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Tassos Papatsoris
Catalogue : 2006Vanitas | Animation | dv | noir et blanc | 4:0 | Grèce, Royaume-Uni | 2004

Tassos Papatsoris
Vanitas
Animation | dv | noir et blanc | 4:0 | Grèce, Royaume-Uni | 2004
"Vanitas" est un film d'animation avec une peronnage très expérimental. C'est un effort pour créer une contradiction entre le style du 2D, l'animation traditionnelle (noir et blanc) et une histoire,caractérisée par un concept choquant et inhabituel pour un tel type d'oeuvre. La représentation explicite et détaillée d'un acte très choquant (comme l'est le suicide) en utilisant le dessin animé et des personnages comiques, crée au final une oeuvre étrange et dure qui choque le public. Le projet souligne le fait que la vie éternelle prometteuse après la mort n'existe peut-être pas, et que les théories religieuses soutenant ce concept sont aussi irréelles que le sont les dessins animés.
ETUDES 1996-2002 : Ecole des Beaux-Arts d'Athènes - Licence des Beaux-Arts (Peinture) 2004-2005 : University of West England - Maîtrise d'Animation. EXPERIENCES 1996-2000 : Dessin d'après modèle à la N.Stefos foundation art school (17 Kallifrona Street, 11256 Athènes) 1997-2002 : Dessin d'après modèle à la D.Giotakis foundation art school (8 S.Merkouri Street, 11632 Athènes)
Rotraut Pape
Catalogue : 2018Berlin Wall: Vertival Horizon | Doc. expérimental | hdv | couleur | 131:0 | Allemagne | 2015
Rotraut Pape
Berlin Wall: Vertival Horizon
Doc. expérimental | hdv | couleur | 131:0 | Allemagne | 2015
The wall and what it symbolized stood out as a negative horizon throughout my entire life, which began in 1956 in Berlin, five years before the construction of the wall. Only one week after the wall came down, its disappearance was already foreseeable. I set out with a camera one last time to film continuously along the wall on November 17th 1989. The two-and-a-half hour route begins at the river Spree in Kreuzberg, follows the painted wall along deserted streets to Checkpoint Charlie, around Potsdamer Platz up to the Brandenburg Gate, ending after seven kilometers behind a desolate Reichstag with a view across the Spree, where the new government buildings now stand.
Filmmaker, artist, university professor. Born 1956 in Berlin, studied fine art / experimental film at the University of Fine Arts Hamburg. She specialized early on the media of film/video/computer, though was interested less in their technological possibilities – although she mastered these with virtuosity – than in their artistic potential to develop formulations for interrogating society politically and ethically. Performance and installation play a major role in her work (including in her videos and films), both as actual performances and as interactive experimental arrangements. Screenings, exhibitions, publications and talks at home and abroad. Professor for Film/Video at the Academy of Art and Design Offenbach.
Véréna Paravel, Lucien Castaing-Taylor
Catalogue : 2018Somniloquies | 0 | 4k | couleur | 73:0 | Suisse | 2017
Véréna Paravel, Lucien Castaing-Taylor
Somniloquies
0 | 4k | couleur | 73:0 | Suisse | 2017
Quand dormir devient un art, c'est la démarche tout à fait étonnante et inhabituelle des cinéastes Lucien Castaing-Taylor et Verena Parave. Ensemble ils restituent les rèves sonores obsessionnels d'un homme et filment des corps en veille aux contours indéfinis comme les limbes. Un documentaire entre deux dimensions.
Véréna Paravel, née en 1971 à Neuchâtel en Suisse, et Lucien Castaing-Taylor, né en 1966 à Liverpool, sont artistes et anthropologues. Ils vivent et travaillent aux Etats-Unis. Véréna Paravel a étudié l’anthropologie à l’Ecole nationale supérieure des Mines de Paris et à l’Université de Toulouse. Lucien Castaing-Taylor a étudié la philosophie, la théologie et l’anthropologie à l’université de Berkeley en Californie et est professeur à l’Université de Harvard, en arts visuels et anthropologie. Leur travail se déploie en cinéma, vidéo et photographie. Dans ce processus de réinvention de la relation entre leurs deux domaines, l’anthropologie et le cinéma, ils ont fondé en 2008 un laboratoire expérimental à l’université de Harvard, le Sensory Ethnography Lab. Les films qui y sont crées ont une approche décentrée de la pratique visuelle et de l’image en mouvement ; la caméra ne se focalise pas sur les humains comme s’il s’agissait d’acteurs privilégiés dans le monde qui les entoure mais plutôt sur le tissus des relations affectives créées dans le monde physique, en relation avec les éléments naturels, les animaux et la technologie. Leur premier long métrage, « Caniba », réflexion sur la signification du désir cannibale dans l’histoire et la culture a obtenu le Prix spécial du jury Orizzonti au Festival international du film de Venise (2017). Leur film « Leviathan » a obtenu le Prix de la critique FIPRESCI (2015), ainsi que le prix Douglas Edward du film expérimental et indépendant, décerné par la Los Angeles Film Critics Association (2012). Leur travail a également été montré à la Biennale du Whitney Museum.
