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Sylvia Schedelbauer
Catalogue : 2006Erinnerungen | Documentaire | dv | couleur et n&b | 19:7 | Allemagne | 2004
Sylvia Schedelbauer
Erinnerungen
Documentaire | dv | couleur et n&b | 19:7 | Allemagne | 2004
La petite histoire de la famille de l?auteur se tisse à l?aide de photos provenant de l?album de famille. Mais il ne s?agit pas seulement de l?histoire propre à la famille; le film essaie de relier la petite histoire à l?Histoire tout court. L?auteur se penche sur la question: comment se voit elle, elle-même, par rapport à la guerre ? Elle essaie de s?approcher de la réponse en regardant le passé de ses parents qui vécurent tous deux la 2ème Guerre Mondiale en Allemagne, respectivement au Japon.
Née et grandie au Japon Vit et travaille à Berlin
Raquel Schefer
Catalogue : 2012Nshajo (O Jogo) | Doc. expérimental | dv | couleur | 7:52 | Portugal | 2010
Raquel Schefer
Nshajo (O Jogo)
Doc. expérimental | dv | couleur | 7:52 | Portugal | 2010
Entre 1957 et 1960, l?anthropologue Jorge Dias, l`une des figures majeures de l?ethnographie coloniale portugaise et du courant lusotropicaliste, réalisa trois études de champ dans le Plateau des Macondes, au Nord du Mozambique. Le matériel y recueillit allait donner origine à la vaste monographie « Os Macondes de Moçambique » (« Les Macondes du Mozambique », 1964-70), l?une des ?uvres les plus fondamentales de l?anthropologie moderne portugaise. En 1960, lors de la quatrième expédition au Mozambique et la troisième au Plateau des Macondes, Jorge Dias resta quelques jours dans la résidence de ma famille, à Mucojo, où mon grand-père était l?administrateur colonial. Le récit d?un épisode prosaïque du séjour de Jorge Dias à Mucojo est le point de départ d?une tentative de réflexion visuelle sur le rapport entre le système colonial et l?anthropologie, notamment sur les processus d?observation empirique, comparaison, imitation et acculturation. Les lignes de continuité sont tracées entre systèmes de représentation paroxystiques à travers la combinaison d?un film anthropologique apocryphe, d?archives familières et de la mise en scène de mémoires du Mozambique colonial.
Raquel Schefer (Porto, 1981) est réalisatrice et doctorante en Études Cinématographiques à l?Université de la Sorbonne Nouvelle - Paris 3, où elle prépare une thèse sur la représentation cinématographique de l?histoire, sous la direction de Philippe Dubois. Elle a publié en Argentine le livre « El Autorretrato en el Documental » («L?autoportrait dans le documentaire », 2008), résultat de sa thèse de Master en Cinéma Documentaire. Ses courts-métrages ont été présentés dans festivals et expositions comme le FIDMarseille, Berlinale Talent Campus, DocumentaMadrid, Fundación Telefónica, Fondation Calouste Gulbenkian, Fundación Laboral, DocLisboa Festival, Musée du Quai Branly, Festival Dockanema, parmi d?autres. Pour savoir plus, veuillez consulter le site-web http://www.raquelschefer.com.
Alexander Schellow
Catalogue : 2011fragment/ Vienna | Animation | dv | noir et blanc | 10:10 | Allemagne | 2009
Alexander Schellow
fragment/ Vienna
Animation | dv | noir et blanc | 10:10 | Allemagne | 2009
fragment / Vienna 2009 DVD, S/W, Ton mono, 10:10 fragment ist die Rekonstruktion einer visuellen Situation im U-Bahnhof Karlsplatz in Wien anhand von drei Fragmenten dort (strikt in Mono) aufgenommenen Audio-Materiales. Dieses wurde in der Folge als eine Art Score genutzt, um die visuelle Situation in einer scheinbar lineraren timeline zu verorten und dabei das Erinnerte frame für frame zu rekontruieren. fragment kopiert dabei in einer Art künstlich erzeugter Kamerabewegung den Duktus der Objektivität einer ?echten? visuellen Aufnahme. Sichtbar ist einer jener Überwachungsräume in Wiener U-Bahnhöfen, in denen eine Reihe von CCTV-Monitoren dem Fahrgast in einer Art öffentlicher Installation präsentiert wird. Oft sieht der Betrachter von hinten wiederum einen Angestellten der Verkehrbetriebe, der seinerseits die Monitore beobachtet. Der Film gräbt in der gefundenen Oberfläche, legt in einer Art prospektiver Archäologie die zeitweise beinahe surreal anmutenden Schichtungen der Überwachungssituation frei. Jeder der drei Teile tut dies mit einem etwas anderen Fokus der Analyse, so dass sich in der Relation der Teile ein komplexes Gefüge zu bilden und dieses in der Wahrnehmung des Betrachters zu oszillieren beginnt. Jeweils nach die visuell rekonstruierten Sequenzen ist das zugrunde liegende auditive Material hart geschnitten. Es ist zu hören, während das Bild Schwarz bleibt. Die betrachtende Arbeit der Überlagerung und Verknüpfung des gehörten und (erinnert) gesehenen spiegelt sich an den Konstruktionsachsen zwischen Bild und Ton.
Alexander Schellow Berlin *1974 Germany. Since 1999 solo- and groupshows, screenings works for performance theater and lectures. Publications include the book-project ?Storyboard? at Merz/Solitude (Stuttgart) and the DVD ?still lives? by Filmarmalade (London). Most recent projects for example ?out take Bozen/Bolzano? (for the opening-exhibition ?Museion ? Museum of Modern and Contemporary Art? /Bolzano, 2008, ?miniature? (with David Weber-Krebs?) at deAppel, Amsterdam 2009, ?tirana north ? trajectories? for ?Tirana International Contemporary Art Biannual?, Albania / 2009 and ?2481 desaster zone? (spatial conception) with theatercombinat, Vienna 2009. 2006/07 fellow at Akademie Schloss Solitude (Stuttgart). 2008 Pechstein-fellow. ?Bambiland? (theatercombinat, Vienna, 2009), to which Schellow contributed with films and spatial conception, won the Nestroy (best Off-Production, 2009) He tought spatial research practices at Metropolitan-University London and in the frame of workshops, for example at APT (Advanced Performance Training, Antwerp).
