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Denis Pavlovic
Catalogue : 2018Zwischen Gestern und Morgen (Between Yesterday and Tomorrow) | Documentaire | 16mm | couleur | 25:15 | Allemagne | 2016
Denis Pavlovic
Zwischen Gestern und Morgen (Between Yesterday and Tomorrow)
Documentaire | 16mm | couleur | 25:15 | Allemagne | 2016
The story of a man who came to Germany 17 years ago. It’s the 31.12.2017, a day in the life of Niaz Ahmadzai from Afghanistan. A never ending story of work, existence, love, familiy and an unfulfilled personality. The perfect integration of a fully functioning machine.
Denis Pavlovic, born in 1987 in Stuttgart, presented his first film "Smoother in 350ml" at the No Budget Festival in Tubingen in 2008. Thereupon he studied 3 years Film & Video at the Merz Akademie in Stuttgart. After his graduation he worked as an interne at the Documentary Production Company "Kloos und Co. Medien" in Berlin. In 2011 Denis accomplished his first long movie called "Paranoid Places" and in 2013 his second full-length documentary „Wo tanzen wir morgen" which celebrated its Premiere at the 19th Filmschau Baden-Wurttember Festival. In order to its success it was distributed via Teamwerk Stuttgart. Today Denis is studying documentary direction at the Filmakademie Baden- Wurttemberg and works as a freelancer filmmaker and artist. The main themes his films are about modern society in the midst of globalism and industrialism.
Simon Payne
Catalogue : 2020Set Theory I-IV | Vidéo | hdv | couleur et n&b | 5:0 | Royaume-Uni | 2018

Simon Payne
Set Theory I-IV
Vidéo | hdv | couleur et n&b | 5:0 | Royaume-Uni | 2018
Set Theory I–IV explores every corner of flat screen space and corresponding illusions of depth. Part I (2mins) involves dissolving surfaces. Part II (2mins) adds alternating planes and the numbers 0 and 1, as graphic components. Part III (12mins) slowly takes the screen into depth, evoking architectonic principles of the video frame. Adding another dimension, Part IV (2mins) introduces pure, constantly changing colour fields. In the first instance, Set Theory involved producing and collating different sets of vertical, horizontal, diagonal and curved graphic transitions. These were subsequently combined or sequenced by way of different rules that keep the conflict of planes, forms, tonal values and colour foremost.
Simon Payne studied at the Kent Institute of Art and Design, Maidstone; Duncan of Jordanstone College of Art and Design, Dundee; and the Royal College of Art, London. His work has shown in numerous festivals and venues including. He has also written widely on experimental film and video. He co-edited the book Kurt Kren: Structural Films (2016) with Nicky Hamlyn and A.L. Rees and is currently editing a posthumous book by A.L. Rees, entitled Fields of View: Film, Art and Spectatorship. Simon Payne is Reader in Film and Media at Anglia Ruskin University, Cambridge and lives and works in London.
Carlos Pazos
Catalogue : 2009Escenario vaciado | Art vidéo | betaSP | couleur | 2:42 | Espagne | 2008

Carlos Pazos
Escenario vaciado
Art vidéo | betaSP | couleur | 2:42 | Espagne | 2008
Présentation du travail La vidéo «Décor vidé», montre la transition d?un décor avec un scénario et des personnages à un décor vidé et sans vie. Le texte ci-joint, nous parle du scénario et des personnages impliqués, l?un desquels es mon épouse et la personne qui a écrit ce texte. Le soir de Noël de l?an 2006, au premier étage de cet immeuble de la rue Pau Claris de Barcelona, est décédé ma mère, Emilia Foix. Elle avait quatre-vingt-dix ans. Quand elle s?y est installée, à la fin du mois de janvier de 1951, avec son époux, Claudi Cuchillo et ses quatre enfants, elle était lourdement enceinte. Je suis née dans cet appartement, au début du printemps. Dans le même endroit, nous étions ensemble quand je suis née, nous étions ensemble quand elle est décédée. Pendant toutes ces années, son appartement a été un décor plein, parfois bondé. La soudaine mort de mon père a laissé muets, pendants quelques mois, les meubles et les murs. Assez vite, d?abord avec le c?ur gros, plus tard en tournant une page, les feux, le piano et les chambres se sont remis en marche. Il y avait toujours quelqu?un, il y avait toujours un lit, il y avait toujours un plat à table. Le «petit asile de maman Cuchillo», comme l?appelait Carlos, ne fermait jamais. Depuis qu?elle est tombée malade, quelques espaces se sont lentement vidés. Mais elle a maintenu le décor à point jusqu?à la fin. Elle a encore donné les ordres de repasser les nappes et de sortir la vaisselle, les verres et les couverts pour le repas de Noël. Cuchillo de Pazos Collioure, août 2008
Né à Barcelona en 1949. Prix National des Arts Visuels de la Catalogne, 2008, Prix National des Arts Plastiques, 2004, Ministère de la Culture espagnol et Prix Villa de Madrid, 2003. Fait des études d?architecture à l?Universidad Politécnica, philosophie à l?Universidad de Barcelona et design à l?Ecole EINA. Il a fait sa première exposition individuelle en janvier 1970, à l?age de vingt ans. En 2007 il a fait l?exposition rétrospective «No me digas nada» au MACBA (Museo Arte Contemporáneo de Barcelona) et au Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía (Madrid), dont il prépare une version pour le Musée d?Art Contemporain de Sao Paulo, en 2009. Il a exprimé son amour pour la musique et la nuit en dirigeant le Salon de bal Cibeles (1978-1982), le cocktail bar Bijou (1983-1986) et le bar musical (Je-rrix, 1994-1995). Dans ce dernier local il a établi le siège de son Club de Fans, le "CP FANS CLUB". En 1987 il est le protagoniste du film « Es quan dormo que hi veig clar » de Jordi Cadena sur des textes du poète Catalan J.V. Foix. En 1998, il dirige et réalise la scénographie de la pièce de théatre "El bell lloc", de Joan Brossa. Cette même année est publié "El Mundo del Ritmo" (Tabelaria), en collaboration avec Eduardo Mendoza et il est le protagoniste du vidéo "Pianito", de Jordi Colomer. L?année 2002 il publie le scénario du film, en attente de producteur "Aquí en la tierra como en el infierno", en décembre 2004 il publie son texte ?Garabatos y Zarpazos?, édité par l?Université de Barcelona (2ème édition 2007) et en 2008 il a publié «Diodrama», avec textes d?Eduardo Lago, dans une édition de l?Atelier Clot, Paris.
Catalogue : 2008En blanc i negre, une vez mas | Film expérimental | 35mm | couleur | 10:30 | Espagne | 2006

