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Katharina Kastner
Catalogue : 2020Villa Empain | Doc. expérimental | 16mm | couleur et n&b | 24:30 | Autriche, Belgique | 2019
Katharina Kastner
Villa Empain
Doc. expérimental | 16mm | couleur et n&b | 24:30 | Autriche, Belgique | 2019
A unique blend of Bauhaus and Art Déco, the marvellous Villa Empain has had many different lives since it opened in 1934. A story of survival. ____ VILLA EMPAIN draws a mental map of a space, as it goes through time. Concrete marble, brick and steel: little else made by human hands seems as stable, as immutable, as a building. Yet the life of any structure is neither fixed nor timeless. Outliving their original contexts and purposes, buildings are forced to adapt to each succeeding age. To survive, they must become shapeshifters. VILLA EMPAIN compares the life of Louis Empain and his creation. It bears witness to how a fixed idea, an architect’s dream, has disappeared in favour of a living architecture. The work is activated.
Katharina Kastner is an Austrian filmmaker working in Vienna and Brussels. She studied directing at TISCH School of the Arts in NYC and LUCA, Brussels. Her experimental short film about a museum of contemporary art, VILLA EMPAIN, builds upon the concept of psychogeography and draws a mental map of a space as it goes through time. Katharina Kastner’s films combine documentary, essayistic and experimental elements. She is interested in fragile environments and the people behind these, using the camera to explore inner and outer transformations. Time and memory are recurring themes in her work.
Katharina Kastner
Catalogue : 2021VILLA EMPAIN | Doc. expérimental | 16mm | couleur et n&b | 24:0 | Autriche, Belgique | 2019
Katharina Kastner
VILLA EMPAIN
Doc. expérimental | 16mm | couleur et n&b | 24:0 | Autriche, Belgique | 2019
La Villa Empain était une passion, une vision, un plan, un foyer, une œuvre d'art. C'est un rêve sincère qui a été abandonné. Aujourd'hui, elle ressemble à ce qu'elle était dans les années 1930, mais elle est devenue une autre entité, supportée par le même fondement. La Villa Empain existe entre le passé et le présent: des œuvres d'art contemporain au sein d'une unique œuvre Art Déco et Bauhaus. C'est une architecture humble et durable. C'est une dichotomie entre manoir privé et espace public. C'est une conversation entre l'histoire d'une famille et le rêve d'un architecte, entre le carnet de voyage d'un père et la performance d'un artiste, une rencontre entre l'eau et la pierre, le fusain et le papier, la lumière et le film. Béton, marbre, brique et acier: peu de choses créées par la main de l'homme semblent aussi stables, aussi immuables qu'un bâtiment. Pourtant, la vie d'une structure n'est ni fixe, ni intemporelle. Dépassant leurs objectifs initiaux, les bâtiments sont contraints de s'adapter à chaque nouvelle époque. Pour survivre, ils doivent se métamorphoser. L'atmosphère de "Villa Empain" est étrange et pleine de merveilles. La caméra effleure délicatement les textures, comme pour entrevoir les instants dont elles ont été témoins. Il y a un secret à dévoiler, mais comme tout bon secret, il nous échappe, insaisissable, nous ne pourrons jamais le comprendre. Ce court-métrage expérimental tente de découvrir une chose sur laquelle nous ne pouvons mettre le doigt. Alors, nous mettons nos doigts sur le bois, l'eau, le marbre, et nous sentons.
Mon intérêt pour les transformations personnelles et politiques m'a conduite à obtenir une licence en psychologie et en relations internationales, avant d'être diplômée à Doc Nomads, une école de cinéma itinérante basée à Lisbonne (Portugal), Budapest (Hongrie) et Bruxelles (Belgique). Tout au long de ma carrière, j'ai travaillé comme directrice de production et assistante réalisatrice dans le domaine du documentaire, de la fiction et de la publicité, et j'ai eu la chance que ces projets m'emmènent dans des endroits inspirants en Afrique, en Australie, aux États-Unis et en Europe. Mon travail est influencé par les environnements fragiles et par les personnes qui en sont à l’origine. En m'inspirant de l'idée de la psychogéographie, je cherche des traces, à l’aide de films analogiques pour documenter et explorer les transformations intérieures et extérieures.
