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Nicolas Wackerbarth
Catalogue : 2008Halbe Stunden | Fiction | 35mm | couleur | 20:0 | Allemagne | 2007
Nicolas Wackerbarth
Halbe Stunden
Fiction | 35mm | couleur | 20:0 | Allemagne | 2007
Mélanie vit au jour le jour, un samedi elle se (re)trouve toute seule dans sa maison: sans obligations dans le nouveau vide de sa vie.
Emmanuelle Waeckerle, Jimmy ROBERT
Catalogue : 2006Newsflash | Art vidéo | dv | couleur | 8:4 | France, Royaume-Uni | 2004
Emmanuelle Waeckerle, Jimmy ROBERT
Newsflash
Art vidéo | dv | couleur | 8:4 | France, Royaume-Uni | 2004
Dans une série de tableaux comiques, nous répondons avec pathos et humour à la manipulation des médias concernant la guerre et le terrorisme ? tout en essayant de faire un signe personnel de protestation. Derrière notre satire apparemment désespérée et une attitude auto-dérisoire se cache une critique de la violence et de la démagogie. La présentation était faite au départ pour les Rencontes Internationales de Berlin en 2003, @ La gaîté Lyrique à Paris en 2003, comme une réponse personnelle à la guerre "contre l?Irak?" qui avait tout juste commencé. L??uvre tombe à point nommé aujourd?hui comme ce fut le cas en 2003.
Les pratiques du travail interdisciplinaire d?Emmanuelle Wæclerle évoluent entre le langage sonore et le corps, explorant leurs intersections fonctionnelles. L?idée de fluidité et de flux dans l?identité et l?espace fut centrale à la modernité et a toujours trouvé son chemin dans les pratiques interdisciplinaires de l?art ; peut-être à cause de sa propre expérience d?une trame culturelle mélangée (du Maroc, de France et d?Angleterre). Mais aussi comme dans les travaux de Henri Michaux, les mots "l'un des meilleurs remèdes contre sa propre vulnérabilité, dissatisfaction et sens fondamental de l?iniquité dans le monde". Elle explore en ce moment les nouvelles technologies de l?interactivité en relation avec l?utilisation, la vision et l?entente de la voix avec les possibilités vocales et la communication non-verbale. Sa recherche est supportée par la London Art and Survey Institute of Art and Design où elle est une chargée de cours vétéran en Communication visuelle. Jimmy Robert est en ce moment en train de finir un programme local de deux années de doctorat à la Rijks Academie d?Amsterdam. Son travail gravite dans l?espace entre la matérialité et la représentation, évoluant de la photographie vers le film et la performance autant que vers l?écriture. Il tente de mettre en marche la porosité des différents supports identificatoires comme la littérature et le cinéma, pour atteindre le derrière de la page ou de l?écran en ne faisant plus qu'un avec l?image ou incarnant le texte.
Beny Wagner
Catalogue : 2021Coal Mine in the Canary | Doc. expérimental | mp4 | couleur | 18:34 | Allemagne, Royaume-Uni | 2020
Beny Wagner
Coal Mine in the Canary
Doc. expérimental | mp4 | couleur | 18:34 | Allemagne, Royaume-Uni | 2020
Film-essai raconté à travers le corps, "Coal Mine in the Canary" explore le travail de John Scott Haldane, physiologiste de la fin du XIXe siècle, dont les expériences sur la respiration dans des conditions atmosphériques extrêmes l'ont amené à placer des canaris dans des mines de charbon, pour être les premiers indicateurs de la toxicité de l'air. Le film explore cette technique historique comme une forme de contrôle de l'environnement, qui façonnerait finalement les possibilités d'échange entre les organismes et leur environnement, déterminé comme une série de variables régulées. Avec le canari, Haldane a développé un nouveau paradigme: modifier un organisme représente une forme de contrôle environnemental car il n'y a pas de frontière entre l'organisme et l'environnement.
Beny Wagner est artiste, réalisateur, chercheur et écrivain. Travaillant les images en mouvement, le texte, l'installation et les conférences, il construit des récits non linéaires situés à l’intérieur des limites toujours changeantes du corps humain. Il a présenté son travail dans des festivals, des expositions et des conférences à l’international, notamment à la Berlinale, Berlin (Allemagne); au Festival international du film de Rotterdam (Pays-Bas); au Eye Film Museum, Amsterdam (Pays-Bas); à la Haus der Kulturen der Welt, Berlin (Allemagne); à la Media Art Biennale WRO, Wroclaw (Pologne); à la 5e et à la 6e Moscow Biennale for Young Art, Moscou (Russie); au Moscow International Experimental Film Festival, Moscou (Russie); à Plato Ostrava, Ostrava (République tchèque); à la Künstlerhaus Bremen, Brêmes (Allemagne); à la Kunsthalle Amsterdam (Pays-Bas); à Sonic Acts, Amsterdam (Pays-Bas); au Impakt Festival, Utrecht (Pays-Bas); à Berlin Atonal, Berlin (Allemagne); à la Biennale de Venise (Italie); et à White Columns, New York (USA). Son travail a été présenté dans Artforum, Spike Magazine Quarterly, Frieze Magazine, Kaleidoscope Press, Flash Art et Die Zeit. Ses écrits ont notamment été publiés dans Valiz et Sonic Acts Press.
Catalogue : 2019Outside | Film expérimental | mp4 | couleur | 14:0 | Allemagne | 2017
Beny Wagner
Outside
Film expérimental | mp4 | couleur | 14:0 | Allemagne | 2017
`Outside` traverses two cyclical metabolic paths in the attempt to forge a reciprocal relationship between the two. Moving from the metabolism of the human body to the metabolism of waste infrastructures, the film creates an inverted exchange wherein the concealment of waste inside the human body turns to the concealment of the human body inside waste. The boundary that divides waste from production would seem to contain an underlying set of moral implications. The film considers these as situated somewhere between law enforcement and class structure as defined through labor positions.