Bob Paris
Catalogue : 2010Shadow of a Doubt | Film expérimental | dv | noir et blanc | 6:10 | USA | 2009

Bob Paris
Shadow of a Doubt
Film expérimental | dv | noir et blanc | 6:10 | USA | 2009
Bob Paris is a video artist whose work has screened at the Whitney Biennial, the Long Beach Museum of Art, the Image Forum in Tokyo, and a variety of other venues around the world. Many of his videos use appropriated imagery to form critiques of mass media and popular culture.
Guillaume Paris
Catalogue : 2017Bad Anima | Animation | hdv | couleur | 2:50 | France | 2012
Guillaume Paris
Bad Anima
Animation | hdv | couleur | 2:50 | France | 2012
Cecile Paris
Kelvin Kyung Kun Park
Catalogue : 2008Invitation to a Peaceful City | Documentaire | dv | couleur | 53:0 | Coree du Sud | 2005

Kelvin Kyung Kun Park
Invitation to a Peaceful City
Documentaire | dv | couleur | 53:0 | Coree du Sud | 2005
Pyong-taek, une ville de Corée du Sud accueil en ce moment 2 larges bases militaires américaines. Des projets d'extension sont prévus qui feraient des bases existantes la plus large installation militaire américaine de l'Asie de l'est en 2007. Les terres des fermiers à Pyong-taek ont déjà été volées par les Japonais et les Américains par le passé. Les fermiers expulsés de leurs terres vivent toujours dans des conditions extrêmes aux alentours des bases américaines, cependant, ils sont maintenant organisés pour combattre l'extension de la future base. Des conflits entre les résidents commencent quand les commerçant qui font des affaires avec la base sont pour cette extension. Les fermiers à Pyong-taek continuent leurs combats contre l'armée américaine pour garder leur village. Le film questionne les idées d'histoire et de souvenirs mélangés dans le paysage mais aussi les témoignages d'un pays où les vestiges des batailles idéologiques menées pendant la guerre froide domine toujours le discours politique. A travers la perspective personnelle du réalisateur, le film essaye de montrer les villes adjacentes aux bases militaires et les gens y habitant. En 2005, quand la guerre en Irak continue, peut-être la présence de l'armée américaine et la manière dont ses politiques sont exécutées ne sont pas les seuls symptômes de Pyong-taek, Corée du Sud.
Kelvin Kyung Kun Park est né en Corée du Sud en 1978 et a vécu de pars le monde depuis son enfance. Il a termine un diplôme en Film et Vidéo de la California Institute for the Arts aux états unis. C'est un soldat dans un régiment d'artillerie, en train de finir son service militaire obligatoire au sein de l'armée de la République de Corée. Après l'armée, il souhaiterait travailles sur différents matériaux afin de produire des travaux significatifs.
Kelvin Kyung Kun Park
Catalogue : 2015A Dream of Iron | Vidéo | hdv | couleur et n&b | 100:0 | Coree du Sud | 2013
Kelvin Kyung Kun Park
A Dream of Iron
Vidéo | hdv | couleur et n&b | 100:0 | Coree du Sud | 2013
A love story comes to an end when a woman sets out in search of a shamanic god. Director Kelvin Kyung Kun Park takes the trauma of a spurned lover as the starting point for his own search for a god. He makes several finds across various narrative strands – among whales in the sea, in a shipyard, at a steelworks. All of them are giants of their respective times: vast, sublime, godlike. Park’s imagery also evokes the divine: embers and steel, sparks and fire; people dwarved by huge cogwheels, robbed of their individuality. A brave new world in which workers produce modern industrial goods, even as industry has long since been producing the modern worker. Work is a god we have submitted to. Yet every existence is temporary and fleeting, which applies in equal measure to both relationships and gods. CHEOL-AE-KUM carries a unique signature. Park weaves together his different narrative strands into a complex documentary work of shamans and propellers, whales and industrial halls. His editing suite comes to resemble a piece of welding equipment, the soundtrack a commanding symphony of industrial noise, whale song, Gustav Mahler and shamanic songs.
