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Irini Karayannopoulou
Catalogue : 2007My room | Animation | dv | couleur | 2:27 | Grèce | 2006

Irini Karayannopoulou
My room
Animation | dv | couleur | 2:27 | Grèce | 2006
Je chante et je crie et je fais ce que je veux dans le paradis de ma chambre. C'est ma chambre. Ces trésors fascinants vont te séduire. C'est ma chambre. Et je veux te faire rentrer.
Irini Karayannopoulou lives and works in Athens, Greece.
Irini Karayannopoulou
Catalogue : 2011immaterial: 1 film 22 soundtracks | Animation | dv | couleur et n&b | 2:0 | Grèce | 2010
Irini Karayannopoulou
immaterial: 1 film 22 soundtracks
Animation | dv | couleur et n&b | 2:0 | Grèce | 2010
In Immaterial, sharp angled stars, magicians? hats and supernatural landscapes transform perpetually into fantastic abstractions. Based entirely on works on paper, IK s manic animation reveals disparate elements thrown together as if they were meant to be. Like a vision emerging from the mist, this dazed mix of enigmatic scenes engages the spectator in a particularly addictive way. The film s aggressively seductive, constantly changing forms can be compared to a succession of suspended dreams. Yannis Saxonis? music (1 film, 22 soundtracks) envelopes into a familiar yet surprisingly improbable environment with its own unique, undefined logic. As well as, it determines and transforms in a mysterious, almost alchemical way, the impact of images, enriching it at the same time with a metaphysical notion; -as if it was all exercised in a cosmic dimension, in 22 different ways.
Irini Karayannopoulou (born 1973 in Thessaloniki) lives and works in Athens, Greece. Her work consists of video animation, painting, drawings and music (that is, of course, when Yannis Saxonis -who composes the music for most of her video works- allows her to. IK is represented by Ileana Tounta Contemporary Art Center and Lola Nikolaou gallery.
Catalogue : 2008Boys | Animation | dv | couleur | 3:45 | Grèce | 2007

Irini Karayannopoulou
Boys
Animation | dv | couleur | 3:45 | Grèce | 2007
For her video BOYS, Irini Karayannopoulou sticks to her Old -Skool- DIY- Drawings- Only- Animation- Method in an attempt to illustrate her own cover version of Sabrina s 80 s hit "Boys". In the video, the heroine,- a little girl with a murderous desire for love- drinks cocktails in a swimming pool, takes her bikini off, rides a crocodile, wets her 18 th century bed, flirts with super hero Joseph Beuys and after all "she`s looking for a good time..."A copy of BOYS was stolen during Athens Artfair, most probably by a group of ultra conservative let`s say art lovers who were extremely shocked by its content.....
Irini Karayannopoulou is a visual artist;she studied Fine Arts in Saint Etienne, France. Her work has been shown in solo shows and major art fairs in Greece, Italy, France, Germany, Sweden, Switzerland, Egypt, USA... She lives and works in Athens and Skopelos island.
Ernst Karel, KUSUMARYATI Veronikia
Catalogue : 2021Expedition Content | Doc. expérimental | dcp | couleur et n&b | 78:0 | USA | 2020
Ernst Karel, KUSUMARYATI Veronikia
Expedition Content
Doc. expérimental | dcp | couleur et n&b | 78:0 | USA | 2020
En 1961, le cinéaste Robert Gardner a organisé l’expédition Harvard Peabody en Nouvelle-Guinée néerlandaise (aujourd’hui Papouasie occidentale). Financée par le gouvernement colonial néerlandais et des donateurs privés, et composée de plusieurs membres des plus riches familles des États-Unis armés de caméras 16 mm, d’appareils photographiques, de magnétophones à bobines et d’un microphone, l’expédition s’est installée pendant cinq mois dans la vallée de Baliem, parmi les Hubula (également connus sous le nom de Dani). Cette expédition a donné lieu au célèbre film de Robert Gardner, "Dead Birds", à deux livres de photographie; au livre "Under the Mountain Wall", de Peter Matthiessen; et à deux monographies ethnographiques. Michael Rockefeller, membre de la quatrième génération de la famille Rockefeller (propriétaires de la compagnie Standard Oil), était chargé de la photographie et des enregistrements sonores dans et autour de l’univers des Hubulas. "Expedition Content" est une œuvre sonore augmentée, composée à partir de trente-sept heures d’enregistrements sur bande magnétique, documentant l’étrange rencontre entre l’expédition et le peuple hubula. Cette œuvre propose une réflexion sur les complexes interactions historiques entre le développement de l’anthropologie multimodale, la vie des Hubulas, celle de Michael Rockefeller, et le processus colonial toujours en cours en Papouasie occidentale.