Wagner has exhibited his work and screened films world wide: International Film Festival Rotterdam, Media Art Biennale WRO, Movimenta Biennale (Nice), Rongwrong (Amsterdam), Haus der Kulturen der Welt (Berlin), Art Athina (Athens), Impakt Festival (Utrecht), 5th Moscow Biennale for Young Art, Eye Film Museum (Amsterdam), Venice Biennale, Plato (Ostrava), Import Projects (Berlin), Future Gallery (Berlin), Center (Berlin) among others. His work has been featured in Artforum, Spike Magazine Quarterly, Frieze Magazine, Kaleidoscope Press, and Die Zeit. He has published texts with Valiz, BLOCK Magazin and 60 pages. Wagner graduated with honors from Bard College, New York in 2008. He was a researcher at Jan van Eyck Academy, The Netherlands in 2015-6. He is currently a lecturer at Gerrit Rietveld Academy, Amsterdam, and has been a guest teacher at several other academies.
Janaina Wagner
Catalogue : 2025Quebrante | Doc. expérimental | 4k | couleur et n&b | 23:0 | Brésil | 2024
Janaina Wagner
Quebrante
Doc. expérimental | 4k | couleur et n&b | 23:0 | Brésil | 2024
A spell breaking, QUEBRANTE traverses the caves, ruins and phantasmagorias of Transamazon BR230 Highway, portraying its stones and its ghosts. A conversation between the moon and the stones, QUEBRANTE is freely inspired in Robert's Smithson project THE TRULY UNDERGROUND CINEMA (1971) and in the film THE VERY EYE OF THE NIGHT (1958) by Maya Deren. Set in the tiny town of Rurópolis (Pará) - the very first one to be build in the Highway to serve as a base for the workers that were building it - QUEBRANTE follows Ms. Erismar, known in the region as "The Cave Woman". A retired elementary school teacher, Ms. Erismar was the one responsible for the discovery of the region's caves: she would enter the dark unknown holes till their ends, with only a candle in her hands and a lighter tied to her pants - in case the flame would fade out. A huge nationalistic propaganda part of the progress and development project of Brazil, Transamazônica Highway was implemented during the civic-military dictatorship that took place at the moment – and it is till nowadays a warm scar of the wreckage dream of the history of the country.
Janaina Wagner (1989) develops her research in film, drawing and installations. Her work aims to present a critical understanding of the ways in which humans impose systems of order and control upon their surroundings. Currently a Phd student at Le Fresnoy-Studio National des Arts Contemporains (FR), Janaina has participated in several residencies, such as Gasworks (UK); VISIO - European Program on Artists’ Moving Images (IT); FID Campus (FR), Bolsa Pampulha (BR). Her work is part of important collections, such as Instituto Inhotim (BR), Galeria Municipal do Porto (PT) and Coleção Moraes Barbosa (BR). Among the main exhibitions, stand out the individuals CINEMA CAVERNA (BR) and With burning love - Villa Belleville (FR); and the group 22a Bienal Videobrasil (BR), Ensaio de Tração - Pinacoteca do Estado de São Paulo (BR); Garganta - CIAJG - José de Guimarães International Arts Center (PT); Aliens are temporary - Kunstraum Kreuzberg/Bethanien (DE). Janaina has been participating in several film festivals, such as Berlinale (DE) and Tiradentes Film Festival (BR). Janaina Wagner is currently developing her first feature film, the experimental documentary A Mala da Noite. Janaina lives and works between Paris and São Paulo.
Catalogue : 2022Cães Marinheiros | Vidéo | mov | couleur | 7:0 | Brésil | 2020
Janaina Wagner
Cães Marinheiros
Vidéo | mov | couleur | 7:0 | Brésil | 2020
Cães Marinheiros (Sailors Dogs) was filmed in the ruins of the small town of Velho Aira?o, in the Brazilian Amazon, at the confluence of Rio Negro and Rio Jaú. Founded by Portuguese missionaries in 1694, Airão concentrated the entire rubber production in the region. After a rapid and unsustainable economic growth, followed by the decline of the Rubber Cycle, the city went bankrupt. A politician at the time said that the population was being eaten by ants. Ruined, Airão was abandoned. Sailors Dogs juxtaposes the homonymous tale by Portuguese poet Herberto Helder with the dismantled landscapes of the village. In a perspectivist inversion, textual and visual images assemble and disassemble within a forest eaten away by men. By reflecting on the precarity and fragilities of human nature, and the limits of our relationship with the environment, the film questions our place of dominance in the universe that we inhabit.
Franco-Brazilian artist JANAINA WAGNER (1989) works with cinema, photography, scenography, drawing, video and installations, researching the relations of limit, control and contention that human-kind establishes with the world. Currently on a PhD at Le Fresnoy-Studio National des Arts Contemporains (FR), Wagner participated in several artistic residencies, such as Gasworks, VISIO, FID Campus - Festival International de Cinéma de Marseille, Bolsa Pampulha, Festival Mondes Possibles - Théâtre Nanterre-Amandiers, Casa Tomada, Anarcademia W139 Amsterdam and NES Skagaströnd. Among the main exhibitions and film festivals, stands out Eco-spectrality: Residual Fabulations - Glasgow Film Festival, Thinking Beyond: Images for a post pandemic world (IT), Aliens are Temporary - Kunstraum Bethanien (DE), A natural history of Ruins – Pivô (BR), Mostra de Cinema de Tiradentes (BR), Casa Carioca – MAR Museu de Arte do Rio de Janeiro (BR), Ensaio de Tração - Pinacoteca do Estado de São Paulo (BR), Simultan Festival XV – Unseen (RO), 10 ª Semana de Cinema do Rio de Janeiro (BR), Bestiário - Centro Cultural São Paulo - CCSP (BR). Graduated both in Fine Arts and in Journalism (BR), her references derives from the procedures through which human-kind registers and articulates its progress and legacy – a constellation of tales, facts and images. Janaina lives and works between Paris and São Paulo.