Eszter Katalin
Catalogue : 2019Mária Vörösben | Vidéo expérimentale | hdcam | couleur | 28:39 | Hongrie, Autriche | 2018
Eszter Katalin
Mária Vörösben
Vidéo expérimentale | hdcam | couleur | 28:39 | Hongrie, Autriche | 2018
A woman visits a prison in the village of Márianosztra (Hungary) to find out more about the ongoing production of barbed wire by the inmates of the institution for various European border fences. Subsequently, she engages in a research about those women who were imprisoned there for being communists and antifascists between 1920 and 1944 at a time when it was run by nuns as a place to "re-discipline" the sentenced person through labor and prayer. The voice of a ghost belonging to a female political prisoner follows her as she is trying to connect past and present through gestures of mourning.
Eszter Katalin (born 1991, Budapest) is an artist based in Vienna. She has recently finished her master`s degree in Critical Studies at the Academy of Fine Arts in Vienna (2015-2018). In her works she focuses on the tensions between political struggles and their representation within a so-called critical artistic practice, departing frequently, but not solely, from Hungary’s social context as marked through its politics of memory and exclusion. Her latest works include her film MEGSZAKÍTÁS* Civil Aktivizmus Magyarországon (MEGSZAKÍTÁS* Civil Activism in Hungary, video in four parts, 76 min, 2017), Versammlung (Coming together, audio piece, 9 min, 2017) and Mária Vörösben (Mary in Red, video, 28:39 min, 2018).
Julia Kater
Catalogue : 2017Breu | Vidéo | hdv | couleur | 4:0 | Brésil | 2016
Julia Kater
Breu
Vidéo | hdv | couleur | 4:0 | Brésil | 2016
In Breu (Pitch black), the recorded images present, in a non-linear montage, the semi-artisanal paving process of a rectangle arbitrarily drawn in the middle of a vacant lawn. The soundtrack brings a circular text that overflows in modal adverbial adjuncts (mainly right and wrong),without defining any clear object, the text builds the speech in an endless cycle, onto which the ideas of progress and evolution cannot be applied.
JULIA KATER | 1980 ‘ Paris, France Lives and works in Sao Paulo, Brazil. Graduated in Photography from the School of Advertising and Marketing - ESPM (Sao Paulo - Brazil). The research of the artist Julia Kater is guided in the elaboration of a body of work that can treat it from its visual improbability. Whether by the collage brought about by different overlaid photographic prints, which announces a watchful sky ‘ despite its invisible character ‘ or by videos that bring about the rearrangement of a set of actions and phrases, each work in its own way prioritizes the elaboration of bodies from everyday scenes that suggest simultaneous shared experiences with the persistent memory together with its struggle with forgetfulness, its ally and the cause of the gradual loss of a large part of the truths. Kater regularly participates in exhibitions in Brazil and abroad, in countries like France, USA, Belgium and Portugal.
Vytautas Katkus
Catalogue : 2021Kolektyviniai sodai | Fiction | 16mm | couleur | 15:0 | Lituanie | 2019
Vytautas Katkus
Kolektyviniai sodai
Fiction | 16mm | couleur | 15:0 | Lituanie | 2019
La masculinité patriarcale semble pousser son dernier souffle au soleil. L'histoire de la relation glaciale entre un père et son fils. Leur lien, rongé par l'indifférence, se désagrège complètement.
Vytautas Katkus est né en 1991 à Vilnius, en Lituanie. Il a obtenu une licence en cinéma à la Lithuanian Academy of Music and Theatre. Il travaille comme directeur de la photographie pour des films et des projets d'art vidéo. Il a remporté le prix du meilleur jeune directeur de la photographie décerné par la Lithuanian Association of Cinematographers en 2014 et 2015. Depuis 2016, il est membre de la Lithuanian Association of Cinematographers. "Kolektyviniai sodai (Community Gardens)", son premier film court, a été sélectionné pour la 58e Semaine de la Critique, Cannes (France).
Timo Katz
Catalogue : 2007Whirr | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 3:0 | Allemagne | 2006
Timo Katz
Whirr
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 3:0 | Allemagne | 2006
C'est de façon rythmée que se révèlent les variations que les habitants d'un lotissement ont apportées au modèle standardisé de leur maison. La caméra ouvre, sur l'organisation schématique des bâtiments, un espace de pluralité et de constante variabilité. Les transformations de la surface architecturale apparaissent par oscillations. Le concret danse - sur la piste de l'abstrait.
Timo Katz est né en 1977 à Siegen. De 1999 à 2006 il étudie la photographie et le design de films à l'Ecole Supérieure de Bielefeld et obtient son diplôme de designer en Février 2006. Il vit à Bielefeld et travaille sur des projets de films expérimentaux ainsi que sur des commandes.
