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Tal Amiran
Catalogue : 2008Untitled (band in a studio) | Art vidéo | dv | couleur | 2:23 | Royaume-Uni | 2006
Tal Amiran
Untitled (band in a studio)
Art vidéo | dv | couleur | 2:23 | Royaume-Uni | 2006
A rock band is filmed in a studio during the making of a music video. The set for the video consists of numerous video cameras with their lights on, arranged in a circle. The circle of lights forms a ring and within that ring the band is situated. In the second scene, a performer comes in and out of the frame as he plays his guitar frenetically. The last scene shows the band waiting, looking bewildered. At the centre of the work is the uncertainty we feel in regard to what we see, as the footage documents a real activity which at the same time remains inexplicable. The video is silent. Sound and music are a central and inseparable part of a rock band?s performance, and as such, the muted sound instigates an uncanny experience and conveys a new reading to the scenes. The camera/observer is placed in a neutral standpoint, dictating a sense of detachment and alienation. The relationship between documentary and fiction, stillness and movement, euphoria and melancholy, and sound and silence, are at the core of this work.
Born Tel Aviv, Israel. Tal Amiran is both a video artist and a professional musician and is currently a member of signed punk rock London band Vatican DC. In 1989 he completed his Fine Art studies in Thelma Yellin school of Art in Tel Aviv, Israel, with a Certificate of Excellency. In 2006 he graduated from Chelsea College of Art and Design London, with a First Class Honours in BA Fine Art (New Media). Since graduating, Amiran`s video works have been shown extensively: The International Video Art Festival in Iceland, The 12th International Media Art Biennale in Poland, `The Bigger Picture` in Manchester UK, ?Future Map? ? University of the Arts? new talents showcase, amongst others. Amiran lives and works in London, UK
Cristina Amiran, Khalil Charif
Catalogue : 2008AVENUE | Art vidéo | dv | couleur | 3:16 | Brésil | 2006
Cristina Amiran, Khalil Charif
AVENUE
Art vidéo | dv | couleur | 3:16 | Brésil | 2006
Durant le procédé d'enquête sur les relations entre le cinéma, la photographie et l'art vidéo, les auteurs on travaillé sur des thèmes locaux-globaux. Ils présentent dans cette vidéo un plan séquence d'une vue de Copacabana (vide de voitures et de personnes) comme un voyage planant sur une avenue.
Cristina AMIRAN was born in Rio de Janeiro in 1960, and lives and works there. She has a B.A. in Visual Communication (1988) and has studied art at the Escola de Artes Visuais do Parque Lage (2003-2005). Khalil CHARIF, also from Rio de Janeiro (1967), has an A.A degree in Art History (2004) and is a B.A. in Architecture (1995); and has attended EAV Parque Lage (2003-2005) as well. They have been working independently and in group projects. Their exhibitions include: "Lusovideografia", Oi Futuro, Rio de Janeiro, 2007. "VideoLab Coimbra 2006", TAGV / Universidade de Coimbra, Portugal, 2006. "Posição 2004", EAV Parque Lage, Rio de Janeiro, 2004.
Andrew Amorim
Catalogue : 2019The Future Stands Still, But We Move In Infinite Space | Installation vidéo | 4k | couleur et n&b | 46:48 | Brésil, Ouganda | 2017
Andrew Amorim
The Future Stands Still, But We Move In Infinite Space
Installation vidéo | 4k | couleur et n&b | 46:48 | Brésil, Ouganda | 2017
Shot on location in Kampala, Uganda, the film combines narratives connected to the symbolism surrounding the sport of boxing. From the very personal and intimate relationship between the artist and a boxer in a sparring match, to a story about the black heavyweight as a gallant and politicised figure in the historical match-up between Sonny Liston and Floyd Patterson. The film also diverts into several off-topic sequences; showing a group of stunt bikers during an euphoric highway performance, tracing history through a tree planted on October 9th 1962, the day Uganda gained independence from Britain, and visiting the former Gaddafi National Mosque. The Mosque was renamed to `The Uganda National Mosque` in 2013 after pressure from the new Libyan administration, following the US led intervention in Libya in 2011, and the death of Colonel Gaddafi. The title of the work originates from Rainer Maria Rilke's Letters to a Young Poet (1929). Rilke addresses existential themes, profoundly probing the quest for individuality, the significance of death, and reflection on the experience of time as death approaches. His work invoke images of mankind`s anxiety and alienation in the face of an increasingly scientific, industrial, reified world.
Andrew Amorim (b. 1983, Belém, Brazil) lives and works between Bergen, Norway and Kampala, Uganda. He graduated from the Bergen Academy of Arts and Design in 2016. Recent solo exhibitions include The Future Stands Still but We Move in Infinite Space at Bergen Kjøtt, Bergen (NO); Lest We Perish at Entrée x Independent Hq, Harlem, New York (US); Lest We Perish, K4 gallery, Oslo (NO); After Touch, Space 4235, Genova (ITA) and Material Light (with Numi Thorvarsson) at Bergen Kjøtt, Bergen (NO). His work has also been included in the exhibitions The Future Stands Still but We Move in Infinite Space, OSL contemporary, Oslo (NO); After the Exhibition, Hordaland Art Centre, Bergen (NO); The Young Lions, Preus Museum, Horten (NO); The National Juried Spring Exhibition, Melk, Oslo (NO); eõ, NoPlace, Oslo (NO) and I: project space in Beijing (CHN). Â
Annabelle Amoros
Catalogue : 2015La Maison des Lilas | Fiction expérimentale | hdv | couleur | 17:32 | France | 2014
Annabelle Amoros
La Maison des Lilas
Fiction expérimentale | hdv | couleur | 17:32 | France | 2014
Pensée, filmée et montée comme un rêve, La Maison des Lilas propose une vision onirique et surréaliste, où logique, structure narrative et raison s`effacent pour libérer la pensée spontanée et l`inconscient.
Annabelle Amoros est née en 1987 en France. Après avoir étudié à l’école d’Art de Metz, elle a suivi des cours à l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie à Arles, de 2011 à 2014. Durant cette période, elle a reçu une subvention de la région Alsace, ce qui lui a permit d’aller aux Etats-Unis afin de réaliser un projet photographique et vidéographique. Ensuite, elle a suivi un programme d’échange erasmus à l’école Taik de Helsinki, où elle a reçu ses premiers cours de vidéo avec Hannu Karjalainen, et a monté sa permière pièce, "Welcome to My World". Suite à cette première expérience, l’image en mouvement est devenu son activité principale. En s’inspirant du cinéma, de la vidéo et de la photographie, elle tente d’effacer la limite entre la réalité et la fiction, en utilisant les lumières artificielles de la nuit, afin de transformer la rue en théâtre et les habitants en personnages. Après plusieurs semaines de tournage, elle réorganise ses plans puis créé un nouvel environnement, inspiré des œuvres de David Lynch, Alec Soth ou encore David Clearbout.
Catalogue : 2014Welcome to My World | Vidéo | dv | couleur | 9:25 | France, USA | 2013
Annabelle Amoros
Welcome to My World
Vidéo | dv | couleur | 9:25 | France, USA | 2013
La vidéo Welcome to My World représente Woolstock un petit village, extrêmement isolé au centre des .États-Unis, dans l?Iowa. Comme dans beaucoup d?autres lieux de ce type, il ne se passe rien. Les habitants sont enfermés dans un quotidien calme, épuré, et serein, mais peut être aussi ennuyeux et répétitif. Les scènes sont tournées dans des paysages contemplatifs. Elles représentent des atmosphères nocturnes et crépusculaires, éclairées par la lumière incertaine des lampadaires et nous plongent dans un univers étrange, où nous attendons quelque chose que nous ignorons et qui nous échappe.
Annabelle Amoros est née en 1987 à Creil. Après avoir suivit une formation à l`École Supérieure d`art de Metz, elle poursuit aujourd`hui ses études à l`École Nationale Supérieure de la Photographie d`Arles. Suite à quelques voyages l`ayant menée au centre des États-Unis, en Finlande, en Laponie, sans oublier la France, elle ne cesse d`observer et de s`imprégner de la vie quotidienne des gens installés dans des petits villages très isolés. Elle tente de transformer les habitants en personnages et de créer des univers sous tension à partir d`un quotidien où il ne se passe presque rien. Par l`outil photographique ou vidéographie, elle ne cesse d`interroger ses images autour de la dualité réalité-fiction.