Janaina Wagner
Catalogue : 2025Quebrante | Doc. expérimental | 16mm | couleur | 23:0 | Brésil | 2024
Janaina Wagner
Quebrante
Doc. expérimental | 16mm | couleur | 23:0 | Brésil | 2024
A spell breaking, QUEBRANTE traverses the caves, ruins and phantasmagorias of Transamazon BR230 Highway, portraying its stones and its ghosts. QUEBRANTE follows Ms. Erismar, known in the region as "The Cave Woman". A huge nationalistic propaganda part of the progress and development project of Brazil, Transamazônica Highway was implemented during the civic-military dictatorship that took place at the moment – and it is till nowadays a warm scar of the wreckage dream of the history of the country. A conversation between the moon and the stones, QUEBRANTE is freely inspired in Robert's Smithson project THE TRULY UNDERGROUND CINEMA (1971) and in the film THE VERY EYE OF THE NIGHT (1958) by Maya Deren.
Janaina Wagner (1989) develops her research in film, drawing and installations. Her work aims to present a critical understanding of the ways in which humans impose systems of order and control upon their surroundings. Currently a Phd student at Le Fresnoy-Studio National des Arts Contemporains (FR), Janaina has participated in several residencies, such as Gasworks (UK); VISIO - European Program on Artists’ Moving Images (IT); FID Campus (FR), Bolsa Pampulha (BR). Her work is part of important collections, such as Instituto Inhotim (BR), Galeria Municipal do Porto (PT) and Coleção Moraes Barbosa (BR). Among the main exhibitions, stand out the individuals CINEMA CAVERNA (BR) and With burning love - Villa Belleville (FR); and the group 22a Bienal Videobrasil (BR), Ensaio de Tração - Pinacoteca do Estado de São Paulo (BR); Garganta - CIAJG - José de Guimarães International Arts Center (PT); Aliens are temporary - Kunstraum Kreuzberg/Bethanien (DE). Janaina has been participating in several film festivals, such as Berlinale (DE) and Tiradentes Film Festival (BR). Janaina Wagner is currently developing her first feature film, the experimental documentary A Mala da Noite. ?Janaina lives and works between Paris and São Paulo.
Nicolas Wagnieres, benoit peverelli
Catalogue : 2008hotel jugoslavija 1.0 | Documentaire | 16mm | couleur | 12:50 | Suisse, Serbia | 2006
Nicolas Wagnieres, benoit peverelli
hotel jugoslavija 1.0
Documentaire | 16mm | couleur | 12:50 | Suisse, Serbia | 2006
Ce film retrace l`histoire de l`hôtel JUGOSLAVIJA, à Belgrade, témoin d`une époque passée et des multiples changements historiques qu`a connu le pays depuis lors. A travers les témoignages en voix off d`un ancien directeur et d`anciens employés, l`histoire du bâtiment nous est racontée et renaît en partie tandis que la caméra balaie par de longs travellings et panoramiques l`architecture, rigoureuse des lieux, jusqu`à nous ramener dans un présent en chantier.
Né à l?automne 1971 à Lausanne, Nicolas Wagnières se lance dans un apprentissage de dessinateur en bâtiments suite à un échec scolaire, Il a alors 16 ans. Son certificat en poche, il s?essaie au métier de manière épisodique, il frôle le concours d?admission à l?école d?art de Lausanne, puis au gré de ses amitiés rejoint les fondateurs de TRACKS records, magasin de disques spécialisés, nous sommes alors au printemps 1992. Une carrière de disc jockey et de production musicale se développe ainsi en parallèle, et lorsque le marché se met à rendre le travail des indépendants plis délicat, les magasins sont cédés à d?autres, nous sommes en 1999. Il se présente ensuite au concours de l?Ecole supérieure d?audiovisuel de Genève, pour y étudier quatre ans le cursus de cinéma. Il obtient son diplôme en 2005 avec un court-métrage tourné à Belgrade : Tranzit. Il suit ensuite le cours postgrade de l?école supérieure des beaux-arts de Genève, et obtient un poste d?assistant dans le département de cinéma. Il réalise actuellement un film sur la transformation d?un hôtel à belgrade en Serbie, et vient de terminer deux films de danse avec le chorégraphe genevois Foofwa d?Imobilité.
Gwenola Wagon
Catalogue : 2025Chroniques du soleil noir | Fiction expérimentale | hdv | couleur et n&b | 17:0 | France | 2023
Gwenola Wagon
Chroniques du soleil noir
Fiction expérimentale | hdv | couleur et n&b | 17:0 | France | 2023
Dans un avenir dystopique, les humains ont dû masquer le soleil pour rester en vie sur Terre. La sècheresse est extrême et la planète se transforme peu à peu en un brûlant désert où les survivants, installés dans les caves des grands observatoires, vivent dans une perpétuelle éclipse. Pour combler l’image d’un soleil qu’ils ne peuvent plus voir et dont ils n’ont pas de souvenir, ils chargent un logiciel d’Intelligence Artificielle de le reconstituer. À cette fin, l’IA choisit l’image mentale d’une jeune femme. En s’inspirant sur la structure en photo-roman avec voix off du film La Jetée (1962) de Chris Marker, Chroniques du soleil noir propose un récit de science-fiction où un algorithme est missionné pour recréer le passé grâce à une image d’enfance de la protagoniste, comme dans le film de Marker. En recyclant des photographies de l’album personnel de l’artiste, des images publicitaires et des clichés scientifiques de la collection de l’Observatoire de Meudon, retraités par une IA, le film porte sur notre rapport avec la technologie d’une manière inquiétante et ironique. La vidéo se compose comme une fable contemporaine qui nous donne à réfléchir sur la cohabitation de temps et la non-durabilité de notre manière d’habiter cette planète. Le film est réalise avec le soutien du Hangar Y, en partenariat avec l’Observatoire de Paris-PSL
Gwenola Wagon est artiste et chercheuse. Elle enseigne à l’École des Arts de la Sorbonne à l’Université Paris 1. À travers des installations, des films et des livres, elle imagine des récits alternatifs et paradoxaux pour penser le monde numérique contemporain. Elle arpente le globe virtuel avec ses premiers films Globodrome, enquête dans l’espace de l’hyperinformation et des infrastructures d’Internet en collaboration avec l’artiste Stéphane Degoutin avec qui elle co-réalise World Brain, le livre Psychanalyse de l’aéroport international. Après Bienvenue à Erewhon, Virusland et Chroniques du soleil noir fables post-cybernétique avec Pierre Cassou-Noguès, elle publie le livre Planète B un essai qui mêle enquête et fiction afin d’appréhender un monstre en pleine expansion.