Timo & Jan Katz & Fuchs
Catalogue : 2009die Welt | Installation vidéo | dv | couleur | 5:0 | Allemagne | 2008
Timo & Jan Katz & Fuchs
die Welt
Installation vidéo | dv | couleur | 5:0 | Allemagne | 2008
Le travail vidéo expérimental ?Die Welt? porte sur la perception spatio-temporelle dans notre expérience visuelle du monde. Notre perception est non seulement définie par la photographie, mais surtout par les règles de la perspective centrale. Celle-ci montre et explique le monde visible à travers une simplification schématique. Le travail présenté s?intéresse à l?utilisation élargie de la caméra comme prothèse d?observation pour la découverte et la reconnaissance du visible. La perspective centrale est ici éventrée et déstructurée. L?espace visuel, s?appuyant sur le panorama d?un paysage urbain, est transcrit en une multiperspective parallèle, que l?on atteint en séparant l?image de la caméra en tranches ordonnées à la verticale, et qui ressemble ainsi à la perspective de prise de vue d?un scanner. La pièce, envisagée à travers ce procédé de destructuration, subit un décalage autant spatial que temporel. Le montage, et seulement le montage, permet ainsi de rendre visible un Espace-Temps-Vision alterné. Il se pose la question de la signification, pour notre perspective visuelle, de l?élargissement technique croissant de notre outil d?observation, et de ses conséquences au présent et à l?avenir. Il souligne en outre notre tendance à nous appuyer de plus en plus sur des modèles de perception déjà construits.
Timo Katz est né en 1977 à Siegen. Il étudie le design photo- et filmographique à l?Ecole Supérieure de Bielefeld où il obtient son diplôme en 2006. Il travaille depuis 2002 dans le domaine des vidéos et films expérimentaux. Il vit et travaille actuellement à Leipzig. Il forme avec Jan Fuchs le groupe indépendant de recherches visuelles Katz&Fuchs. Jan Fuchs est né en 1976 à Hamburg. Il étudie le design photo-et filmographique à l?Ecole Bielefeld et obtient son diplôme en 2004. Il travaille depuis 2002 dans le domaine des vidéos et films expérimentaux. Il vit et travaille à Kassel. Il forme avec Timo Katz le groupe indépendant de recherches visuelles Katz&Fuchs.
Yuki Kawamura
Catalogue : 2006Sekainoaté | Fiction | dv | couleur | 53:0 | France | 2005
Yuki Kawamura
Sekainoaté
Fiction | dv | couleur | 53:0 | France | 2005
Haruto conduit au hasard sur les routes désertes d?Hokkaido et prend en stop un homme lapin qui lui offre un masque. Tetsu recherche la part de lui-même qu?il a perdue. Sona se désintéresse du mal-être de Tetsu. Miwa hésite à suivre l?homme lapin dans un monde qui lui est inconnu? Des lignes de vie encore incertaines qui se connectent et se déconnectent entre réel et imaginaire..
Yuki Kawamura est né à Kyoto au Japon. Après des études de cinéma, il réalise en 1999 son premier film NUMERO 2 qui est toujours distribué au Centre Georges Pompidou à Paris et au musée Hara à Tokyo. Il commence alors un véritable travail sur la lumière, le réel et l`imaginaire mais aussi sur les couleurs et l`image.
Naomi Kawase
Catalogue : 2007Naissance et maternité | Documentaire | dv | couleur | 60:0 | Japon | 2005
Naomi Kawase
Naissance et maternité
Documentaire | dv | couleur | 60:0 | Japon | 2005
Naissance et maternité Réalisatrice : Naomi Kawase Producteur : Sento Inc. Naomi Kawase 60? La cinéaste Naomi Kawase, devenue mère, poursuit dans ce nouveau film documentaire, son ?uvre personnelle d?interrogation du monde. En effet, le 24 avril 2004 à 10h40, naissait son fils Mitsouki. La naissance a eu lieu, de manière traditionnelle, sans médecin, avec la seule assistance d?une sage-femme, dans une vieille maison japonaise, sur un tatami. Naomi Kawase y était entourée des membres de sa famille. Quand le cordon ombilical a été coupé, Naomi a pris la caméra et enregistré ce moment hautement symbolique, de même qu?elle a filmé toutes les personnes qui l?ont affectueusement assistée. Depuis, Naomi Kawase vit et filme au jour le jour son fils et sa grand-mère de 90 ans dans leur vieille maison de Nara. Le film se développe sur deux dimensions : celle de l?enfant grandissant sous le regard attentif de sa mère et de son arrière grand-mère et celle de la propre enfance de Naomi Kawase racontée à la première personne.