Marta Anatra
Catalogue : 2023Progresso Renaissance | Doc. expérimental | 16mm | couleur | 20:0 | Italie | 2019
Marta Anatra
Progresso Renaissance
Doc. expérimental | 16mm | couleur | 20:0 | Italie | 2019
Portovesme, Sardaigne. Images d'un été passé. Les vagues de la mer s'écrasent sans cesse sur les rochers. Un groupe de garçons se rend à la plage à bicyclette, en passant devant des bâtiments industriels abandonnés qui annonçaient autrefois une nouvelle ère. Dans ce film cross-genre composé d'images d'archives et d'enregistrements 16 mm, le temps entre 1969 et le présent semble se confondre. Dans une région où le développement est au point mort, le groupe de garçons symbolise toute une génération.
Artiste visuelle, éditrice et réalisatrice, j'ai suivi une formation de peintre à l'Accademia di Belle Arti de Florence. Je vis et travaille à Marseille où j'ai suivi un master en film documentaire à l'université d'Aix-Marseille. J'ai également suivi une formation au Grenada Visual Centre à Manchester et à l'ISRE à Nuoro avec David et Judith McDougall. Le collectif Film Flamme-Polygone Etoilé et le Laboratoire L'Argent, dont je suis cofondatrice, ont joué un rôle déterminant dans mon travail en pellicule. Mes films indépendants ont été projetés dans des festivals internationaux tels que la Berlinale, le NYCIFF, le Festival des Peuples, Film Femmes Méditerranée, le SIEFF et l'ISREAL.
Thom Andersen
Catalogue : 2015The Tony Longo Trilogy | Vidéo | hdv | couleur | 14:1 | USA | 2014
Thom Andersen
The Tony Longo Trilogy
Vidéo | hdv | couleur | 14:1 | USA | 2014
"While remastering Los Angles Plays Itself, I re-edited a number of clips, including The Takeover (Troy Cook, 1995), a grungy, sordid straight-to-video film remarkable only because executive producer Michael Woods and star David Amos had in 1990 planned and carried out the murder of Horace McKenna, Woods's partner in the operation of a chain of strip clubs around Los Angeles - a crime echoed in the movie. After repeated viewings, I noticed a miniature tragedy (or black comedy) spread out over the first sixty minutes. Its protagonist is Waldo the bouncer, the victim of ruses and sucker punches, whose multiple failures lead him to one final heroic attempt to make amends. This is his story."
Thom Andersen has lived in Los Angeles for most of his life. In the 1960s, he made short films, including Melting (1965), Olivia’s Place (1966), and --- ------- (1967, with Malcolm Brodwick). In 1974 he completed Eadweard Muybridge, Zoopraxographer, an hour-long documentary film about Muybridge’s photographic work: It was restored by the UCLA Film and Television Archive in 2013. In 1995, with Noël Burch, he completed Red Hollywood, a critical video essay about the film works created by the victims of the Hollywood Blacklist. Their work on the history of the Blacklist also produced a book, Les Communistes de Hollywood: Autre chose que des martyrs, published in 1994. In 2003 he completed Los Angeles Plays Itself, a three hour-long movie about the representation of Los Angeles in movies. It was voted the Best Documentary of 2003 in the Village Voice Film Critics’ Poll. He completed Get Out of the Car, a short 16mm portrait of Los Angeles. In 2012, he directed Reconversão, an HD video about the work of Portuguese architect Eduard Souto Moura, the winner of Pritzker Prize in 2011. He has taught at the California Institute of the Arts since 1987.
Thom Andersen
Catalogue : 2011Get Out of the Car | Doc. expérimental | 16mm | couleur | 34:0 | USA | 2010
Thom Andersen
Get Out of the Car
Doc. expérimental | 16mm | couleur | 34:0 | USA | 2010
From the director of "Los Angeles Plays Itself" comes another city symphony exploring Los Angeles' gentrification through a thoughtful montage of façades and a playful excursus through its musical history.
Thom Andersen
Catalogue : 2013Reconversao | Documentaire | hdv | couleur | 67:0 | USA, Portugal | 2012
Thom Andersen
Reconversao
Documentaire | hdv | couleur | 67:0 | USA, Portugal | 2012
?Reconversão? portrays 17 buildings and projects by Portuguese architect Eduardo Souto Moura, accompanied usually by his own writings. It is a search for his architecture, without critical commentary. Only the tour guide at Braga Stadium offers generalizations, which fit that work well enough, but it may be the exception, not the rule. Souto Moura has the last word: ?If there is nothing there, I invent a preexistence.? Technically, ?Reconversão? combines the crudeness of proto-cinema with the hyperrealism of digital cinema, bringing us back to the ideals of Dziga Vertov. Shooting only one or two frames per second and animating the images, in the manner of Muybridge, produces greater resolution, although not necessarily a greater sense of reality, and brings attention to the movements of water and vegetation that generally pass unnoticed.
Thom Andersen has lived in Los Angeles for most of his life. In 1974 he completed ?Eadweard Muybridge, Zoopraxographer?, an hour-long documentation of Muybridge?s photographic work. In 1995, with Noel Burch, he completed ?Red Hollywood?, a videotape about the filmwork created by the victims of the Hollywood Blacklist. In 2003 he complested ?Los Angeles Plays Itself?, a video essay about the representation of Los Angeles in movies. In 2010, he also directed ?Get Out of the Car?, about the visual archeology of the city. He has taught film composition at the California Institute of the Arts since 1987.
Thom Andersen
Catalogue : 2016The Thoughts That Once We Had | Doc. expérimental | hdv | couleur et n&b | 108:0 | USA | 2015
Thom Andersen
The Thoughts That Once We Had
Doc. expérimental | hdv | couleur et n&b | 108:0 | USA | 2015
Inspiré de la théorie du cinéma de Gilles Deleuze, «The Thoughts That Once We Had» se construit autour de l’amour et du pouvoir de séduction des films. Réduisant à zéro l’abstraction lyrique, ruminant sur les nazis, les communistes et les espions, comparant les danses de serpent orientalistes de Maria Montez et de Debra Paget, le film est un cadeau pour tous ceux qui voient dans le cinéma un art, une forme de pensée et une source de plaisir.
Figure incontournable du film expérimental américain, Thom Andersen commence à réaliser des films au milieu des années 1960 à Los Angeles, où il étudie le cinéma (University of Southern California). Au même moment, il développe une pratique d’écriture qui accompagnera toujours sa production. En tant que critique il sera un des premiers à s’intéresser à l’oeuvre filmique d’Andy Warhol. Si ses premiers films relèvent de la production «expérimentale» ou «d’avant-garde» (cf. «Melting», 1965 ou «Short Line/Long Line», 1966-67), à partir de la moitié des années 1970 il développe une forme hybride à la croisée de l’étude visuelle et du film documentaire. Avec «Eadweard Muybridge, Zoopraxographer» (1974) – issu d’un article qu’Andersen avait publié dans Film Culture en 1966 – le cinéaste s’intéresse à la figure de Muybridge et à ses expériences dans l’étude du mouvement. À la fois biographie de l’auteur et étude sur la nature même de l’image en mouvement, Eadweard Muybridge explore la possibilité pour le documentaire de s’ouvrir au champ de la critique et de travailler ainsi, par le biais du commentaire, une forme d’écriture particulière. Avec «Red Hollywood» (1996), co-réalisé avec Noël Burch, Thom Andersen dévéloppe également une série des textes sur les communistes à Hollywood, en faisant ainsi du film une sorte de traité historiographique critique. «Los Angeles Plays Itself» (2003), son opus majeur, porte à l’extrême ce principe. Constitué à partir d’un nombre étonnant de séquences des films, le long-métrage explore, sur une durée de trois heures, les multiples identités de la ville de Los Angeles, et ce que le cinéma peut nous apprendre sur l’espace urbain.La production filmique de Thom Andersen se présente comme un lieu d’investigation idéal pour comprendre les liens entre l’écriture et la mise en forme visuelle de la pensée.