Hamid Waheed
Catalogue : 2022Areoles | Vidéo | 4k | couleur | 13:46 | Norvège | 2021
Hamid Waheed
Areoles
Vidéo | 4k | couleur | 13:46 | Norvège | 2021
Queer characters talk about their lives and making sense of their worlds.
Hamid Waheed is a filmmaker and visual artist utilizing moving images, as well as writing and performing. His work often emphasizes characterization, dramaturgy and queer desires as methods of investigating psycho-social structures, ruminating on time, intimacies and violence. He is also interested in histories and the materialities of archived data. Works have been presented a number of places, including the Museum of Cultural History, Fotogalleriet and Kunstnernes Hus Kino (Oslo), METEOR International Theatre Festival (Bergen), Open Out Festival (Tromsø), Nikolaj Kunsthal (Copenhagen) and Rencontres Internationales Paris. He’s also part of the curatorial collective ’HÆRK’ and has a BFA in Moving Images from Nordland College of Art and Film. Currently, he’s pursuing an MFA at the Oslo National Academy of the Arts.
Catalogue : 2020Etterkrigstid | Fiction | 4k | couleur | 30:0 | Norvège | 2018
Hamid Waheed
Etterkrigstid
Fiction | 4k | couleur | 30:0 | Norvège | 2018
A city dweller moves through various routines and encounters throughout a single day. The gradually revealed circumstances point toward a crisis starting to unfold.
Hamid Waheed is a filmmaker and artist currently based in Oslo, Norway. He works with the film and video, as well as utilizing writing and performance. The work often emphasizes characterization and queerness as methods of investigating social/physical structures, with a particular interest in history and archived data. Film projects are initiated through ’Verbal Film’, often in collaboration with other parties. Aside from this, a practice in curating video works is ongoing through the collective ?HÆRK’. He has a BFA in Moving Images from Nordland College of Art and Film.
Kay Walkowiak
Catalogue : 2015Minimal Vandalism | Video | hdv | couleur | 3:49 | Autriche | 2013
Kay Walkowiak
Minimal Vandalism
Video | hdv | couleur | 3:49 | Autriche | 2013
Touching art objects in an exhibition space is usually not allowed. Not so in Kay Walkowiak´s Minimal Vandalism, where this prohibition is practically stomped on. The setting, the Generali Foundation in Vienna is the epitome of a modernist exhibition building, which—as neutral White Cube-like shell—is meant to intervene as little as possible in the act of viewing art.. Well, other than the tube-like enfilade with the massive concrete wall running down the middle along which a parcours of minimalist sculptures is set up in Minimal Vandalism. And it truly is a parcours, as after a brief exposition, in which the jerky camera movements already lead us to suspect that something’s up, an entirely unexpected performance unfolds. In one of the few calm takes, a surveillance camera soon becomes visible and the show begins: a skateboarder (Kilian Martin) coming from the depths of the room makes his approach on three boards piled on top of one another, to subject the sculptures to a test of endurance, or skill. The “performer” relentlessly includes the objects in his acrobatics, regardless of the fact that they are art, gliding up onto them, sliding across their surfaces, and daringly jumping over them.
*1980 in Salzburg, lives and works in Vienna. Several Grants and awards; e.g. Artist in Residence Grant Banff(2014), Beijing(2013), Varansi (2013), Theodor Körner Preis (2010), Otto Prutscher award (2008), Fred Adlmüller scholarship (2006). He studied philosophy and psychology at the University of Vienna, photography and video art at the Academy of fine Arts, Vienna and art & communication and sculture & multimedia art at the University of Applied Arts, Vienna.
Patrick Wallochny
Catalogue : 2021attractions | Doc. expérimental | mov | couleur | 4:27 | Allemagne | 2020
Patrick Wallochny
attractions
Doc. expérimental | mov | couleur | 4:27 | Allemagne | 2020
Dans "attractions", le regard est centré sur les animaux. Toute activité humaine paraît étrange. Elle s'immisce dans le mode de vie, par ailleurs paisible, du Gori Park, remettant finalement en question la facilité avec laquelle les humains se considèrent constamment au-dessus de la nature.
Patrick Wallochny est né à Düsseldorf (Allemagne) en 1990. Il est cinéaste et artiste vidéo. Il travaille comme réalisateur, monteur et producteur, et vit à Berlin (Allemagne). Ses films courts, ainsi que ses installations audio et vidéo in situ, se positionnent entre le documentaire et la fiction, et tentent d'explorer de manière ludique les limites du médium. Ils sont en dialogue avec le cinéma, d'autres formes d'art et la culture pop. Le regard de Patrick Wallochny se pose aussi bien sur les lieux que sur les gens. Sur l'humour comme sur la mélancolie.
Alexander Walmsley
Catalogue : 2025Memory Architecture | Fiction expérimentale | hdv | couleur | 14:29 | Royaume-Uni, Suède | 2023
Alexander Walmsley
Memory Architecture
Fiction expérimentale | hdv | couleur | 14:29 | Royaume-Uni, Suède | 2023
In Memory Architecture, a surveyor travels to the north of Sweden to survey a site for the building of a new data centre. This systematic task of transforming the terrain into a digital model quickly becomes a desperate search for some kind of underlying structure of the surveyor’s surroundings.
Alexander Walmsley (UK, b. 1992) is a filmmaker and photographer. In his research-based practice, he investigates how our understanding of the earth is shifting, mediated by the new technological, environmental and social realities of the 21st century. His recent work has been shown at the Daejeon Biennale of Arts and Sciences, Tirana Art Lab, Sharjah Art Foundation, The Photographers' Gallery, and Athens Digital Art Festival. He was a commissioned artist for the Albanian pavilion of the 59th Venice Biennale and was shortlisted for the Deloitte Photo Grant in 2023 and Istanbul 212 Photography Prize in 2021. He previously studied Anthropology and Archaeology at the University of Cambridge (UK) and the University of Geneva (CH), and is currently a lecturer at the Film University Konrad Wolf in Potsdam, Germany, where is also undertaking an artistic PhD on the subject of real-time representations of the planet.