Catalogue : 2008still lives | Animation | dv | noir et blanc | 3:36 | Allemagne, Royaume-Uni | 2007
Alexander Schellow
still lives
Animation | dv | noir et blanc | 3:36 | Allemagne, Royaume-Uni | 2007
"Still lives" est une tentative de retravailler et de re-utiliser la mémoire. En faisant de tel, l'exercice n'est pas de se concentrer sur ces expériences quotidiennes qui attirent notre attention la plus forte, mais plutôt l'opposé. Cette tentative se concentre sur la perception involontaire, ce que à quoi l'un n'a pas vraiment porté attention mais qui est quand même inscrit dans la mémoire: un groupe de personne dans le train, une personne derrière une fenêtre, une cage d'escalier vide. Alexander Schellow construit une série de trente images de 3 secondes chacune de trajets dans le métro de Londres de mémoire et les ré-assemble en un film. La séquence de trois seconde correspo,nd avec la perception du présent de l'esprit humain. C'est ce que l'on appelle la plus petite unité de mémoire, à partir de laquelle sont défini le passé et le future. La reproduction en film animé devient la reconstruction de ce moment présent condensé au maximum. Basé sur la perception de ces "natures mortes", le film montre un échantillon possible de possibilités de reconstruire le scénario. Avec ses descriptions scéniques lentes et répétitives, Alexander Schellow réussi à constituer la réalité d'une manière compréhensive.
Alexander Schellow Born 1974 in Germany Hannover, Alexander Schellow studied ?visual arts? at the Universität der Künste Berlin and the Glasgow School of Art. Since 1999 several solo- and groupshows in Europe, works for performance-theatre and lectures ? recently Steirischer Herbst, Graz (film-installation) / Kunstmuseum Stuttgart (solo-show) / Centre Pompidou, Paris (lecture with live-mapping) / 1. Biennale Thessaloniki / Galerie Ute Parduhn, Düsseldorf (solo-show) / Kunstsammlungen Zwickau (show of nominated artists) / Storefront for Art and Architecture, New York (screening of ?spots?). Publications 2007 beside catalogues of the Kunstmuseum Stuttgart and the Kunstsammlungen Zwickau include his book-project ?STORYBOARD? (published by Merz/Solitude, Stuttgart) and the DVD ?still lives? by Filmarmalade (London) such as contributions to magazines as DOMUS or LICHTUNGEN. Recent performancetheater-work 2007/2008 with David Weber-Krebs, Amsterdam, and Philipp Gehmacher, Vienna. 2006/07 Alexander Schellow was resident fellow of the Akademie Schloss Solitude (Stuttgart) and is Pechstein-fellow 2007. He lives in Berlin and teaches at the Metropolitan University in London.
Alexander Schellow
Catalogue : 2013Marseille #01 - #30 | Animation | dv | noir et blanc | 6:3 | Allemagne, France | 2011
Alexander Schellow
Marseille #01 - #30
Animation | dv | noir et blanc | 6:3 | Allemagne, France | 2011
Marseille #01-#30 s?inscrit dans une série de films de 3 secondes intitulés spots, série débutée en 2006. Les spots consistent en la reconstruction de mémoire de fragments de scènes du quotidien, à partir de dessins qui deviennent ensuite de brèves animations. Cet ensemble de 30 spots se concentre sur des moments spécifiques observés dans l?espace urbain marseillais. Une animation de trois secondes est constituée d?environ 36 dessins. Chacun est reconstruit indépendamment des autres et de mémoire. Montées en boucle et en alternance avec des écrans noirs d?une durée identique, les images apparaissent et disparaissent avant que l?on puisse vraiment les saisir, comme des souvenirs qui infiltrent inconsciemment la perception. Les spots Marseille #01-#30 ont été réalisés en 2011 dans le cadre d?une carte blanche proposée par les Rencontres Parallèles, à Marseille. À cette occasion les spots furent dispersés dans divers lieux de la ville, privés comme publics, sur des supports de tous types mais déjà existants : télévision d?un bar, magasin d?audiovisuel, librairie, cinéma, restaurant, etc. Les films agissent alors de manière diffuse sur la perception des spectateurs inconscients de leur statut. Ils ont ensuite fait l?objet d?un montage expérimental et d?une édition DVD offrant plusieurs approches de la matière.
Basé à Berlin, Alexander Schellow est né en 1974. Depuis 1999, il développe une pratique continue de reconstruction de la mémoire par le dessin et l?animation. Récemment, on a pu voir son travail au FIDMarseille 2012, à la Biennale de Lyon 2011, au Fresnoy, au Festival d?Upssala (Suède), à la Biennale de Tirana (Albanie), à la Biennale de Thessalonique (Grèce), au Museion de Bolzano (Italie), au Kunstmuseum de Stuttgart (Allemagne), ou encore au DeApple Artcenter (Amsterdam). En 2012, le Musée d?Art Contemporain de Lyon a fait l?acquisition de son installation Ohne Titel (Fragment). Il a créé en 2011 la société index.film, basé à Berlin. Il collabore régulièrement avec la plateforme internationale de production MELD (New York/Paris/Athènes), le label d`avant-garde Lowave (Paris), la société de production Films de Force Majeure (Marseille), et l?association Catalogue du Sensible. Depuis 2007, Alexander Schellow intervient comme enseignant dans diverses universités (Paris, Londres, Anvers, Constance). Il a obtenu plusieurs bourses et résidences - dernièrement à l`Akademie Schloss Solitude dirigée par Jean-Baptiste Joly ou au Zukunftskolleg de l`Université de Constance. Il termine actuellement le documentaire d?animation Tirana et prépare la création de la performance Ohne Titel (Live).
Hester Scheurwater
Catalogue : 2006Glamour Girls | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 6:30 | Pays-bas | 2004
Hester Scheurwater
Glamour Girls
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 6:30 | Pays-bas | 2004
Dans ??Galour Girls? ? comme dans beaucoup de ses courts-métrages, la caméra de Hester Scheurwater explore la relation entre les êtres humains et l?espace, et entre les êtres humains eux-mêmes. Cette relation n?est en général pas très épanouissante. L?individu moderne évoqué par trois femmes emprisonnées dans un immeuble de verre et de béton apparaît dans GLAMOUR GIRLS comme isolé de la réalité, incapable de se connecter à lui-même ou à son environnement. Ces femmes sont des geishas modernes, avec un maquillage excessif, les membres couverts de sang. Après avoir essayé de combler le vide par la sophistication, elles s?affalent en silence, réalisant que l?innocence est perdue. Et se brosser les dents après coup n?enlève pas le goût du péché. « Quand je lèche tes lèvres, elles se transforment en pierre », chantent les Chicks on Speed, « tes mains sont froides, je peux voir au travers d?elles, il ne reste que l?arrière-goût ». Dans l?univers de Hester Scheurwater, il n?y a presque pas de place pour la chaleur humaine. Le seul être vivant qui évoque un sens une forme de pitié est un chien. Et le seul espoir qui reste est la caméra elle-même, recherchant fébrilement de la compassion dans les vestiges de ce qui est déchu.