Carlos Pazos
En blanc i negre, une vez mas
Film expérimental | 35mm | couleur | 10:30 | Espagne | 2006
La rencontre entre un chimpanzé albinos (habillé en noir) et une vierge romaine noire (en chocolat blanc).
S`il vous plaît, voyez le catalogue de l`exposition "No me digas nada" ("Ne me dis rien", 2007, dont les coordonnées sont indiqués bas. Please, see the catalogue of the exhibition "No me digas nada" ("Tell nothing"), 2007, cited below. Nouvelle biographie: Né à Barcelona le 23 décembre 1949. Prix National des Arts Plastiques, 2004, Ministère de la Culture espagnol et Prix Villa de Madrid, 2003. Fait des études d?architecture à l?Universidad Politécnica, philosophie à l?Universidad de Barcelona et design à l?Ecole EINA de Barcelona. Il a exprimé son amour pour la musique et la nuit avec la direction d?un salon de bal (Salón Cibeles, 1978-1983), d?un cocktail bar (Bijou, 1983-1986) et d?un bar musical (Je-rrix, 1994-1995). Dans ce dernier local il a établi le siège de son Club de Fans, le "C.P.FANS CLUB", fondé en décembre 1994. En 1987 il est le protagoniste du film « Es quan dormo que hi veig clar » de Jordi Cadena sur des textes du poète Catalan J.V. Foix. En 1998, il dirige et réalise la scénographie de la pièce de theatre "El bell lloc", de Joan Brossa, au Espai Joan Brossa de Barcelona. Cette même année est publié "El Mundo del Ritmo" (édité par Tabelaria + Antojos), en collaboration avec Eduardo Mendoza et il est le protagoniste du video "Pianito", de Jordi Colomer. L?année 2002 il publie le scénario du film, en attente de producteur, "Aquí en la tierra como en el infierno" et en décembre 2004 il publie son livre ?Garabatos y Zarpazos?, édité par l?Université de Barcelona, dans la collection ?Les arts i els artistes?, en 2007 il publie « Fidelidad Total », en collaboration Ramón de España, édité par Raina Lupa et en 2008 « Diodrama », avec textes d?Eduardo Lago, edité par Atelier Clot. Il a fait sa première exposition individuelle en janvier 1970, à l?age de vint ans. En 2007 il a fait l?exposition rétrospective «No me digas nada» au MACBA (Museo Arte Contemporáneo de Barcelona) et au MNCARS (Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía), dont il prépare une version pour le Musée d?Art Contemporain de Sao Paulo, en 2009. Pour son exposition rétrospective il a réalisé le film « Mnemocine. Film à découper », un collage audiovisuel constitué par 11 épisodes, d?une durée de 26 minutes.
Justin Peach
Catalogue : 2010Kleine Wölfe | Documentaire | dv | couleur | 47:0 | Allemagne | 2009

Justin Peach
Kleine Wölfe
Documentaire | dv | couleur | 47:0 | Allemagne | 2009
Sonu, un enfant âgé d?onze ans, vit avec d?autres enfants dans les rues de Katmandu. Leur routine quotidienne est un combat pour survivre dans la capitale chaotique de Népal: toujours à la recherche de nourriture, de drogues, de touristes charitables et ce qu?ils cherchent le plus ? comme tout les garçons de cet âge ? l?aventure et le fun. La vie de Sonu et de sa bande est marquée par la faim et la violence, mais est aussi remplie de moments enfantins de liberté dans les rues. Le film suit l?idée de «cinéma direct» ceux qui veut dire: il n?y a pas de narrateur, pas de musique ni de scènes posés. Nous avons voulu comprendre la vie quotidienne des enfants de la rue à Katmandu. L?histoire est racontée par les enfants eux-mêmes.
Justin Peach. Born 1982 in El Paso, Texas. Curiosity and love for technical things fueled first attempts in the media world. Internships at ZDF, SWR and Maran Film followed. 2003 begin of media-design studies at the University of Applied Sciences in Mainz, Germany with a major on documentary camera work. 2005 six months in Ecuador for an NGO documentary film about illegal animal transports. 2005 founder of PENG - a young collaborative art, communications and Design group. 2008 Final Diploma with "Lonely Pack" in Nepal. Since end of 2008 studying for a Masters degree in Journalism at the Johannes Gutenberg-University in Mainz.
Jens Pecho
Catalogue : 2023Aah, Awe, and Ugh | Installation vidéo | digital | couleur | 7:8 | Allemagne | 2023