Born in 1978 in Seoul, South Korea. He earned his BA in design and media arts from the University of California, Los Angeles and holds an MFA in film and video from the California Institute of the Arts. He is currently based in Seoul, working in the medium of film and video, photography and installations and as a lecturer.
Jean Taek Park
Catalogue : 2014One Rainy Night | | hdcam | couleur | 10:1 | Coree du Sud | 2013
Jean Taek Park
One Rainy Night
| hdcam | couleur | 10:1 | Coree du Sud | 2013
One man is on his way home where he could not feel at home. He dreams of fleeing away but in the same time tries to settle down by building a room within the house with laser beams. Looking into particles floating in the air which are not visible under normal light conditions he finds that the natural movements of air seems to resonate with his emotions.
Jean Taek Park is an architect. Born in Seoul 1975, he grew up in the time of rapid economic growth and mass construction. Places where he lived in had completely transformed. Naturally he became interested in architecture not as an iconic object nor a perfect shelter but rather as a time-space which one could emotionally attach to it. He uses film to discover a new dimension of time-space.
Jayne Parker
Catalogue : 2006Stationary Music | Film expérimental | | noir et blanc | 15:24 | Royaume-Uni | 2005

Jayne Parker
Stationary Music
Film expérimental | | noir et blanc | 15:24 | Royaume-Uni | 2005
La Stationnairy music prend son nom du premier mouvement de la sonate 1 Stefan Wolpe composée en 1925. Cette sonate est introduite et jouée par sa fille, la pianiste Katharina Wolpe. La stationary music ne développe ni ne joue une music qui ne bouge pas : after the fire what Shall we do? ?firsT onE step; aFter thAt,aNother.? We?re alOne the music is difficuLt to Play. wE must work at it. In Memoriam S. W.`, accousituque par John Cage
Née en 1957 à Nottingham, Jayne PARKER a vécu et travaillé à Londres depuis 198µ0 ; Son intérêt dans la réalisation de film commence alors qu?elle étudie la sculpture au Collège des Arts de Canterburry et qu?elle continuait à l?Ecole des Beaux Arts de Slade dans le département des Media Expérimentaux. Elle a été chargée de cours temporaire au Goldsmith College de 1984 à 1988 et a enseigné à Slade depuis 1989. Son travail a été largement exposé nationalement et internationalement dans des institutions de premiers rangs, à la télévision et dans des festivals et films et de musique. En 1997,son film, Crystal Aquarium a reçut le grand prix au festival du film de la ville d?Oberhausen à Oberhausen Short Film Festival. Il se trouve aussi dans la Art Council Collection. En 2003, elle fut la réceptrice de la 1871 Fellowship, recherchant la relation entre le film et la musique, hôte de la Ruskin School of Drawing, des Instituts d?Art d?Oxford et de San Fransisco. La plupart de ces dernières ?uvres utilise une performance musicale.
Lucy Parker
Catalogue : 2015Writers Group (Some Grit, Some Flames) | Doc. expérimental | hdv | couleur | 30:0 | Royaume-Uni | 2013
Lucy Parker
Writers Group (Some Grit, Some Flames)
Doc. expérimental | hdv | couleur | 30:0 | Royaume-Uni | 2013
In this staged writers meeting members of the groups share their work; poetry and prose. The discussions unfold around the reception of their works demonstrating codes of criticism and politeness, selfhood and aspiration. The group replicates an autonomous gathering, each member having their own agenda for taking part. The intimacy of the camera, close-up to the characters, creates a feeling of being in the room. The guest, the viewer is invited to understand the sentiment of the members. This video developed from research into community writing groups associated with the Federation of Worker Writers and Community Publishers. The Federation was established in the 1970’s and created a network between groups UK wide, also making associations with groups abroad.
Lucy Parker live in London. Her film and video works take the starting point of contemporary and historic pedagogic situations to explore how ideas are disseminated between individuals. She is interested in ways collaboration can impact on the production and distribution of works. Her films have been shown at film festivals in the UK and Internationally, she has a Masters in Fine Art from Goldsmiths University. Lucy lectures in filmmkaing at Kingston University.