Shoichiro Kawashima
Catalogue : 2025You Must Believe in Spring | Fiction | mov | couleur | 51:0 | Japon, 0 | 2024
Shoichiro Kawashima
You Must Believe in Spring
Fiction | mov | couleur | 51:0 | Japon, 0 | 2024
Hiver, un samedi apre?s-midi. Alors que Tania avance difficilement dans la pre?paration de son exposition de fin d’e?tudes, elle rec?oit la visite de Michael, son amant marie?; Kylian, son petit ami qu’elle veut quitter; Nathalie, la veuve de son fre?re; et Yann, le nouveau compagnon de Nathalie. Leur visite est l’occasion pour Tania de refaire face aux moments de sa vie qu'elle avait laisse?s en suspens.
Né en 1993 à Miyazaki, Japon, vit et travaille à Tokyo. Diplômé de l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts, sous l’enseignement de Clément Cogitore et Angelica Mesiti, Shoichiro Kawashima travaille depuis 2023 en tant que producteur et réalisateur au Japon.
George Kazazis
Catalogue : 2006Mickey, Mickey where are you? | Art vidéo | dv | couleur | 3:25 | Grèce | 2004
George Kazazis
Mickey, Mickey where are you?
Art vidéo | dv | couleur | 3:25 | Grèce | 2004
Nous sommes constamment inondés par des images de violence, et en même temps par des images de styles de vie. Le contraste est sans conteste énorme. Les sentiments variant, mais, de n?importe quelle manière nous les regardons, les deux genres existent avec tellement de vie qu?ils en sont indispensables. Le matin du 20 avril 1999, deux jeunes américains, Eric Harris, âgé de 15 ans et Dylan Klebal, âgé de 18 ans, vinrent à leur collège de Colombia dans la ville de Littletown aux Etats-Unis, emportant avec eux des armes à feu et des grenades à main. Ils tuèrent 14 de leurs camarades et un professeur. La plupart des victimes se trouvèrent dans la cafétéria de l?école. L?incident dans son ensemble fut enregistré par les caméras de sécurité de l?établissement. L?évènement est si important en lui-même qu?il a même éclipsé la lumière d?un symbole national. La vidéo commence avec Mickey et Minnie Mouse dans différentes poses, courant, virevoltant dans un nuage de couleurs vives. Est-ce que c?est une fête ou un bain de sang ? La musique qui vient de la chanson "My Cat Fell In The Well" (1983) par Manhattan Transfer les accompagne, néanmoins insouciant et à la fois persistant. La chanson raconte d?une manière douve une histoire dramatique d?un beau chat-star qui est tombé dans un puit et la détresse de son propriétaire quand il l?a retrouvé. Soudain, la musique s?arrête et la vidéo montre des visages d?enfants tués sans foi ni loi, les mêmes enfants qui croyaient en l?innocence de ce Mickey Mouse ou n?importe quel autre Mickey Mouse. Pour notre salut, ces images stoppent et Mickey réapparaît, la musique recommence. La fin ne nous concerne plus. Cela ne pourrait jamais nous arriver.
Georges Kazazis est né à Atlanta en 1958 où il travaille et vit. Il est allé enseigner à l?école des Beaux-Arts d?Athènes à partir de 1990. Il fut aussi membre du Project Sapce Athènes (un espace pour plusieurs artistes fondé en 2000-2001)
David Kelley
Catalogue : 2025Non Human | Vidéo | 4k | couleur | 10:34 | USA | 2022
David Kelley
Non Human
Vidéo | 4k | couleur | 10:34 | USA | 2022
NON HUMAN is a film made from poems written in collaboration with an Artificial Intelligence (recurrent neural network) and five artists — York Chang, Marcus Civin, Tia-Simone Gardner, Viet Le, and Yvonne Rainer. Inspired by poet Muriel Rukeyser’s technique for writing The Book of the Dead (1937), a poem in which she directly quotes workers’ voices from congressional testimony about the Hawk’s Nest mining catastrophe that killed nearly 2000 miners, 80% of whom were Black workers. NON HUMAN was filmed in rural Vermont in disused marble, quarries, hospitals, and local artists’ studios and it presents leisure time and creative space as conditions to excavate the unwritten histories of labor, racism, and environmental destruction in local American communities. The generative AI used to write the script was trained with Rukeyser’s Collected Poems, the congressional testimony of workers that she quoted, and contemporary critical race and eco-feminist theories of Kathryn Yussof, Tavia Nyong’o, Saidiya Hartman, and Hortense Spillers. In Hartman’s essay The Dead Book Revisited she asks “how do we attend to black death? How do we find life where only the traces of destruction remain?” NON HUMAN’s critical AI writing machine, fed by historic documentary materials, poetry that witnesses to extractive capitalism and anti-black racism, speculates on Hartman’s question. Live performers in NON HUMAN include: sound engineer Ben Arindell, singer/song-writer Patrick Sargent, physician Jeffrey Yucht, critic Marcus Civin, sculptor Fred X Brownstein, and sound technician Jack Schlandt.