Hester Scheurwater est née en 1971 aux Pays-Bas (H.I. Ambacht). Elle étudie l?art monumental à la Royal Academy of Fine Arts à la Haye, où elle participe à des ateliers avec Frans Zwartjes et Nan Hoover. Elle y enseigne actuellement la vidéo. Depuis 1996, ses installations vidéos et films expérimentaux ont été montrés dans de nombreux festivals partout dans le monde, dans des musées, des galeries et des centres d?art. Dans beaucoup de ses courts métrages, et de ses vidéos, la caméra d?Hester Scheurwater explore les relations entres les êtres humains et l?espace, des relations qui ne s?épanouissent que rarement. L?individu moderne apparaît isolé de la réalité, incapable de se connecter avec lui-même ou ce qui l?entoure. Dans l?univers de Sheurwater, il n?y a que peut de place pour la chaleur humaine, le seul espoir qui reste est la caméra elle-même qui cherche fébrilement de la compassion dans les restes de ce qui est déchu.
Catalogue : 2006Mama | Art vidéo | dv | couleur | 2:30 | Pays-bas | 2005
Hester Scheurwater
Mama
Art vidéo | dv | couleur | 2:30 | Pays-bas | 2005
Dans Glamour Girls, comme dans beaucoup de ses courts métrages, la caméra de Hester Scheurwater explore la relation entre les êtres humains et l'espace, et entre les êtres humains eux-mêmes. Cette relation ne s'épanouit pas. L'individu moderne -dans ce cas trois femmes emprisonnées dans de lisses structures de verre et de béton - apparaît comme isolé de la réalité, incapable de se relier avec son environnement. Les femmes sont des geisha modernes, avec un maquillage excessif et des lèvres couvertes de sang. Après avoir essayé de remplir le vide de charme, de beauté, elles se couchent en silence, comprenant que l'innocence a été perdue. Et se brosser les dents ne fait pas disparaitre le goût du péché. "Quand je lèche tes lèvres, elles deviennent de pierre", chantent les Chicks on Speed. "Tes mains sont froides, je peux voir à travers elles, et seul reste l'arrière goût".Dans l'univers de Scheurwater, il n'y a presque plus de place pour la chaleur humaine. Le seul être vivant qui évoque le sentiment de pitié est un chien. Et le seul espoir qui reste est la caméra elle-même, cherchant fiévreusement de la compassion dans les débirs de la déchéance.
Hester Scheurwater (née en 1971, H.I. Ambacht, aux Pays Bas)a étudié l'art monumental à l'Académie royale des Beaux-Arts de La Hague, où elle a participé aux ateliers de Frans Zwartjes et Nan Hoover. Elle enseigne maintenant l'art vidéo à l'Académie.Depuis 1996, Scheurwater a réalisé des installations vidéo et des films expérimentaux qui ont été montrés à travers le monde dans des festivals, des musées, des galeries, des espaces dédiés à l'art. Dans nombre de ses courts-métrages, la caméra de Hester Scheurwater explore les relations entre les êtres humains, et entre les humains et l'espace, relations qui s'épanouissent rarement. L'individu moderne apparaît comme isolé de la réalité, incapable de se lier à son environnement. Dans l'univers de Scheurwater il y a peu de place pour la chaleur humaine; le seul espoir réside dans la caméra elle-même, qui recherche fiévreusement la compassion dans les débris de la décadence.
Brieuc Schieb
Catalogue : 2023Koban Louzoù | Fiction | dcp | couleur | 58:58 | France | 2022
Brieuc Schieb
Koban Louzoù
Fiction | dcp | couleur | 58:58 | France | 2022
Audrey joins a participatory isolated workcamp where Kathleen, Laurence and Baptiste, volunteers from different backgrounds, live and work under the supervision of Aymeric. In a group marked by its disparity, each one tries to find one’s way around, to form bonds and to create a community.
Brieuc Schieb graduated from Paris Arts Déco. His work moves between films and installations. His projects are built around characters, environments or pre-existing materials. His first short fiction “La Tourbière” premiered at FID in 2019 and was screened in numerous festivals.
Schiefelbein
Catalogue : 2013I can. You can. | Vidéo | hdv | couleur | 7:22 | Allemagne | 2012
Schiefelbein
I can. You can.
Vidéo | hdv | couleur | 7:22 | Allemagne | 2012
A women is sitting on a couch while focussing her iron view into the camera and suddenly starts to talk. Out of her grows a canny and calm monologue which manifests her world of thoughts and ideas. The at first independently created monologue starts to get tangled up into contradictions, torn between different views and ideologies. It is a result of phrases taken out from different commercials which were combined into a continuously ongoing monologue. The women monologue turns out to be commanded and alienated by advertisement.
Marko Schiefelbein (*1984 in Stralsund, Germany) is a German artist living and working in Berlin. He studied Art History and graduated in Fine Arts in 2011 from University of Fine Arts Braunschweig (Germany). He is a master student of Prof. Candice Breitz. His works deals with the human estrangement in the century of modern life in a consumer society. His work was shown in
Timo Schierhorn
Catalogue : 2010Nacht um Olympia | Doc. expérimental | super8 | couleur et n&b | 40:0 | Allemagne | 2009
Timo Schierhorn
Nacht um Olympia
Doc. expérimental | super8 | couleur et n&b | 40:0 | Allemagne | 2009
In a small Sequence of a documentary film about the hostage taking at the Olympic Games 1972 in Munich Timo Schierhorn discovers a man on the screen that is similar to a picture of his father in a family photo. Furthermore the filmmaker learns that his father, who had died young, had worked as a BGS official at the Olympics. Additionally, in talking to a friend of his father?s he finds out that his father was given the name Uncle Luten, when he was mimicking his own father. For the film, ?Night in Olympia?, Schierhorn slips into the roll of this artificial figure whose staged biography investigates the mechanisms of memory and captures, that which has been forgotten, in images. Again and again over the last three years Schierhorn has encouraged his circle of acquaintances to re-enact every-day scenes of his parents, from their small town, between 1972 and 1980 ? similar to the of followers of living history re-enactments. This semi autobiographical film combines super 8 found-footage documentary sequences with staged scenes, which provide filmic links to the home movie memories. The ties between private films auctioned on eBay and the small film documentary performances, try to play two genres against one another: the home and art movie.