Maximiliano Parlagreco, Micaela Pinalli
Catalogue : 2020Yo La Tengo | VR expérimental | 0 | couleur | 0:0 | Argentine | 2018
Maximiliano Parlagreco, Micaela Pinalli
Yo La Tengo
VR expérimental | 0 | couleur | 0:0 | Argentine | 2018
When the Lumière brothers invented the cinematograph in 1985, they quickly understood that the spectator's curiosity was aroused by the mere reflection of reality: people were flabbergasted at watching situations that they usually took for granted, such as a train arriving at a station or workers leaving a factory. In this piece we scanned objects and environments which make up our conception of reality and placed them in a virtual space by using photogrammetry, a 3D reconstruction technique. We allow the users to experience a twist on the conception of time and space they are used to by altering the dimensions of the scans, placing them on new positions, and embracing the errors that occur when capturing reality. The result is an absurdly atypical territory which can be navigated via teleportation as if it were a new planet. The spectator is physically circumscribed to a narrow perimeter but virtually the limits become fuzzy and elusive, every direction is equivalent and their individual and uniqueexploration will force them to reflect on the nature of virtual reality.
Maximiliano Parlagreco is an audiovisual design student (FADU, UBA) who’s interested in the impact of technology on society and the fuzzy line which divides reality from virtuality. He has employed photography, video, creative coding and digital animations in an experimental way to create navigable universes which are slightly different from the one we live in. Lately he’s ventured both in the field of virtual and augmented reality, as well as that of artificial intelligence, exploring the human-machine symbiosis that occurs in these devices. Micaela Pinalli is an audiovisual design student (FADU, UBA) who has worked in analogue and digital found footage creation with a great interest in montage and the way accidental interactions between shots creates a meaning. She currently develops projects ranging from interactive and graphic design to photography and animation. Since June 2019 she's been running the independent publisher Cuarto Ciego, where she creates and sells artistic graphic pieces.
Claudio Parodi
Catalogue : 2006Mu | Création sonore | 0 | | 13:59 | Italie | 2005

Claudio Parodi
Mu
Création sonore | 0 | | 13:59 | Italie | 2005
Mu est une étude de manipulation du bruit produit par un magnétophone fonctionnant à vide.
L`italien Claudio Parodi a une formation de pianiste classique. Depuis quelques années il joue des instruments électroniques qu`il a lui-même construits ou modifiés et, plus récemment, des instruments à anches non-occidentaux. Il collabore avec de nombreux musiciens, danseurs, des poètes, des acteurs, des peintres, des vidéastes.
Tania Parovic
Catalogue : 2008ATTENTATE | Film expérimental | dv | couleur et n&b | 10:40 | Allemagne | 2006

Tania Parovic
ATTENTATE
Film expérimental | dv | couleur et n&b | 10:40 | Allemagne | 2006
Le terme attentat décrit le meurtre planifié, tenté ou réussi d'une figure symbolique. Le but d'un telle attaque n'est pas la mort d'une personne privée. Un attentat est la destruction du rôle de la personne en tant que personnage politique, sociale ou publique. Le projet assemble une collection d'attentats qui d'une manière ou d'une autre ont été documentés. Comme une série, de structure homogène, dans laquelle les différents aspects d'un attentat sont répertoriés, comme les scènes de crimes, la couverture des médias, les motifs, spéculations, deuils collectifs, victimes, commémorations d'attentats. Avec le coté série en tête il y a une sorte de jeu qui se déroule, procurant la possibilité de faire ressortir un aspect particulier d'un attentat, que ce soit la victime, le motif ou bien l'attentat en soi, et de s'en servir d'exemple. De la mise en série de ces attentats résulte en une corrélation continue entre les différents faits, un changement de thème entre les séries, qui en montre surtout leur caractère interchangeable. Ce n'est pas le sens d'une image ou d'un texte en particulier qui est important en le traitant artistiquement. Ce qui est plus important, ce sont les associations et les interprétations que font le public et les interactions entres les images.
Tania Perovic est ne en 1977 à Achen en Allemagne. Elle finit en 2002 son Diploma en communication à l'academy des Arts de Maastricht, holland, avec le film "0709". Entre 2003 et 2005, elle étudie a l'académie des arts de Cologne et travaille sur differents projets pour la televisiion. Elle recoit son diplome en 2006 pour "Attentate".
Agustín Parra
Catalogue : 2009Autorretrato 2 | Performance | dv | couleur et n&b | 1:42 | Colombie | 2008

Agustín Parra
Autorretrato 2
Performance | dv | couleur et n&b | 1:42 | Colombie | 2008
« Autorretrato » (« Autoportrait ») appartient à une série de performances vidéo qui explorent les techniques de base du dessin, en faisant le lien avec l?idée d?auto-représentation. La vidéo présente l'ombre d'une main qui essaie de dessiner son contour. Comme l'ombre est instable et immatérielle, le dessin essaie d'établir les limites de cette forme insaisissable, qui ne peuvent, par leur nature même, être fixées.