David Kelley is an artist working in photography, video, and installation. His recent projects explore the impacts of global capitalism, resource extraction, and evolving landscapes, combining elements of experimental documentary, ethnography, and avant-garde cinema to offer a perspective that is both grounded and speculative. His work has been shown nationally and internationally at venues such as the Museum of Modern Art in New York, Rencontres Internationales Paris/Berlin, Fotofest Biennial in Houston, Commonwealth and Council in Los Angeles, The Bank in Shanghai, and the Jim Thompson Art Center in Bangkok. Kelley holds an MFA from the University of California, Irvine, and was a resident of the Whitney Museum Independent Study Program. He is based in Los Angeles, where he is an Associate Professor of Fine Arts at the University of Southern California.
David Kelley, Patty Chang
Catalogue : 2019Spiritual Myopia | Film expérimental | hdv | couleur | 15:0 | USA | 2018
David Kelley, Patty Chang
Spiritual Myopia
Film expérimental | hdv | couleur | 15:0 | USA | 2018
Spiritual Myopia is a film dealing with the invisible labor and desire of the residents of the oil industry boom towns of Fort McMurray in the Canadian Tar Sands and the refining town of Port Arthur Texas. The two cities are terminal nodes of the proposed Keystone XL oil pipeline which would span the United States. Fort McMurray is the third largest oil deposit in the world. Its rapid pace of growth has meant a dearth of housing for its migrant workers. Port Arthur boasts the world’s largest concentration of oil refineries and its town center has nearly disintegrated from economic decline. These twin cities are related spatially as nodes in the same energy infrastructure, and temporally in their different stages of a boom or bust economy. Borrowing its title from Alfred Stieglitz’s photo Spiritual America, Spiritual Myopia speaks to the nearsightedness innate to hypercapitalism.
Spiritual Myopia is a collaboration between artists David Kelley and Patty Chang Patty Chang (Lives and works in Los Angeles, CA) Patty Chang is an artist working in performance, video, writing, and installation. Her work has a capacity to explore complex subjects nearly simultaneously, as does life. Her work has been exhibited nationwide and internationally at such institutions as the Museum of Modern Art, New York; Solomon R. Guggenheim Museum, New York; New Museum, New York; BAK, Basis voor actuele Kunst, Utrecht, the Netherlands; the Hammer Museum, Los Angeles; Fri Art Centre d’Art de Freibourg, Fribourg, Switzerland; Chinese Arts Centre, Manchester, England David Kelley (Lives in Los Angeles California, CA.) David Kelley’s work is a hybrid of experimental documentary and ethnographic practices that make use of imaginary, choreographic and performative strategies. His work has been shown in galleries throughout the world. Recently, he has had exhibitions at the Museum of Modern Art in New York, White Box in Portland Oregon, and Commonwealth and Council in Los Angeles. Other recent exhibitions include The Bank in Shanghai, New Art Center, the de Cordova Biennial in Boston, BAK in Utrecht, MAAP space in Brisbane Australia.
David Kelley
Catalogue : 2023The Book of the Dead | Doc. expérimental | 4k | couleur | 19:42 | USA | 2023
David Kelley
The Book of the Dead
Doc. expérimental | 4k | couleur | 19:42 | USA | 2023
The Book of the Dead is an experimental documentary meditating on the American poet Muriel Rukeyser’s poem about the Gauley Tunnel tragedy. In the 1930s in West Virginia, nearly 2,000 primarily Black migrant workers were sickened or killed by silicosis, a lung disease caused by breathing silica dust. Rukeyser travelled to West Virginia to meet workers and their families, in some cases, appropriating their words directly. The film revises her white characters to a predominately Black cast — more accurately reflecting the insidious racism prevalent in American society at the time. The film appropriates interviews with the poet, her unfinished screenplay, and worker’s testimony to U.S. Congress. Using actors, theatrical sets, and 3D generated backgrounds, the film produces a multisensory experience of Rukeyser’s process and the industrial tragedy. Unable to travel during the Covid-19 pandemic, Kelley designed the West Virginia mining sets in Unreal, a 3D gaming software and filmed actors at a green screen studio near his home in Los Angeles. The work's theme of failure to breathe poignantly resonates with the Covid-19 pandemic, and the final words turned protest chant of George Floyd: I can't breathe.