Catalogue : 2023Tirana Time Capsules | VR expérimental | 4k | couleur | 0:0 | Royaume-Uni, Albanie | 2021
Alexander Walmsley
Tirana Time Capsules
VR expérimental | 4k | couleur | 0:0 | Royaume-Uni, Albanie | 2021
The Tirana Time Capsules are a series of three virtual environments, accessible via web browser, that act as time capsules for three different neighbourhoods of Tirana in 2021. The chosen areas - 21 Dhjetori, Kombinat, and the Teatri i Gjelbërimit, an area of the Tirana Great Park - each embody different aspects of Tirana’s urban development over the past 100 years. Particularly since the early 2000s, this has been characterised by the gradual disappearance of public space as the building sector has increasingly become controlled by private interests. Drawing on the metaphor of the time capsule and employing so-called high-fidelity recording techniques such as photogrammetry and field recording, the work re-appropriates and re-constitutes these different areas of the city as virtual environments as a way of exploring the intersection of personal memory and community heritage. In addition, the work seeks to question the promises made by such recording technologies that claim to render and preserve reality as a high-fidelity digital copy: in short, what exactly is being preserved when we use these techniques of digital preservation?
Alexander Walmsley (b. 1992) is a media artist with a particular interest in the landscapes of the real and the virtual. In his practice, he investigates how our understanding of these landscapes is shifting, mediated by the new technological, environmental and social realities of the 21st century. His work is situated primarily between 3D, photography, animation, and XR. His recent work has been shown at the Daejeon Biennale of Arts and Sciences, Tirana Art Lab, Sharjah Art Foundation, The Photographers' Gallery, and VRHam! Festival. He was a commissioned artist for the Albanian pavilion of the 59th Venice Biennale and has taken part in residencies at the Tirana Art Lab, Albania, and Moskosel Creative Lab, Sweden, among others. Previously, he studied Anthropology and Archaeology at the Universities of Cambridge (UK) and Geneva (CH).
Emmett Walsh
Catalogue : 2012The Pathfinder: Prospect | Vidéo | hdv | couleur | 13:11 | Irlande, USA | 2011
Emmett Walsh
The Pathfinder: Prospect
Vidéo | hdv | couleur | 13:11 | Irlande, USA | 2011
`The Pathfinder: Prospect`, begins with the painted portrait of a 19th century politician and pioneer, John C. Frémont, housed in the Brooklyn museum, New York. From this figure the camera begins to build curious panning views of staged historical dwellings and stuffy expansionist-era oil paintings, before moving on to stationary shots of the nearby Prospect Park, with its carefully allotted tracts of woodland and pasture. The pace of the footage is dictated by a recording of a local drum circle; a loose collective of neighbourhood residents who come together each week, with no clear leader, and improvise African and Caribbean drum rhythms. A crescendo is reached through fragmented visions of paths and roads, dissected by painted lines and cracked patterns. A series of subtitles appear throughout the video, in which a loose conversation is recounted. A narrator struggles to clarify it`s own position in remembering a past journey to distant islands, when utopian ideals were discussed and only half formulated. Throughout `The Pathfinder: Prospect`, the uneasy collision between 19th and 20th century urban planning, the displacement of migrant communities, and idealised visions of pastoral equilibrium are melded together through the intuitive, pulsing efforts of the drum circle.
Emmett Walsh is an artist and writer from the UK, currently based in Los Angeles. His work spans sculpture, writing, video, photography, and print. He graduated from the MFA program at the Glasgow School of Art in 2008.
Michael Walter, Susanne BERGGREN
Catalogue : 2006Der Hörnermann | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 17:30 | Allemagne, Suède | 2004
Michael Walter, Susanne BERGGREN
Der Hörnermann
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 17:30 | Allemagne, Suède | 2004
"Der Hörnermann" -Un phénomène animal et conceptuel sur une médidation à travers un paysage d'horizons. The Hörnermann est une créature qui oscille entre nature et culture. Sur les images, vous voyez un humain portant des cornes à sa tête, marchant doucement à travers la forêt. Par moment, il semble être étranger au paysage, réalisant une mascarade pour rentrer dedans ou se cacher, à d'autres moments il semble être le souverain, ou encore en faire partie, n'étant plus un humain. Filmé dans la forêt de Tiveden en Suède, l'image est magnifique et évite de devenir ironique mais reste sensible, les deux en compassion et fidélité au regard des changements de visages de l'être Hörnermann. "C'est assez étrange dans sa simplicité, et dans son refus de montrer autre chose que ce qu'il montre au début, à l'exception de petites variations (ce qui vous incite à faire attention). J'aime le son et la quiétude que provoque la musique. J'aime le fait que ce ne soit pas ennuyeux, et à l'opposé, dans un certain sens, c'est plutôt drôle. Le mouvement de Hörnermann est si "suspendu" (...)entre beaucoup de choses que vous ne pouvez pas remarquer, qui vous laisse deviner, même si c'est très simple. J'aime aussi l'idée que cela vous permet de regarder et d'apprécier le paysage pendant le déroulement de cette action peut-être sentimentale et kitsch." Commentaire par J-P A
MICHAEL WALTER (1966) travaille comme artiste visuel. Différentes expositions en Europe. SUSANNE BERGGREN (Stockholm/Berlin) a travaillé en tant que chorégraphe à partir du milieu des années 1990 dans un contexte de danse, d'arts visuels et de club. Elle travaille habituellement en étroite collaboration avec des artistes de disciplines variées, et réalise des oeuvres dans différents médias. Son travail a été présenté en Suède et de manière internationale. Ces dernières années, elle a aussi beaucoup travaillé comme danseuse avec des chorégraphes tels que Xavier LeRoy, Eszter Salamon, et Antonia Baehr, en tournées en Europe. Parmi les salles de théâtres et de danse: Musée d'Art modern de Fylkingen et divers clubs et restaurants à Stockholm, à Hau (Berlin),la Thomas Nordanstad Galerie de New-York, Art Genda 2000 à Helsinki, Appartement International de Vienne, Wien et Äbo.
