecturer ‘Moving image’ at the University of the Arts in Utrecht (NL).
Gaelle Boucand
Catalogue : 2021Voin | Documentaire | mov | | 30:0 | France, Bulgarie | 0
Gaelle Boucand
Voin
Documentaire | mov | | 30:0 | France, Bulgarie | 0
Voin a grandi dans la Bulgarie communiste. Après vingt ans passés en Europe de l’Ouest, il retourne à Sofia sur les lieux de son enfance et de son adolescence. Son portrait se compose de lieu en lieu, de souvenir en anecdote. Du cou coupé du coq qui voulait l’énucléer aux rites d’initiation sexuelle dans la maison interdite, Voin campe les saynètes d’un roman d’apprentissage bataillien, cru et souverain. En racontant ses travestissements, il revendique aussi l’exercice d’une liberté, d’une agilité à se mouvoir dans le cours de l’Histoire. Voin l’imite, en hérite, et c’est l’Histoire qui transparaît dans une tonalité rafraîchie, une vitalité excentrique et mineure, loin des lieux communs du récit majoritaire. Et quand, penché sur le vide au 19e étage de la tour Tolstoï, le trentenaire contemple les barres d’immeubles du quartier Espoir de son enfance, son vertige est contagieux, et la sensation (dé)grisante. (Cyril Neyrat)
Gaelle Boucand est artiste et cinéaste. Sa pratique se concentre depuis dix ans sur la réalisation de documentaires au sein desquels les questions du portrait et du dispositif filmique tiennent une place centrale. En 2010, son premier film, "Partis pour Croatan", sur une communauté de raveur, est exposé, notamment au Musée d'Art Moderne de la ville de Paris (France). Son deuxième film, "JJA" — premier volet d'une trilogie — dresse le portrait d'un exilé fiscal en Suisse. Il reçoit la mention du Grand Prix de la compétition française au FIDMarseille (France) en 2012, ainsi que le Grand Prix expérimental au festival Coté Court de Pantin (France), et est également diffusé au sein de multiples institutions artistiques internationales (Kunsthalle Mannheim (Allemagne); MAST – Manifattura di Arti, Sperimentazione e Tecnologia Bologna, Bologne (Italie); Kunstwerk Carlshütte, Büdelsdorf (Allemagne). Depuis 2014, elle enseigne régulièrement à l'isdaT – Institut supérieur des arts de Toulouse (France) et réalise des films avec différentes écoles. En 2015, elle termine "Changement de décor", deuxième volet de la trilogie initiée avec "JJA", présenté notamment aux États généraux du film documentaire de Lussas (France), et cofonde la société Elinka Films. En 2020, "J.A" — qui vient clore la trilogie — est en compétition à Cinéma du Réel, Paris (France), et son dernier film, "Voin", portrait d'un homme à travers son retour en Bulgarie, reçoit le prix Alice Guy au FIDMarseille (France).
Gaëlle Boucand
Catalogue : 2008Berliner Bildstörung / Zoologischer Garten | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 3:12 | France, Allemagne | 2006
Gaëlle Boucand
Berliner Bildstörung / Zoologischer Garten
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 3:12 | France, Allemagne | 2006
Berliner Bildstörung / Zoologischer Garten est une vidéo construite à partir d`images d`un zoo déserté par ses animaux. Ces images mettent en avant les paysages artificiels du zoo et ses décors spécifiques. Elles surgissent du noir telles des interférences scandées par des réminiscences de sons d`animaux.
Gaëlle Boucand est née en 1980 à Paris. Elle bénéficie actuellement d`un atelier-résidence du BBK à Berlin et participe également au Pavillon, laboratoire de création du Palais de Tokyo à Paris. Son travail a récemment été exposé entre autres au Palais de Tokyo, au Luggage Store de San Francisco, ainsi qu`à Berlin (Air Garten, Kolonie Wedding), à Genève (Attitudes), à Montreuil (Les Instants Chavirés) et à Paris (Kadist Art Foundation, Bétonsalon, La Générale, Première vue, Jeune création). Plusieurs de ses films ont également été programmés dans le cadre de festivals vidéos tels que Les rencontres Internationales Paris-Berlin-Madrid (cinéma l`Entrepôt, Paris), Signes de nuit (cinéma le Balzac, Paris), Bandits-mages (Bourges) et le Kasseler Dokumentarfilm und Videofest (Kassel).