David Kelley (Born in Portland Oregon. Lives in Los Angeles California.) Kelley is an artist working with photography, video, and installation. His recent projects draw attention to the effects of global capitalism, resource extraction, and shifting physical and political landscapes. Influenced by a range of visual traditions, Kelley draws upon elements of experimental documentary, ethnography, performance, and avant-garde cinema. By working at the intersection of these strategies, he encourages an understanding of his subjects that is simultaneously direct and speculative. His work has been shown in galleries and museums nationally and internationally. Recent exhibitions include the Museum of Modern Art in New York and Fotofest Biennial, Houston. Other exhibitions include Commonwealth and Council in Los Angeles, The Bank in Shanghai, the de Cordova Biennial in Boston, BAK in Utrecht, MAAP space in Australia, and the Jim Thompson Art Center in Bangkok. Kelley received a Master of Fine Art from the University of California, Irvine, and was a 2010 -11 resident at the Whitney Museum of American Art Independent Study Program. He is currently based in Los Angeles, California, and is an Associate Professor of the Practice at the Roski School of Art and Design, University of Southern California.
Kevin Kelly
Catalogue : 2018Some acts around rocks and stones. (Part 1) | Doc. expérimental | hdv | couleur et n&b | 16:2 | USA | 2017
Kevin Kelly
Some acts around rocks and stones. (Part 1)
Doc. expérimental | hdv | couleur et n&b | 16:2 | USA | 2017
Marcel Duchamp talks about an absurd 'readymade'. An art dealer creates a discourse using the idea of the 'readymade'. An art historian talks about her long time relationship observing Robert Smithson's Spiral Jetty. These personal micro-histories around paradigm shifting artists offers hidden knowledge around the common art historical narrative. While the artist turns over the rocks of the Spiral Jetty, bringing back the experiential quality to an artwork that is mostly known through images.
Graham Kelly
Catalogue : 2022Skull Island Part III | Vidéo | 4k | couleur | 34:46 | Royaume-Uni, Pays-Bas | 2020
Graham Kelly
Skull Island Part III
Vidéo | 4k | couleur | 34:46 | Royaume-Uni, Pays-Bas | 2020
Skull Island is an ongoing series of lectures, films and installations that examine a hypothetical image environment as an introspective space that reflects the sociopolitical contexts of its audience. Using the fictional island from King Kong as an analogy, cultural and technological developments define a relative position from which the viewer can view and question their surroundings. Part III is structured around two artefacts found in the visual effects archive of Berlin’s Deutsche Kinemathek Museum of Film and Television. A cast of the skull of the original armature for the stop-motion model of King Kong (Merian C. Cooper and Ernest B. Schoedsack, 1933) and a silicone mask constructed for Kevin Bacon’s computer-generated invisible character in Hollow Man (Paul Verhoeven, 2000) create a framework in which to discuss the surfaces and armatures or the skin and bones of moving images. The film examines the inherent hidden material and socio-political properties of moving images, the perpetuation of insidious ideological constructs in cinematic remakes or reboots, and traumas encapsulated in the sites and systems of moving image production.
Graham Kelly is a visual artist and filmmaker. His practice is situated in the interfaces between contemporary forms of images, physical bodies, and environments. By considering these interactions as engulfing and continuous states or effects, his work seeks to expose and dissect power structures that are cast, distorted or enforced within them. His works have been screened and exhibited in a number of international contexts that include: Haus der Kulturen der Welt, Kino der Kunst, EYE Filmmuseum, TENT, Transmission, NEST, Recontres Internationales, and LUX. He was a resident at the Jan van Eyck Academy in 2015/16 and at AIR Berlin Alexanderplatz in 2018.
Catalogue : 2018Hello Joe | Vidéo | hdv | couleur | 18:40 | Royaume-Uni, Pays-Bas | 2017
Graham Kelly
Hello Joe
Vidéo | hdv | couleur | 18:40 | Royaume-Uni, Pays-Bas | 2017
Hello Joe was covertly produced overnight in a series of rented Airbnb accommodations. It is constructed entirely from elements found and filmed within a number of private homes that were accessed through the online service. Furnishings, ornaments and extracts from various personal book, CD and DVD collections act as a singular workable archive. The resulting film is comprised of a series of vignettes that examine the objects and media that we intimately live with and the ideologies that they preserve. Domestic spaces are merged together in this portrait of an emerging corporate territory within the declining value of privacy.
