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Eleonore De Montesquiou
Katrin
Doc. expérimental | dv | couleur | 5:0 | France | 2006
En s?appuyant sur une pratique documentaire constituée principalement d?interviews et de films, Eléonore de Montesquiou recueille histoires et descriptions personnelles qu?elle fait ensuite exister sur le mode fictionnel tout en restant au plus près de la sphère intime ou de la vie sociale dans ses aspects les plus habituels. Le " Je " n?est pas celui de l?artiste, ni même celui des personnes qui se livrent à son écoute, mais le " je " métissé, mixé, dont le timbre abstrait et collectif résonne pourtant d?une manière étrangement proche de notre propre voix. Textes, photographies, installations, vidéo, films font preuve du même regard sans complaisance sur les êtres et d?une analyse précise et sensible de l?espace relationnel.
Eléonore de Montesquiou est née en 1970. Elle vit et travaille à Berlin. Les vidéos d'Eléonore de Montesquiou explorent les identités et les frontières, avec un vocabulaire formel minimal et une esthétique onirique. L'artiste, ayant vécu longtemps en Autriche, Estonie, Allemagne, se situe constamment entre deux langues, deux cultures, deux générations, deux histoires. Elle interviewe les habitants de zones frontalières, d?entre-deux urbains, de villes oubliées, et assemble leurs témoignages de manière sensible. Ses vidéos, d'une poésie subtile, font preuve d?un véritable amour pour les personnes interviewées et d?une singulière attention pour les étranges histoires du quotidien.
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Eleonore De Montesquiou
KALAMEES
Doc. expérimental | dv | couleur | 23:10 | France, Estonie | 2009
Sasha est pêcheur. L?hiver, il pêche sur la glace, sur les rivières ou les lacs gelés à la frontière entre l?Estonie et la Russie. C?est une passion commune aux pêcheurs qui la pratiquent en groupe ou seuls pour s?isoler de leur famille, des villes, s?éloigner du quotidien. Sasha est depuis toujours sur la frontière, né à Narva (Estonie), il a grandi de l?autre côté du pont, à Ivangorod (Russie). Aujourd?hui, Sasha a 28 ans, il travaillait à l?usine de Kreenholm, à Narva. L?usine en failite, il a reçu une formation de conducteur de bus. Tous les jours il passe la frontière à pied. Le week-end, il sort en boîte à Saint Pétersbourg l?été et va pêcher l?hiver. Sasha a un passeport estonien et un passeport interne russe. Il parle russe, mais pas un mot d?estonien. Il dit ne vouloir vivre ni en Estonie, ni en Russie, mais dans cet entre-deux qu?est Narva-Ivangorod. Mon film est un moment en suspension dans cet entre deux qu?est le lac gelé entre la Russie et l?Estonie. J?ai accompagné Sasha l?hiver dernier sur la glace, et l?ai filmé. J?ai recueilli ses propos, quelques mots, son activité de pêcheur, ses sentiments quant à sa situation très singulière: que cela signifie-t-il de vivre sur une frontière à la limite de l?Europe? Comment s?organise-t-il pour la pêche dans ces conditions de froid extrême? Peu de paroles, le son du film est composé par Tanja Kozlova, la compositrice avec laquelle j?ai réalisé mon dernier film ?Sillamäe?.
Eléonore de Montesquiou est née en 1970 à Paris, elle vit à Berlin et Tallinn. Son travail est basé sur une approche documentaire de la réalité, films (vidéos) dessins et textes. Son travail se traduit en collaborations dont les plus importantes à ce jour furent avec des compositeurs (Helge Hinteregger, Helena Tulve, Tanja Kozlova, Liis Jürgens, Lembe Lokk, Triplex) qu?avec des designers graphiques (Aadam Kaarma, Heidi Sutterlütty et Jose Soares de Albergheria). En 2009, Eléonore de Montesquiou termine la première partie un projet à long terme à la frontière Russie-Estonie: NA GRANE. En 2005-2006, elle réalise ATOM CITIES en Estonie, un ensemble de films et publications sur l?ex-ville soviétique close pour recherche nucléaire de Sillamäe, une ville habitée exclusivement par des russes, la plus forte minorité en Estonie. Lauréate de la villa Médicis Hors les Murs 2006, elle travaille en Pologne avec des femmes qui prennent régulièrement le train ? Berlin-Warsaw Express? pour aller travailler à Berlin. En 2008, elle est résidente à Moscou (Senat Stipendium für Kulturaustausch). http://nagrane.blogspot.com/ http://eleonoredemontesquiou.blogspot.com/
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Eleonore De Montesquiou
Los Chicos
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 5:30 | France | 2006
A short film about children, their games, their violence, their tenderness, in a never ending spirale, switching from an extreme to another.