J Tobias Anderson
Catalogue : 2018Where Did It All Start? | Animation | hdv | couleur | 1:10 | Suède | 2017
J Tobias Anderson
Where Did It All Start?
Animation | hdv | couleur | 1:10 | Suède | 2017
The simplest of questions. An overwhelming silence. The conundrum of existence.
Born in 1971. Grew up on Gotland in the Baltic Sea. Education includes the University Collage of Arts Crafts & Design as well as the Royal Collage of Art, both in Stockholm. Lives in Nacka just outside of Stockholm. Working mainly with video and animation and moving between narrative and non-narrative works. Has created around 40 films. Also experimenting with different forms of music and sound installations. Notable exhibitions include P.S.1 Contemporary Art Center in New York, Kunst-Werke Berlin, CaixaForum in Barcelona and Museo de Colecciones ICO in Madrid, as well as solo exhibitions at MMC Luka in Pula Croatia, ak28 in Stockholm and Uppsala Art Museum in Sweden.
Catalogue : 2017A Work of Art | Animation | hdv | noir et blanc | 1:36 | Suède | 2016
J Tobias Anderson
A Work of Art
Animation | hdv | noir et blanc | 1:36 | Suède | 2016
A reflection on the artist’s own work, mirrored in a dialogue involving three secondhand characters. Together they make an honest evaluation of the artwork to reveal the harsh truth.
Born in 1971. Grew up on Gotland in the Baltic Sea. Education includes the University Collage of Arts Crafts & Design as well as the Royal Collage of Art, both in Stockholm. Lives in Nacka just outside of Stockholm. Working mainly with video and animation and moving between narrative and non-narrative works. Has created around 40 films. Also experimenting with different forms of music and sound installations. Notable exhibitions include P.S.1 Contemporary Art Center in New York, Kunst-Werke Berlin, CaixaForum in Barcelona and Museo de Colecciones ICO in Madrid, as well as solo exhibitions at MMC Luka in Pula Croatia, ak28 in Stockholm and Uppsala Art Museum in Sweden.
Catalogue : 2016Allt blir självklart, genomlyst | Animation | hdv | couleur | 2:30 | Suède | 2015
J Tobias Anderson
Allt blir självklart, genomlyst
Animation | hdv | couleur | 2:30 | Suède | 2015
In a colorful setting, where thoughts and ideas aren’t necessarily black or white, a situation of non-communication is enacted. Two men and a woman are throwing their most inner thoughts at each other, but finding little solace in the others’ words. Communication can sometimes be unidirectional, even though a dialogue is taking place, and where certainty can be a comfort, perhaps skepticism and doubt should be the default.
Born in 1971. Grew up on Gotland in the Baltic Sea. Education includes the University Collage of Arts Crafts & Design as well as the Royal Collage of Art, both in Stockholm. Lives in Nacka just outside of Stockholm. Working mainly with video and animation and moving between narrative and non-narrative works. Has created around 40 films. Also experimenting with different forms of music and sound installations. Notable exhibitions include P.S.1 Contemporary Art Center in New York, Kunst-Werke Berlin, CaixaForum in Barcelona and Museo de Colecciones ICO in Madrid, as well as solo exhibitions at MMC Luka in Pula Croatia, ak28 in Stockholm and Uppsala Art Museum in Sweden.
Catalogue : 2013A Sensation! | Animation | dv | couleur | 1:38 | Suède | 2012
J Tobias Anderson
A Sensation!
Animation | dv | couleur | 1:38 | Suède | 2012
Material is what counts!
Born in 1971. Grew up on Gotland in the Baltic Sea. Education includes the University Collage of Arts Crafts & Design as well as the Royal Collage of Art, both in Stockholm. Lives in Nacka just outside of Stockholm. Working mainly with video and animation and moving between narrative and non-narrative works. Has created around 40 films. Also experimenting with different forms of music and sound installations. Notable exhibitions include P.S.1 Contemporary Art Center in New York, Kunst-Werke Berlin, CaixaForum in Barcelona and Museo de Colecciones ICO in Madrid, as well as solo exhibitions at MMC Luka in Pula Croatia, ak28 in Stockholm and Uppsala Art Museum in Sweden.
Catalogue : 2012A Hand That Speaks | Vidéo | hdv | couleur | 1:9 | Suède | 2011
J Tobias Anderson
A Hand That Speaks
Vidéo | hdv | couleur | 1:9 | Suède | 2011
"Take a look at these hands. Take a look at these hands. The hand speaks."
J Tobias Anderson was born in 1971 and grew up on Gotland in the Baltic Sea. His education includes the University Collage of Arts Crafts & Design as well as the Royal Collage of Art, both in Stockholm. He lives in Nacka just outside of Stockholm. Working mainly with video and animation Anderson has moved between narrative and non-narrative works and through the years he has created almost 40 films. He has also been experimenting with different forms of music and sound installations. Notable exhibitions include P.S.1 Contemporary Art Center in New York, Kunst-Werke Berlin, CaixaForum in Barcelona and Museo de Colecciones ICO in Madrid, as well as solo exhibitions at MMC Luka in Pula Croatia, ak28 in Stockholm and Uppsala Art Museum in Uppsala, Sweden. He is collaborating with Filmform Foundation in Stockholm, Espaivisor in Valencia, Spain and Factory-Art in Berlin.
Catalogue : 2011A Veracity A Mendacity | Art vidéo | | couleur | 4:58 | Suède | 2010
J Tobias Anderson
A Veracity A Mendacity
Art vidéo | | couleur | 4:58 | Suède | 2010
A man in confrontation with two women, one vulnerable and easily influenced, the other hesitant and questioning. On one hand the man is preching a veracity to the already converted and on the other a mendacity to the doubtful. Or is it the other way around? "A Veracity A Mendacity" questions if there, in the name of reason, can exist only one truth to any situation, and who should have the mandate to tell others what is right and what is wrong.
J Tobias Anderson was born in 1971 and grew up on Gotland in the Baltic Sea. His education includes the University Collage of Arts Crafts & Design as well as the Royal Collage of Art, both in Stockholm. He lives in Nacka just outside of Stockholm. Working mainly with video and animation Anderson has moved between narrative and non-narrative works and through the years he has created almost 40 films. He has also been experimenting with different forms of music and sound installations. Notable exhibitions include P.S.1 Contemporary Art Center in New York, Kunst-Werke Berlin, CaixaForum in Barcelona and Museo de Colecciones ICO in Madrid, as well as solo exhibitions at MMC Luka in Pula Croatia, ak28 in Stockholm and Uppsala Art Museum in Uppsala, Sweden. He is collaborating with Filmform Foundation in Stockholm and Espaivisor in Valencia, Spain.
Catalogue : 2010The Wind | Animation | dv | noir et blanc | 3:44 | Suède | 2009
J Tobias Anderson
The Wind
Animation | dv | noir et blanc | 3:44 | Suède | 2009
These words are all true. These words are all used. This is the way the wind is blowing. This is the wind of the reality in which we live. All words are already spoken. All things are already said. Nothing is original. Nothing is new.
J. Tobias Anderson est né en 1971 et a grandi à Gotland sur la Baltique. Il a effectué ses études notamment à l?University Collage of Arts Crafts & Design et également au Royal Collage of Art, tous les deux à Stockholm. Il habite à Nacka juste à côté de Stockholm. Travaillant principalement avec la vidéo et l?animation, Anderson a fait des films tant fictionnels que sans narration : au fil des années, il a réalisé presque 40 films. Il a également expérimenté différentes formes de musique et d?installations sonores. Il a participé à des expositions dans des lieux importants, tels que P.S.1 Contemporary Art Center à New York, Kunst-Werke Berlin, CaixaForum à Barcelona et Museo de Colecciones ICO à Madrid. Il a eu plusieurs solo shows au MMAC Luka à Pula en Croatie, à ak28 à Stockholm et Uppsala Art Museum à Uppsala en Suède. Il travaille avec la Filmform Foundation à Stockholm et avec Espaivisor à Valence, en Espagne.