Graham Kelly is an artist, filmmaker and writer. His practice is situated in the interface between contemporary forms of image, the physical body and environment. By considering this interaction as an engulfing and continuous state or effect, his work seeks to expose and dissect power structures that are cast, distorted or enforced within it. His works have been screened and exhibited in a number of international contexts that include: Recontres Internationales, Kino der Kunst, Lo schermo dell’arte, EYE Filmmuseum, TENT, Transmission, Intermedia, Generator Projects and The Moscow Biennale for Young Art. He was a resident at the Jan van Eyck Academy in 2015/16.
Catalogue : 2017Skull Island | Doc. expérimental | hdv | couleur et n&b | 18:7 | Royaume-Uni, Pays-Bas | 2016
Graham Kelly
Skull Island
Doc. expérimental | hdv | couleur et n&b | 18:7 | Royaume-Uni, Pays-Bas | 2016
Skull Island is an ongoing series of video works, lectures and installations that use the fictional island from the various versions of King Kong as analogies for hypothetical image environments. Each island provides a means of manifesting and examining an introspective image space that reflects the sociopolitical contexts of its audience. The cultural and technological developments displayed within each version of the film define relative positions from which the viewer can question their current perceived surroundings. After being captured by a camera crew within this otherwise inaccessible territory, Kong escapes into the physical context to confront the audience with their internal fears and shared cultural constructs.
Graham Kelly (b. 1982, Ayr, Scotland) is an artist and writer based in Rotterdam and Brussels. Previous exhibitions, screenings and lectures include: Transmission Gallery (Glasgow), Intermedia (Glasgow), Generator Projects (Dundee), Kino der Kunst (Munich), TENT (Rotterdam), EYE Film Museum (Amsterdam) and the 2016 Moscow International Biennale for Young Art. He graduated from the Glasgow School of Art in 2009 with a Masters in Research and with a Masters in Fine Art in 2014 from the Piet Zwart Institute, Rotterdam. He was a resident at the Jan van Eyck Academy in Maastricht between 2015 and 2016 and is the recipient of the Mondriaan Fonds Werkbijdrage Jong Talent and Centrum Beeldende Kunst O&O subsidies and a Scottish Arts Council Creative and Professional Development Award.
Jean-paul Kelly
Catalogue : 2007The Lie in Wait | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 30:56 | Canada | 2005
Jean-paul Kelly
The Lie in Wait
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 30:56 | Canada | 2005
"The Lie in Wait" comprend une composition digitale et un documentaire vidéo personnel formant et examinant des histoires familiales dont les épisodes sont liés. L´oeuvre contient des scénarios animés et des interviews avec les parents de l´artiste qui, combinés, presentent souvent des convergences entre mythologies issues des traditions vernaculaires d´histoires familiales et mythes transmis par des moyens cinématiques mieux reconnus. Beaucoup des anecdotes utilisées dans la narration de ces histoires utilisent la métaphore pour créer du sens et partager une histoire. Ces histoires sont là pour être racontées et répétées, observées et regardées à nouveau. Au cours du processus, la narration de ces contes prend un sens métaphorique. Entre chaque épisode de la vidéo, des métaphores visuelles et linguistiques se répètent et se révèlent être les symptômes des répressions des conteurs. Caché derrière ces symptômes, il y a souvent un traumatisme latent. Quand ces métaphores deviennent non identifiables dans "The Lie in Wait", grâce à l´effet conjugué de ces incursions dans la mémoires des conteurs et de l´étrangeté de l´animation, le traumatisme remonte à la surface et réapparaît.
Jean-Paul Kelly (né en 1977, Londres, Ontario, Canada) est un artiste basé à Toronto, Ontario, Canada. Il se concentre essentiellement sur des installations basées sur la vidéo, mais son travail comprend aussi du dessin, de la photographie et des moyens d´impression. Ses vidéos les plus récentes, "Give Up the Ghost" (2004) et "the Lie in Wait" (2005), intègrent un langage hybride de compositions digitales, animation, performance vidéo et documents vidéo personnels qui se penchent sur l´anticipation, l´anxiété et la disparitions des contes oraux. son oeuvre a déjà été exposée dans des festivals et galleries d´Amérique du Nord, d´Europe et du Japon.
Eva Rocco Kenell
Catalogue : 2018Trail | Vidéo | hdv | couleur | 24:6 | Suède | 2015
Eva Rocco Kenell
Trail
Vidéo | hdv | couleur | 24:6 | Suède | 2015
In this film about a falsified InterRail ticket, a chain of events and links arise which leads the filmmaker on a journey. Where fiction in a performative manner seems to materialize itself and create a piece of reality that seems to imitate fiction. The protagonist in the film is never to be seen, instead we follow her voice through staging and documents while the story is being mediated.