Ernst Karel est né en 1970 à Palo Alto (USA). Il produit des œuvres sonores de plusieurs types: musique électroacoustique, œuvres documentaires expérimentales pour installations et performances à plusieurs bandes sonores, postproduction sonore pour films documentaires, et plus particulièrement pour le cinéma d’observation. Ces œuvres sont le plus souvent le résultat de pratiques d’enregistrement de terrain, et de composition à partir de tels enregistrements non manipulés. Dans le cadre du Laboratoire d’Ethnographie Sensorielle de l’Université Harvard, Cambridge (USA), Ernst Karel a travaillé avec de nombreux réalisateurs, enseignant également les techniques d’enregistrement de terrain dans le cadre de séminaires universitaires. Pendant le semestre d’automne de l’année 2019, il était professeur invité au Centre d’Ethnographie Expérimentale de l’Université de Pennsylvanie, Philadelphie (USA). Veronika Kusumaryati est née en 1980 à Bantul (Indonésie). Elle est spécialiste d’anthropologie politique et d’anthropologie des médias, et travaille en Papouasie occidentale. Ses travaux universitaires sont consacrés aux théories et à l’historiographie du colonialisme, de la décolonisation, et du post-colonialisme. Elle est également commissaire d’exposition indépendante et réalisatrice de films documentaires. Ceux-ci ont été projetés dans le cadre du Jakarta International Film Festival(Indonésie); des Internationale Kurzfilmtage Oberhausen (Allemagne), et du Festival du Film de Tampere (Finlande). Elle a étudié le cinéma et la théorie des médias à l’Institut des Arts de Jakarta (Indonésie), et a obtenu un doctorat en anthropologie à l’Université Harvard, Cambridge (USA). Elle a été membre du Laboratoire d’Ethnographie Sensorielle de Harvard, Cambridge (USA), et elle est actuellement stagiaire postdoctorale à la Georgetown University Edmund A. Walsh School of Foreign Service, Washington (USA).
Ernst Karel, Pawel Wojtasik, Toby Lee
Catalogue : 2015Single Stream | Documentaire | hdv | couleur | 23:18 | USA | 2014
Ernst Karel, Pawel Wojtasik, Toby Lee
Single Stream
Documentaire | hdv | couleur | 23:18 | USA | 2014
SINGLE STREAM takes a close look at the problem of waste, through a visual and sonic exploration of a recycling facility. The title refers to the “single stream” method of recycling in which all types of recyclables are initially gathered together, and sorted later at a specialized facility. With SINGLE STREAM, viewers enter one of the largest of these materials recovery facilities in the US. Inside a cavernous building, a vast machine complex runs like clock-work, sorting a steady stream of glass, metal, paper and plastic carried on conveyor belts criss-crossing the space, dotted with workers in neon vests. The interwoven movements of human and machine produce sounds and images that are overwhelming, but also beautiful, and even revelatory. Blurring the line between observation and abstraction, SINGLE STREAM is a meditation on our society's culture of excess and its consequences.
Paweł Wojtasik (b. 1952, Łódź, Poland) creates poetic reflections on cultures and ecosystems in the form of short films and large-scale installations. His investigations into the overlooked corners of the environment have led him to pig farms, sewage treatment plants, wrecking yards and autopsy rooms. His work has shown in venues such as PS1/MoMA, Reina Sofia Museum, Berlinale and New York Film Festival. www.pawelwojtasik.com/ Toby Lee (b. 1980, Los Angeles) is an artist and scholar based in New York, working across video, installation, drawing and text. She holds a PhD in Anthropology and Film & Visual Studies from Harvard University, and she is Assistant Professor of Cinema Studies at NYU’s Tisch School of the Arts. Ernst Karel (b. 1970, Palo Alto) works between experimental nonfiction sound and electroacoustic music. He composes and performs with location recordings and/or analog electronics, often for multichannel environments. As a Lecturer on Anthropology at Harvard University, he teaches a production course in sonic ethnography. http://ek.klingt.org/
Sahraa Karimi
Catalogue : 2008Simona medzi 20. a 21. Marca | Fiction | dv | couleur et n&b | 11:0 | Afghanistan, Slovaquie | 2007

Sahraa Karimi
Simona medzi 20. a 21. Marca
Fiction | dv | couleur et n&b | 11:0 | Afghanistan, Slovaquie | 2007
Simona est une voleuse solitaire. Elle a perdu son petit ami dans un accident de voiture. Le film montre une courte période de sa vie entre le 20 et le 21 Mars pendant laquelle elle a accidentellement volé une partie de l'intimité de quelqu'un.