Timo Schierhorn Born in Winsen/Luhe, 1979, lives and works in Hamburg and Berlin 2009 Diploma (Fine Arts) Prof. Marie José Burki and Prof. Gerd Roscher, Hochschule für bildende Künste Hamburg
Jérôme Schlomoff
Catalogue : 2007New York zéro zéro | Film expérimental | 35mm | noir et blanc | 20:50 | France, USA | 2006
Jérôme Schlomoff
New York zéro zéro
Film expérimental | 35mm | noir et blanc | 20:50 | France, USA | 2006
New York, 19 mars 2003, 20H00. Fin de l?ultimatum fixé par George W. Bush à Saddam Hussein. Toutes les télévisons diffusent en direct l?allocution du président, l?Amérique vient d?entrer en guerre contre l?Irak. A ces images de la télévision américaine, répondent celles de New York comme un monde dévasté, plongé dans un chaos urbain que menace un grand cataclysme. L?humain déserte la ville sous une tempête de neige. De déambulation en déambulation, de quartier en quartier, la ville est brisée, abandonnée. Puis vient la rencontre avec Jerzy W. Sulek. Polonais d?origine, architecte, il vit dans la rue et dort dans son pick-up stationné devant son terrain vague. Il récupère des meubles et des objets dont il vit de la vente, dans l?attente d?un hypothétique permis de construire déposé il y a bien des années à la mairie. Il nous livre son rêve d?architecture, son regard sur la question « comment habiter la ville aujourd?hui » ?
Jérôme Schlomoff. J`ai quarante-quatre ans, je vis et travaille à Paris. Je suis photographe. Depuis 1984, je travaille sur le thème du portrait ; mon terrain de prédilection est le monde de l?art contemporain et je photographie sans cesse de nombreux créateurs. A partir de 1996, mon intérêt pour l?architecture s?affirme et je développe la série des « Sténopés d?Architecture », projet qui montre les liens étroits qui existent entre la photographie et l?architecture, en transformant l?architecture en appareil photo. Enfin, en l`an deux mille je construis ma caméra sténopé 35mm en carton et j?entreprends, image après image, la réalisation de films cinématographiques 35mm, où je prends le temps de poser un regard sur la ville, avec en tête toujours cette même question : « Comment habiter la ville aujourd?hui ? ». Portrait, architecture, cinéma sont ainsi les territoires essentiels à partir desquels s?organisent et se structurent mes recherches sur l?acte de photographier et sa signification actuelle. C?est au croisement de ces trois disciplines, dans leur dialogue permanent et leur enrichissement respectif que prend place mon attitude de photographe, de réalisateur et d?artiste. La littérature, le théâtre, toutes les formes de création, qui nourrissent mon imaginaire en poésie, attirent mon attention. Elles deviennent les territoires d?une expérimentation partagée autour d?un même langage.
Jérôme Schlomoff
Catalogue : 2011Marbre | Film expérimental | 35mm | noir et blanc | 8:13 | France, Pays-Bas | 2010
Jérôme Schlomoff
Marbre
Film expérimental | 35mm | noir et blanc | 8:13 | France, Pays-Bas | 2010
« Marbre » est une ?uvre de l?artiste français Marc Couturier, de 1999, faisant partie de la série : « Redressement ». Elle se présente sous la forme de deux blocs de marbres de Carrare juxtaposés au sol (chacun au format 30X42 sur 12 cm de haut). Sur celui de gauche sont empilés 375 lavis à l?encre de chine sur papier bouffant (au même format 30X42). Accéder à l?appréhension intégrale de l??uvre consiste à feuilleter ce « livre » de dessins représentant 375 bouquets de fleur dans leur vase. On comprend la difficulté de faire vivre au public cette expérience dans un musée. Ce film met scène, en un plan fixe, l?artiste entrain de nous offrir cette expérience. Son accomplissement filmé devient une performance éphémère de l?artiste ayant valeur de portrait de l??uvre et de l?artiste. Le film crée la performance. Le film témoigne de la performance. Le film est performance.
Jérôme Schlomoff. Je suis né en 1961. Je suis photographe. Depuis 1984, je travaille sur le thème du portrait ; mon terrain de prédilection est le monde de l?art contemporain et je photographie sans cesse de nombreux créateurs. A partir de 1996, mon intérêt pour l?architecture s?affirme et je développe la série des « Sténopés d?Architecture », projet qui montre les liens étroits qui existent entre la photographie et l?architecture, en transformant l?architecture en appareil photo. Enfin, en l`an deux mille je construis ma caméra sténopé 35mm en carton et j?entreprends, image après image, la réalisation de films cinématographiques 35mm, où je prends le temps de poser un regard sur la ville, avec en tête toujours cette même question : « Comment habiter la ville aujourd?hui » ?. Portrait, architecture, cinéma sont ainsi les territoires essentiels à partir desquels s?organisent et se structurent mes recherches sur l?acte de photographier et sa signification actuelle. C?est au croisement de ces trois disciplines, dans leur dialogue permanent et leur enrichissement respectif que prend place mon attitude de photographe, de réalisateur & d?artiste.
Catalogue : 2010Blonde Redhead Meets Gainsbourg | Film expérimental | dv | couleur | 5:5 | France, Pays-Bas | 2009
Jérôme Schlomoff
Blonde Redhead Meets Gainsbourg
Film expérimental | dv | couleur | 5:5 | France, Pays-Bas | 2009
Film réalisé à la demande du groupe Blonde redhead, à l?occasion de leur concert en hommage à Gainsbourg, le 25 octobre 2008, à la Cité de la Musique, Paris.
Jérôme Schlomoff. Je suis né en 1961, je vis & travaille à Amsterdam & Paris. Je suis photographe. Depuis 1984, je travaille sur le thème du portrait ; mon terrain de prédilection est le monde de l?art contemporain et je photographie sans cesse de nombreux créateurs. A partir de 1996, mon intérêt pour l?architecture s?affirme et je développe la série des « Sténopés d?Architecture », projet qui montre les liens étroits qui existent entre la photographie et l?architecture, en transformant l?architecture en appareil photo. Enfin, en l`an deux mille je construis ma caméra sténopé 35mm en carton et j?entreprends, image après image, la réalisation de films cinématographiques 35mm, où je prends le temps de poser un regard sur la ville, avec en tête toujours cette même question : « Comment habiter la ville aujourd?hui ? ». Portrait, architecture, cinéma sont ainsi les territoires essentiels à partir desquels s?organisent et se structurent mes recherches sur l?acte de photographier et sa signification actuelle. C?est au croisement de ces trois disciplines, dans leur dialogue permanent et leur enrichissement respectif que prend place mon attitude de photographe, de réalisateur & d?artiste.
Catalogue : 2009la villa k | Film expérimental | 35mm | noir et blanc | 2:20 | France, Pays-Bas | 2008
Jérôme Schlomoff
la villa k
Film expérimental | 35mm | noir et blanc | 2:20 | France, Pays-Bas | 2008
Ce film propose une visite du chantier de la villa K construite, à la sortie d?un petit village à 20 km de Marrakech, par les architectes Karl Fournier & Olivier Marty, fondateurs de l?agence Studio KO. Le dialogue qu?instaurent les architectes entre la tradition et la modernité, à travers leur travail, rejoint ma démarche cinématographique, aussi, je me suis attaché à filmer la magie et la poésie qui résulte de ce dialogue.