Jens Pecho
Aah, Awe, and Ugh
Installation vidéo | digital | couleur | 7:8 | Allemagne | 2023
The video work "Aah, Awe, and Ugh" explores the changing connotations of the term "awe". It moves in a sophisticated rise and fall of narrative tension between the production of knowledge and constantly newly generated uncertainty. Pecho's essayistic video is accompanied by the rousing first chords of the pop song "Let's Dance" by David Bowie, which are played in a continuous loop whose promise of a euphoric climax never materializes. The work is embedded in an ensemble of sculptural works, including the soft sculptures "Throw Away, Do Not Eat" (oversized replicas of silica bags), and two round clothing racks hung with T-shirts, "Unisex" and "Perfect Fit". The postcard multiple "Ceres and Triptolemos with Corvus cornix" shows a scene of Greco-Roman mythology photographed in the park of Sanssouci Palace. The group of figures is temporarily accompanied by a hooded crow.—The allegory captures the moment when man learns the first cultural technique: agriculture. Altogether the installation confronts us with the disillusionment that follows the enlightenment, but instead of proposing a re-mystification, it embraces the absurdity we are left with. The installation was produced with support of the Video Art Award Bremen, which Pecho received in 2019.
Jens Pecho (*1978 in Frankfurt am Main / Germany) studied at the Academy of Media Arts Cologne as well as the Staatliche Hochschule für Bildende Künste – Städelschule in Frankfurt am Main. At the end of his studies he was awarded with the Spiridon-Neven-DuMont-Prize. As a visual artist, he works mostly with text- and video-based installations. From 2014-2016 he was a fellow of the Karl Schmidt-Rottluff Foundation, in 2019 he received the Video Art Award Bremen. His works have been shown internationally at museums as well as film festivals, among them the Art and Exhibition Hall of the Federal Republic of Germany, the Forum d'Art Contemporain – Casino Luxembourg, the Herzliya Museum of Contemporary Art, Israel, the International Short Film Festival Oberhausen, Germany, the Message to Man IFF Saint Petersburg, Russian Federation, and the Uppsala International Short Film Festival, Sweden.
Jens Pecho
Catalogue : 2021Housebound | Film expérimental | mp4 | couleur | 4:46 | Allemagne | 2020
Jens Pecho
Housebound
Film expérimental | mp4 | couleur | 4:46 | Allemagne | 2020
Le film combine une scène du film "Copycat" (1995) avec des séquences de mon travail de montage. Il s'agit d'une réflexion sur l'idée d'originalité artistique, ainsi que sur le constant désir du monde de l'art d’immédiatement tout transformer - même la crise sanitaire actuelle - en œuvres d'art. La scène choisie montre Sigourney Weaver dans le rôle d'une psychologue souffrant d'agoraphobie qui fait une dépression nerveuse dans un appartement bien aménagé, où elle vit confinée depuis plusieurs mois. Malgré le luxe de son appartement, ses seuls contacts sociaux viennent d’Internet, une invention alors très récente. Assise à son bureau, au milieu de plusieurs écrans encombrants, elle échange de courts messages avec ses partenaires de chat. Cette séquence est mise en contraste avec des inserts textuels qui remettent en question la nécessité et la valeur originale de la production artistique dans l'art contemporain. Le jeu de Weaver et le chic douteux de l'appartement des années 1990 ajoutent une touche de critique humoristique des traits de caractère égocentriques et classistes qui ne sont pas rares dans le monde de l'art. "Housebound" a été commissionné par le 66e International Short Film Festival Oberhausen (Allemagne). Il s'agit de ma contribution à la discussion du festival: "Peut-on et devrait-on faire des films maintenant?"
Jens Pecho a étudié à la Kunsthochschule für Medien, Cologne (Allemagne), ainsi qu'à la Staatliche Hochschule für Bildende Künste – Städelschule, Francfort-sur-le-Main (Allemagne). En tant qu'artiste visuel, il travaille principalement à des installations fondées sur le texte et la vidéo. Ses œuvres ont été présentées à l'international dans des musées et des festivals de cinéma, notamment à la Kunst- und Ausstellungshalle der Bundesrepublik Deutschland, Bonn (Allemagne); au Forum d'Art Contemporain - Casino Luxembourg (Luxembourg); au Herzliya Museum of Contemporary Art, Herzliya (Israël); à la Biennale de Bangkok (Thaïlande); au Museum Kunstpalast Düsseldorf (Allemagne); au International Short Film Festival Oberhausen (Allemagne); au Message to Man International Film Festival, Saint-Pétersbourg (Russie) et au Uppsala International Short Film Festival (Suède). Il a reçu plusieurs prix pour son travail, notamment le Spiridon-Neven-DuMont-Prize, le Fo?rderpreis fu?r junge Ku?nstler*innen des Landes Nordrhein-Westfalen et, plus récemment, le Videokunst Fo?rderpreis de la ville de Brême (Allemagne).
Francesco Pedraglio
Catalogue : 2016The Protagonist | Vidéo | hdv | couleur | 17:39 | Italie, Swaziland | 2015
Francesco Pedraglio
The Protagonist
Vidéo | hdv | couleur | 17:39 | Italie, Swaziland | 2015
Loosely constructed from a collage of literary references, filmic vocabulary, broken-up narratives and improvisations, ‘The Protagonist’ is a work where the construction of a main character for a film is treated as an event for camera, a happening that becomes the film itself. Shot in two different interiors (an empty cinema and a house-party turning into a karaoke night) and constructed through six interconnected scenes, the film uses the tropes normally associated with the basic shaping of a narrative persona - looks, behaviours, personal details, surroundings etc. - and turns them all into the only available storyline to be followed. In an empty cinema, two unnamed men discuss the treatment for a possible narrative. Their abstract discussions are continuously interrupted by a second, parallel sequence: the movements and behaviours of a series of men and women abstractly portrayed while drinking, dancing, singing and carelessly chatting during a karaoke party. The juxtaposition of the two scenes is an open proposal: mere rhythmic punctuation for the previous sequence, it might as well become a cypher for the two men’s unfinished storytelling. The film never starts, its constant deferral unveiling its basic mechanics, rendering them the only possible matter of interest: a story about the making of a character, about the becoming of a protagonist.
Francesco Pedraglio is an artist working with writing, performance, film and installation. He was born in Como (Italy) in 1981. Recent performances and exhibitions include: Norma Mangione Gallery, Turin (2015); The Physics Room, Christchurch, New Zealand (2015); Kunsthalle Wien (2015); DropCity, Newcastle (2015); MAZ-Museo de Zapopan, Mexico (2014); CCA Glasgow (2014); Hayward Gallery, London (2014); Rowing, London (2013); Jeu de Paume (2013), Kunsthalle Basel (2012); ICA (2012); Auto Italia South East (2012); Galerie Kamm, Berlin (2012); Hollybush Gardens, London (2011), The National Portrait Gallery (2011); Wysing Arts Centre, Cambridge (2011). His first novel "A man in a room spray painting a fly" was published by Book Works in summer 2014. Also in 2014 he was also the co-editor of the anthology of artists writings "Cadavere Quotidiano", published by X-TRA (Los Angeles). "The Object Lessons", a novella made in collaboration with Nina Beier and Marie Lund, was published by Mousse in 2012. Pedraglio is a founding member of the London based curatorial initiative FormContent (www.formcontent.org).
Domenico Singha Pedroli
Catalogue : 2025Au Revoir Siam | Doc. expérimental | hdv | | 29:50 | Suisse, France | 2023
Domenico Singha Pedroli
Au Revoir Siam
Doc. expérimental | hdv | | 29:50 | Suisse, France | 2023
Following Jaran Ditapichai, a Thai political refugee living in Paris, in his metaphorical journey to his hometown, we un-map a political territory. Through the archives of the National Library of France, a sum of fragile human gestures is exposed, the past is released against the backdrop of an indifferent present made of guitar players, ruins, and an ever-flowing river. Forgotten faces left underwater reappears as we wonder what they have seen, what have they witnessed during the process of border-making of Thailand.
Domenico Singha Pedroli (1994) is an architect, artist and filmmaker based in Lugano (CH), Paris (FR) and Bangkok (TH). Through a multicultural approach, and driven by extended observation and curious research, his works articulate complex narratives, exploring the nature of traces, places and identities in all their mutability. Having studied architecture at the Accademia d’Architettura di Mendrisio (CH) and visual arts at Le Fresnoy – Studio national (FR), he has developed sensitivity in photography, cinema, video art, and virtual reality (VR).
Rune Peitersen
Catalogue : 2006Cross003 | Art vidéo | dv | couleur | 4:0 | Danemark, Pays-bas | 2004