Calum Walter
Catalogue : 2023Entrance Wounds | Film expérimental | hdv | couleur | 17:48 | USA | 2023
Calum Walter
Entrance Wounds
Film expérimental | hdv | couleur | 17:48 | USA | 2023
A meditation on the image and the bullet. Entrance Wounds considers the modern challenge of trying to unsee an image. The film sifts through moments of the everyday, imagining a world where afterimages of disaster drift near transparency over the present.
Calum Walter is an artist working in sound and moving image. His recent work has focused on human and machine error, collective anxieties, and the cultural moment as it is shaped by emerging and consumer technologies. His films have screened at the Berlinale, Sundance, Toronto International Film Festival, New York Film Festival, Rotterdam International Film Festival, Ann Arbor Film Festival, Rencontres Internationales Paris/Berlin, FIC Valdivia, Images Festival, Slamdance and the Hong Kong Arts Centre. He is a 2018 MacDowell Fellow and has received awards from the Harpo Foundation and the Illinois Arts Council. He lives in the Los Angeles area and teaches in the Film/Video program at CalArts.
Catalogue : 2017Unknown Hours | Vidéo | hdv | couleur | 12:30 | USA | 2016
Calum Walter
Unknown Hours
Vidéo | hdv | couleur | 12:30 | USA | 2016
Unknown Hours studies a precarious nightscape. An observer journeys down a main street in Chicago towards a neighborhood known for its nightlife. The moving image is slowed to reveal the intermittence of street lights and sports bar televisions. A camera peers into the moments between events.
Calum Walter is a filmmaker, artist and sound designer. He has a BFA from the University of Colorado where he studied filmmaking with an emphasis on sound, and later received a MFA from the School of the Art Institute of Chicago. He continues to do sound design and recording for his own films, and has collaborated with artists as cinematographer, sound recordist and designer. His work has screened widely at places including New York Film Festival, Toronto International Film Festival, Rotterdam International Film Festival, Slamdance, Ann Arbor Film Festival and the Big Ears Music Festival. He Teaches in the department of Radio/Television/Film at Northwestern University.
Alexia Walther, Maxime Matray
Catalogue : 2009L'élan | Fiction | 16mm | couleur | 15:24 | Suisse, France | 2008
Alexia Walther, Maxime Matray
L'élan
Fiction | 16mm | couleur | 15:24 | Suisse, France | 2008
Aujourd`hui encore, il arrive parfois ceci : on est debout dès l`aube, on n`est pas seul, on traverse la campagne, on s`encourage, on redoute, on pérore, on joue, on fredonne. On est attendu. On n`a pas grand-chose à perdre, fors l`honneur.
Alexia Walther est née en 1974 à Genève, elle travaille actuellement à Paris. Elle est diplômée depuis 1999 de l?ESAV (École Supérieure d?Art Visuel), Genève, en section media-mixte. Maxime Matray est né en 1973 à Paris. Plasticien et auteur, il est diplômé depuis 1995 de l?EPIAR (École Pilote Internationale d?Art et de Recherche), Villa Arson, Nice. Leur collaboration a débuté avec le court-métrage Twist, qui a gagné plusieurs prix dans de nombreux festivals. Ils ont écrit et réalisé ensemble le court-métrage l?élan.
Jan Wandrag
Catalogue : 2007David+Jonathan | Fiction expérimentale | dv | couleur | 15:0 | Afrique du sud, USA | 2006
Jan Wandrag
David+Jonathan
Fiction expérimentale | dv | couleur | 15:0 | Afrique du sud, USA | 2006
David+Jonathan est un projet qui utilise des photographies de rues qui ne sont pas droites. C'est une adaptation de l'histoire de la Bible qui se déroule dans le New York moderne. Après que David ait vaincu Goliath, le roi s'intéresse à lui. David développe ensuite une relation avec le fils du roi, Jonathan. lorsque le roi le découvre, il interdit à Jonathan de revoir David. Le film repose sur une série d'instantanés rephotographiés. Les images commencent comme une vidéo tournée en public de deux jeunes hommes filmés à leur insu. Jan Wandrag a composé des scènes fictives à partir de ces images en les manipulant numériquement et en plaçant les acteurs trouvés dans son histoire.
Jan Wandrag est né en Afrique du Sud en 1976. Son travail vidéo a été montré dans des festivals à New York, Cicago, Dallas et Washington DC. Jan a récemment fait pour la première fois une exposition personnelle, "Images of David+Jonathan", au Peter Halpert Fine Art à New York. Il a également participé à de nombreuses expositions collectives aux Etats Unis, en Afrique du Sud et en Europe. Jan a reçu la bourse Aaron Siskind en 2004. En 2005 il a achevé une maîtrise des beaux-arts (MFA) en "photography, video and related media" à l'école des arts visuels de New York. Il vit actuellement à New York avec son partenaire David.
Joel Wanek
Catalogue : 2014Sun Song | Doc. expérimental | hdv | couleur | 14:35 | USA | 2013
Joel Wanek
Sun Song
Doc. expérimental | hdv | couleur | 14:35 | USA | 2013
A poetic journey from the darkness of early dawn into the brightness of the midday sun in the American South. Filmed on one bus route over the course of six months in Durham, North Carolina, Sun Song is a celebration of light and a meditation on leaving.
Joel Wanek (1974, Nebraska, USA) is a filmmaker and photographer living in Oakland. Over the years he has developed a creative documentary practice that often blurs the line between subject and maker, mixes techniques of narrative and vérité modes, and uses public spaces for collaborative engagement. He holds a MFA in Experimental and Documentary Arts from Duke University.