Catalogue : 2009Delusion Disillusion | Art vidéo | dv | noir et blanc | 3:33 | Suède | 2008
J Tobias Anderson
Delusion Disillusion
Art vidéo | dv | noir et blanc | 3:33 | Suède | 2008
Une forêt sombre, une route sans fin, deux hommes avec des idées différentes sur la façon d'aborder un problème. Les grandes lignes de « Delusion Disillusion » sont assez simples, mais les possibilités d'interprétation sont plus complexes. Les hommes sont-ils en train de faire référence à une question de caractère personnel, ou parlent-ils de quelque chose de beaucoup plus général ? Le contraste entre la densité des arbres au début de la vidéo et le final, avec sa forêt presque coupée à blanc, nous dirige vers les indices d?une solution possible.
Né 1971 à Göteborg (Suède), J. Tobias Anderson vit et travaille à Stockholm (Suède). De 1993 à 1998, il fréquente le Département des Arts de l?Université des Arts, de l?Artisanat et du Design de Stockholm et, en 1998-99, l?Université Royale des Arts de Stockholm, au Département Vidéo. Vidéaste, il s?intéresse principalement à l'animation et à l'appropriation artistique. Il expérimente actuellement de nombreuses techniques, telles que la vidéo, la peinture, l'illustration, le son et la musique, mais se concentre toujours principalement sur la vidéo. Environ une trentaine de ses ?uvres vidéo ont été créés entre 1997 et 2006. Le point de départ de ses recherches, la base de sa création artistique, réside généralement dans des matériaux que l?on peut considérer, d?une manière ou d?une autre, comme familiers. Ses ?uvres ont été projetées à de nombreuses occasions, dans des festivals et des expositions du monde entier. Ses vidéos sont présentées dans plusieurs institutions artistiques, notamment dans les collections du Moderna Museet de Stockholm et de l?Institut Valencià d?Art Moderne.
Catalogue : 2007A Small Part of the World | Animation | dv | couleur | 2:53 | Suède | 2006
J Tobias Anderson
A Small Part of the World
Animation | dv | couleur | 2:53 | Suède | 2006
"A Small Part of the World" est une vidéo dans laquelle fourmillent citations et slogans. Lesquels faut-il croire, lesquels non? Dans un monde surpeuplé, comment sommes-nous censés trouver la voie à suivre pour vivre nos vies en harmonie? Ne buvez pas les paroles des dirigeants religieux ou politiques et ne vous laissez pas détourner de ce que vous jugez bon dans la vie. "Seek truth from facts" (la vérité se trouve dans les faits): tel est le slogan du parti communiste chinois. Ce pourrait être une idée à suivre, mais quelles sont les 'bonnes vérités'? Quel est votre chemin dans la vie?
J. Tobias Anderson, né en 1971 à Gothenburg (Suède), vit et travaille à Stockholm (Suède). Il a étudié le design et l'artisanat (section art) à l'University College of Arts de Stockholm, de 1993 à 1998. Il a ensuite passé un an au Royal College of Art de Stockholm (section vidéo). En tant que vidéaste, il s'intéresse principalement à l'animation et à ce qu'on appelle l'"Aproppriation Art". Il fait un travail d'expérimentation, en utilisant des techniques diverses et variées : vidéo, peinture, illustration, éléments sonores et musique. Cependant, l'essentiel de ses créations sont des vidéos -il en a produit une trentaine entre 1997 et 2006. Il choisit des supports générallement assez connus comme point de départ de ses explorations, qui sont à la base de la création de ses oeuvres. Ses vidéos abordent souvent des thèmes et questions d'ordre cinématographique, et sont le résultat d'expérimentations visuelles voire audiovisuelles. Son travail a été présenté en de nombreuses occasions, lors d'expositions et de festivals à travers le monde. Plusieurs vidéos représentent son travail dans différentes institutions d'art, dont le Musée moderne de Stockholm.
Catalogue : 2006Whereto I Go | Art vidéo | dv | noir et blanc | 4:46 | Suède | 2005
J Tobias Anderson
Whereto I Go
Art vidéo | dv | noir et blanc | 4:46 | Suède | 2005
La vidéo montre la confrontation d'un homme avec lui-même. Une rencontre qui n'en vaut pas toujours autant la peine que chacun pourrait l'espérer. De classiques séquences de film ont été découpées et animées pour illustrer ce dilemme, et l'image finale est créée dans un style très contrasté, avec des personnages qui font chose par dizaines de loin.
J. Tobias Anderson est né en 1971 à Gothenburg en Suède. Il vit et travaille en Suède, à Stockholm. Peintre au départ, il travaille depuis 1993 en art vidéo et animation. Il expérimente maintenant nombre de techniques comme la vidéo, la peinture, l'illustration, le son et la musique. Son travail principal reste cependant la vidéo. Il a été projeté à de nombreuses occasions : festivals et expositions dans de multiples pays. Ses vidéos sont exposées au Musée d'art moderne de Stockholm.
Alice Anderson
Catalogue : 2007Souffler n'est pas jouer | Fiction expérimentale | betaSP | couleur | 14:30 | France | 2005
Alice Anderson
Souffler n'est pas jouer
Fiction expérimentale | betaSP | couleur | 14:30 | France | 2005
Dans un gymnase, une jeune fille de dix-sept ans s`entraîne au trampoline. Son père, qui la coach aboie ses instructions. L`entraînement forcé la fait souffrir mais elle est obnubilée par l`idée de gagner le grand concours de saut périlleux. Avec l`argent du prix, son père pourra enfin régler leurs dettes. Natasha ne peut pas le décevoir. Elle sent bien qu`il ne l`aime plus comme avant depuis qu`elle a grandi. La médaille d`or changera tout. L`accident est inévitable, elle rate sa réception et se blesse à la tête. Faute d`argent, son père décide de la soigner lui même : la mère préconise un isolement total dans une chambre particulière de la maison. Depuis plusieurs semaines, le père vient observer Natasha par le trou de la serrure de la chambre aux miroirs. Elle parle seule pense-t-il. De plus, elle n`a pas l`air de vouloir guérir. Le grand concours de saut périlleux semble compromis. Puis, un jour, la porte s`ouvre Natasha reçoit un cadeau de la part de son père : un jeu de rôles. La mère se rapproche d`elle dangereusement. Maintenant, elle est prête. Elle convainc son père de convoquer les juges de la fédération pour qu`ils acceptent son inscription tardive au concours. Elle va leur montrer de quoi elle est capable à sept ans, son père va l`aimer à nouveau, à moins que la mère n`intervienne...
Alice Anderson est née à Londres en 1976 et a été élevée dans le sud de la France. Elle a étudié aux Beaux-Arts de Paris (1998-2001), a recu le prix Gilles Dusein pour ses vidéos (2002) puis est partie faire un M.A au Goldsmiths College de Londres (2002-2004) depuis elle vit a Londres. Elle a montré son travail dans des lieux prestigieux comme: la Maison Européenne de la Photographie, le Centre Pompidou, Emap museum en Corée, le Anna Norlender museum en Suède, le Man museum en Italie, Bloomberg space à Londres, Art Unlimited a Bâle. Elle présentera un nouveau conte à la galerie Yvon Lambert pour son exposition personnelle en janvier 2007.
Carla Andrade
Catalogue : 2023Ningún río me protexe de min | Doc. expérimental | 16mm | couleur et n&b | 27:27 | Espagne, 0 | 0
Carla Andrade
Ningún río me protexe de min
Doc. expérimental | 16mm | couleur et n&b | 27:27 | Espagne, 0 | 0
"No river protects me from myself" takes as its starting point the mysterious theft of filmed material shot in the Congo Basin rainforest. This accident offered a response to conflicts arising from the fragile and transubjective encounter with the “non-I”, which could only be practised or experienced; if one tries to virtualise it, it ceases to exist. The impossibility of representing a reality that is not one's own without creating distance or detachment, or conversely, taking control of it, leads to a backwards retreat in which, through conversations with my mother, I discover a fragmented and contradictory identity based on fragile foundations. This incessant external search for forms of knowledge that differ from the consensus—or compulsory—reality becomes internal.