Né en 1964 le long de la côte caraïbe de la Colombie, Agustin Parra est auteur d'une thèse de doctorat sur la psychologie et l?art. Plus tard, il a obtenu également un doctorat en sculpture à l'Université du Pays Basque, en créant une méthodologie pour le développement de la créativité corporelle. À la même période, il était en résidence d?artiste à la Fondation Pistoletto (Italie). Agustin est professeur d'université depuis 1987 et enseigne actuellement à l'Université d?Antioquia de Medellin (Colombie).
Arnold Pasquier
Catalogue : 2021Ivry-sur-Seine | Fiction expérimentale | hdcam | noir et blanc | 8:45 | France | 2020

Arnold Pasquier
Ivry-sur-Seine
Fiction expérimentale | hdcam | noir et blanc | 8:45 | France | 2020
Dans un appartement, des amis se retrouvent, se rencontrent et s'embrassent.
Arnold Pasquier est l’auteur d'une œuvre qui couvre les champs de la fiction, du documentaire, de l'essai, et du cinéma expérimental. Il partage son activité entre projets personnels, enseignement, et collaborations en tant que chef-opérateur et monteur. Dès ses études d’arts plastiques et de cinéma, il réalise des essais en Super 8 et en vidéo, où il mêle journaux filmés et fictions. À vingt ans, il se rapproche de la danse contemporaine et collabore avec des chorégraphes comme documentariste (Mathile Monnier, Josef Nadj, Dominique Boivin, Christian Rizzo) et comme danseur (Ami Garmon, Régis Huvier, Felix Ruckert, Julie Desprairies). En 1997, il est résident au Fresnoy - Studio national des arts contemporains à Tourcoing (France). En 2004, à la faveur d’une bourse "Villa Médicis hors-les-murs" de l’AFAA – Association française d’action artistique, il réalise au Brésil le film de long métrage "Celui qui aime a raison". Cette expérience marque un intérêt pour la représentation de la ville et de l’architecture, qui se développe avec "L'Italie" (2012), puis "Borobudur" (2015).
Catalogue : 2020L'amour moderne [solitude] | Doc. expérimental | hdv | noir et blanc | 35:0 | France, Brésil | 2019
Arnold Pasquier
L'amour moderne [solitude]
Doc. expérimental | hdv | noir et blanc | 35:0 | France, Brésil | 2019
Le film propose une promenade architecturale dans le centre historique de Salvador de Bahia, au Brésil, dans les pas de l'architecte italo-brésilienne Lina Bo Bardi. A la fin des années 80, elle entreprend une intervention de récupération des espaces publics ainsi que la restauration de quelques bâtiments.
Arnold Pasquier est l’auteur d'une œuvre qui couvre les champs de la fiction, du documentaire, de l'essai et du cinéma expérimental. Il partage son activité entre projets personnels, enseignement et collaborations en tant que chef-opérateur et monteur. Dès ses études d’arts plastiques et de cinéma, il réalise des essais en Super 8 et en vidéo où il mêle journaux filmés et fictions. À vingt ans, il se rapproche de la danse contemporaine et collabore avec des chorégraphes comme documentariste (Mathile Monnier, Josef Nadj, Dominique Boivin, Christian Rizzo) et comme danseur (Ami Garmon, Régis Huvier, Felix Ruckert, Julie Desprairies). En 1997, il est résident au Fresnoy, Studio national des arts contemporains à Tourcoing. En 2004, à la faveur d’une bourse «Villa Médicis hors-les-murs» de l’AFAA, il réalise au Brésil le film de long métrage Celui qui aime a raison. Cette expérience marque un intérêt pour la représentation de la ville et de l’architecture qui se développera avec L'Italie (2012), puis Borobudur (2015).
Catalogue : 2019L'amour moderne [allemagne] | Fiction | 4k | couleur | 10:44 | France, Brésil | 2018

Arnold Pasquier
L'amour moderne [allemagne]
Fiction | 4k | couleur | 10:44 | France, Brésil | 2018
Après avoir fait l'amour, deux hommes étrangers l'un à l'autre communiquent en traduisant questions et réponses via un écran de téléphone. L'un est brésilien, l'autre allemand, et ce dernier quitte São Paulo le jour-même. S'embrasser encore une fois, puis embrasser la ville d'une étreinte qui retient l'instant d'une présence passagère.