Rune Peitersen
Cross003
Art vidéo | dv | couleur | 4:0 | Danemark, Pays-bas | 2004
Dans Cross003, on peut voir une image ressemblant à une croix, dans un premier temps comme une apparente manifestation tangible (une croix brillante ou brûlante) mais dans un second temps, comme une brèche dans un rideau ou une glace. La croix est faite de lumière pure et n?est évidente que comme une interprétation des contours sombres, un manque d?information visuelle. Quand les gens (ombres) apparaissent et bloquent la lumière, ma croix disparaît momentanément et la scène change de personnalité et de sens. Dans une tentative de décryptage et de catégorisation de l?imagerie changeante, le spectateur doit engager ses propres points de vue sur le voyeurisme et l?iconographie.
Rune Peitersen est né au Dannemark en 1971. Il vit et travaille à Amsterdam. Parcours Scolaire : 1999-2001 MFA, Frank Mohr Instituut, Groningen, www.mohr-i.nl 1995-1999, BA, Royal Academy of Art, La Hague, www.kabk.nl Exposé par : Gallery Ellen de Bruijne Projects
Artavazd Pelechian
Catalogue : 2010Notre siècle | Documentaire | 35mm | couleur | 30:0 | Russie | 1982

Artavazd Pelechian
Notre siècle
Documentaire | 35mm | couleur | 30:0 | Russie | 1982
Catalogue : 2010Nous | Documentaire | 35mm | noir et blanc | 30:0 | Russie | 1969

Artavazd Pelechian
Nous
Documentaire | 35mm | noir et blanc | 30:0 | Russie | 1969
Artavazd Pelechian
Catalogue : 2009Fin | Doc. expérimental | 35mm | noir et blanc | 8:0 | Arménie | 1992

Artavazd Pelechian
Fin
Doc. expérimental | 35mm | noir et blanc | 8:0 | Arménie | 1992
Dans le train de Moscou à Erevan, Pelechian filme, caméra à l`épaule, des hommes et des femmes, d`âges et d`ethnies différentes (www.artavazd-pelechian.net).
Le cinéma d`Artavazd Pelechian - dont Jean-Luc Godard assure qu?il est le plus grand cinéaste du monde - reste encore aujourd`hui assez peu connu en Occident. Le réalisateur, d`origine arménienne, formé au VGIK entre 1963 et 1968, vit et travaille à Moscou, qu`il ne quitte que très rarement. Son ?uvre, qui se construit film après film, dans un souci de recherche et d`expérimentation, suppose qu`on la découvre, paliers par paliers, dans le mouvement de son évolution. Pelechian tourne peu et court. La densité de tout nouvel opus en fait à chaque fois une oeuvre rare.
Catalogue : 2009Les saisons | Doc. expérimental | 35mm | noir et blanc | 30:0 | Arménie | 1972