Sahraa Karimi est une jeune réalisatrice afghane née à Kaboul en 1981 et vivant en Slovaquie. Elle émigre en Iran à l'âge de 15 ans puis part pour la Slovaquie cinq ans plus tard et y obtient le droit d'asile. Elle a suivi des cours de Slovaque pour passer l'examen d'entrée à l'université et est actuellement étudiante en Master d'Art à l'Academy of Music and Performing Arts, Film and TV Faculty (FTF V?MU) de Bratislava. (Slovaquie). Elle tient l'un des rôles principaux dans ?Daughters of the Sun? (1999, Mariam Shahriar), premier prix aux festivals du film de Montréal et de Bratislava, dans ?White Dream? (2000, Hamid Jebeli), et dans ?Who is Sahraa??(2002, Hossein Fazeli). Elle a elle-même réalisé plusieurs courts métrages et documentaires récompensés dans de nombreux festivals à travers le monde. Sahraa Karimi travaille actuellement sur son premier long-métrage ?AFGHAN WOMEN BEHIND THE WHEEL? '("Des afghanes au volant"). A travers plusieurs portraits de femmes afghanes apprennant à conduire, ce documentaire tourné à Kaboul témoigne de la place de la femme dans la société afghane et entend démontrer le désir de la femme afghane d'être active, utile et bénéfique à la société.
Sahraa Karimi
Catalogue : 2006Hladanie Iluzil | Documentaire | betaSP | noir et blanc | 26:0 | Afghanistan | 2005

Sahraa Karimi
Hladanie Iluzil
Documentaire | betaSP | noir et blanc | 26:0 | Afghanistan | 2005
"The film is about asylum seekers who are leaving in Gabcikovo refugee camp in Slovakia and their every day life, which is passing unused. The most of them are there more than three years, but still did not get asylum. The only contact is phone, by what they can contact with the world of out side. Phone, which makes them happy or angry. Phone, which gives them a new hope. Film is trying to show relationship between refugees and phone and place where they are already there. I choose this place, maybe for this reason that the Gabcikovo refugee camp is a very special place for me too. 3 years ago, I came there and I spent there several months of my life, which were full of sorrows. By this film, I have tried at least to speak with myself and believe it that we did not born because of world, the world created because of us."
Sarah Karimi was born in 1981 in Kabul. In 2004, she enters at The Academy of Music and Performing Arts(major documentary 1997-2000) and takes course of camera 1998-1999, course of singing 1999-2000 and Creative writing.
Sahraa Karimi
Catalogue : 2008Dernière | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 3:30 | Afghanistan | 2007

Sahraa Karimi
Dernière
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 3:30 | Afghanistan | 2007
Une photographie et l'histoire qui se cache derrière.
Sahraa Karimi est une jeune réalisatrice afghane née à Kaboul en 1981 et vivant en Slovaquie. Elle émigre en Iran à l'âge de 15 ans puis part pour la Slovaquie cinq ans plus tard et y obtient le droit d'asile. Elle a suivi des cours de Slovaque pour passer l'examen d'entrée à l'université et est actuellement étudiante en Master d'Art à l'Academy of Music and Performing Arts, Film and TV Faculty (FTF V?MU) de Bratislava. (Slovaquie). Elle tient l'un des rôles principaux dans ?Daughters of the Sun? (1999, Mariam Shahriar), premier prix aux festivals du film de Montréal et de Bratislava, dans ?White Dream? (2000, Hamid Jebeli), et dans ?Who is Sahraa??(2002, Hossein Fazeli). Elle a elle-même réalisé plusieurs courts métrages et documentaires récompensés dans de nombreux festivals à travers le monde. Sahraa Karimi travaille actuellement sur son premier long-métrage ?AFGHAN WOMEN BEHIND THE WHEEL? '("Des afghanes au volant"). A travers plusieurs portraits de femmes afghanes apprennant à conduire, ce documentaire tourné à Kaboul témoigne de la place de la femme dans la société afghane et entend démontrer le désir de la femme afghane d'être active, utile et bénéfique à la société.
Jackie Karuti
Catalogue : 2018There Are Worlds Out There They Never Told You About | Animation | hdv | couleur et n&b | 1:6 | Kenya | 2016

Jackie Karuti
There Are Worlds Out There They Never Told You About
Animation | hdv | couleur et n&b | 1:6 | Kenya | 2016
There are worlds out there they never told you about, 2017 is a video that is part of a larger body of work under the same title. While rightfully addressing tragic stories of migration through water, the work viewed collectively through drawings and new media is also about reimagining freedom through the imagination and creation of fantastic worlds. Worlds that are less about occupying physical space but more about cultivating ways that one can be free in a place where home and freedom remain elusive.