Jérôme Schlomoff. Je suis né en 1961, je vis & travaille à Amsterdam. Je suis photographe. Depuis 1984, je travaille sur le thème du portrait ; mon terrain de prédilection est le monde de l?art contemporain et je photographie sans cesse de nombreux créateurs. A partir de 1996, mon intérêt pour l?architecture s?affirme et je développe la série des « Sténopés d?Architecture », projet qui montre les liens étroits qui existent entre la photographie et l?architecture, en transformant l?architecture en appareil photo. Enfin, en l`an deux mille je construis ma caméra sténopé 35mm en carton et j?entreprends, image après image, la réalisation de films cinématographiques 35mm, où je prends le temps de poser un regard sur la ville, avec en tête toujours cette même question : « Comment habiter la ville aujourd?hui ? ». Portrait, architecture, cinéma sont ainsi les territoires essentiels à partir desquels s?organisent et se structurent mes recherches sur l?acte de photographier et sa signification actuelle. C?est au croisement de ces trois disciplines, dans leur dialogue permanent et leur enrichissement respectif que prend place mon attitude de photographe, de réalisateur & d?artiste. La littérature, le théâtre, toutes les formes de création, qui nourrissent mon imaginaire en poésie, attirent mon attention. Elles deviennent les territoires d?une expérimentation partagée autour d?un même langage.
Catalogue : 2008Amsterdam Reconstruction | Film expérimental | 35mm | noir et blanc | 20:0 | France, Pays-Bas | 2007
Jérôme Schlomoff
Amsterdam Reconstruction
Film expérimental | 35mm | noir et blanc | 20:0 | France, Pays-Bas | 2007
Ce film sténopé propose une visite de la ville d?Amsterdam à travers les chantiers de reconstruction de quatre institutions culturelles qui sont : la salle de cinéma de la Maison Descartes ; le Rijksmuseum ; le Stedelijk Museum Amsterdam ; le centre d?art W139. Ces lieu sont actuellement en travaux. Ce film est construit comme une mystérieuse balade du regard à travers ces 4 chantiers chargés d?histoire, où la magie de l?architecture mise à nu nous plonge dans un univers étrange et dont la caméra sténopé nous révéler la force poétique. Tout au long de cette balade, les éléments poétiques successivement rencontrés sont confrontés à la vision d?un monde industriel, en analogie ou en opposition, avec celle de la nature intacte. Cette vision d?Amsterdam permet de créer lien dynamique entre les quatre chantiers. Il s?agit d?une histoire de reconstruction, reconstruction de la ville à travers notre propre reconstruction du regard.
Jérôme Schlomoff. je suis né en 1961. J`habite & travaille à Amsterdam. Je suis photographe. Depuis 1984, je travaille sur le thème du portrait ; mon terrain de prédilection est le monde de l?art contemporain et je photographie sans cesse de nombreux créateurs. A partir de 1996, mon intérêt pour l?architecture s?affirme et je développe la série des « Sténopés d?Architecture », projet qui montre les liens étroits qui existent entre la photographie et l?architecture, en transformant l?architecture en appareil photo. Enfin, en l`an deux mille je construis ma caméra sténopé 35mm en carton et j?entreprends, image après image, la réalisation de films cinématographiques 35mm, où je prends le temps de poser un regard sur la ville, avec en tête toujours cette même question : « Comment habiter la ville aujourd?hui » ?. Portrait, architecture, cinéma sont ainsi les territoires essentiels à partir desquels s?organisent et se structurent mes recherches sur l?acte de photographier et sa signification actuelle. C?est au croisement de ces trois disciplines, dans leur dialogue permanent et leur enrichissement respectif que prend place mon attitude de photographe, de réalisateur & d?artiste. La littérature, le théâtre, toutes les formes de création, qui nourrissent mon imaginaire en poésie, attirent mon attention. Elles deviennent les territoires d?une expérimentation partagée autour d?un même langage.
Eske Schlüters
Catalogue : 2016Title (Life goes on) | Vidéo | hdv | couleur | 12:0 | Allemagne | 2015
Eske SchlÜters
Title (Life goes on)
Vidéo | hdv | couleur | 12:0 | Allemagne | 2015
Eske Schlüters geb. 1970 Studierte an der Hochschule für bildende Künste in Hamburg. Diplom 2004. Seither arbeitet sie als freie Künstlerin vor allen Dingen mit Bewegtbild. Sie hatte Gastprofessuren in Hamburg und Zürich und zahlreiche Stipendien (Kunstfonds Bonn, Villa Romana Preis, Künstlerstätte Bleckede) und diverse internationale Einzel- und Gruppenausstellungen (Kunstverein für die Rheinlande und Westfalen, Bundeskunsthalle Bonn, Frankfurter Kunstverein, Museum für Gegenwartskunst Siegen, Haus am Waldsee Berlin, Kunsthaus Hamburg)
Thomas Schmahl
Catalogue : 2021Les montagnes amoureuses | Film expérimental | mov | couleur | 21:48 | France | 2020
Thomas Schmahl
Les montagnes amoureuses
Film expérimental | mov | couleur | 21:48 | France | 2020
Un jeune homme est traversé par les ondes. Elles sont stoppées par les montagnes. Il commence à observer plus précisément les grandes masses rocheuses qui l’entourent, et découvre des phénomènes romantiques. Par amour, il tourne autour.
Thomas Schmahl est né en 1994 à Annecy (France). Il vit et travaille entre Annecy (France) et Reims (France). Il est diplômé de l’ESAD – École Supérieure d’Art et de Design de Reims (France). Son travail s’intéresse à l’anecdotique, à la carence, à l’instable. L’artiste propose des situations, films ou installations dans lesquelles le récit et les protagonistes évoquent souvent un ailleurs. Il est lauréat du Prix de la Jeune Création de la Biennale d’art contemporain de Mulhouse (France) en 2019.
Romana Schmalisch, Robert Schlicht
Catalogue : 2013Preliminaries | Doc. expérimental | hdv | couleur | 48:0 | Allemagne, Russie | 2011
Romana Schmalisch, Robert Schlicht
Preliminaries
Doc. expérimental | hdv | couleur | 48:0 | Allemagne, Russie | 2011
The film ?Preliminaries? traces the history of the statue ?Worker and Kolkhoz Woman? by Vera Mukhina. This statue was originally designed for the Soviet pavilion at the 1937 World Exhibition in Paris, where it stood opposite the pavilion of Nazi Germany, enacting an antagonism that would result in a catastrophic war. It was later moved to Moscow and erected in front of the Exhibition of National Achievements of the Economy, which to the contemporaries appeared as a promise of a radiant future. After World War II, the statue became the emblem of the biggest film company of the Soviet Union, Mosfilm, and is shown at the beginning of every Mosfilm movie since 1947. In deciphering the statue?s diverse symbolisms and connections to the historical contexts, the film investigates into the notion of future as a central topic in the politics and culture of the Stalinist era. Exploring subjects like the War, Socialist Realism, and show trials, the film attempts to deconstruct a politics of the symbol that results from an ideology of the future, in which the present is neglected since it is considered as nothing but the preliminary future. Images from present-day Moscow ? the statue in front of a post-Communist amusement park, the surroundings of the Mosfilm studios, and the Red Square populated by Party leader doppelgangers ? are combined with stills from Stalinist films as well as with projected interviews (with Naum Kleiman, Gayane Ambartsumyan, Sergei Nikitin) set up in a situation slightly reminiscent of a trial hearing. The film thus enacts a preliminary inquiry on issues inherent in the notion of a future that is taken for granted and hence doesn?t even need to be realised ? a future that is now our past.