An interest in the aesthetic experience and how it works as a transformer of conscience led Carla Andrade (Vigo, Spain, 1983) to study both a Degree in Audio-Visual Communication Studies and Philosophy, as well as an M.A in Artists’ Film and Moving Image at Goldsmiths University of London. This intersection between the means of visual expression and a field close to reflection is, precisely, the central aspect that defines her work. Travelling is also an important part of her process so she has carried out Artist Residencies in Iceland, Sweden, Nepal, Chile or Paris, among others. She has shown her work (both individually and collectively) in renowned contemporary art venues such as Guggenheim Museum of Bilbao, MARCO Vigo, Le 104 Paris, CaixaForum Barcelona, Tabacalera Madrid, La Casa Encendida Madrid, Bilbaoarte, Lux London or Tabakalera Donosti, etc; and in prestigious international Photography and Film Festivals such as PhotoEspaña, Mois de la Photo (Paris) or Encontros da imagem (Portugal); International Film Festival Rotterdam, Zinebi, PortoPostDoc, Courtisane, Ji.hlava, L’Alternativa Barcelona, Curtocircuito or Alchemy Film Festival. Furthermore, her work has been part of important international publications from South Korea, USA, Brazil or Spain and acquired by public and private art collections such as CA2M or CGAC. Likewise, her work has obtained awards including the First Prize of Visual Arts 2013 from Complutense University of Madrid, Emerging Artists Award Absolut 2013, Frac Vila Acquisition Award 2013 from Luis Adelantado Gallery, Women Award-Forum-Dialogue Alliance Francaise / Pilar Citoler 2012, Photography Award Madrid SUMMA 201, etc; and grants from Injuve, Institut Français, BilbaoArte Foundation, VEGAP, Agadic and the Scholarships for Abroad Artistic Creation Gas Natural Fenosa.
Samuel Andre
Catalogue : 2006Danae | Création sonore | 0 | | 20:12 | France | 2004
Samuel Andre
Danae
Création sonore | 0 | | 20:12 | France | 2004
Cette musique musicale est composée à partir uniquement de deux courts samples proposés par le compositeur Pyo. L`un des deux samples est utilisé pour construire toute la composition, transformé par différents procédés numériques tandis que l`autre apparaît ponctuellement très peu modifié par rapport à l` original. Cette pièce musicale est inspiré par le mythe de danae.
Né en 1978, de formation scientifique en mathématiques et sciences cognitives ; après son DESS en ergonomie informatique, en parallèle de ses compositions de musique acoustique narrative (http://ieva70.free.fr/sound/iev.htm), il se tourne définitivement vers la pratique et l?utilisation de l?outil informatique comme prolongement de soi - réflexion autour du geste, d?une grammaire voir presque langue et de sa représentation par le biais du réseau de communication qu?est Internet ; prolongement du travail commencé, en 2000 au SCRIME - Studio de Création et de Recherche en Informatique et Musique Electroacoustique - , sur l?ergonomie de conception d?interfaces de manipulation sonore et d?improvisation destinée aux enfants. Sa pratique majeure reste la musique qu elle soit écrite (composition ou musique de vidéo) ou improvisée. Il réalise également des formes multimédias poétiques et quelques films expérimentaux.
Schneemeier Andrea
Catalogue : 2006Still Life | Art vidéo | dv | couleur | 0:56 | Hongrie, Belgique | 2004
Schneemeier Andrea
Still Life
Art vidéo | dv | couleur | 0:56 | Hongrie, Belgique | 2004
Un jeu avec la simulation et la réalité dans un environnement étrange mais réel. Sa "réalité" rappelle non seulement le milieu froid des programmes de simulation, mais également le "bonheur" artificiel d'un magasin IKEA. Sans aucune trace d'être humain, l'environnement se transforme - les objets explosent. Le film s'amuse à ébranler les instincts destructeurs du spectateur, s'interrogeant également sur le côté artificiel des média (industrie) qui nous entourent au quotidien.
Andrea Schneemeier est née en 1969 à Budapest (Hongrie). Andrea Schneemeier a étudié la peinture et les arts multimédias à l'Academie d'Art de Budapest en 1996. Par la suite, elle a étudié au Higher Institute des Beaux-Arts (HISK) à Antwerp. Elle crée de l'art conceptuel, réalise des vidéos et des installations interactives dans lesquelles elle soulève des questions à la fois sociales et politiques. Elle enquête sur les statuts sociaux, les conventions sociales et la place de l'individu dans la société. On retrouve dans son travail d'autres thèmes récurrents : la violence et l'agressivité, et les schémas établissant les rôles attribués à chaque sexe. Elle montre souvent toutes sortes de combats (armés), à la fois d'hommes et de femmes. Ses oeuvres ont été présentées dans le monde entier, et elle a reçu plusieurs récompenses pour ses oeuvres multimédias. Elle vit à Berlin.
Stephen Andrews
Catalogue : 2007The Quick and The Dead | Animation | dv | couleur | 1:0 | Canada | 2004
Stephen Andrews
The Quick and The Dead
Animation | dv | couleur | 1:0 | Canada | 2004
Une animation basée sur un clip vidéo de la guerre en Irak.
Stephen Andrews a exposé ses oeuvres au Canada, aux Etas-Unis, au Brésil, en Ecosse, en France et au Japon. Ses travaux s'attachent à la mémoire, à l'identité, à la surveillance et à leur représentation à travers des médias variés.
Stephen Andrews
Catalogue : 2014Dramatis Personae | | | | 6:10 | Canada | 0
Stephen Andrews
Dramatis Personae
| | | 6:10 | Canada | 0
Stephen Andrews, John Greyson
Catalogue : 2008On message | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 9:30 | Canada | 2006
Stephen Andrews, John Greyson
On message
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 9:30 | Canada | 2006
An analog animation using the same set of drawings to tell four different versions of the same story. The emotional fallout of two witnesses to a police shooting, a musical about groovy gay boys making the scene, a cop show about the chase and arrest of a suspect and a news report about soldiers on leave in Iraq.
Stephen Andrews was born in 1956 in Sarnia, Ontario Canada. He has exhibited his work in Canada, the U.S., Brazil, Scotland, France and Japan. He is represented in the collections of the National Gallery of Canada, as well as many private collections. His work deals with memory, identity, surveillance and their representations in various media. John Greyson is a Toronto film/video artist whose shorts, features and installations include: Fig Trees (2003, Oakville Art Galleries); Proteus (Best Actor, Sithenghi 2003); The Law of Enclosures (2000, Best Actor Genie); Lilies (1996 - Best Film Genie, Best Film at festivals in Montreal, Johannesburg, Los Angeles, San Francisco); Un©ut (1997, Honourable Mention, Berlin Film Festival); Zero Patience (1993 - Best Canadian Film, Sudbury Film Festival); The Making of Monsters (1991 - Best Canadian Short, Toronto Film Festival, Best Short Film Teddy - Berlin Film Festival); and Urinal (1988 - Best Feature Teddy, Berlin Film Festival). He co-edited Queer Looks, a critical anthology on gay/lesbian film & video (Routledge, 1993), is the author of Urinal and Other Stories (Power Plant/Art Metropole, 1993), and has published essays and artists pieces in Alphabet City, Public, FUSE, and twelve critical anthologies. An assistant professor in film production at York University, he was awarded the Toronto Arts Award for Film/Video, 2000, and the Bell Canada Video Art Award in 2007.
Claire Angelini
Catalogue : 2013Jeune, révolution! 2007-2012 | Doc. expérimental | hdv | couleur | 13:12 | France, Allemagne | 2012
Claire Angelini
Jeune, révolution! 2007-2012
Doc. expérimental | hdv | couleur | 13:12 | France, Allemagne | 2012
(Brise la mer ! / Jeune, révolution !) : deux courts films prennent le spectateur en étau, et à travers eux, deux paroles sur l?histoire : celle de Narriman B., qui s?interroge sur les raisons de la guerre d?Algérie à l?occasion de la commémoration de l?Indépendance (1962). Et celle d?Ikbel Z., confronté au délitement de la Révolution de jasmin et au désenchantement de la jeunesse tunisienne. Quand aux cuves de pétrole du port de Béjaia, (Algérie), répondent les toupies d?abord fougueuses, puis de plus en plus lentes, d?une table de café tunisienne, de quel tour sur soi-même la révolution, dans l?un et l?autre de ces deux pays, a-t-elle été porteuse ?