Jackie Karuti is an artist based in Nairobi. Her practice is largely experimental and employs the use of new media through drawings, video, installations and performance art. Her work is founded on ideas around knowledge production & accessibility as well as the depths of possibility enabled by radical imagination. Karuti is the 2017 recipient of the Young Artist Award at the Cape Town Art Fair, an alumna of the Gasworks residency program in London as well as Asìko, a roaming Pan African art school designed to redress the frequently outdated or non-existent artistic and curatorial curricula at tertiary institutions across Africa. In 2017 she was shortlisted for the residency program at The Rijksakademie. Karuti has participated in several exhibitions & residencies, both locally & abroad as well as multidisciplinary projects such as curating the Out Film Festival-Nairobi (2016-2018). In 2017 she established the online platform, I’ve Been Working on Some MAGIC which seeks to engage Nairobi based visual artists in critical writing, collective curatorial projects as well as sharing audiovisual material. In 2018 Karuti’s work will debut at the 13th edition of the Dak’Art Biennial in Dakar, Senegal.
Dagmar Kase
Catalogue : 2007E-Media Centre, Estonian Academy of Arts | 0 | 0 | | 0:0 | Estonie | 2007

Dagmar Kase
E-Media Centre, Estonian Academy of Arts
0 | 0 | | 0:0 | Estonie | 2007
Constitué en 1994, réorganisé en 2000, le Centre E-Media (EMC) se concentre sur la recherche, l'enseignement et la promotion de la culture numérique et de l'art en Estonie. L'EMC est ouvert aux étudiants pour qu'ils acquièrent des compétences dans le multimédia et l'information, ainsi que des compétences dans la réalisation de projets d'étude. Le centre offre la possibilité de créer différents projets avec les techniques des médias numériques, organise le prêt d'équipement et des conférences à l'Académie des Arts d'Estonie. Le programme du Master en Multimédia Interactif (IMM) est disponible depuis l'année académique 2000/2001. Le MA de deux ans est organisé en modules pour offrir des compétences théoriques et pratiques en média numériques. Les études sont menées sous forme de conférences et ateliers traditionnels, aussi bien que sous forme de séminaires/conférences en ligne sollicitant des spécialistes et conférenciers internationaux. Outre la dimension enseignement, le EMC accueille régulièrement de plus petits événements : ateliers spéciaux, cours et symposium permettant aux étudiants, aux artistes, ainsi qu'à un large public de maîtriser des techniques essentielles. Le centre invite des enseignants et des spécialistes d'horizons internationaux à dialoguer avec des étudiants, artistes, enseignants locaux afin de stimuler les discussions et les échanges de nouvelles idées. Le centre participe à différents projets, différentes recherches, résidences d'artiste et réseaux de coopération. Le centre a collaboré avec Hypermédia Research Center de l'Université de Westminster à Londres, l' Electronic Music Studio de l'Académie de musique d' Estonie, le Centre d'Art Contemporain, le Musée d'Art d'Estonie ou m-Cult d' Helsinki ( en 2004, le Centre co-accueillait avec m-Cult ISEA2004) pour n'en citer que quelques-uns. Actuellement le EMC est un membre actif de TMC (Tallinn Media Cluster) et NICE network ( en 2003 NICE a offert un fond commun pour les initiatives de la nouvelle culture média dans la région baltique avec des projets associés comme RAM (Re-Approaching New Media), une série d'ateliers et de conférences. De plus, le Centre E-Media s'est impliqué dans des programmes d'artistes en résidence comme NIFCA et Map XXL.
Dagmar Kase obtient un BA en scénographie en 2001 à l'Académie des Arts d'Estonie (EEA), un MA en Multimédia Interactif en 2004 et étudie la Théorie de la Culture depuis 2005 à l'Estonian Institute of Humanities à l'Université de Tallinn. Elle est membre de l'Association des Artistes Estoniens et de l'Union des Artistes Media Estoniens. Elle dirige le Centre E-Media à l'Académie des Arts d'Estonie. Elle travaille plus particulièrement avec la vidéo, la photographie, le texte, le son et les installations interactives. Ses travaux traitent de notre société contemporaine qui est un organe global joueur qui fonctionne comme une totalité d'éléments et dont les questions centrales sont le temps, l'espace et le lieu, la mémoire et l'idendité. Elle pense qu'il est important de méditer sur le monde qui nous entoure et de s'y impliquer plus profondément pour saisir l'importance des choses et des événements simples. Elle combine la théorie et la pratique afin de créer des travaux interdisciplinaires.