Romana Schmalisch studied Fine Arts at the University of the Arts in Berlin. She was a resident artist in several stipend programs, among others as a researcher at the Fine Art Department of Jan Van Eyck Academy, Maastricht, and in the Berlin Senate`s stipend program in London. Robert Schlicht studied philosophy at Humboldt University Berlin. Together they develop projects at the interface of film and theory, investigating cinematic representations and the representability of historical processes and social structures.
Catalogue : 2012Recitando | Fiction expérimentale | hdv | couleur | 35:1 | Allemagne | 2010
Romana Schmalisch, Robert Schlicht
Recitando
Fiction expérimentale | hdv | couleur | 35:1 | Allemagne | 2010
The film ?Recitando? is the documentation of an encounter between workers from the Moscow paper factory ?October? and two filmmakers from abroad. The film experiments with and combines modes of documentary and fiction, and strategies of theatre and film, in order to investigate into and construct models of cinematography. The paper production process which seems to be captured in documentary shots is in fact staged for the camera by the workers, since the factory does not pro¬duce anything at the moment ? and this nonproduction is the condition for their appearance as actors in the film. For at the same time, the workers recount and reflect upon their current situation ? being filmed instead of producing paper ? in choric recitations and two songs, delivered in a manner reminiscent of Brechtian ?Lehrstücke?. The customary contrast of documentary and fictional modes, of reality ?caught unawares? and scripted enactment is thus being twisted and deconstructed. Additionally, the film is continually interrupted by intertitles citing discussions from late 1920s? Soviet cinema ? e. g., about documentarism à la Dziga Vertov and Esfir Shub, about Sergei Eisenstein?s reenactment of the October revolution ten years after the event and the film?s mixed reception, and of the relation between images and text ? thus evoking a friction between early avant-garde cinematography and today?s filmic modes, as well as rendering the question as to who speaks even more uncertain. The two filmmakers may not only come from a different country but even from a different era. The film thus experiments with different cinematographic models. Instead of pur¬porting to present something which could be considered as a finished film, it at¬tempts to create fissures in the cinematographic texture as spaces for the reflection on different filmic modes, on the interrelations of history of film, and on representa¬tion and reality. ?Recitando? was shot in the Moscow paper factory ?October? (formerly ?Red October?), which was founded in 1924. During Soviet times one of Moscow?s largest paper mills, the residual staff only rarely produces paper today. Parts of the com¬plex have been transformed into the art space PROEKT_FABRIKA, where the film premiered in January 2010.
Romana Schmalisch (1974) born and based in Berlin Romana Schmalisch graduated with an MFA from the Universität der Künste, Berlin, in 2002. She focuses on the architectonic urban space, its changes and the accompanying social changes. In her film works, she combines sequences shot by herself with image and film quotations and with text fragments in the form of a collage, juxtaposing different layers of times and imagery. Romana Schmalisch collaborated on various film projects with Robert Schlicht. Robert Schlicht (1975) born and based in Berlin Robert Schlicht has studied philosophy and literature and graduated from the Humboldt University Berlin. His thesis with the title ?Passage au Cinéma? examined the relation of Walter Benjamin?s film theory and his theory of history and historiography. Subsequently, Robert Schlicht was concerned with the interface of theory and film, and collaborated on various film projects with Romana Schmalisch. Recent exhibitions/screenings (selection): National Centre for Contemporary Arts, NCCA, Moscow (2011), centre d?art passerelle, Brest (2010), Proekt_Fabrika, Moscow (2010), Utopiana, Yerevan, Armenia (2009), National Centre for Contemporary Arts, NCCA, Moscow (2009), Centre for Contemporary Art at Ujazdowski Castle, Warsaw (2009), Wilhelm Lehmbruck Museum, Duisburg (2007), STUK Theater, Leuven (2007), Arsenal/Freunde der deutschen Kinemathek, Berlin (2007), Arsenal/Freunde der deutschen Kinemathek, Berlin (2005)
Catalogue : 2011Real Estate Avantgarde | Vidéo expérimentale | dv | couleur et n&b | 5:20 | Allemagne | 2010
Romana Schmalisch
Real Estate Avantgarde
Vidéo expérimentale | dv | couleur et n&b | 5:20 | Allemagne | 2010
Real Estate Avantgarde »Real Estate Avantgarde«, HD, 5:20 min., 2010 ?Real Estate Avantgarde? is a fictitious promotion trailer for a real estate investment project in St Petersburg. The investor Igor Burdinsky has purchased the former textile factory ?Red Banner?, a masterpiece of avantgarde architecture, and is now seeking partners to realise a cultural and/or business centre. While the investor draws on the symbolic power of avantgarde architecture, the film in turn appropriates this business strategy.
Romana Schmalisch is based in Berlin. Recent exhibitions/screenings include: centre d?art passerelle, Brest (2010) Transmission Gallery, Glasgow (2010), Proekt_Fabrika, Moscow (2010) FormContent, London (2009), National Centre for Contemporary Arts, NCCA, Moscow (2009), Contemporary Art Centre, CAC, Vilnius (2009), Centre for Contemporary Art at Ujazdowski Castle, Warsaw (2009), Museum Folkwang, Essen (2008), MuseumKunstPalast, Düsseldorf (2008), Wilhelm Lehmbruck Museum, Duisburg (2007), STUK, Leuven (2007)
Catalogue : 2010Decision of the party | Film expérimental | super8 | couleur | 5:33 | Allemagne | 2008
Romana Schmalisch
Decision of the party
Film expérimental | super8 | couleur | 5:33 | Allemagne | 2008
Decision of the Party (2008) is a film, which combines Super8 material from today?s Volgograd with parts of the sound track from the Soviet propaganda film The Promise (Kliatva, 1946). In this movie, Joseph Stalin plans and realises ?his? city, Stalingrad (now Volgograd). Thus, the real city of today is juxtaposed with its past medial vision, in turn becoming a projection of its own history within the film.