Claire Angelini, artiste et cinéaste (ensba Paris / Sorbonne / HFF Munich), interroge le rapport de l?art à l?histoire comme inscription du politique, sous les espèces de la trace, la ruine, la réminiscence et de la survivance des images. Le cinéma comme outil critique sensible et comme dispositif visuel et sonore, lui permet de questionner l?histoire qui hante notre espace commun aujourd?hui et ce faisant, d?en interroger la représentation. Diffusions récentes : MAC-Santiago du Chili 2012 / galerie Fucares Madrid 2012 / Instants video Marseille 2012 / Underdox 07 Munich 2012 / Cinemateca brasileira Sao Paolo 2012 / Etats généraux du film documentaire Lussas 2011 / Cinéma du Réel Paris 2011 / Institut franco-japonais Tokyo 2010 / Viennale 2009
Catalogue : 2011MARCHE / ARAGON | Doc. expérimental | dv | couleur | 23:7 | France, Allemagne | 2010
Claire Angelini
MARCHE / ARAGON
Doc. expérimental | dv | couleur | 23:7 | France, Allemagne | 2010
Marche / Aragon montre comment la guerre a traversé et influencé deux villages du sud de l?Europe, l?un en Italie méridionale, dans les Marches, l?autre en Espagne, dans la province de Huesca. Ortezzano a vécu la montée du fascisme dans les années 30. Belver au contraire, a tenté une expérience unique et singulière d?anarchisme au moment de la République espagnole. Formellement tout oppose les Marches à l?Aragon : d?un côté se développe un film sans paroles au fil d?un album communal, seul dépositaire d?une mémoire inavouable. De l?autre, un récit se déploie, au fil d?un témoignage incarné par la voix d?un survivant de la guerre d?Espagne. La musique aussi, devient, au cours du film un protagoniste essentiel de Marche /Aragon, chargée qu?elle est de sa propre mémoire politique.
Diplômée de l?Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, où elle a étudié la photographie et le montage sonore, Claire Angelini, titulaire d?une maîtrise d?Histoire de l?art, a fréquenté la section documentaire de l?HFF (Hochschule für Film und Fersehen) de Munich. Sa production inclut l?installation, le film, la vidéo, la photographie, le son et le dessin. Claire Angelini vit et travaille à Munich et à Paris. Ses films les plus récents, ont été présentés à l?Institut franco-japonais de Tokyo, à la Bobine de Grenoble, à la Viennale 2009, à la Maison des Arts d?Amiens, à la 12e BIM de Genève, aux Instants vidéo à Marseille, au festival Underdox de Munich, à la Kunsthalle de Vienne, au Festival internacional de videoarte de Gijon, à la Nuit Blanche 2008, ainsi que dans différents cinémas en France et en Allemagne, et, dans le cadre des Rencontres Internationales Paris-Berlin-Madrid, au Centre Georges Pompidou, au Musée du Jeu de Paume, à la Haus der Kulturen der Welt, ainsi qu?au Museo Reina Sofia de Madrid.
Catalogue : 2010La mémoire n'est pas un jeu d'enfant | Documentaire | dv | couleur | 52:50 | France, Allemagne | 2009
Claire Angelini
La mémoire n'est pas un jeu d'enfant
Documentaire | dv | couleur | 52:50 | France, Allemagne | 2009
1 femme / 3 pays / 3 guerres Ce film ? qui s?attache à la figure d?une femme revenant sur les lieux de son enfance entre France, Tunisie et Algérie ? convoque, par le dispositif qu?il met en place, les catégories croisées de la mémoire individuelle et de l?histoire dans un espace lui-même sédimenté par les couches du passé et du présent. Film sur les paysages perdus de notre enfance construit comme un voyage, "La mémoire n?est pas un jeu d?enfant" est une réflexion sur la façon dont nous sommes traversés par l`histoire dans les lieux où nous grandissons. Un "arpentage" qui met en perspective la question de la mémoire avec le territoire et la conscience de l?adulte, qui est réminiscence et parole confrontées à l?image et au son des paysages. Une réflexion politique au sens profond du terme.
L?hypothèse que déploie Claire Angelini dans sa pratique, est que l?histoire est une trace physique et une projection mentale. Ces traces perdurent dans le présent des lieux (défigurés, transformés ou identiques), dans les corps (qui se souviennent ou qui oublient), et sous la forme d?archives. Ces traces cependant sont activement constitutives de notre espace collectif aujourd?hui. Travaillant différents médias ( installation, film, photographie), Claire Angelini, qui manipule des surfaces tactiles ou projetées, s?attache à ce que la surface du réel cache ou conserve de ce qui affleure, émerge, s`enfouit, a été enfoui mais subsiste, et s?intéresse par là à la notion de recouvrement et à la dimension géologique de l?histoire. Diplômée de l?Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, Claire Angelini, qui est titulaire d?une maîtrise d?Histoire de l?art, a aussi fréquenté la section documentaire de l?H.F.F. (Hochschule für Film und Fersehen) de Munich. Claire Angelini vit et travaille actuellement à Munich et à Paris. Dernières projections: International Film Festival Underdox 04, Munich 2009 et Viennale 2009
Catalogue : 2008SHE/SEE | Documentaire | dv | couleur | 20:0 | France, Allemagne | 2007
Claire Angelini
SHE/SEE
Documentaire | dv | couleur | 20:0 | France, Allemagne | 2007
Ce film, fait travailler les éléments d?une improbable rencontre, celle d?une « boat-people » qui a fui son pays, le Vietnam, pour aboutir en Allemagne et du lac de Starnberg nimbé du souvenir mythifié de Sissi et de Louis II de Bavière. Autour du corps présent-absent de la réfugiée ?celui aussi d?un souvenir qui se délite ? se déploie une narration fragmentaire et stratifiée. Quelle image peut saisir en effet la caméra aujourd?hui de cet itinéraire de peur inscrit à même le corps, déplacé dans le tracé paisible d?une excursion touristique « sans histoire » ? Qui parle, et de quoi dans ce jeu complexe des questions-réponses à trois voire quatre voix, et en trois langues (français, allemand, vietnamien) ? De l?impossible palimpseste, émergent des fragments d?histoire : celle de cette femme, celle de son pays déchiré, celle de son voyage en mer, et au-delà celle de la condition de réfugié dans le monde actuel. La disposition des voix, et les incertitudes de la traduction ouvrent sur un vide, délinéant le manque de l?exilée, l?indécision quant à l?identité de celle qui parle, indécision identitaire, devenue sa blessure invisible.
Bio-Filmographie Diplômée de l?Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, où elle a étudié la photographie et le montage sonore, Claire Angelini, qui est titulaire d?une maîtrise d?Histoire de l?art, a aussi fréquenté la section documentaire de l?H.F.F. (Hochschule für Film und Fersehen) de Munich. Circulant entre les langues et les villes européennes, elle s?intéresse plus particulièrement dans son travail aux rapports entre l?art et l?histoire, dans le cadre d?une production multimédia incluant aussi bien l?installation que le film ou la video, la photographie, le son, ou encore le dessin. Claire Angelini vit et travaille actuellement à Munich et à Paris. Films 1996 La minorité, Hi8 transféré sur VHS, 2 minutes 30. (Editions video Artos/ Athènes) 2002 Réciprocités, mini dv, 3 x 60 minutes. (Zweite Architekturwoche, München, Instants video, Martigue, 2004) 2004 Un trou dans le gant, mini dv, 32 minutes. (Kunsthalle Vienne 2006, Université du Québec à Montréal 2006, festival internacional de video arte y fotografia, Gigon, Espagne, 2006, Instants video, Friche de la Belle de Mai, Marseille, 2006.) Ici s?atteint la limite de l?effort pédagogique, mini dv, 22 minutes. (Instants video, Friche de la Belle de Mai, Marseille, 2006.) Lullaby, mini dv, 6 minutes. (Spiegel/ Lothringer 13, München, 2004) 2005 Es geht eine dunkle Wolk herein, mini dv, 20 minutes. (Kunsthalle Vienne 2006, Rencontres internationales Paris-Berlin, Musée du Jeu de Paume, Paris, 2006, Rencontres internationales Paris-Berlin-Madrid, Circulo de Bellas Artes, Madrid, 2007, Rencontres internationales Paris-Berlin, Kino Babylon, Berlin 2007) 2007 Loci soli/Soliloques, mini dv, 21 minutes. (Programmation annuelle des Instants video, marseille 2007- 2008) SHE/SEE, mini dv, 22 minutes. ( Biennale de l?Image, Saint-Gervais, Genève, 2007) En cours : La mémoire n?est pas un jeu d?enfant ( production Atopic/Christophe Gougeon/Aide à l?écriture et au développement, CNC) et Et tu es dehors, installations multimédia (production Finavril/Emmanuel Deswartes).