Wojciech Kasperski
Catalogue : 2007Nasiona | Documentaire | dv | couleur | 27:9 | Pologne | 2005

Wojciech Kasperski
Nasiona
Documentaire | dv | couleur | 27:9 | Pologne | 2005
A small village in the beautiful mountains of southern Siberia. A family living out of the way, not accepted by the society. They have their own secrets. Step by step, we get involved in their mysterious world. Strong characters, complicated relationships, and an uncovered story in the background. No fiction. Real world, no matter how surrealistic it appears to be. Real people. Real life. Real story.
Katharina Kastner
Catalogue : 2020Villa Empain | Doc. expérimental | 16mm | couleur et n&b | 24:30 | Autriche, Belgique | 2019
Katharina Kastner
Villa Empain
Doc. expérimental | 16mm | couleur et n&b | 24:30 | Autriche, Belgique | 2019
A unique blend of Bauhaus and Art Déco, the marvellous Villa Empain has had many different lives since it opened in 1934. A story of survival. ____ VILLA EMPAIN draws a mental map of a space, as it goes through time. Concrete marble, brick and steel: little else made by human hands seems as stable, as immutable, as a building. Yet the life of any structure is neither fixed nor timeless. Outliving their original contexts and purposes, buildings are forced to adapt to each succeeding age. To survive, they must become shapeshifters. VILLA EMPAIN compares the life of Louis Empain and his creation. It bears witness to how a fixed idea, an architect’s dream, has disappeared in favour of a living architecture. The work is activated.
Katharina Kastner is an Austrian filmmaker working in Vienna and Brussels. She studied directing at TISCH School of the Arts in NYC and LUCA, Brussels. Her experimental short film about a museum of contemporary art, VILLA EMPAIN, builds upon the concept of psychogeography and draws a mental map of a space as it goes through time. Katharina Kastner’s films combine documentary, essayistic and experimental elements. She is interested in fragile environments and the people behind these, using the camera to explore inner and outer transformations. Time and memory are recurring themes in her work.
Katharina Kastner
Catalogue : 2021VILLA EMPAIN | Doc. expérimental | 16mm | couleur et n&b | 24:0 | Autriche, Belgique | 2019

Katharina Kastner
VILLA EMPAIN
Doc. expérimental | 16mm | couleur et n&b | 24:0 | Autriche, Belgique | 2019
La Villa Empain était une passion, une vision, un plan, un foyer, une œuvre d'art. C'est un rêve sincère qui a été abandonné. Aujourd'hui, elle ressemble à ce qu'elle était dans les années 1930, mais elle est devenue une autre entité, supportée par le même fondement. La Villa Empain existe entre le passé et le présent: des œuvres d'art contemporain au sein d'une unique œuvre Art Déco et Bauhaus. C'est une architecture humble et durable. C'est une dichotomie entre manoir privé et espace public. C'est une conversation entre l'histoire d'une famille et le rêve d'un architecte, entre le carnet de voyage d'un père et la performance d'un artiste, une rencontre entre l'eau et la pierre, le fusain et le papier, la lumière et le film. Béton, marbre, brique et acier: peu de choses créées par la main de l'homme semblent aussi stables, aussi immuables qu'un bâtiment. Pourtant, la vie d'une structure n'est ni fixe, ni intemporelle. Dépassant leurs objectifs initiaux, les bâtiments sont contraints de s'adapter à chaque nouvelle époque. Pour survivre, ils doivent se métamorphoser. L'atmosphère de "Villa Empain" est étrange et pleine de merveilles. La caméra effleure délicatement les textures, comme pour entrevoir les instants dont elles ont été témoins. Il y a un secret à dévoiler, mais comme tout bon secret, il nous échappe, insaisissable, nous ne pourrons jamais le comprendre. Ce court-métrage expérimental tente de découvrir une chose sur laquelle nous ne pouvons mettre le doigt. Alors, nous mettons nos doigts sur le bois, l'eau, le marbre, et nous sentons.
Mon intérêt pour les transformations personnelles et politiques m'a conduite à obtenir une licence en psychologie et en relations internationales, avant d'être diplômée à Doc Nomads, une école de cinéma itinérante basée à Lisbonne (Portugal), Budapest (Hongrie) et Bruxelles (Belgique). Tout au long de ma carrière, j'ai travaillé comme directrice de production et assistante réalisatrice dans le domaine du documentaire, de la fiction et de la publicité, et j'ai eu la chance que ces projets m'emmènent dans des endroits inspirants en Afrique, en Australie, aux États-Unis et en Europe. Mon travail est influencé par les environnements fragiles et par les personnes qui en sont à l’origine. En m'inspirant de l'idée de la psychogéographie, je cherche des traces, à l’aide de films analogiques pour documenter et explorer les transformations intérieures et extérieures.