Arnold Pasquier est l'auteur de plus de 70 films qui couvrent les champs de la fiction, du documentaire, de l`essai et du cinéma expérimental. Il est metteur en scène, producteur d`émissions radiophoniques, acteur et danseur. Il partage son activité entre projets personnels, enseignement et collaborations en tant que chef-opérateur et monteur. Dès ses études d'arts plastiques et de cinéma, il réalise des essais en Super 8 et en vidéo où il mêle journaux filmés et fictions. A vingt ans, il se rapproche de la danse contemporaine et collabore avec des chorégraphes comme documentariste (Mathile Monnier, Josef Nadj, Dominique Boivin, Christian Rizzo) et comme danseur (Ami Garmon, Régis Huvier, Felix Ruckert, Julie Desprairies). En 1997, il est résident au Fresnoy, Studio national des arts contemporains à Tourcoing où il conçoit l'installation multimédia C'est ici que je donne des baisers et en 1999, il présente dans la Grande Nef le spectacle C'est merveilleux. En 2004, à la faveur d'une bourse «Villa Médicis hors-les-murs» de l'AFAA, il réalise au Brésil le film de long métrage Celui qui aime a raison. Cette expérience marque un intérêt pour la représentation de la ville et de l'architecture qui se développera avec L`Italie (2012)5, puis Borobudur (2015) et les 12 films de l`exposition Lina Bo Bardi, enseignements partagés (2017) présentés à l`école d`architecture de Paris-Belleville.
Catalogue : 2016Borobudur | Fiction | hdv | couleur et n&b | 80:0 | France, Italie | 2015
Arnold Pasquier
Borobudur
Fiction | hdv | couleur et n&b | 80:0 | France, Italie | 2015
Federico est étudiant en architecture à Palerme. Il parcourt la ville à la recherche de bâtiments moderne qu’il dessine et photographie. Dans un parc, il rencontre un jeune homme, Borobudur, qui va lui ouvrir les portes d’une autre urbanité. Dans le sillage de ce garçon magique, Federico abandonne son quotidien et découvre une ville qui le métamorphose.
Arnold Pasquier est né à Paris en 1968. Dès ses études d’arts plastiques et de cinéma, il réalise des essais en Super 8 et en vidéo dans lesquels il développe un univers de journaux filmés et de fictions. À vingt ans, il se rapproche de la danse contemporaine et collabore avec des chorégraphes comme documentariste et comme danseur. Cette expérience marque la réalisation d’une œuvre où la danse tient une place importante. En 1997, il est reçu comme résident au Fresnoy, Studio national des arts contemporains à Tourcoing où il conçoit l’installation C’est ici que je donne des baisers. En 1999, il présente dans la Grande Nef du Fresnoy le spectacle C’est merveilleux pour 10 danseurs et acteurs. Il est l’auteur de nombreux films (fiction, documen- taire, art vidéo), de mises en scène de spectacles, de scénographies, d’émissions de radio pour les Ateliers de Création Radiophonique de France Culture. Son travail s’articule aux croisements de ces différentes disciplines. En 2004-2005, à la faveur d’une résidence de l’association française d’action artistique, programme, «Villa Médicis hors-les-murs», il réalise le film Celui qui aime a raison fiction de long métrage sortie en salle en 2006.Il collabore avec des cinéastes et des plasticiens comme cadreur ou monteur.
Arnold Pasquier
Arnold Pasquier
Catalogue : 2018O amor moderno | Vidéo | hdv | couleur | 8:52 | France, Brésil | 2017
Arnold Pasquier
O amor moderno
Vidéo | hdv | couleur | 8:52 | France, Brésil | 2017
L'installation vidéo d'Arnold Pasquier fait partie d'une série qui vise à reflèter les conditions d'une expérience sentimentale en lien avec un paysage et à inventer la forme spectaculaire d'un amour contemporain. Deux paysages creusent une absence et révélent la possibilité d'une rencontre. D'une part, une sculpture monumentale couvre les ruines du village de Gibellina en Sicile, détruit par un tremblement de terre; d'autre part, une autoroute coupe irrémédiablement en deux un quartier d'immigrants italiens de la ville de Sao Paulo au Brésil. Ce cercueil blanc, ce moulage en béton débordant, offre une nouvelle scène pour exprimer - jour et nuit - un amour qui est en lui-même l'invention d'une forme d'amour.