Artavazd Pelechian
Les saisons
Doc. expérimental | 35mm | noir et blanc | 30:0 | Arménie | 1972
Les Saisons est un très beau poème où sont évoqués, en une vaste parabole, les moments déterminants de l`histoire arménienne, depuis les origines volcaniques, jusqu`à la période industrielle (www.artavazd-pelechian.net).
Le cinéma d`Artavazd Pelechian - dont Jean-Luc Godard assure qu?il est le plus grand cinéaste du monde - reste encore aujourd`hui assez peu connu en Occident. Le réalisateur, d`origine arménienne, formé au VGIK entre 1963 et 1968, vit et travaille à Moscou, qu`il ne quitte que très rarement. Son ?uvre, qui se construit film après film, dans un souci de recherche et d`expérimentation, suppose qu`on la découvre, paliers par paliers, dans le mouvement de son évolution. Pelechian tourne peu et court. La densité de tout nouvel opus en fait à chaque fois une oeuvre rare.
Catalogue : 2009Les habitants | Doc. expérimental | 35mm | noir et blanc | 10:0 | Arménie | 1970

Artavazd Pelechian
Les habitants
Doc. expérimental | 35mm | noir et blanc | 10:0 | Arménie | 1970
" Le film est construit sur l`idée d`une relation pleine d`humanité avec la nature et le monde animal. Il est question bien sûr des agressions perpétrées par l`homme contre la nature, et de la menace que constitue la destruction de l`harmonie naturelle " (Artavazd Pelechian, Mon cinéma, 1988).
Le cinéma d`Artavazd Pelechian - dont Jean-Luc Godard assure qu?il est le plus grand cinéaste du monde - reste encore aujourd`hui assez peu connu en Occident. Le réalisateur, d`origine arménienne, formé au VGIK entre 1963 et 1968, vit et travaille à Moscou, qu`il ne quitte que très rarement. Son ?uvre, qui se construit film après film, dans un souci de recherche et d`expérimentation, suppose qu`on la découvre, paliers par paliers, dans le mouvement de son évolution. Pelechian tourne peu et court. La densité de tout nouvel opus en fait à chaque fois une oeuvre rare.
Catalogue : 2009Vie | Doc. expérimental | 35mm | couleur | 6:30 | Arménie | 1993

Artavazd Pelechian
Vie
Doc. expérimental | 35mm | couleur | 6:30 | Arménie | 1993
" Le profil d`une femme, tendu, défiguré - comme dans la jouissance - ainsi qu`en amorce, des gestes ancestraux. Le port de l`enfant qui vient de naître, magnifié par un ralenti, une contreplongée et l`abstraction de l`espace qui l`entoure, évoque une iconographie religieuse tout comme le portrait de la mère et l`enfant " (Jacques Kermabon).
Le cinéma d`Artavazd Pelechian - dont Jean-Luc Godard assure qu?il est le plus grand cinéaste du monde - reste encore aujourd`hui assez peu connu en Occident. Le réalisateur, d`origine arménienne, formé au VGIK entre 1963 et 1968, vit et travaille à Moscou, qu`il ne quitte que très rarement. Son ?uvre, qui se construit film après film, dans un souci de recherche et d`expérimentation, suppose qu`on la découvre, paliers par paliers, dans le mouvement de son évolution. Pelechian tourne peu et court. La densité de tout nouvel opus en fait à chaque fois une oeuvre rare.
Sini Pelkki
Catalogue : 2020Sheet N°4 | Film expérimental | 16mm | couleur | 12:0 | Finlande | 2018
Sini Pelkki
Sheet N°4
Film expérimental | 16mm | couleur | 12:0 | Finlande | 2018
Sheet No4 examines the outlines and borders of a photograph -and a human being. How to look, how to see, how to move. Using repetition and reinterpretation to both construct and deconstruct the image and its boundaries. A Conflict between outlines and content. One of the starting points of the work was the dialogue between Pelkki and the four multidisciplinary artists, whom she invited to collaborate; Emma Hammarén, Magnús Logi Kristinsson, Johan Jonason and Keiko Yamamoto. The interaction and diverse interpretations embodied in those exchanges becomes the core of Sheet No4. The name of the work refers to a contact sheet, a proposal for a photograph, where all the options are there with possible re-framing and remarks.
Sini Pelkki (b. 1978 Helsinki) works with photography and moving image. She is interested in the subjectivity of seeing, introspective lives of spaces within spaces. In her works landscapes, figures and objects turn into layered narratives that lead to various paths and ambiguous readings. Recent years her work has been going towards different kind of collaborations. Her first work in book form Arranged Lines was released in 2018. Sini Pelkki (b. 1978 Helsinki) works with photography and moving image. She is interested in the subjectivity of seeing, introspective lives of spaces within spaces. In her works landscapes, figures and objects turn into layered narratives that lead to various paths and ambiguous readings. Recent years her work has been going towards different kind of collaborations. Her first work in book form Arranged Lines was released in 2018. Pelkki gained her Bachelor degree in Fine Art from Chelsea College of Art and Design, London (UK) in 2002 and MA from the Academy of Fine Arts Helsinki in 2008. Her works have been shown in exhibitions and film festivals internationally.
Catalogue : 2018Length | Film expérimental | 16mm | couleur | 7:23 | Finlande | 2016
Sini Pelkki
Length
Film expérimental | 16mm | couleur | 7:23 | Finlande | 2016
the work examines the length of a thought, the length of a moment. Through repetition and rhythm, the piece builds a sense of a narrative, distance and closeness at the same time. We are looking at a figure in an urban landscape, soon to be dislocated. The Gaze abandons and re-draws the images. Perception grapples with distances; between the figure and its landscape, between the viewer and the piece itself.
Sini Pelkki (born 1978) is an artist based in Helsinki, Finland. She gained her BA (Hons) Fine Art from Chelsea College of Art and Design, London (UK) in 2002 and her MFA from the Academy of Fine Arts, Helsinki in 2008. Sini Pelkki’s work derives and evolves around photography and the photographic image. Focusing on the subjectivity of seeing and the diverse dialogue between environments and the layers of spaces within spaces.
Catalogue : 2014Embarkation | Film expérimental | 16mm | couleur | 7:10 | Finlande | 2012
Sini Pelkki
Embarkation
Film expérimental | 16mm | couleur | 7:10 | Finlande | 2012
Embarkation is a moving image that is framed like a photograph. Through repetition it builds up into a single image, like a photograph that consists of countless images. With simultaneous presence and absence, the work explores the realtionship between still and moving image.
Sini Pelkki is an artist working with photography and moving image. Her work derives and evolves around photography and the photographic image. Her film works are often based on photographic images. Focusing on the subjectivity of seeing and the relation between a human and different physical and psychological environments and spaces. Her work has been shown across Europe in exhibitions and festivals. Pelkki was born 1978 in Helsinki, Finland. She studied fine art in Chelsea College of Art and Design in London (UK) and at the Academy of Fine Arts in Helsinki. She is currently based in Helsinki.
Christophe Pellet
Catalogue : 2025Et dans le flux, tu le perdras | Fiction expérimentale | hdv | couleur | 61:0 | France | 2023
Christophe Pellet
Et dans le flux, tu le perdras
Fiction expérimentale | hdv | couleur | 61:0 | France | 2023
Léo is fed up with the reproaches of his friend Kaspar, who pushes him to join social networks to make their love story public. Their breakup marks Leo's departure for Berlin, a city in which he hopes to be reborn through contact with an alternative milieu. But the city's real estate speculation pushes Leo to the margins. Years later, Kaspar's biological daughter, raised by a couple of women, recalls this love story on a theater stage.
Christophe Pellet was born in Toulon in 1963, he is graduated from FEMIS. His texts, published by l’Arche Editeur, were staged by Jacques Lasalle, Mathieu Roy, Anne Théron, Stanislas Nordey, Renaud Marie Leblanc, Olivier Martinaud, Michael Delaunoy, Madeleine Louarn, Jacques David, Jean-Louis Thamin,Carlos Manuel, Jean-Pierre Miquel, Mary Peate. They were translated into English, German, Portuguese, Arabic, Spanish. He made two short films and one medium-length film: – Soixante trios regards, with Mireille Perrier, Dominique Reymond, Françoise Lebrun, Katarzyna Krotki in 2011 (Bathysphère production, 50 mn). – Plus dure sera la chute, in 2010 (Sedna film, 10 mn). – Le garçon avec les cheveux dans les yeux, with Edith Scob, in 2008 (20 mn). He was Villa Medicis Hors les murs laureate) in 2004, and scholarship holder from CNL.
Eric Pellet
Catalogue : 2025Sept micro-films aporétiques | Vidéo | mov | couleur et n&b | 37:25 | France | 2024