Eszter Katalin
Catalogue : 2019Mária Vörösben | Vidéo expérimentale | hdcam | couleur | 28:39 | Hongrie, Autriche | 2018
Eszter Katalin
Mária Vörösben
Vidéo expérimentale | hdcam | couleur | 28:39 | Hongrie, Autriche | 2018
A woman visits a prison in the village of Márianosztra (Hungary) to find out more about the ongoing production of barbed wire by the inmates of the institution for various European border fences. Subsequently, she engages in a research about those women who were imprisoned there for being communists and antifascists between 1920 and 1944 at a time when it was run by nuns as a place to "re-discipline" the sentenced person through labor and prayer. The voice of a ghost belonging to a female political prisoner follows her as she is trying to connect past and present through gestures of mourning.
Eszter Katalin (born 1991, Budapest) is an artist based in Vienna. She has recently finished her master`s degree in Critical Studies at the Academy of Fine Arts in Vienna (2015-2018). In her works she focuses on the tensions between political struggles and their representation within a so-called critical artistic practice, departing frequently, but not solely, from Hungary’s social context as marked through its politics of memory and exclusion. Her latest works include her film MEGSZAKÍTÁS* Civil Aktivizmus Magyarországon (MEGSZAKÍTÁS* Civil Activism in Hungary, video in four parts, 76 min, 2017), Versammlung (Coming together, audio piece, 9 min, 2017) and Mária Vörösben (Mary in Red, video, 28:39 min, 2018).
Julia Kater
Catalogue : 2017Breu | Vidéo | hdv | couleur | 4:0 | Brésil | 2016
Julia Kater
Breu
Vidéo | hdv | couleur | 4:0 | Brésil | 2016
In Breu (Pitch black), the recorded images present, in a non-linear montage, the semi-artisanal paving process of a rectangle arbitrarily drawn in the middle of a vacant lawn. The soundtrack brings a circular text that overflows in modal adverbial adjuncts (mainly right and wrong),without defining any clear object, the text builds the speech in an endless cycle, onto which the ideas of progress and evolution cannot be applied.
JULIA KATER | 1980 ‘ Paris, France Lives and works in Sao Paulo, Brazil. Graduated in Photography from the School of Advertising and Marketing - ESPM (Sao Paulo - Brazil). The research of the artist Julia Kater is guided in the elaboration of a body of work that can treat it from its visual improbability. Whether by the collage brought about by different overlaid photographic prints, which announces a watchful sky ‘ despite its invisible character ‘ or by videos that bring about the rearrangement of a set of actions and phrases, each work in its own way prioritizes the elaboration of bodies from everyday scenes that suggest simultaneous shared experiences with the persistent memory together with its struggle with forgetfulness, its ally and the cause of the gradual loss of a large part of the truths. Kater regularly participates in exhibitions in Brazil and abroad, in countries like France, USA, Belgium and Portugal.
Vytautas Katkus
Catalogue : 2021Kolektyviniai sodai | Fiction | 16mm | couleur | 15:0 | Lituanie | 2019
Vytautas Katkus
Kolektyviniai sodai
Fiction | 16mm | couleur | 15:0 | Lituanie | 2019
La masculinité patriarcale semble pousser son dernier souffle au soleil. L'histoire de la relation glaciale entre un père et son fils. Leur lien, rongé par l'indifférence, se désagrège complètement.
Vytautas Katkus est né en 1991 à Vilnius, en Lituanie. Il a obtenu une licence en cinéma à la Lithuanian Academy of Music and Theatre. Il travaille comme directeur de la photographie pour des films et des projets d'art vidéo. Il a remporté le prix du meilleur jeune directeur de la photographie décerné par la Lithuanian Association of Cinematographers en 2014 et 2015. Depuis 2016, il est membre de la Lithuanian Association of Cinematographers. "Kolektyviniai sodai (Community Gardens)", son premier film court, a été sélectionné pour la 58e Semaine de la Critique, Cannes (France).
Timo Katz
Catalogue : 2007Whirr | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 3:0 | Allemagne | 2006

Timo Katz
Whirr
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 3:0 | Allemagne | 2006
C'est de façon rythmée que se révèlent les variations que les habitants d'un lotissement ont apportées au modèle standardisé de leur maison. La caméra ouvre, sur l'organisation schématique des bâtiments, un espace de pluralité et de constante variabilité. Les transformations de la surface architecturale apparaissent par oscillations. Le concret danse - sur la piste de l'abstrait.
Timo Katz est né en 1977 à Siegen. De 1999 à 2006 il étudie la photographie et le design de films à l'Ecole Supérieure de Bielefeld et obtient son diplôme de designer en Février 2006. Il vit à Bielefeld et travaille sur des projets de films expérimentaux ainsi que sur des commandes.