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Eléonore De Montesquiou
Swordfish
Doc. expérimental | 0 | couleur | 6:0 | Estonie, Russie | 2022
Février 2015, l’opposant au Kremlin, Boris Nemtsov est assassiné. Images de contestation et textes de Pablo Neruda sont un cri contre la haine. Aujourd'hui, ces fragments prennent une résonance encore plus douloureuse. Contre la guerre, continuons à crier !
Eléonore de Montesquiou est née à Paris, elle vit à Berlin et Tallinn. Son travail gravite autour de l'articulation entre histoires privées et officielles, identités personnelles et nationales. Il aborde les complexités et les ambiguïtés de la vie en marge, en se basant sur son expérience personnelle de l'enracinement. Eléonore travaille principalement la vidéo, elle enregistre des témoignages, crée des mémoires prothétiques d'histoires refoulées. Dans ses œuvres documentaires, sa caméra transmet la parole de ces personnes sans voix. Son travail est basé sur une approche documentaire, traduite en films, dessins et textes. En Estonie, elle donne la parole à la communauté russe ou aux demandeurs d'asile des pays francophones. Les films suivent ses protagonistes sur la durée. „Traverses“, avec les bergers de la Grave, dans les Hautes Alpes, depuis 2011, ou „Nagrane“ avec des femmes vivant à la frontière Estonie-Russie, depuis 2005.
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Eleonore De Montesquiou
Paljassaare
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 6:30 | France, Allemagne | 2007
Tallinn, Estonie 2005-2008 À l?époque soviétique, la péninsule de Paljassaare était utilisée comme base militaire, à l?accès interdit. De 1991 à 2006, cette zone était fréquentée par les Russes de Tallinn exclusivement. Depuis l?été 2006, la plage et les alentours sont en cours d?aménagement. À cinq minutes du centre historique de Tallinn, la péninsule est en effet un lieu de tout premier choix pour les investisseurs immobiliers. La plage a été nettoyée, un parking délimité, les stands de frites et de glaces voisinent avec les patrouilles de surveillance. En 2005 et 2006, j?ai filmé la plage de Paljassaare. Ces images font l?objet du film ?Paljassaare? dont le son fut composé par Lembe Lokk. En 2007, j?ai commencé à photographier les signes de changement. Le projet inclut donc un film et une dizaine de photographies en couleurs. Il sera accompagné d?une affiche associant les images de la plage et un texte de Triin Ojari. Triin Ojari - éditrice de la revue d?architecture ?Maja? - fait le point sur les projets immobiliers en cours à Paljassaare. L?affiche est une collaboration avec le graphiste Aadam Kaarma.
Eléonore de Montesquiou est née en 1970. Elle vit et travaille à Berlin. Les vidéos d'Eléonore de Montesquiou explorent les identités et les frontières, avec un vocabulaire formel minimal et une esthétique onirique. L'artiste, ayant vécu longtemps en Autriche, en Estonie en en Allemagne, se situe constamment entre deux langues, deux cultures, deux générations, deux histoires. Elle interviewe les habitants de zones frontalières, d?entre-deux urbains, de villes oubliées, et assemble leurs témoignages de manière sensible. Ses vidéos, d'une poésie subtile, font preuve d?un véritable amour pour les personnes interviewées et d?une singulière attention pour les étranges histoires du quotidien.