Catalogue : 2007Es geht eine dunkle Wolk'herein | Doc. expérimental | dv | couleur et n&b | 20:0 | France, Allemagne | 2005
Claire Angelini
Es geht eine dunkle Wolk'herein
Doc. expérimental | dv | couleur et n&b | 20:0 | France, Allemagne | 2005
Au cours d?une promenade dans trois lieux en Bavière (tout d?abord un parc idyllique sur les hauteurs de Munich, la colline du parc olympique, puis un ensemble résidentiel au bord du lac de Starnberg à Feldafing, et enfin la forêt de Mühldorf, (un village à la frontière autrichienne) chargés du passé de la Seconde guerre mondiale, des fragments tangibles d?histoire reviennent hanter les images d'aujourd'hui sous forme de documents d?archives. L?interprétation des plans très lents qui laissent advenir la concrétude, la respiration et la lumière changeante des espaces naturels est laissée à l?imagination du public. Le film part du constat selon lequel nos espaces de vie et paysages quotidiens portent les traces ineffaçables de l?histoire.Mais l`histoire doit être entendue ici comme un sous-ensemble de la géologie comme témoin de la place et du destin de l`homme dans le monde.
Née à Nice (France) Vit et travaille à Munich, Paris, Genève. Diplômée en arts plastiques (Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris), et en histoire de l`art (Sorbonne, Paris). A obtenu différentes bourses et résidences d`artistes depuis 1998. Entre autres Aide à la production, OFAG 2006, Aide au développement, CNC 2005, Aide à l`Ecriture, CNC, 2004, Bourse du FIACRE, 2001, Aide à la réalisation, Affaires culturelles de la ville de Munich, 2001, Bourse Akademie Schloss Solitude 1999-2000, Résidence d`artiste Villa Concordia 1998, Bourse Jeune Création/OFAG 1998. Expositions récentes (Sélection) : novembre 2006, artiste invitée, Encuentros internationales de Videoarte y Fotografia, Gigòn, Espagne, octobre 2006, artiste invitée Instants Video Marseille, Programme Oasis, mars 2006, artiste invitée, Institut national d`Histoire de l`Art, Paris, février 2006, artiste invitée, Videotheka, Kunsthalle Vienne, mai 2005, Färthensuche, Spiegel/Lothringer 13, Munich, septembre 2004, Hier liegt die Grenze des pädagogischen Bemühens, Orstermine 2004, Munich, août 2004, Remix, Spiegel/Lothringer 13, avril 2004, Intervalles, galerie Martine et Thibault de la Châtre, Paris, avril 2003, Réciprocités, Goethe-Institut, Rome.
Dominic Angerame
Catalogue : 2025Aeon | Vidéo expérimentale | 16mm | noir et blanc | 12:0 | USA | 2024
Dominic Angerame
Aeon
Vidéo expérimentale | 16mm | noir et blanc | 12:0 | USA | 2024
"Thank you for sending your very great film, Aeon -- it's really a great work, truly transporting, and a vision I can wish and hope that many will see, and hopefully to feel this truth of both our small place within as well as our ultimate connectedness with the vastness of being and space -- 'our connection to the stars' as Stan would have said." -- Marilyn Brakhage "In Aeon, Dominic Angerame draws parallels between the earthly and the heavenly, linking the San Francisco cityscape and city dwellers to outer space. Filmed during the Covid-19 lockdown, Aeon celebrates Angerame#s reunion with friends and responds to the new ways of interacting with the world on different levels. Using a meta-narrative and self-referential approach to storytelling, Angerame brings the (holy) spirit to life, filling the spaces he captures with energy, which is otherwise unattainable and invisible the naked eye, but significantly transforms our lives. Aeon is one of Angerame's major and most mature works to date, which demonstrates the potential of experimental filmmaking in superimposing images that are seemingly disparate, yet uncannily familiar." -- Kornelia Boczkowska, author of Lost Highways, Embodied Travels: The Road Movie in American Experimental Film and Video, https://orcid.org/0000-0003-0875-9209
Dominic Angerame's works search for unfamiliar views of seemingly familiar things: cities, landscapes, faces, and bodies. The filmmaker's desire to make everyday images "strange" at the editing table, to learn to see them fresh and to estrange them from our senses, makes his films seem-in all the different social realities they contain-always distanced as well, as if they led to another world beyond the concrete, beyond time and defined space. In Angerame's films, which pay homage to films from early cinema and the classic avant garde to American underground films of the 1960s and 70s and non-narrative films of the present day, an amazingly comprehensive history of the "visionary" moving image is always present. It may be that precisely his refusal to adopt a signature style has diminished the immediate influence of Angerame's films; however, Angerame's decision to work "universally," not to be swayed by considerations of the art market, and to experiment with very different styles increases the pedagogical worth of his films. It's not surprising to learn that Angerame, born in 1949, teaches at several American schools in addition to having served as the executive director of the American avant garde distribution center Canyon Cinema from 1980 to 2012. His films testify to an encyclopedic knowledge of film-and also his desire to satisfy, with his own audio-visual offerings, the very different desires of his audience.
Catalogue : 2022Revelations | Film expérimental | 16mm | noir et blanc | 23:0 | USA | 2020
Dominic Angerame
Revelations
Film expérimental | 16mm | noir et blanc | 23:0 | USA | 2020
"He began to recognize that motion pix could be used as a medium to reveal the supernatural and underworld. He found the calling for which he had been born. He found that film could summon up the un-born imagination...he had a glimpse of how to emerge as the artist he always felt was within him" - Stan Brakhage Revelations is a continuation of what I call my "City Symphony" series. This works includes footage that was shot from the late 90s to the present. My filmmaking is inspired by filmmakers such as Dziga Vertov, Joris Ivens, Walter Ruttman and Robert Fulton.
Dominic Angerame's works search for unfamiliar views of seemingly familiar things: cities, landscapes, faces, and bodies. The filmmaker's desire to make everyday images "strange" at the editing table, to learn to see them fresh and to estrange them from our senses, makes his films seem-in all the different social realities they contain-always distanced as well, as if they led to another world beyond the concrete, beyond time and defined space. In Angerame's films, which pay homage to films from early cinema and the classic avant garde to American underground films of the 1960s and 70s and non-narrative films of the present day, an amazingly comprehensive history of the "visionary" moving image is always present. It may be that precisely his refusal to adopt a signature style has diminished the immediate influence of Angerame's films; however, Angerame's decision to work "universally," not to be swayed by considerations of the art market, and to experiment with very different styles increases the pedagogical worth of his films. It's not surprising to learn that Angerame, born in 1949, teaches at several American schools in addition to having served as the executive director of the American avant garde distribution center Canyon Cinema from 1980 to 2012. His films testify to an encyclopedic knowledge of film-and also his desire to satisfy, with his own audio-visual offerings, the very different desires of his audience.