Timo & Jan Katz & Fuchs
Catalogue : 2009die Welt | Installation vidéo | dv | couleur | 5:0 | Allemagne | 2008

Timo & Jan Katz & Fuchs
die Welt
Installation vidéo | dv | couleur | 5:0 | Allemagne | 2008
Le travail vidéo expérimental ?Die Welt? porte sur la perception spatio-temporelle dans notre expérience visuelle du monde. Notre perception est non seulement définie par la photographie, mais surtout par les règles de la perspective centrale. Celle-ci montre et explique le monde visible à travers une simplification schématique. Le travail présenté s?intéresse à l?utilisation élargie de la caméra comme prothèse d?observation pour la découverte et la reconnaissance du visible. La perspective centrale est ici éventrée et déstructurée. L?espace visuel, s?appuyant sur le panorama d?un paysage urbain, est transcrit en une multiperspective parallèle, que l?on atteint en séparant l?image de la caméra en tranches ordonnées à la verticale, et qui ressemble ainsi à la perspective de prise de vue d?un scanner. La pièce, envisagée à travers ce procédé de destructuration, subit un décalage autant spatial que temporel. Le montage, et seulement le montage, permet ainsi de rendre visible un Espace-Temps-Vision alterné. Il se pose la question de la signification, pour notre perspective visuelle, de l?élargissement technique croissant de notre outil d?observation, et de ses conséquences au présent et à l?avenir. Il souligne en outre notre tendance à nous appuyer de plus en plus sur des modèles de perception déjà construits.
Timo Katz est né en 1977 à Siegen. Il étudie le design photo- et filmographique à l?Ecole Supérieure de Bielefeld où il obtient son diplôme en 2006. Il travaille depuis 2002 dans le domaine des vidéos et films expérimentaux. Il vit et travaille actuellement à Leipzig. Il forme avec Jan Fuchs le groupe indépendant de recherches visuelles Katz&Fuchs. Jan Fuchs est né en 1976 à Hamburg. Il étudie le design photo-et filmographique à l?Ecole Bielefeld et obtient son diplôme en 2004. Il travaille depuis 2002 dans le domaine des vidéos et films expérimentaux. Il vit et travaille à Kassel. Il forme avec Timo Katz le groupe indépendant de recherches visuelles Katz&Fuchs.
Yuki Kawamura
Catalogue : 2006Sekainoaté | Fiction | dv | couleur | 53:0 | France | 2005

Yuki Kawamura
Sekainoaté
Fiction | dv | couleur | 53:0 | France | 2005
Haruto conduit au hasard sur les routes désertes d?Hokkaido et prend en stop un homme lapin qui lui offre un masque. Tetsu recherche la part de lui-même qu?il a perdue. Sona se désintéresse du mal-être de Tetsu. Miwa hésite à suivre l?homme lapin dans un monde qui lui est inconnu? Des lignes de vie encore incertaines qui se connectent et se déconnectent entre réel et imaginaire..
Yuki Kawamura est né à Kyoto au Japon. Après des études de cinéma, il réalise en 1999 son premier film NUMERO 2 qui est toujours distribué au Centre Georges Pompidou à Paris et au musée Hara à Tokyo. Il commence alors un véritable travail sur la lumière, le réel et l`imaginaire mais aussi sur les couleurs et l`image.
Naomi Kawase
Catalogue : 2007Naissance et maternité | Documentaire | dv | couleur | 60:0 | Japon | 2005

Naomi Kawase
Naissance et maternité
Documentaire | dv | couleur | 60:0 | Japon | 2005
Naissance et maternité Réalisatrice : Naomi Kawase Producteur : Sento Inc. Naomi Kawase 60? La cinéaste Naomi Kawase, devenue mère, poursuit dans ce nouveau film documentaire, son ?uvre personnelle d?interrogation du monde. En effet, le 24 avril 2004 à 10h40, naissait son fils Mitsouki. La naissance a eu lieu, de manière traditionnelle, sans médecin, avec la seule assistance d?une sage-femme, dans une vieille maison japonaise, sur un tatami. Naomi Kawase y était entourée des membres de sa famille. Quand le cordon ombilical a été coupé, Naomi a pris la caméra et enregistré ce moment hautement symbolique, de même qu?elle a filmé toutes les personnes qui l?ont affectueusement assistée. Depuis, Naomi Kawase vit et filme au jour le jour son fils et sa grand-mère de 90 ans dans leur vieille maison de Nara. Le film se développe sur deux dimensions : celle de l?enfant grandissant sous le regard attentif de sa mère et de son arrière grand-mère et celle de la propre enfance de Naomi Kawase racontée à la première personne.