Eric Pellet
Sept micro-films aporétiques
Vidéo | mov | couleur et n&b | 37:25 | France | 2024
It's a question of taking this title literally, as a literal statement: seven filmic forms of very short film, whose sum of titles ironically renders their vanity, their impossibility: war, magic, murder, love, death, trance, resurrection; all in less than thirty-eight minutes. In terms of images, this is an exclusively montage film, with material taken from sequences or rushes from the history of world cinema. The music, meanwhile, is entirely composed to induce a magnetic field of force and tension between them. The literary fragments are used in two forms: as reading cards, or embodied by voices and interwoven with the musical composition. The idea is to organize a constellation of signs, to weave poetic correspondences, to make affects as intelligent as they are enigmatic. How to move things in time through feelings, crystallize them in forms, so that these feelings move inner mountains.
Eric Pellet is a director, composer and artist. He creates experimental forms of fiction, documentary, essay and poem, interacting with dance, contemporary literature and poetry, sound creation and cinema. He works in a variety of complementary media, including film, photography, installation, radio, sound and music. He has made some thirty personal films, including Le désastre ne figure pas dans l'image, Livre des morts, Admosh, Noir-écran, Le premier jour, Né un peu étonné, Passion(s), Je ne suis personne. He has taken part in some twenty group exhibitions in France and abroad. His films are shown at dozens of film festivals.
Caroline Pellet
Catalogue : 2017Birds Bark | Doc. expérimental | hdv | couleur | 20:30 | France | 2016
Caroline Pellet
Birds Bark
Doc. expérimental | hdv | couleur | 20:30 | France | 2016
Une tige de roseau s’anime furieusement, un homme imite la tourterelle devant un auditoire hilare, deux silhouettes guettent une ombre furtive et picorante. Une jeune fille s’interroge sur la taille et l’existence des libellules préhistoriques et celle concomitante des moustiques, sur l’image d’un fil virevoltant, une laisse. Des fourmis forment un cortège funéraire, une limace nocturne se joue du flou, une adolescente refuse de faire son cartable, un homme enseigne les équations à inconnues à son fidèle Normand. Un oiseau lyre imite des bruits du chantier avoisinant, sur une fiente de pigeon évoquant un film du cinéma abstrait allemand. Un perroquet nous dit qu’il aime les figues, et un groupe de noctambules s’entichent d’entomologie. Tout ces êtres manifestent leur présence par les formes, les projections, les ombres, les tâches, en une image devenue ventriloque. On s’y imite, s’interpelle, se côtoie, se chasse, se dissimule, se tue, s’aime, joue. Au son, celui qui fait le bruit n’est pas toujours celui qu’on croit, et souvent le bruit se mue en bruitage. Des dialogues ponctuent ces bruitages. Le dédoublement, l’imitation, traversent le film de part et d’autre, par le choix des images indirectes, et par la bande son, formant un étrange bestiaire filmé dont l’humain est une partie plutôt qu’il ne le surplombe.
BIO 2016: -Résidence à l’atelier 105 à Lightcone. -Dome, exposition collective, ELA projects, Athènes 2015: -Festival des cinémas différents -Streaming festival 2014: -Streamingfestival -Rencontres internationales Paris-Berlin-Madrid (Paris et Berlin) -Ouverture de laTrap avec Pier Francesco Lerose, espace de création, d`expositions et de programmation vidéo au Pré Saint Gervais 2013: -Festival du film d`artiste, sélection officielle Cutlog (Paris) -Cologne OFF: section ExDoc Avant: -Independant film festival lisbonne -FID de Marseille section cahiers du cinéma
Catalogue : 2014Oblique | Doc. expérimental | hdv | couleur | 13:24 | France | 2010
Caroline Pellet
Oblique
Doc. expérimental | hdv | couleur | 13:24 | France | 2010
OBLIQUE (Texte de Gabrielle Reiner) Oblique est un documentaire expérimental sur un groupe d'astronomes. L'artiste filme ces chercheurs d'étoiles et entrecoupe ces plans avec ceux des «objets » (le nom donné aux étoiles par les astronomes) observés au travers de l'oculaire. La prise de vue adopte les caractéristiques de la caméra de surveillance(1) et une voix-off évoque les techniques utilisées pour améliorer la vision scotopique (2). Les astronomes se documentent avec des photographies d'astres génériques ce qui leur permet à l'observation de mieux discerner les détails des astres. On peut parler d'« expérience améliorée ». Le spectateur est invité à une « expérience esthétique » (Cf. Jauss) paradoxale qui oscille entre deux points de vue: l?exploration optique des observants répond à celle sensible et relative de l'?uvre artistique. En confrontant théories scientifiques et théories esthétiques de la perception, la vidéaste interroge de manière critique la normativité de l'expérience perceptive. 1. Le night shot est le procédé qui permet de filmer la lumière infra-rouge, invisible à l'?il nu. Fait à l ́origine pour les caméras de surveillance, il a été transposé sur les caméras amateurs. 2. Il faut en effet entre vingt et quarante cinq minutes à l'?il pour basculer en scotopique, perception qui sollicite des cellules appelées bâtonnets situées non pas au centre de l'?il mais en périphérie. A cause de cette répartition des cellules ayant la plus grande sensibilité, les astronomes utilisent un regard « oblique » ou décalé, c'est à dire qu'ils visent à coté de l'objet qu'ils veulent voir afin d'obtenir une perception plus détaillée.
BIOGRAPHIE Vit et travaille à Saint-Ouen (France) née en 02/02/1984 en France
Fred Pelon
Catalogue : 2007De Godsberg | Doc. expérimental | betaSP | couleur et n&b | 17:0 | Pays-Bas | 2005