Halida Boughriet
Catalogue : 2016Des intégrations | Vidéo | hdv | couleur et n&b | 16:7 | France | 2015
Halida Boughriet
Des intégrations
Vidéo | hdv | couleur et n&b | 16:7 | France | 2015
Dans le film « Des intégrations» , La mémoire collective officielle et la mémoire politique se figent, à la limite de l’amnésie voire de la négation. C’est par le biais d’un univers poétique mais désenchanté que le film se propose de soulever des enjeux touchant à la jeunesse contemporaine. Les personnages jouent sur une série de correspondances qui érigent le film au rang de transfert visuel.
Artiste française et Algérienne . Anciennement diplômée de L’Ecole Nationale Supérieure des Beaux Arts de Paris et du programme d’échange de la SVA section cinéma à New York jusqu’en 2005. Halida Boughriet explore un large éventail de médias à travers ses oeuvres . Elle accorde une place centrale à la performance, dont les structures de son langage artistique lui donne une variété de formes. Au carrefour d’une préoccupation esthétique, sociale et politique, ses pièces s’efforcent de saisir les tensions dans les relations humaines mis en évidence par la société . Le corps est omniprésent , comme un instrument de geste poétique.
Catalogue : 2015pandore | Vidéo | hdv | couleur | 8:44 | France | 2014
Halida Boughriet
pandore
Vidéo | hdv | couleur | 8:44 | France | 2014
La vidéo Pandore se concentre sur un groupe social, enfants en marge du reste de la société française. Portant un regard sombre et inquiétant sur la réalité des rapports humains et aussi du système médiatique à la violence qui en découle. Les protagonistes sont invités à se dévoiler, témoignant de leurs histoires qui renvoient à l’image d’un passé et d’un présent "Mythe ou Réalité". Ils se mettent en scène dans des positions et postures artificielles, filmées par des séquences au ralenti extrêmement fluides. Enfin, La lumière travaille à inviter le spectateur à une curieuse contemplation dans l’intimité d’un espace clos et artificiel, dégageant une atmosphère irréelle et anormale.
Halida Boughriet est une artiste française d’origine algérienne. Anciennement diplômée de l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris et du programme d’échange de la SVA section cinéma à New York jusqu’en 2005. Halida Boughriet explore un large éventail de média à travers ses œuvres. Elle accorde une place centrale à la performance, dont les structures de son langage artistique lui donne une variété de formes. Au carrefour d’une préoccupation esthétique, sociale et politique, ses pièces s’efforcent de saisir les tensions dans les relations humaines mises en évidence par la société. Le corps est omniprésent, comme un instrument de geste poétique expérimental. Ses œuvres font partie de la collection «Nouveaux Médias» du Centre Pompidou (Paris) et du musée MAC / VAL (Vitry -sur-Seine). Ses travaux ont été présentés dans de nombreuses expositions dont Elles@centrepompidou (2011, Paris), y compris au FIAC d’Alger (2011, Algérie), à l’Institut du Monde Arabe, (2012, Paris) pour l’exposition «Le corps découvert». En 2013, au Musée d’Art et d’Histoire de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) pour «Chapelle vidéo # 4». Plus récemment, elle participe à «Vidéo et après» au Centre Pompidou et à la Biennale internationale de Dak’Art 2014 (Dakar, Sénégal).
Ghyzlène Boukaila
Catalogue : 2022#31# (Unknown call) | Fiction expérimentale | hdv | couleur | 16:16 | Algérie, France | 2021
Ghyzlène Boukaila
#31# (Unknown call)
Fiction expérimentale | hdv | couleur | 16:16 | Algérie, France | 2021
Au large d’un monde en reconstruction, une voix dont on ignore la source surplombe la ville et sonne comme une injonction. En résistance à cette diction autoritaire, une nouvelle voix émerge. Cheikh Morad Djadja se fraye un chemin au sein de cet univers, il doit se rendre au Taxiphone et y lais- ser son propre message crypté. "Appel masqué" est une chanson composée par Cheb Abdou en 1993, durant la période de la décennie noire en Algérie. Comme plusieurs de ses morceaux, Cheb Abdou les a écrit et interprété sous menaces constantes. À travers ses musiques, il y a ouvert un champ d’expression identitaire etde dictions autour l’extistence d’un autre genres. L’ étymologie du mot RAÏ prend tout son sens. En retournant sur les traces de la naissance du raï, Oran, j’y ai rencontré Cheikh Morad Djadja une personnalité de ce milieu et successeur de Cheb Abdou, c’était une réelle immersion au sein de la communauté de chanteurs(se) et musiciens(ne) raï. Le film s’est construit autour du taxi-phone représentant ce non-lieu de télécommunication anonyme et de l’impossibilité de faire subsister un message, une opinion, un avis au sein d’une société contempo- raine. En écho aux paroles de la chanson "Appel masqué" de Cheb Abdou, #31# (appel masqué) est une ap- proche a mis chemin entre le documentaire, la fiction et la performance, où Cheikh Morad Djadja nous mène vers une quête existentielle, dans un monde en perpétuelle reconstruc- tion, où ce non-lieu lui permet d’y laisser un message vocale masqué sur sa trans-identité.