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Eléonore De Montesquiou
Parole à la femme
Doc. expérimental | dv | noir et blanc | 8:35 | Estonie, Togo | 2010
?Parole à la femme? is a radio broadcast in Togo devoted to women. It lasts less than ten minutes. At first, a cereal retailer in a market is invited to speak. She tells about her economic calculations and about the market relationship in African villages. The next participant after her is a female diet adviser. I chose to transmit this broadcast because of the eloquence of the various participants, but overall because it was one of the rare attempts I witnessed of giving women in Africa the chance to speak, of paying attention to those who spend their entire days carrying heavy weights, cooking and taking care of their many babies or young children.
Eléonore de Montesquiou (1970, Paris, France, Franco-Estonian artist) her work revolves around the articulation between private and official histories, personal and national identities. It tackles the intricacies and ambiguities of living in the margins, based on her personal experience of uprootedness. Eléonore primarily working with video, she tapes testimonies, creating prosthetic memories of repressed histories. In her documentary-informed works, her camera becomes the voice of these voiceless people. Her work is based on a documentary approach, translated in films, drawings and texts, it deals mainly with issues of integration/immigration/meaning of a nation in Estonia, giving voice to the Russian community.
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Eléonore De Montesquiou
Commando Sacko
Doc. expérimental | hdv | noir et blanc | 17:35 | Estonie | 0
Sacko, or "Commando" as the Estonian police called him, was detained in the Estonian prison of Harku, three years all in all. He had applied for asylum in Estonia, was released and put on the street in September 20. He took refuge "elsewhere" and talks. He tells about the treatment of the Harku detainees, the solitary confinement isolation cells, the injections, the oblivion of these people who cannot communicate.
Eléonore de Montesquiou’s work revolves around the articulation between private and official histories, personal and national identities. It tackles the intricacies and ambiguities of living in the margins, based on her personal experience of up rootedness. Eléonore is primarily working with video, she tapes testimonies, creating prosthetic memories of repressed histories. In her documentary-informed works, her camera becomes the voice of these voiceless people. Her work is based on a documentary approach, translated in films, drawings and texts; it deals mainly with issues of integration/immigration/meaning of a nation in Estonia, giving voice to the Russian community. A few years ago, she started working with asylum seekers from French speaking countries in Estonia.
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Eléonore De Montesquiou
Radiotehnika
Doc. expérimental | hdv | noir et blanc | 18:51 | Estonie, Lettonie | 2011
RADIOTEHNIKA 20 min. b&w Riga, 2011 Russian with English subtitles Credits: Camera and editing: Eléonore de Montesquiou Sound by PHONIC PSYCHOMIMESIS With GALINA TRAUMANE, AUSMA SMILTNIECE and MIKHAIL BOGDANOV original language: Russian with English subtitles "Radiotehnika" is a film about the last units in a radio factory in Riga. It is also a film about a woman engineer who was working there years ago. She tells about that time, the Soviet Time and its social organisation with the factory. I was intrigued by her career and how, as a woman, she chose to study engineering.
Eléonore de Montesquiou (1970, Paris, France) is a Franco-Estonian artist. Her work revolves around the articulation between private and official histories, personal and national identities. It tackles the intricacies and ambiguities of living in the margins, based on her personal experience of uprootedness. Eléonore primarily working with video, she tapes testimonies, creating prosthetic memories of repressed histories. In her documentary-informed works, her camera becomes the voice of these voiceless people. Her work is based on a documentary approach, translated in films, drawings and texts, it deals mainly with issues of integration/immigration/meaning of a nation in Estonia, giving voice to the Russian community.
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Eléonore De Montesquiou
Relatively Small Circles
Doc. expérimental | hdv | couleur et n&b | 9:35 | Estonie, Russie | 2015
The film is a portrait or rather a monologue of Kyril Zinovieff. He was almost 100 years old when we discussed his feelings and opinions about Russia. Kyril left us last year, when he 105 years old, and it is about time that I share these momentsand thoughts of his. Kyril Zinovieff was born in 1910 in Saint Petersburg. He was a child during the Russian Revolution, when his family fled to Estonia and then moved to England. A British intelligence officer, Kyril Zinovieff wrote historical essays about Russia and translated Russian novels.