Arnold Pasquier est né en 1968 à Paris. Dès ses études d’arts plastiques et de cinéma à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, il réalise des essais en super 8 et vidéo dans lesquels il développe un univers de journaux filmés et de fictions. À vingt ans, il se rapproche de la danse contemporaine et collabore avec des chorégraphes en tant que documentariste et danseur. Ces expériences inaugurent la réalisation d’une oeuvre où la danse tient une place importante. En 1997, il intègre le Fresnoy, Studio national des arts contemporains. Arnold Pasquier est l’auteur de nombreux films, vidéos, documentaires, fictions, mises en scène de spectacles et émissions radiophoniques : son travail se dèveloppe au croisement de ces différentes disciplines. Ses films ont été présentés et primés dans de nombreux festivals de cinéma en France et à l’étranger (Festival du film de Locarno, Festival Côté Court à Pantin, Vidéodanse, Biennale de Busan, FIDMarseille, Rencontres Internationales Paris Berlin Madrid). En 2005, il est lauré d’une bourse Villa Médicis Hors les Murs et il réalise le film Celui qui aime a raison au Brésil, sorti en salle en 2006. Son film Notre amour est présenté en sélection officielle au Festival du film de Locarno en 2009. En 2012, il présente un court métrage intitulé L’Italie et, lauréat d’une résidence de réalisation du Festival Côté Court de Pantin, il achéve la réalisation d’un long métrage de fiction expérimentale, Si c’est une île, c’est la Sicile.
Chiara Passa
Catalogue : 2022Still Life | Virtual/Augmented/eXtended Rea | 4k | couleur | 0:0 | Italie | 2020
Chiara Passa
Still Life
Virtual/Augmented/eXtended Rea | 4k | couleur | 0:0 | Italie | 2020
“Still life” is an art-installation both physical - because it is composed of several AR sculptures made of ceramic, 3D printing, and other materials - and VR, because it is usable through oculus rift 3D viewer. “Still life” analyses the processes of nature by investigating the relation with it and what is represented in art nowadays as still life. The VR artwork puts in question what is really dead in nature and what is still alive in history of art, by speculating on landscapes, paintings and objects, and so creating through virtual reality an object-oriented space formed by a vibrant still-life environment designed all around the spectators. To design the vr artwork’s environment I used the techniques of photogrammetry and 3D scan objects, then I worked on manipulating the related maps/textures. The onlookers wearing the headset can touch the things ( i.e. food, flowers, fake dead animals, plants, rocks, shells, drinking glasses, books, vases, jewellery, coins, pipes, etc. ) in the still-life recreated by the real objects placed physically on situ. Audience can discover hidden senses by interacting with wired objects and new spaces of perception unfolding into diverse meanings. I make a sort of Duchampian détournement / decontextualization on the use of the vr medium itself, by designing immersive milieu in which, sometimes, the vr camera view angle is locked at 180°, 220°, or 310° instead of 360°. So, the onlooker is forced to peek/peep through the real space, into a reconstructed and resized immersive space sometimes semi-open or semi-closed, but made of wired geometric angles and futuristic views, playing with the concept of infinite including infinitely large, infinitely small, micro and macro dimensions, producing an unexpectable slide and shift of meaning. “Still life” is an experimental project, which challenges physical place to render it vibrant and participatory. It is through audience experience that “Still life” addresses us to the paradox of the modern space-time condition, even more diluted between physical and liquid space. “Still life” is part of a vr research project which I began in 2015 and which slots into my artistic journey since 1997, the fruit of a deep interest in space and how it is transformed and shaped “by” and “in” the language of informatics. In software and electronic devices, I find potential vehicles for the investigation and visualization of my research and theories. My “Still life” by investigating and analysing the ancient and fervid European Still Life art-practice, wants to keep alive its tradition across the magical ontology of the VR vision. In “Still life” I designed each piece to behave and move beyond its own functionality, according also to the Object Oriented Ontology philosophy.