Ghyzlène Boukaïla est une artiste et réalisatrice multimédia née en 1993 à Alger. Elle vit et travaille entre Alger et Lille. Sa démarche artistique et sa sensibilité se cristallisent dans les seins d'une famille de révolutionnaires algériens. Explorant certaines problématiques liées au post-colonialisme, sa démarche explore de nouveaux récits liés aux (ré)évolutions socio-politiques et numériques en situant sa pratique à l'interface du documentaire/performance et des récits numériques post-humains.
Mohamed Bourouissa
Catalogue : 2026Généalogie de la violence | Fiction | dcp | couleur | 15:15 | France | 2024
Mohamed Bourouissa
Généalogie de la violence
Fiction | dcp | couleur | 15:15 | France | 2024
Imaginez un film sur les violences policières — sans violence. Un film où rien ne se passe, et pourtant vous restez sidéré. Une violence invisible, dissimulée sous l’humiliation légale. Une domination enveloppée dans des protocoles polis. J’ai commencé à parler de ce court métrage en 2018, mais son idée me hantait sans doute depuis la fin des années 1990, lorsque j’ai commencé à être constamment arrêté par la police pour des « contrôles d’identité aléatoires ». J’ai ressenti l’urgence de raconter cette histoire intime. Avec sa série de sculptures en aluminium coulé — esquisse du projet plus vaste Généalogie de la Violence — Mohamed Bourouissa cherche à transmettre les sensations intimes qu’une procédure formelle peut infliger, les traces qu’une pratique judiciaire systématique peut inscrire, au-dehors comme au-dedans du corps. Ces sculptures représentent des instants de palpation lors de fouilles corporelles. Elles évoquent la tension entre des fragments de corps et les mains qui les examinent, révélant un point de contact entre les corps sociaux et le corps de l’État. L’artiste dévoile l’expérience intérieure de ce que la notion de contrôle impose en termes de dépossession corporelle. Cette intériorité se matérialise dans le vide qui habite les œuvres. À travers elles, Mohamed Bourouissa figure une dynamique émotionnelle qui met en scène deux corps masculins — soulignant le rapport de force et la domination de l’un sur l’autre.
Mohamed Bourouissa est né en 1978 à Blida (Algérie). Il vit et travaille à Gennevilliers. Il est représenté par les galeries Mennour (Paris) et Blum (Los Angeles). Exposé en 2010 au Palais de Tokyo et au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris à l’occasion de Dynasty — une proposition commune des deux institutions visant à mettre en lumière une nouvelle génération d’artistes français — Mohamed Bourouissa a depuis présenté son travail dans de nombreux musées et biennales internationales (Rencontres internationales de la photographie d’Arles ; Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris ; Centre Pompidou, Paris ; New Museum, New York ; Barnes Foundation, Philadelphie ; Stedelijk Museum, Amsterdam ; Frankfurt am Main ; Le Bal, Paris ; Haus der Kunst, Munich ; Biennales de Sydney, Sharjah, La Havane, Lyon, Venise, Alger, Liverpool, Berlin ; Triennale de Milan…). Ses œuvres figurent dans de nombreuses collections publiques et privées (Centre Pompidou, Paris ; SF MoMA, San Francisco ; LACMA, Los Angeles ; Collection Pinault ; Fondation Louis Vuitton, Paris ; The Israel Museum, Israël…).