Eva Rocco Kenell (b. 1982 Växjö, Sweden) holds a BFA from Gerrit Rietveld Academy in Amsterdam and a MFA from Konstfack University of Arts and Craft, Stockholm where she graduated with the honorable Principal scholarship. Kenell’s artistic practice is based on a documentary ground, even though the intentions are rather to break down classical narratives and normative storytelling. Not only concepts surrounding fiction and reality are central, but also questions around which one of the two is creating the other. Kenell`s methodology consists of a research based practice with a focus on micro-histories, where she explores single events and where details in a story can become the new center and the place which the focus is transferred to. Kenell`s practice brings up notions concerning the role of the documentary, storytelling, concept of truth and imitation. And at the same time it opens up for questions around freedom of movement and counter-strategies.
Chris Kennedy
Catalogue : 2021The Initiation Well | Film expérimental | super8 | noir et blanc | 3:30 | Canada | 2020
Chris Kennedy
The Initiation Well
Film expérimental | super8 | noir et blanc | 3:30 | Canada | 2020
La Quinta da Regaleira, à Sintra, au Portugal, est un immense domaine qui comprend deux puits creusés dans le sol destinés aux cérémonies d'initiation. Ce film nous emmène à l’intérieur de l'un d'eux.
Chris Kennedy (né en 1977 à Easton, Maryland, et élevé à Cambridge, Maryland) est cinéaste indépendant, programmateur de film et écrivain. Il habite à Toronto. Il est le directeur exécutif du LIFT - Liaison of Independent Filmmakers of Toronto (Canada). Il a été programmateur pour le Images Festival, Toronto (Canada) de 2003 à 2006, pour Pleasure Dome, Toronto (Canada) de 2000 à 2006 et pour The Free Screen/Wavelengths de la Cinémathèque du TIFF - Festival international du film de Toronto de 2012 à 2019. Cofondateur des Early Monthly Segments, il en a été co-programmateur de 2009 à 2018. Ses films courts expérimentaux ont été projetés dans plus d'une centaine de festivals de cinéma à travers le monde, et ont fait l'objet d'expositions personnelles, notamment à l'Institut canadien du film (Canada); au Los Angeles Film Forum (USA); au Nam June Paik Art Center, Séoul (Corée du Sud); à la Semana del Film Experimental de La Plata (Argentine) et à la Pacific Film Archive, Berkeley (USA). Son film "Watching the Detectives" a remporté le prix Ken Burns du meilleur film au Ann Arbor Film Festival (USA) en 2018. Il a présenté le travail d'autres artistes en Belgique, en Égypte, en Allemagne, aux États-Unis et au Canada. Il est titulaire d'un Master en arts visuels du San Francisco Art Institute (USA), où il a été cofondateur et animateur d'un forum de projection hebdomadaire. Son travail en tant qu'artiste et programmateur est toujours en dialogue avec l'histoire du film en tant qu'art, explorant la matérialité du médium dans un contexte contemporain.
Chris Kennedy
Catalogue : 2011lay claim to an island | Doc. expérimental | 16mm | couleur et n&b | 12:0 | Canada, Tuvalu | 2009
Chris Kennedy
lay claim to an island
Doc. expérimental | 16mm | couleur et n&b | 12:0 | Canada, Tuvalu | 2009
Texts from the 1969 American Indian Occupation of Alcatraz and letters from supporters propel an exploration of political yearning, emancipatory architecture and failed utopias. What does it mean to claim land that has more value as a symbol than as a potential home? And how does that symbol function beyond the boundaries of its geographic limits?
Chris Kennedy is an independent filmmaker, programmer and writer currently living in Toronto. He programmed for the Images Festival from 2003-06, Pleasure Dome from 2000-06 and co-founded the ongoing screening series Early Monthly Segments in 2009. His short experimental films have screened at over one hundred film festivals worldwide and he has presented film programs in Egypt, Belgium, Germany, the US and Canada. He holds an MFA from the San Francisco Art Institute.
Mark Kent
Catalogue : 2017Hippopotamus | Fiction expérimentale | hdv | noir et blanc | 4:28 | Irlande | 2016
Mark Kent
Hippopotamus
Fiction expérimentale | hdv | noir et blanc | 4:28 | Irlande | 2016
Hippopotamus synopsis A figure in a laboratory observers preserved specimens in jars Do they come to life? He begins to attend to the specimens The disks of a main frame computer begins to run He is now inside a container were many animals were housed many seem to be dead One animal a hippopotamus is still alive The figure plays and interacts with the hippopotamus in a pool among many dead fish The figure returns to the laboratory and his duty of attending the computers memory disks.
an irish artist graduated from uic with an MFA in studio art in 2012 resident at rijksakademie amsterdam 2001 2002