Lingjie Wang, Jingfang HAO
Catalogue : 2013ouvrières ? | Doc. expérimental | hdv | couleur | 10:46 | Chine | 2012
Lingjie Wang, Catherine Egloffe, Andrea Palade Flondor, HAO Jingfang, Serge Desire Ouedraogo, Bouna Cherif Fofana
ouvrières ?
Doc. expérimental | hdv | couleur | 10:46 | Chine | 2012
Comment les ouvrières se voient à leur travail ? Pourquoi font elles ce métier ? Qui sont elles ? Pas seulement ici, mais aussi ailleurs. Le regard se concentre sur les femmes de l`industrie textile mais porte au delà d`un pays. Il va là où des artistes partagent cette même envie de regarder les femmes se regardant au travail. Ce qui importe d`abord c`est la manière dont chacune se voit, se pense. Les femmes parlent de leur désir, désir d`indépendance, pour le reste elles décrivent leur vie au travail, les difficultés, la dureté, le besoin de travailler, les peurs, les envies, les regrets... Souvent, elles se ressemblent, par leurs gestes attachés aux machines, mais aussi par leur histoire, le besoin d`argent, d`indépendance, certaines ont peur, d`autres se rebiffent, refusent. Ce qui importe aussi c`est la manière dont chaque artiste voit ces femmes au travail. Les croisements de regards, se font au gré des images et des paroles, sans autre guide que le jeu du loin et du proche, dans l`espace recomposé des usines, du rapport des corps aux machines, au travail.
«Images en transit », C`est un processus artistique collectif, qui a commencé en 2010 avec un travail expérimental sur le regard des femmes au travail, dans le textile. Nous sommes 6 artistes, de 3 continents, Europe, Afrique, Asie, qui avons imaginé peu à peu un dispositif pour travailler en collectif. Chacun a filmé dans son pays des ouvrières au travail, puis nous avons mis en commun les images. L?idée a été de réaliser une vidéo, avec une écriture commune, mais chacun a pu et pourra continuer à sa manière le travail engagé. Les images appartiennent au collectif et à chacun. Le temps de l`écriture collective a été celui du projet, puis celui du montage, chacun ?uvrant à partir des ses propres images et de celles des autres. Une centaines d?heures au total. Toutes les interviews ont été intégralement traduites. Le processus est expérimental et très ouvert donc. Nous ?uvrons sur l`écart des regards, l`écart dans le travail, des artistes et des femmes, les idées comme les images circulent. Co auteurs : Catherine Egloffe (France), WANG Lingjie (Chine), Andrea Palade Flondor (Roumanie), HAO Jingfang (Chine), Serge Desire Ouedraogo (Burkina Faso), Bouna Cherif Fofana (Mali)
Catalogue : 2012Flotter dans le noir | Vidéo expérimentale | | couleur | 6:23 | Chine, Mali | 2011
Lingjie Wang, Jingfang HAO
Flotter dans le noir
Vidéo expérimentale | | couleur | 6:23 | Chine, Mali | 2011
Déambulation dans la nuit, flotter dans le noir. Vidéo tournée en février 2011, à Bamako, Mali, dans le quartier Djicoroni Para, avec l`appel du muezzin radiodiffusé. Par manque d`éclairage public, le paysage de la rue ne nous est plus familier. Tout l`environnement a changé. Les maisons, les surfaces, les déchets, les plantes, jusqu`aux vêtements des passants, tout se fond dans le noir. Nous ne regardons que les lumières et les ombres, les images extraites. Le mouvement des lumières et des personnages d`ombre construit le mémoire du territoire qui passe avec le temps.
Après l`obtention d`un diplôme d`ingénieur en conception industrielle en 2007, en Chine, WANG Lingjie a décidé de poursuivre dans la création. Mais il va emprunter un chemin différent, peut-être plus difficile mais plus fondamental : l`art. Il entreprend un cursus de 5 ans d`études en France. Très curieux, ce jeune artiste a plusieurs centres d`intérêt et dans les premières années, il a exploré les technologies de l`information, l`écologie et l`architecture, qu`il a intégrées à sa démarche artistique. Il est très sensible au contexte politique et aux courants de pensées idéalistes. Aujourd`hui, il adopte une démarche qui mêle fiction et documentaire et Wang Lingjie concentre sa pratique sur l?installation, la photographie et la vidéo. Ses projets portent la marque de ses réflexions sur notre existence, nos relations avec la nature et l`univers. WANG Lingjie vit et travaille à Lorraine, France et à Shanghai, Chine.
Yu Wang
Catalogue : 2023Sous un même toit | Fiction expérimentale | mov | couleur | 20:0 | Chine | 2022
Yu Wang
Sous un même toit
Fiction expérimentale | mov | couleur | 20:0 | Chine | 2022
Bin et Yuan sont frère et sœur. Ils partagent un appartement marseillais qu’ils occupent hors des heures de travail. C’est leur espace de repos, de calme. D’ici leur lien à l’extérieur est permanent à travers leurs téléphones, connectés à toute heure du jour et de la nuit avec leur pays d’origine, la Chine, où Yuan planifie son retour.
Née en Chine, WANG Yu est une réalisatrice basée en France depuis 2018. Suite à ses précédentes études de cinéma à Pékin et Taipei, elle développe actuellement son travail entre France et Chine.
Yuyan Wang
Catalogue : 2025Look On the Bright Side | Doc. expérimental | mov | couleur | 17:2 | Chine, France | 2023
Yuyan Wang
Look On the Bright Side
Doc. expérimental | mov | couleur | 17:2 | Chine, France | 2023
In an age of wire and string, futuristic visions anchor in lithic time. In the dark, people are driven to shine in the most spectacular ways. Light, emitted from our digital extensions, has roots traversing millions, even billions of years.
Yuyan Wang, born in 1989 in China and currently based in Paris, is a filmmaker and video artist. Her works involve recycled materials from the industrial sphere of image production, tracing their mutation and proliferation within the digital frameworks and representations. Through the editing process, Wang deconstructs and recontextualizes the intricate hierarchies and inherent meanings in materials —whether found, processed, and produced—striping symbols of their conventional paths of perception and turning them into immersive sensory experiences. Wang completed her studies at the École des Beaux-Arts de Paris in 2016 and later at Le Fresnoy - Studio national des arts contemporains in 2022. Her work has been showcased at Tate Modern, Palais de Tokyo, UCCA Beijing, the 12th Berlin Biennale and various festivals, such as the Berlinale International Film Festival, the International Film Festival Rotterdam, MoMa Doc Fortnight, CPH:DOX, the European Media Art Festival, receiving numerous awards.