Mohamed Bourouissa
Catalogue : 2013J.M Mondésir | Doc. expérimental | hdv | couleur | 24:0 | France | 2012
Alice Colomer-kang
J.M Mondésir
Doc. expérimental | hdv | couleur | 24:0 | France | 2012
Une cité aux airs d`amphithéâtre qui s`apprête à accueillir un sacrifice. En 2002, Georges Mondésir, meurt suite à une intervention de police. Il est fou, ou simple d`esprit, face au policier, Mondésir c`est l`Autre. Et ce qui intéresse Alice Colomer c`est ce qui se rejoue d`une lutte ancestrale dans ce duo. Ce n`est jamais un documentaire sur cette mort. C`est le ballet, dont seule la caméra a la liberté de s`échapper. Des ralentis qui défient tout réalisme, de ces points de vues entremêlés, il naît de ce film une impression juste qu`il s`est passé quelque chose.
Alice Colomer est née en 1985 en région parisienne, elle vie et travail à Paris. Elle a été diplômée de l?Ecole Nationale supérieure des beaux arts de Paris en novembre 2011 et a étudié à la centrale academie of fine arts de Pékin (Chine). 2012 Exposition collective à la Saline Royale d?Arc-et-Senans, Tranches de carré sur Tranches de cerles (ENSBA-ENS), présentation de l?installation lekh lekha . 2011 Paris projection de One World One Dream One People, festival « les nuits photographiques ». 2007 CNAM de Paris les visites dessinées.
Catalogue : 2010Temps mort | Fiction expérimentale | dv | couleur | 18:0 | France | 2009
Mohamed Bourouissa
Temps mort
Fiction expérimentale | dv | couleur | 18:0 | France | 2009
Il s`agit d`une correspondance entre deux individus, l'un est enfermé et l`autre est en prison. Tout le film se construit sur cet échange de texte (sms), d`images et de paroles. Le film commence par la mise en place du processus filmique (d`une certaine manière, le début film raconte la réalisation de l`objet filmique) pour devenir petit à petit un film qui questionne les notions de liberté et d`enfermement.
Mohamed Bourouissa est né en 1978 à Blida en Algérie. Il vit et travaille à Paris. Il suit actuellement la formation du Studio National des Arts ? Le Fresnoy. Il est diplômé de l?Ecole nationale supérieure des arts décoratifs de Paris en photographie et a suivi un cursus en Art plastiques à la Sorbonne Paris 1 où il a soutenu un DEA. Des expositions personnelles se sont tenues notamment au Centre culturel de Correios, à Rio de Janeiro au Brésil, à la Galerie des filles du Calvaire, à Breda Photo 2008, Pays-Bas, à la Site Gallery, Sheffield en Angleterre, à la Pauza Galerie, à Cracovie en Pologne. Son travail a fait partie de nombreuses expositions dans le monde, notamment récemment de la Biennale Photographie et Architecture à La Cambre, Bruxelles, Belgique, à la biennale d?art contemporain d?Alger, Algérie, au New Museum of contemporary art, New York, et aux Deutsches Historisches Museum, Berlin, Allemagne. Son travail fait parties de plusieurs collections publiques : la Cité nationale de l?Histoire de l?immigration, Paris, le Fonds national d?art contemporain, France, la Galerie du Château d?Eau, Toulouse, France, le Finnish Museum of Photography, Helsinki, Finlande.
Louise Bourque
Catalogue : 2006L?éclat du mal | Film expérimental | 16mm | couleur | 8:0 | Canada | 2005
Louise Bourque
L?éclat du mal
Film expérimental | 16mm | couleur | 8:0 | Canada | 2005
Nelson Bourrec Carter
Catalogue : 2023It's Coming from Inside the House | Fiction expérimentale | mp4 | couleur | 10:45 | France | 2022
Nelson Bourrec Carter
It's Coming from Inside the House
Fiction expérimentale | mp4 | couleur | 10:45 | France | 2022
A seemingly disembodied voice reflects on what it takes to survive, in a world modeled after a perception of reality far from what the one it experiences on a daily basis.
Nelson Bourrec Carter is a French-American filmmaker and visual artist. His practice combines photography, film, installation and performance while his research revolve around the links woven between real territories and fantasized landscapes, whether they be urban, peri-urban, or rural, influenced by the weight of popular imagery. His work focuses mainly on the influence of American iconography on identity construction and racial awareness, and operates from places whose hybridity, history or architecture lend themselves to a new interpretation. He demonstrates that these visual tropes are more interconnected than they appear and that they articulate questions of gender, race, and class, while raising the issue of which bodies - whether they are embodied or inscribed in a ghostlike manner within the architecture - occupy the spaces of representation in the American cultural economy. Nelson’s films have been shown in festivals such as New Directors/New Films, Entrevues Belfort, Vila do Conde or within institutions like the Cinémathèque Française or the Jeu de Paume.