Eléonore de Montesquiou (1970, Paris, France) is a French-Estonian artist. Her work revolves around the articulation between private and official histories, personal and national identities. It tackles the intricacies and ambiguities of living in the margins, based on her personal experience of uprootedness. Eléonore primarily working with video, she tapes testimonies, creating prosthetic memories of repressed histories. In her documentary-informed works, her camera becomes the voice of these voiceless people. Her work is based on a documentary approach, translated in films, drawings and texts; it deals mainly with issues of integration/immigration/meaning of a nation in Estonia, giving voice to the Russian community.
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Eleonore De Montesquiou
Sillamäe
Doc. expérimental | dv | couleur | 18:0 | France, Estonie | 2006
À l?époque soviétique, de 1944 à 1991, Sillamäe fut une ville close construite à des fins de recherche nucléaire: installer scientifiques et ouvriers travaillant à l?extraction d?uranium. Sillamäe était une ville fermée, même aux Estoniens, elle avait un nom de code et ne figurait pas sur les cartes géographiques volontairement faussées. Depuis l?indépendance de l?Estonie, cette ex-ville atomique est confrontée à de nouvelles orientations, elle s?est ouverte à l?économie capitaliste, l?usine fut fermée, la raison d?être-même de la ville disparut. La population russophone, plus de 95% des habitants de Sillamäe avant citoyens de la vaste Union Soviétique, constitue aujourd'hui une minorité plus ou moins bien intégrée dans la vie du pays.
Eléonore de Montesquiou, artiste française née en 1970 (vit et travaille à Berlin). Les vidéos d`Eléonore de Montesquiou explorent les identités et les frontières, avec un vocabulaire formel minimal et une esthétique onirique. L`artiste, ayant vécu longtemps en Autriche, Estonie, Allemagne, se situe constamment entre deux langues, deux cultures, deux générations, deux histoires. Elle interviewe les habitants de zones frontalières, d?entre-deux urbains, de villes oubliées, et assemble leurs témoignages de manière sensible. Ses vidéos, d`une poésie subtile, font preuve d?un véritable amour pour les personnes interviewées et d?une singulière attention pour les étranges histoires du quotidien.
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Eléonore De Montesquiou
Eksperiment Katja
Doc. expérimental | mov | noir et blanc | 9:26 | Estonie | 2020
Katja est née en 1992, sa génération était une expérience pour la nouvelle République d'Estonie. Elle a l'impression de flotter, ni attachée à l'Estonie, ni à la Russie, elle a trouvé sa propre voie de liberté. Du Petit Chaperon Rouge au mot-clé d'expérience, le film suggère le traumatisme de cette génération.
Eléonore de Montesquiou est née en 1970 à Paris, elle vit à Berlin et Tallinn. Son travail est basé sur une approche documentaire de la réalité, films (vidéos) dessins et textes. Ses collaborateurs sont à ce jour les compositeurs Lucy Railton, Peter Zinovieff, Phonic Psychomimesis, Helena Tulve, Tanja Kozlova, Lembe Lokk et Marcel Türkowsky; et les graphistes Aadam Kaarma, Heidi Sutterlütty, Ethan Burkhard et Jose Soares de Albergheria. Depuis 2007, Eléonore de Montesquiou mène un projet à long terme à la frontière Russie-Estonie „NA GRANE“ composé de films et publications. Avec Olga Olga Helena (2005, St-Pétersbourg), Eléonore de Montesquiou questionnait le départ de réfugiés politiques et leur vie en exil, démarche qu’elle poursuit à présent avec les migrants qui arrivent en Estonie: Feu (2017), Commando Sacko (2017). Eksepriment Katja est son dernier film, le premier d'une série avec Katja, jeune russe-estonienne vivant à la frontière.