Romana Schmalisch 1974 born in Berlin, Germany lives and works in Berlin, Germany Education 1995 Universität der Künste, Berlin 2000 Hunter College, New York, USA 2001 Surikov-Institut, Moscow 2002 MFA, Universität der Künste, Berlin 2006/2007 Researcher Fine Art, Jan van Eyck Akademie, Maastricht Grants 2009 International Residency, Berlin Senate`s Department of Science, Research and Culture in collaboration with the Whitechapel Gallery and Studio Voltaire, London | 2007 Karl-Hofer-Gesellschaft Art Award, Berlin | Provinzial Förderprojekt 2005 Goldrausch Künstlerinnenprojekt art IT | film grant from the Berlin Senate for Cultural Affairs, Berlin 2004 DAAD stipend, Paris 2003 project grant from the Berlin Senate for Cultural Affairs, Berlin for ?Dom Sovietov? 2002/2003 Kyoung-an Artist-in-Residency, Seoul
Catalogue : 2009Weg zum Klub. Erholung durch Kultur | Vidéo expérimentale | 16mm | couleur | 11:0 | Allemagne | 2007
Romana Schmalisch
Weg zum Klub. Erholung durch Kultur
Vidéo expérimentale | 16mm | couleur | 11:0 | Allemagne | 2007
Le film rapproche - sous forme de collage - des bâtiments soviétiques d'avant-garde datant des années 1920 à des films et enregistrements audio de la fin des années 1930, dans lesquels le sujet de l'évolution de Moscou joue un rôle majeur. Ces changements très rapides dans la politique et le paysage architectural deviennent le sujet central du film. Le regard sur le début de l?avant-garde est confronté aux plans mégalomanes staliniens. Le film examine l'image de Moscou telle qu?elle a été rapportée par les médias à un moment de radicaux changements politiques et sociaux.
Romana Schmalisch est née à Berlin en 1974 où elle vit et travaille actuellement. L'artiste a obtenu un diplôme de l'Universität der Künste de Berlin en 2002 (AMF) et a été chercheuse en Beaux-Arts à la Jan van Eyck Akademie de Maastricht (Pays-Bas) en 2006/2007. L??uvre de Schmalisch a été exposée internationalement.
Romana Schmalisch
Catalogue : 2013Preliminaries | Doc. expérimental | hdv | couleur | 48:0 | Allemagne, Russie | 2011
Romana Schmalisch, Robert Schlicht
Preliminaries
Doc. expérimental | hdv | couleur | 48:0 | Allemagne, Russie | 2011
The film ?Preliminaries? traces the history of the statue ?Worker and Kolkhoz Woman? by Vera Mukhina. This statue was originally designed for the Soviet pavilion at the 1937 World Exhibition in Paris, where it stood opposite the pavilion of Nazi Germany, enacting an antagonism that would result in a catastrophic war. It was later moved to Moscow and erected in front of the Exhibition of National Achievements of the Economy, which to the contemporaries appeared as a promise of a radiant future. After World War II, the statue became the emblem of the biggest film company of the Soviet Union, Mosfilm, and is shown at the beginning of every Mosfilm movie since 1947. In deciphering the statue?s diverse symbolisms and connections to the historical contexts, the film investigates into the notion of future as a central topic in the politics and culture of the Stalinist era. Exploring subjects like the War, Socialist Realism, and show trials, the film attempts to deconstruct a politics of the symbol that results from an ideology of the future, in which the present is neglected since it is considered as nothing but the preliminary future. Images from present-day Moscow ? the statue in front of a post-Communist amusement park, the surroundings of the Mosfilm studios, and the Red Square populated by Party leader doppelgangers ? are combined with stills from Stalinist films as well as with projected interviews (with Naum Kleiman, Gayane Ambartsumyan, Sergei Nikitin) set up in a situation slightly reminiscent of a trial hearing. The film thus enacts a preliminary inquiry on issues inherent in the notion of a future that is taken for granted and hence doesn?t even need to be realised ? a future that is now our past.
Romana Schmalisch studied Fine Arts at the University of the Arts in Berlin. She was a resident artist in several stipend programs, among others as a researcher at the Fine Art Department of Jan Van Eyck Academy, Maastricht, and in the Berlin Senate`s stipend program in London. Robert Schlicht studied philosophy at Humboldt University Berlin. Together they develop projects at the interface of film and theory, investigating cinematic representations and the representability of historical processes and social structures.
Catalogue : 2012Recitando | Fiction expérimentale | hdv | couleur | 35:1 | Allemagne | 2010
Romana Schmalisch, Robert Schlicht
Recitando
Fiction expérimentale | hdv | couleur | 35:1 | Allemagne | 2010
The film ?Recitando? is the documentation of an encounter between workers from the Moscow paper factory ?October? and two filmmakers from abroad. The film experiments with and combines modes of documentary and fiction, and strategies of theatre and film, in order to investigate into and construct models of cinematography. The paper production process which seems to be captured in documentary shots is in fact staged for the camera by the workers, since the factory does not pro¬duce anything at the moment ? and this nonproduction is the condition for their appearance as actors in the film. For at the same time, the workers recount and reflect upon their current situation ? being filmed instead of producing paper ? in choric recitations and two songs, delivered in a manner reminiscent of Brechtian ?Lehrstücke?. The customary contrast of documentary and fictional modes, of reality ?caught unawares? and scripted enactment is thus being twisted and deconstructed. Additionally, the film is continually interrupted by intertitles citing discussions from late 1920s? Soviet cinema ? e. g., about documentarism à la Dziga Vertov and Esfir Shub, about Sergei Eisenstein?s reenactment of the October revolution ten years after the event and the film?s mixed reception, and of the relation between images and text ? thus evoking a friction between early avant-garde cinematography and today?s filmic modes, as well as rendering the question as to who speaks even more uncertain. The two filmmakers may not only come from a different country but even from a different era. The film thus experiments with different cinematographic models. Instead of pur¬porting to present something which could be considered as a finished film, it at¬tempts to create fissures in the cinematographic texture as spaces for the reflection on different filmic modes, on the interrelations of history of film, and on representa¬tion and reality. ?Recitando? was shot in the Moscow paper factory ?October? (formerly ?Red October?), which was founded in 1924. During Soviet times one of Moscow?s largest paper mills, the residual staff only rarely produces paper today. Parts of the com¬plex have been transformed into the art space PROEKT_FABRIKA, where the film premiered in January 2010.