Catalogue : 2006Anaconda target | Vidéo expérimentale | dv | noir et blanc | 8:0 | USA | 2005
Dominic Angerame
Anaconda target
Vidéo expérimentale | dv | noir et blanc | 8:0 | USA | 2005
Nous n?avons pas le temps d?être effrayé, tout arrive en quelques secondes. ??Le regard s?allume devant in pare-brise, tout est prêt pour que l?ordinateur fasse son travail : ??C?est l?ordinateur qui ajoute la dernière touche?? Paul Virilo Le 4 mars 2002, à peu près2000 troupes de la coalition dirigées par les Etats-Unis étaient engagées en combat rapproché avec des petites poches de supposés combattants Al Qaeda et Talibans dans le Nord de l?Afghanistan, dans une opération nommée Anaconda? La pellicule de cette ?uvre vient d?éléments de cette mission. ?? Autre qu?un carton et qu?une citation du théoricien des médias Paul Virilo annexés au début, la dernière vidéo de Angerame est un objet complètement trouvé : une pellicule militaire d?une opération offensive sur une mosquée en Afghanistan. Pour moi, il s?agit d?un cliché qui permet de mettre à l?affiche les quelques instants qui se passent, je ne peux pas dire que je pensais honnêtement regarder une vidéo surveillance militaire ou un jeu vidéo, mais la pertinence inéluctable du cliché semble être l'un des points principaux d?Angerame. Après CNN, Baudrillard et, en fait, Virilo, nous avons toujours le même problème ? des soldats de la X box de dix-huit et dix-neuf ans allant exécuter nos ordres. Certains spectateurs avec qui j?ai discuté avaient gardé en travers de la gorge la présentation crue d?Angerame de la pellicule, la ressentant comme s?il n?y avait pas assez d?art. Mais ce point de vue oublie le contexte, l?acte rebelle de tirer et horrible pellicule dans le domaine raffiné de l?esthétique de la projection des films expérimentaux. (En tant qu?Américains, les dollars de nos taxes sont utilisés par millions dans la production de tel films.hard). À la fin, rien d?autre dans le programme de visionnage ne m?a balancé si loin de mon état d?esprit contemplatif, assis et regardant le prochain film, en opposition, conduire tous les spectateurs dehors pour quelque manque de civisme, me semblait vaguement obscène. Et encore? Et encore? nous savons que ce n?est jamais aussi simple, n?est-ce pas ? Michale Sicinski Expositions Toronto International Film Festival, 2004 Onion City Film Festival, Chicago, 2004 New York Film Festival, Lincoln Center, 2004 Viennale, Vienne 2004 Pacific Film Archives, Berkeley, Californie 2004 Hong Kong International Film Festival, 2005 Director?s Choice, Black Maria Film Festival, 2005 Australian Center for Moving Image, Canberra, Australie, 2005 Rotterdam Film Festival, 2005 Nashville Film Festival, 2005 Tiburon Film Festival, 2005 San Francisco Cinematheque, 2005 Big Muddy Film Festival, 2005, First Place European Media Arts Festival, Osnabruck, Allemagne, 2005 Black and White Festival, Porto, Portugal Athens International Film Festival, Athens Ohio Fear No Film Festival, Salt Lake City, 2005 Empire Film Festival, 2005 Cracow Film Festival, 2005 DMZ_2005 Exhibition, Korea, 2005 Splitz Film Festival, Croatia, 2005 Torino International Film Festival, 2005 Sarajevo Film Festival, 2005 Montreal International Film Festival, 2005 Seoul Net&Film Festival, 2005 VII Festival Iberoamericano De Cine De Santa Cruz, Bolivie
??Voir la ville par les yeux de Dominic Agerame est comme regarder une bête organique de béton qui sasse et respire en riches tonalités de blancs et de noir.?? Sike Tudor, SF Weekly. Depuis 1969, Dominic Angerame a fait plus de 35 films qui ont été montrés et qui ont remporté des récompenses dans des festivals de films partout dans le monde. Il fut aussi honoré de deux Cine Probe Series au Museum of Modern Art de New York (MOMA) en 1993 et juin 1998. Sa dernière ?uvre, Targer (2004) est exposée au Toronto International Film Festival, au Onion City Film Festival, à Chicago, au New York film festival et à la Viennale de Vienne et sera projeté au Hong Kong International Film Festival, au Rotterdam Film Festival, au Nashville Film Festival et bien d?autres encore. Sa série de films Battle Stations - A Navel Adventure (2002), Pixiescope (2003), The Waifen Maiden (2003), et Consume (2003) son sur le chemin de la projection dans des festivals internationaux dont Toronto Film Festival, Madrid, Les Rencontres Internationales Paris/Berlin et bien d?autres informations à les propos sont disponible sur demande. Ils ont aussi été projetés à la Cinémathèque de San Francisco, au Yerba Buena Center en le 11 décembre 2004. Angerame enseigne la réalisation de film et cinématographique ainsi que la critique au San Francisco Art Institue en tant qu?artiste invité. Il enseigne aussi la production de film et le cinéma à l?Université de Californie Berkeley, Extension, au New College of California et fut maître de conférence invité et artiste invité à l?Université de Stanford, la School of the Art Institute of Chicago, la Graduate School of Theology de Berkeley parmi d?autres. Dominic Angerame fut aussi directeur exécutif au Canyon Cinema pour les vingt dernières années. Sous sa direction, le Canyon Cinema est devenu le distributeur le plus renommé dans le monde de l?avant-garde et du film expérimental. La contribution du Canyon Cinema dans le domaine de la réalisation d?avant garde et expérimentale est historique et héroïque. Quant aux projets de réalisation, Angerame fut récompensé par des prix de production de la part du Illinois Art Council, Sammuel B Mayer Foundtion, trois autres du National Endowment for the Art Western Regional Fellowship, The film Art Foundation. Au printemps 1999, M. Agerame a dirigé une série nommée Shake The Nation et a tracé le développement de la réalisation de film d?avant garde à San Francisco de 1939 à nos jours. M. Angerame fut nominé pour une bourse de la fondation John D. Rockfeller en 2000. Le film de Dominic ??In The Course of Human Events? ? (1997) s?inscrivit dans un groupe d?expositions tenues à la Fondation Cartier de Paris in novembre 2002 jusqu?en mars 2003 nommée ??Ce Qui Arrive? ? et dirigée par le susmentionné urbaniste Paul Virilo.
Paulius Anicas
Catalogue : 2023Charming Habits | Fiction expérimentale | 4k | couleur | 20:20 | Lituanie | 2022
Paulius Anicas
Charming Habits
Fiction expérimentale | 4k | couleur | 20:20 | Lituanie | 2022
Poet at work: daydreams, nightmares and writings.
Paulius Ani?as, born in Vilnius, Lithuania. Graduated contemporary sculpture BA in Vilnius Academy of Arts.
Alex Anikina
Catalogue : 2016Ostrannenie | Film expérimental | hdv | couleur | 8:13 | Russie, Royaume-Uni | 2015
Alex Anikina
Ostrannenie
Film expérimental | hdv | couleur | 8:13 | Russie, Royaume-Uni | 2015
Ostrannenie is a video-exploration of a territory and of the language belonging to it. It traces a history of imaginary lands from the times when the Earth rested on elephants’ backs to the current moment of Google Maps and glossy stock footage. The map of the world in the video becomes a field where the history of geographical discoveries is intertwined with the histories of the human imagination, with the camera’s eye and the gaps in language.
Alex Anikina is an artist-researcher who currently lives and works in London, working primarily with texts, language-based works, experimental films and objects. Her artistic and academic practices both revolve around the exploration of human relationship with technology and knowledge through experimental film. Her works are held in the collection of National Centre for Contemporary Arts, Moscow. Participated in VI Moscow Biennale of Contemporary Art and IV Moscow International Biennale for Young Art. Presented a paper and a video installation at DRHA 2014 at Greenwich University. Received Best Experimental Short award at the London Independent Film Festival (2014). Screenings include Open Eyes Filmfest Marburg, VideoJam at Salford, MAGIKALCHARM Experimental Video Festival (2014 and 2015) at Anthology Film Archives, New York, Athens International Film and Video Festival, FLEXfest, 10th Cologne International Videoart Festival, AOF International Film Festival, Berlin DLX festival.