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Eva De Prosperis, Eduardo Castaldo
Je m'appelle Ariton
Vidéo | | couleur | 7:1 | Italie | 2012
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David De Rozas
Give
Documentaire | hdv | couleur | 16:20 | USA | 2017
Challenging traditional documentary practices with experimental approaches to editing and sound, GIVE explores Roland Gordon’s motivations to create a monumental visual archive displaying centuries of black agency and achievements, in the United States and beyond. Roland’s collage, "The Cloud of Witnesses", is comprised of thousands of photographic portraits,newspapers, and magazines cutouts, presenting an alternative visual history to empower the black community. The film explores collective representations of history, memory, and culture; where pasts, presents, and futures are modeled by the blending of imagination, facts, and love.
Born in Southern Europe, David de Rozas is a filmmaker and artist based in California, US. His interests relate to the politics of history, memory, and identity through a range of mediums and formats. His practice combines audiovisual research, film production, and curatorial projects. These include art center displays and program strategies, lectures, film programs, documentaries, written and film essays, and other forms and sites of knowledge production. David earned an MFA in Cinema at the San Francisco State University, and BA in Fine Arts from the Complutense University in Madrid. His projects have been recently screened and displayed at the Winnipeg Underground Film Festival, SOMARTS, UCLA, CSU Media Arts Festival, FLEXfest, Artist’s Television Access, Southern Exposure, and the Prelinguer Library among others. He is currently lecturer at SFSU School of Cinema.
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Massimiliano De Serio, Gianluca De Serio
Tanatologia, 14 maggio 1958
Fiction expérimentale | dv | couleur | 11:0 | Italie | 2007
Nous avons demandé à une dame, Maria, qui travaille à la campagne comme paysanne, de raconter la morte de notre grandmère, mais en première personne (comme si elle racontait sa propre mort). Notre grandmère, ouvrière à la campagne du sud italie, est morte à 33 ans, après un avortement spontané et pendant le travail. Elle était communiste, mais aussi chretienne. Il était le 14 mai 1958.
Massimiliano et Gianluca De Serio. Nés le 15/12/1978, à Turin. Ils travaillent ensemble depuis 1999.
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Gianluca & Massimiliano De Serio
Zakaria
Fiction | 35mm | couleur | 15:0 | Italie | 2006
The Arab-Italian boy Zakaria meets a namesake during prayer preparations. The third part in a series about alternative cultures in Italy focuses on the language and culture lessons of the Arabic boy Zakaria.
Gianluca and Massimiliano De Serio, born in Turin, 1978, are twins. Since 1999 they have made several shorts, including Maria Jesus (2003), Mio fratello Yang (2004), and Zakaria (2005), which have appeared in a number of international festivals and won several prizes: Candidates at the European Academy Awards 2006, three Silver Nasters for Best Italian Short Film, Best European Short Film at Biennial of Stuttgart, and Candidates of the David of Donatello, awarded in Oberhausen, Huesca, Edinburgh, Turin, Siena, Belo Horizonte. At the same time they have had intense activity in art exhibitions: T1, Turin Triennial, Fondazione Merz; Fondazione Olivetti, Roma; Galleria Civica di Trento; Maison Rouge, Parigi, etc.
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Susana De Sousa Dias
48
Documentaire | dv | noir et blanc | 92:50 | Portugal | 2009
Qu`est-ce que la photographies d`un visage peut révéler d`un sytème politique? Qu`est-ce qu`une image, prise il ya plus de 35 ans, peut nous dire sur notre actualité? En s`appuyant sur un ensemble de photographies du casier judiciaire de prisonniers politiques sous la dictature portugaise (1926-1974), le film tente de montrer les mécanismes au travers desquels un système autoritaire tenta de s`auto-perpétuer.