Catalogue : 2025The Moon Also Rises | Doc. expérimental | hdv | couleur | 23:40 | Chine, France | 2024
Yuyan Wang
The Moon Also Rises
Doc. expérimental | hdv | couleur | 23:40 | Chine, France | 2024
Alors que le lancement de lunes artificielles est imminent, un couple de retraités trouve refuge dans une obscurité qui s'estompe. En tentant de rattraper le rythme de la modernité, leur quotidien retrace la généalogie de cette luminosité à venir jusqu’à ses origines terrestres.
Yuyan Wang (b. 1989, China) is a filmmaker and multidisciplinary artist. Her work focuses on the impact of image creation in media, representation, and the attention economy. By deconstructing and recontextualizing inherent meanings of found materials, her practice probes the continual mutations within the industrial production chain of images, a perpetual development leading to an abstraction of reality. Her work has been showcased at Tate Modern, Palais de Tokyo, the 12th Berlin Biennale and various festivals, such as Berlinale, IFFR, European Media Art Festival, Indie Lisboa, receiving numerous awards.
Lingjie Wang, Catherine Egloffe, Andrea Palade Flondor, HAO Jingfang, Serge Desire Ouedraogo, Bouna Cherif Fofana
Catalogue : 2013ouvrières ? | Doc. expérimental | hdv | couleur | 10:46 | Chine | 2012
Lingjie Wang, Catherine Egloffe, Andrea Palade Flondor, HAO Jingfang, Serge Desire Ouedraogo, Bouna Cherif Fofana
ouvrières ?
Doc. expérimental | hdv | couleur | 10:46 | Chine | 2012
Comment les ouvrières se voient à leur travail ? Pourquoi font elles ce métier ? Qui sont elles ? Pas seulement ici, mais aussi ailleurs. Le regard se concentre sur les femmes de l`industrie textile mais porte au delà d`un pays. Il va là où des artistes partagent cette même envie de regarder les femmes se regardant au travail. Ce qui importe d`abord c`est la manière dont chacune se voit, se pense. Les femmes parlent de leur désir, désir d`indépendance, pour le reste elles décrivent leur vie au travail, les difficultés, la dureté, le besoin de travailler, les peurs, les envies, les regrets... Souvent, elles se ressemblent, par leurs gestes attachés aux machines, mais aussi par leur histoire, le besoin d`argent, d`indépendance, certaines ont peur, d`autres se rebiffent, refusent. Ce qui importe aussi c`est la manière dont chaque artiste voit ces femmes au travail. Les croisements de regards, se font au gré des images et des paroles, sans autre guide que le jeu du loin et du proche, dans l`espace recomposé des usines, du rapport des corps aux machines, au travail.
«Images en transit », C`est un processus artistique collectif, qui a commencé en 2010 avec un travail expérimental sur le regard des femmes au travail, dans le textile. Nous sommes 6 artistes, de 3 continents, Europe, Afrique, Asie, qui avons imaginé peu à peu un dispositif pour travailler en collectif. Chacun a filmé dans son pays des ouvrières au travail, puis nous avons mis en commun les images. L?idée a été de réaliser une vidéo, avec une écriture commune, mais chacun a pu et pourra continuer à sa manière le travail engagé. Les images appartiennent au collectif et à chacun. Le temps de l`écriture collective a été celui du projet, puis celui du montage, chacun ?uvrant à partir des ses propres images et de celles des autres. Une centaines d?heures au total. Toutes les interviews ont été intégralement traduites. Le processus est expérimental et très ouvert donc. Nous ?uvrons sur l`écart des regards, l`écart dans le travail, des artistes et des femmes, les idées comme les images circulent. Co auteurs : Catherine Egloffe (France), WANG Lingjie (Chine), Andrea Palade Flondor (Roumanie), HAO Jingfang (Chine), Serge Desire Ouedraogo (Burkina Faso), Bouna Cherif Fofana (Mali)
Catalogue : 2012Flotter dans le noir | Vidéo expérimentale | | couleur | 6:23 | Chine, Mali | 2011
Lingjie Wang, Jingfang HAO
Flotter dans le noir
Vidéo expérimentale | | couleur | 6:23 | Chine, Mali | 2011
Déambulation dans la nuit, flotter dans le noir. Vidéo tournée en février 2011, à Bamako, Mali, dans le quartier Djicoroni Para, avec l`appel du muezzin radiodiffusé. Par manque d`éclairage public, le paysage de la rue ne nous est plus familier. Tout l`environnement a changé. Les maisons, les surfaces, les déchets, les plantes, jusqu`aux vêtements des passants, tout se fond dans le noir. Nous ne regardons que les lumières et les ombres, les images extraites. Le mouvement des lumières et des personnages d`ombre construit le mémoire du territoire qui passe avec le temps.
Après l`obtention d`un diplôme d`ingénieur en conception industrielle en 2007, en Chine, WANG Lingjie a décidé de poursuivre dans la création. Mais il va emprunter un chemin différent, peut-être plus difficile mais plus fondamental : l`art. Il entreprend un cursus de 5 ans d`études en France. Très curieux, ce jeune artiste a plusieurs centres d`intérêt et dans les premières années, il a exploré les technologies de l`information, l`écologie et l`architecture, qu`il a intégrées à sa démarche artistique. Il est très sensible au contexte politique et aux courants de pensées idéalistes. Aujourd`hui, il adopte une démarche qui mêle fiction et documentaire et Wang Lingjie concentre sa pratique sur l?installation, la photographie et la vidéo. Ses projets portent la marque de ses réflexions sur notre existence, nos relations avec la nature et l`univers. WANG Lingjie vit et travaille à Lorraine, France et à Shanghai, Chine.