Fred Pelon
De Godsberg
Doc. expérimental | betaSP | couleur et n&b | 17:0 | Pays-Bas | 2005
Un film expérimental sur une pellicule trouvée au quartier général des nazis hollandais (NSB)situé dans le centre de la Hollande entre 1933 à 1945. L'endroit sert aujourd'hui de lieu de camping avec cette architecture nazie encore en place. Via des recherches, le réalisateur découvre toute sorte de documents audio et de matériels imprimés qui, comme sur ce film de Super8 découvert, montre de quelle manière le fascisme a agi de 1933 à 1945. Il est allé jusqu'au site et a passé quelques temps dans une maison située en face du mur monumental. Ce film conjugue passé et présent, avec une touche personnelle.
Fred Pelon (1961) works in the Eyediom Film Workshop in Amsterdam and films on Super8. He also works with found footage, recycling, and telecine-techniques.
Anu Pennanen
Catalogue : 2008Sõprus -Dru?ba | Doc. expérimental | 16mm | couleur | 30:0 | Finlande, Estonie | 2006

Anu Pennanen
Sõprus -Dru?ba
Doc. expérimental | 16mm | couleur | 30:0 | Finlande, Estonie | 2006
ANU PENNANEN Sõprus - Дружба (Amitié) Les travaux d?installation vidéo de Pennanen explorent la relation complexe entre l?individu et l?environnement urbain. Comme toujours, son travail remplit l?espace entre le documentaire et la fiction, se servant de l?environnement bâti comme cadre dans lequel montrer les échanges émotionnels et métaphoriques entre les espaces urbains et ceux qui les habitent. Soprus - Дружба (Amitié) est basé sur les ateliers, textes et discussions avec les neuf adolescents parlant estonien et russe figurants dans le film. Les ateliers ont mené au développement d?une structure pour le film qui illustrait la manière dont ces adolescents habitaient leur environnement. L?artiste présenta un cadre dans lequel ils purent mettre en scène leurs expériences quotidiennes, les plaçant dans un dialogue conscient avec le paysage urbanisé. L?artiste suit ses « personnages » évoluant à travers Tallinn, la capitale estonienne. Comme la narration fragmentée du film se resserre vers la fin, les ados, séparés par leurs histoires, leurs langages et peut être même leurs styles vestimentaires, deviennent curieux l?un de l?autre. En juxtaposant l?architecture historique du passe soviétique du pays avec la masse urbaine contemporaine, l?artiste attire l?attention sur les changements politiques et sociaux qui ont mené Tallinn à devenir une des économies de marché capitalistes la plus libérale dans l?union européenne. En juxtaposant ces espaces urbains en conflit, l?artiste établie une analogie entre les espaces publics citadins changeant, les systèmes politiques les supportant et les adolescents s?y déplaçant. Le travail de Pennanen reflète les manières dont les villes, surtout celles se transformant rapidement dans les régions baltiques, offrent un mélange complexe de lieus chargés d?histoire et d?espaces urbains contemporains. Malgré ces juxtapositions paradoxales, une impression cohésive est donnée à ces lieux par ceux y interférant. Emily Cormack pour la Biennale SCAPE 2006 d? Art en Espace Public. Don?t Misbehave!, Christchurch, New Zealand Demandez le droit de publier à Emily Cormack. Emily.Cormack@vuw.ac.nz
Anu Pennanen est née en 1975 à Kirkkonummi, Finlande. Elle est instalée à Helsinki, Finlande et a travaillé dans plusieurs pays après ses études à l?Académie des beaux-arts d?Helsinki en 2003. Son travail se penche sur l?influence que l?organisation d?espaces, l' architecture urbaine et la modernisation ont sur le comportement humain. Elle travaille en collaboration et spécifiquement avec des gens qui, dans ses travaux, reflètent et explorent l?environnement construit.
Anu Pennanen
Catalogue : 2006Untitled | Art vidéo | 0 | couleur | 15:0 | Finlande | 2005