George Kazazis
Catalogue : 2006Mickey, Mickey where are you? | Art vidéo | dv | couleur | 3:25 | Grèce | 2004

George Kazazis
Mickey, Mickey where are you?
Art vidéo | dv | couleur | 3:25 | Grèce | 2004
Nous sommes constamment inondés par des images de violence, et en même temps par des images de styles de vie. Le contraste est sans conteste énorme. Les sentiments variant, mais, de n?importe quelle manière nous les regardons, les deux genres existent avec tellement de vie qu?ils en sont indispensables. Le matin du 20 avril 1999, deux jeunes américains, Eric Harris, âgé de 15 ans et Dylan Klebal, âgé de 18 ans, vinrent à leur collège de Colombia dans la ville de Littletown aux Etats-Unis, emportant avec eux des armes à feu et des grenades à main. Ils tuèrent 14 de leurs camarades et un professeur. La plupart des victimes se trouvèrent dans la cafétéria de l?école. L?incident dans son ensemble fut enregistré par les caméras de sécurité de l?établissement. L?évènement est si important en lui-même qu?il a même éclipsé la lumière d?un symbole national. La vidéo commence avec Mickey et Minnie Mouse dans différentes poses, courant, virevoltant dans un nuage de couleurs vives. Est-ce que c?est une fête ou un bain de sang ? La musique qui vient de la chanson "My Cat Fell In The Well" (1983) par Manhattan Transfer les accompagne, néanmoins insouciant et à la fois persistant. La chanson raconte d?une manière douve une histoire dramatique d?un beau chat-star qui est tombé dans un puit et la détresse de son propriétaire quand il l?a retrouvé. Soudain, la musique s?arrête et la vidéo montre des visages d?enfants tués sans foi ni loi, les mêmes enfants qui croyaient en l?innocence de ce Mickey Mouse ou n?importe quel autre Mickey Mouse. Pour notre salut, ces images stoppent et Mickey réapparaît, la musique recommence. La fin ne nous concerne plus. Cela ne pourrait jamais nous arriver.
Georges Kazazis est né à Atlanta en 1958 où il travaille et vit. Il est allé enseigner à l?école des Beaux-Arts d?Athènes à partir de 1990. Il fut aussi membre du Project Sapce Athènes (un espace pour plusieurs artistes fondé en 2000-2001)
David Kelley, Patty Chang
Catalogue : 2019Spiritual Myopia | Film expérimental | hdv | couleur | 15:0 | USA | 2018
David Kelley, Patty Chang
Spiritual Myopia
Film expérimental | hdv | couleur | 15:0 | USA | 2018
Spiritual Myopia is a film dealing with the invisible labor and desire of the residents of the oil industry boom towns of Fort McMurray in the Canadian Tar Sands and the refining town of Port Arthur Texas. The two cities are terminal nodes of the proposed Keystone XL oil pipeline which would span the United States. Fort McMurray is the third largest oil deposit in the world. Its rapid pace of growth has meant a dearth of housing for its migrant workers. Port Arthur boasts the world’s largest concentration of oil refineries and its town center has nearly disintegrated from economic decline. These twin cities are related spatially as nodes in the same energy infrastructure, and temporally in their different stages of a boom or bust economy. Borrowing its title from Alfred Stieglitz’s photo Spiritual America, Spiritual Myopia speaks to the nearsightedness innate to hypercapitalism.
Spiritual Myopia is a collaboration between artists David Kelley and Patty Chang Patty Chang (Lives and works in Los Angeles, CA) Patty Chang is an artist working in performance, video, writing, and installation. Her work has a capacity to explore complex subjects nearly simultaneously, as does life. Her work has been exhibited nationwide and internationally at such institutions as the Museum of Modern Art, New York; Solomon R. Guggenheim Museum, New York; New Museum, New York; BAK, Basis voor actuele Kunst, Utrecht, the Netherlands; the Hammer Museum, Los Angeles; Fri Art Centre d’Art de Freibourg, Fribourg, Switzerland; Chinese Arts Centre, Manchester, England David Kelley (Lives in Los Angeles California, CA.) David Kelley’s work is a hybrid of experimental documentary and ethnographic practices that make use of imaginary, choreographic and performative strategies. His work has been shown in galleries throughout the world. Recently, he has had exhibitions at the Museum of Modern Art in New York, White Box in Portland Oregon, and Commonwealth and Council in Los Angeles. Other recent exhibitions include The Bank in Shanghai, New Art Center, the de Cordova Biennial in Boston, BAK in Utrecht, MAAP space in Brisbane Australia.