Chiara Passa, visual artist (b. Rome 1973) working in media art since 1997. I graduated (M.F.A.) from the Fine Arts Academy of Rome, Master in audio-visual media at the Faculty of Modern Literature. After living in many different places I’m currently living and working around & in Rome. My artistic research analyses differences in virtual spaces through a variety of techniques technologies and devices - often using virtual reality and augmented reality technologies as an artistic medium to explore architecture as interface. I use VR and AR to comprise their intrinsic language and so on for shaking-up and challenging the static notion of architecture, by exploring the liminal duality between tangible and virtual place, achieving in art a strange oscillation between spaces. Yet, I work with animations, net-artworks, interactive and site-specific video-installations and AR / VR video-sculptures, sometimes made of Carrara marble, fresco technique, plexiglass, or 3D printing parts. Yet, I use VR medium in order to create site-specific video installations using a wide range of google cardboards. Typically, the 3D viewers are installed all over the real space, designing geometric shapes in liminal areas where onlookers can peek/peep thru 3D viewers over the wall, and so immerse themselves into a re-constructed/resized VR space made of wired geometric angles and futuristic views, sometimes semi-open or semi-closed at 180°, 220° or 360°, so highlighting the paradox of the modern space-time condition, which nowadays is even more diluted in between physical and liquid space. My work has been internationally exhibited from festivals, conferences, and institutions, including: 2019 «Object Oriented Space». Solo show at Museum MLAC Rome. «Virtual Natives – Sculpture», Roehrs & Boetsch gallery, Zurich (2019); «Oslo Night show», HEK Museum Basel (2018); «InSonic» immersive art show, ZKM | Center for Art and Media Museum, Karlsrhue (2017); «From live architecture: Dimensioning», solo show at Furtherfield gallery, London (2016); «Off Biennale Cairo» (2015-2016); «ISEA Disruption», Conference and exhibition at Vancouver Art Gallery. (2015); «Morphos», Vortex Dome - immersion media, Los Angeles (2014); Media Art Histories IV - RENEW conference, Riga. (2013). FILE | Electronic Language International Festival, São Paulo. (2011); Electrofringe - festival of new media art, Newcastle, Australia. (2008); BizArtCenter, Shangai (2005); MACRO – Museo di Arte Contemporanea, Roma (2004), 11° Biennale of young artists of Europe and the Mediterranean countries: «Cosmos - a sea of art», Athens. (2003); 48a Biennale di Venezia (with Oreste group), Venezia (1999) e Fondazione Bevilacqua La Masa, Venezia (1999).
Gregor Passens
Catalogue : 2007Wake up | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 5:18 | Allemagne, Argentine | 2005

Gregor Passens
Wake up
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 5:18 | Allemagne, Argentine | 2005
Dans le cratère d'un volcan à Catamarca, Argentine, un feu d'artifice est allumé à l'aube, à 4000 mètres d'altitude.
Gregor Passens Né en 1974, vit et travaille à Munich et Buenos Aires, Argentine. Il a étudié à l'académie des arts de Munich, où il faisait partie du cours du professeur Nikolaus Gerhart; diplôme (2002). Bourses d'études (sélection): 2002 - 2003 bourse annuelle du DAAD, Buenos Aires, Argentine 2005 Maison internationale des artistes Villa Concordia, Bamberg 2006 Bourse américaine de Bavière Expositions (sélection): 2003 ?Verboden op het Werk te komen? W 139 à la Brakke Grond,Amsterdam; IIème Biennale de Tirana, Albanien; 2004 STUK, Louvain, Belgique; ?Xtreme Houses? Lothringer 13, Munich + Halle 14 fondation Federkiel, Leipzig;Muslim Mulliqi Prize? The Kosova Art Gallery, Pristina; 2005 ?A parasite showing? k-forum, Vienne,+ ARGE Galerie, Bozen;; Buenos días Santiago ? an exhibition as expedition, Museo de Arte Contemporaneo (curateur attitrudes), Santiago du Chili; 2006 VIDEOTHEKA, Kunsthalle de Vienne; ?Triumph?, El Basilisco, Buenos Aires; Open Space, Art Cologne, Cologne
Vijai Patchineelam
Catalogue : 2015Part 2 | Vidéo | hdv | couleur | 15:31 | Brésil | 2014
Vijai Patchineelam
Part 2
Vidéo | hdv | couleur | 15:31 | Brésil | 2014
Part 2 (2014) is a non-speech moving image work that puts into motion a succession of mostly nocturne images of an industrial landscape. Filmed in Jardim Canadá in the state of Minas Gerais (BRA), the project documents the material conditions on the ground of a once small rural town which has been radically industrialized in the last decade by the mining industry. The artist filmed several discarded objects and debris from several ad hoc landfills located in different sections of Jardim Canadá. Because of the region’s accelerated and under-planned transformation, it does not have a proper systemic waste management, and thus most of the trash and unwanted furniture of the inhabitants are thrown in vacant lots and at times set on fire. Part 2 follows the movement of a pack of street dogs at an eye level exploration of the landfills of Jardim Canadá.
Vijai Patchineelam (1983) was born in Brazil. He is a graduate from the School of Fine Arts at the Federal University of Rio de Janeiro, and a Master in Fine Arts at Konstfack University College of Stockholm, Sweden. Earlier this year he concluded a one-year research project at Jan van Eyck Academie in Maastricht, The Netherlands. Patchineelam mainly works with the mediums of video, photography and books. In 2013 he participated in the 18o Videobrasil Festival and opened two solo exhibitions in 2013. Recently the show Wild Attacks of Cynicism at Ignacio Liprandi Gallery in Buenos Aires, Argentina; and earlier that year the show Cut Corner at Seven Art Gallery in New Delhi, India.