Anu Pennanen
Untitled
Art vidéo | 0 | couleur | 15:0 | Finlande | 2005
Anu Pennanen, Laura HORELLI
Catalogue : 2011Viesti | Documentaire | dv | couleur | 14:3 | Finlande | 2009
Anu Pennanen, Laura HORELLI
Viesti
Documentaire | dv | couleur | 14:3 | Finlande | 2009
"Relay" is based on a performance where the makers invited eight participants ? individuals and not-for-profit organisations ? to highlight a cause by running a lap of honour at a sports stadium in Finland. The participants were paired. Whilst one of them ran, the other one discussed the topics central to the running group. "Relay" shows the two actions simultaneously in split screen and references the conventions of sports coverage. The name refers both to the sharing of information and to the sport event that acted as the framework.
Anu Pennanen: Anu Pennanen was born in 1975 in Kirkkonummi, Finland, to the family of a social worker mother and technician father. She is based in Helsinki and works internationally. She is an artist working with urban public space and its relation to cinema and media. She works collaboratively and site-specifically with people, who in her works are the mirrors and investigators of built environment. She frequently collaborates with experimental musicians. After graduating from the Academy of Fine Arts in Helsinki 2003 she has exhibited widely internationally; including 2nd Moscow Biennale. Monuments of our Discontent: Expiration of Place. Special project curated by Lolita Yablonskene. Moscow, Russia (2007), Ars Baltica Triennale. Don`t Worry - Be Curious! Stadtgalerie Kiel, Germany; KUMU, Estonian Art Museum, Tallinn, Estonia; Pori Art Museum, Finland (2007), Liverpool Biennial, UK (2006), Scape Biennial of Art in Public Space, Christchurch, New Zealand (2006), Busan Biennale, South Korea (2006), Under your skin, White Box Gallery, New York USA (2005), Manifesta 5, San Sebastian, Spain (2004), Momentum, Moss, Norway (2004). Laura Horelli: Born 1976 in Helsinki. Lives and works in Berlin. Art studies: 1997-2002 Staatliche Hochschule für Bildende Künste - Städelschule, Klasse Bayrle, Frankfurt, Germany. 1995-2001 Academy of Fine Arts Helsinki, Department of Time and Space, MFA.
Miranda Pennell
Catalogue : 2007You made me love you | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 3:36 | Royaume-Uni | 2005

Miranda Pennell
You made me love you
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 3:36 | Royaume-Uni | 2005
Dans les travaux de Miranda Pennell, les activités mineures de chaque jour sont transformées en chorégraphies fascinantes. De fait, elle n'a pas été formée comme une réalisatrice de films ou comme artiste de l'audiovisuel mais comme danseuse. Elle pointe sa caméra vers des gens ordinaires dans leur propre maison et de cette façon analyse les facettes variées et les significations du mouvement. Dans "You Made Me Love You", les règles du jeu sont simples, une caméra se déplace de façon inattendue, rapidement ou lentement, en arrière et en avant le long d'un rail. Une troupe de danseurs de ballet s'efforcent d'établir ou de garder un contact visuel avec la caméra. Seulement quelques visages sont continuellement sur l'écran. Parfois d'autres danseurs parviennent à voler l'attention du public pour un instant. Les pas de danse rapides qui parfois peuvent à peine suivre la caméra constituent le seul son audible. Un vrai combat pour l'attention a lieu sur la piste de danse. Parce que l'opprobre vous échoit si vous terminez en dehors de l'écran et sombrez dans l'oubli ! Avec "You Made Me Love You", l'artiste nous met en présence d'une allégorie sur la fixation que l'on fait sur les caméras et la célébrité de nos jours.
Miranda Pennell
Catalogue : 2007You Made Me Love You | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 3:0 | Royaume-Uni | 2005

Miranda Pennell
You Made Me Love You
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 3:0 | Royaume-Uni | 2005
Dans les oeuvres de Miranda Pennell, les activités mineures de la vie quotidienne deviennent des chorégraphies fascinantes. En fait elle n?a pas de formation en tant que réalisatrice ou artiste audiovisuelle mais plutôt en tant que danseuse. Elle a pour habitude de diriger sa caméra vers des gens ?ordinaires? dans leur propre maison et analyse ainsi les différentes facettes et les différents sens du mouvement. Dans ?You Made Me Love You?, les règles du jeu sont simples : une caméra se déplace de manière inattendue, vite ou lentement, en avant et en arrière sur un rail. Une troupe de danseurs de ballet essaie d?établir ou de garder un contact visuel avec la caméra. Seuls quelques visages sont à l?écran tout au long du film. Parfois, d?autres danseurs parviennent à voler les feux de la rampe pendant un instant. Le travail rapide des pieds, avec lequel la caméra a du mal à rester en rythme, est le seul son que l?on entend. Une véritable bataille pour attirer l?attention a lieu sur la piste de danse. Car malheur à vous si vous vous retrouvez hors du champ de la caméra et sombrez dans l?oubli ! Avec ?You Made Me Love You?, cette artiste nous présente une allégorie de la fixation que font la plupart des gens sur les caméras et la célébrité.