Réalisatrice, enseignante à la Faculté de Beaux-Arts (Université de Lisbonne) et membre du CIEAM, Centre de Recherche en Art et Multimédia de l?Université de Lisbonne. Doctorante en Esthétique, Sciences et Technologies de l?Art (Université Paris VIII) et en Beaux-Arts (Université de Lisbonne), elle est Mestre en Esthétique et Philosophie de l?Art, titulaire d?une maîtrise en Arts Plastiques/Peinture (Université de Lisbonne) et d?une licence en Cinéma (École Supérieure de Théâtre et le Cinéma). Elle a fait des études musicales à l?École de Musique du Conservatoire National (Lisbonne). Susana de Sousa Dias est souvent invité à collaborer en plusieurs actions sur art et cinéma dans des institutions d?enseignement supérieur et dans des festivals nationaux et internationaux de cinéma. Actuellement elle développe un travail de recherche dans le domaine des relations entre cinéma, photographie et art contemporain, et entre image en mouvement et image fixe, avec spéciale incidence sur l?image d?archive. Son precedent film, Nature Morte-Visages d?une Dictature a été présenté dans des festivals dans les cinq continents (Prix Atalanta Filmes, DocLisboa 2005 et "Merit Prize", Taiwan International Documentary Festival 2006). 48 est son dernier film (Grand Prix, Cinéma du Réel 2010 ; FIPRESCI Prix, DokLeipzig 2010 ; OPUS BONUM Best World Documentary Award, Jihlava Film Festival 2010). Lumière Obscure et Stillleben (installation sur trois écrans) sont les ?uvres actuellement en cours.
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Susana De Sousa Dias
Luz Obcura (Obscure Light)
Documentaire | hdv | couleur et n&b | 76:0 | Portugal | 2017
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Susana de Sousa Dias was born in Lisbon, Portugal. She holds a PhD in Fine Arts/ Video, an MPhil in Aesthetics and Art Philosophy, a BA in Fine Arts-Painting, and a BA in Cinema. She studied music at the National Conservatory.
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Susana De Sousa Dias
Natureza Morta - Visages d'une dictature
Doc. expérimental | betaSP | couleur et n&b | 72:0 | Portugal | 2005
Chaque image en cache toujours une autre. Utilisant seulement des images d'archives sans mots, "Still Life" (« Nature morte ») tend à redécouvrir et fouiller dans l'opacité des images produites durant les 48 ans de la dictature Portugaise de 1926à 1974. Les informations, images de guerre, documentaires de propagande, photos de prisonniers politiques mais aussi des rushes encore jamais montrés auparavant sont mobilisés afin de nourrir de nouvelles interprétations.
Née à Lisbonne en 1962. A fini une thèse en Esthétique & Philosophie de l'Art ( à l'Université de Lisbonne). Diplôme Universitaire en Peinture (Faculté des Beaux-Arts de Lisbonne) et en Cinéma ( à l'École Nationale du Théâtre et du Cinéma). Étudia la Musique au Conservatoire National de Musique. Conférencière à l'Université des Beaux-Arts de Lisbonne. A fondé en 2001 la compagnie de Production KINTOP.
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Abri De Swardt
Ridder Thirst
Fiction expérimentale | hdv | couleur et n&b | 13:38 | Afrique du sud | 2018
“Ridder Thirst” explores the restorative agency and limits of queer youth, facing white supremacist denialism with an inventory of its continued effects. De Swardt fantasises the First River, a primary marker of settler colonial inhabitation in South Africa, into disappearance, perceiving that “if the ocean is the space of coloniality, the river is that of settlement”. The work takes the span of the river as witness of extreme socio-political discrepancies: snaking from the mouth of the river at Macassar Beach - a former separate amenity for brown people - to Stellenbosch, the affluent university town central to the formulation of apartheid. Photographs of Afrikaner student couples captured at the river in the sixties and seventies by Alice Mertens, a Namibian-German ethnographic photographer who was the first tertiary tutor of the lens in South Africa, are reworked and called into question through a series of anti-monumental gestures, motion-tracked data on spatial and gender traumas, and dense voice-over narration that `unwrites` place. Here the vagaries of the archival gaze is met with the insatiability of eroticism as De Swardt occupies and inverts the “straight” canons of documentary photography and essay film, asking how we can unlearn historic images that seek to define us.
Abri de Swardt (b. 1988) is an artist and writer based in Johannesburg. He holds a MFA in Fine Art with distinction from Goldsmiths, University of London (2014), and was named one of the inaugural Young African Artists by Wanted Magazine. Recent exhibitions and screenings include “phula! phula!”, Africa Open Institute, Stellenbosch (2019); “The Difficulty of Saying I”, Rupert, Vilnius; “Coded Encounters”, Galeria Graça Brand?o, Lisbon; “writing for the eye, writing for the ear”, The Centre for the Less Good Idea, Johannesburg (all 2018); “These Rotten Words”, Chapter, Cardiff (2017); “Blend the Acclaim of Your Chant with the Timbrels”, Jerwood Space, London (2016); and “Men Gather, in Speech”, Cooper Gallery, Dundee (2015). De Swardt has held solo exhibitions at POOL, Johannesburg (2018); White Cubicle, London (2015); MOTInternational Projects, London (2013); and blank projects, Cape Town (2011). He has taught at Wits School of the Arts, and been published in Art Africa, How to Sleep Faster and Adjective. In 2019 he will contribute to “Radicalise Bauhaus - Perspectives from the Global South”, forthcoming from iwalewabooks, Bayreuth, and is a 2019/2020 artist-in-residence at Hordaland Kunstsenter, Bergen.
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Bea De Visser
Chairs Missing
Film expérimental | | couleur | 19:45 | Pays-Bas | 2010
The last days of a swimming pool, just before the demolition. Regular visitors are isolated by mysterious encounters, nowhere to be seen in the film. We see the decline of a social meeting place unfold in sequential patterns. Without dramatic event, no music, no dialogue, this film is in relation with the `minimal` art cinema. ... A man walks through the hallways past lockers and cubicles. A boy plays in one of the lockers. A girl walks into a dressing room, opens the door, but does not enter. A boy walks past the grandstand where a young woman stares into the water. A woman swims her baby to the edge of the pool. The building is filled with sounds: water, machinery, leaking outside noise like the sound of emptiness. And old man steps off the high dive ... We come to know anything about the people we `follow` or meet. Everyone seems calm and happened to come by. It derives the film its quality as stylized documentary observation or film essay. Yet there is turmoil and tangible threat.
Bea de Visser works as a autonomous visual artist and filmmaker. She started her career in the early 1980-s; she works as a sound and performance artist in the trendy club scene and artists spaces. Today, her work is shown at international exhibitions, her movies shown at international film festivals worldwide. Bea de Visser manages to present the independent production studio Anotherfilm. In the recent past Anotherfilm has become an initiative that participates in hard to realize projects of a small group of artists and filmmakers. Since 2010 Bea de Visser works as guest advisor at Rijksakademie van Beeldende Kunst in Amsterdam. She is art consultant of the Collection Lievensberg in Bergen op Zoom. Occasionally she gives workshops and lectures at home and abroad in various disciplines such as film, scenario, drama, visual arts and theater design. Her films include: Mama Superfreak (2009), Roses and Fall (2006), Just a Minute Yoko (2004), The Second Memory (2004), The Barren Land (2001), Another Another (1999), A Breath Hush (1996). Besides she made music videos, films for theatre design and wrote scenarios for feature film projects.
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Bea De Visser
MAMA SUPERFREAK
Fiction expérimentale | | couleur | 14:0 | Pays-Bas | 2009
In one long shot this adaptation of La Mamma Fricchettona, a monologue by Nobel Prize winner Dario Fo, shows Viviane De Muynck in a humorous elucidation of a woman? s odyssey from doting motherhood to a state of independence whilst addressing an invisible and anonymous man. In an ambiance of a warehouse filled with white sacks the protagonist vociferously relates her non-existent relationship to husband and child and her escape to the alternative underground of squatters and punks, who are more of a family to her than her own brood.
She starts her career as a performance artist; beginning the 1980ies she performs on the podia of the trendy club circuit and the alternative art spaces with sound work, live installations and `noise` performances. Afterwards she returns to painting and works for two years at the Rijksakademie van Beeldende Kunst in Amsterdam (1993-1995). As from that time film is her medium. The work that she develops since then is shown worldwide in museums and art spaces, the theatre, the public space and especially the cinema. Her short films are: SSST?, Roses and Fall, Just a Minute Yoko, The Second Memory, The Barren Land, Another Another and A Breath Hush. `Cold` is her first feature film (in production 2009).