Romana Schmalisch (1974) born and based in Berlin Romana Schmalisch graduated with an MFA from the Universität der Künste, Berlin, in 2002. She focuses on the architectonic urban space, its changes and the accompanying social changes. In her film works, she combines sequences shot by herself with image and film quotations and with text fragments in the form of a collage, juxtaposing different layers of times and imagery. Romana Schmalisch collaborated on various film projects with Robert Schlicht. Robert Schlicht (1975) born and based in Berlin Robert Schlicht has studied philosophy and literature and graduated from the Humboldt University Berlin. His thesis with the title ?Passage au Cinéma? examined the relation of Walter Benjamin?s film theory and his theory of history and historiography. Subsequently, Robert Schlicht was concerned with the interface of theory and film, and collaborated on various film projects with Romana Schmalisch. Recent exhibitions/screenings (selection): National Centre for Contemporary Arts, NCCA, Moscow (2011), centre d?art passerelle, Brest (2010), Proekt_Fabrika, Moscow (2010), Utopiana, Yerevan, Armenia (2009), National Centre for Contemporary Arts, NCCA, Moscow (2009), Centre for Contemporary Art at Ujazdowski Castle, Warsaw (2009), Wilhelm Lehmbruck Museum, Duisburg (2007), STUK Theater, Leuven (2007), Arsenal/Freunde der deutschen Kinemathek, Berlin (2007), Arsenal/Freunde der deutschen Kinemathek, Berlin (2005)
Catalogue : 2011Real Estate Avantgarde | Vidéo expérimentale | dv | couleur et n&b | 5:20 | Allemagne | 2010
Romana Schmalisch
Real Estate Avantgarde
Vidéo expérimentale | dv | couleur et n&b | 5:20 | Allemagne | 2010
Real Estate Avantgarde »Real Estate Avantgarde«, HD, 5:20 min., 2010 ?Real Estate Avantgarde? is a fictitious promotion trailer for a real estate investment project in St Petersburg. The investor Igor Burdinsky has purchased the former textile factory ?Red Banner?, a masterpiece of avantgarde architecture, and is now seeking partners to realise a cultural and/or business centre. While the investor draws on the symbolic power of avantgarde architecture, the film in turn appropriates this business strategy.
Romana Schmalisch is based in Berlin. Recent exhibitions/screenings include: centre d?art passerelle, Brest (2010) Transmission Gallery, Glasgow (2010), Proekt_Fabrika, Moscow (2010) FormContent, London (2009), National Centre for Contemporary Arts, NCCA, Moscow (2009), Contemporary Art Centre, CAC, Vilnius (2009), Centre for Contemporary Art at Ujazdowski Castle, Warsaw (2009), Museum Folkwang, Essen (2008), MuseumKunstPalast, Düsseldorf (2008), Wilhelm Lehmbruck Museum, Duisburg (2007), STUK, Leuven (2007)
Catalogue : 2010Decision of the party | Film expérimental | super8 | couleur | 5:33 | Allemagne | 2008
Romana Schmalisch
Decision of the party
Film expérimental | super8 | couleur | 5:33 | Allemagne | 2008
Decision of the Party (2008) is a film, which combines Super8 material from today?s Volgograd with parts of the sound track from the Soviet propaganda film The Promise (Kliatva, 1946). In this movie, Joseph Stalin plans and realises ?his? city, Stalingrad (now Volgograd). Thus, the real city of today is juxtaposed with its past medial vision, in turn becoming a projection of its own history within the film.
Romana Schmalisch 1974 born in Berlin, Germany lives and works in Berlin, Germany Education 1995 Universität der Künste, Berlin 2000 Hunter College, New York, USA 2001 Surikov-Institut, Moscow 2002 MFA, Universität der Künste, Berlin 2006/2007 Researcher Fine Art, Jan van Eyck Akademie, Maastricht Grants 2009 International Residency, Berlin Senate`s Department of Science, Research and Culture in collaboration with the Whitechapel Gallery and Studio Voltaire, London | 2007 Karl-Hofer-Gesellschaft Art Award, Berlin | Provinzial Förderprojekt 2005 Goldrausch Künstlerinnenprojekt art IT | film grant from the Berlin Senate for Cultural Affairs, Berlin 2004 DAAD stipend, Paris 2003 project grant from the Berlin Senate for Cultural Affairs, Berlin for ?Dom Sovietov? 2002/2003 Kyoung-an Artist-in-Residency, Seoul
Catalogue : 2009Weg zum Klub. Erholung durch Kultur | Vidéo expérimentale | 16mm | couleur | 11:0 | Allemagne | 2007
Romana Schmalisch
Weg zum Klub. Erholung durch Kultur
Vidéo expérimentale | 16mm | couleur | 11:0 | Allemagne | 2007
Le film rapproche - sous forme de collage - des bâtiments soviétiques d'avant-garde datant des années 1920 à des films et enregistrements audio de la fin des années 1930, dans lesquels le sujet de l'évolution de Moscou joue un rôle majeur. Ces changements très rapides dans la politique et le paysage architectural deviennent le sujet central du film. Le regard sur le début de l?avant-garde est confronté aux plans mégalomanes staliniens. Le film examine l'image de Moscou telle qu?elle a été rapportée par les médias à un moment de radicaux changements politiques et sociaux.
Romana Schmalisch est née à Berlin en 1974 où elle vit et travaille actuellement. L'artiste a obtenu un diplôme de l'Universität der Künste de Berlin en 2002 (AMF) et a été chercheuse en Beaux-Arts à la Jan van Eyck Akademie de Maastricht (Pays-Bas) en 2006/2007. L??uvre de Schmalisch a été exposée internationalement.
Max Philipp Schmid
Catalogue : 2020Membran | Fiction expérimentale | 0 | couleur | 13:55 | Suisse | 2019
Max Philipp Schmid
Membran
Fiction expérimentale | 0 | couleur | 13:55 | Suisse | 2019
Est-ce que la catastrophe est déjà arrivée ou est-elle sur le point de l'être? Deux hommes et une femme sont assis dans leurs appartements de type bunker, comme s'ils étaient dans une salle d'attente. Ils sont accablés par le flot d'informations et de guides livres replis de parole de sagesse cherchant la stabilité dans le jeu du piano de la classe moyenne éduquée et auprès des techniques d'auto-optimisation de l'extrême-orient. Leur perplexité passive se transforme en activisme frénétique. Maintenant quelque chose doit se passer! Mais rien n’arrive.
Max Philipp Schmid (*1962) studied art history and visual arts. He has devoted himself to creating experimental films, musical films and video installations. His works and installations have been featured in solo and group shows and at numerous festivals worldwide.
Max Philipp Schmid
Catalogue : 2012DAS GESPENST DES GLÜCKS | Vidéo expérimentale | | couleur | 10:20 | Suisse | 2011
Max Philipp Schmid
DAS GESPENST DES GLÜCKS
Vidéo expérimentale | | couleur | 10:20 | Suisse | 2011
A man and a woman practise the great embrace. Ardently they try to simulate the vibrant style of a Hollywood musical ?.
Max Philipp Schmid (geboren 1962) realisiert seit 1990 experimentelle Film- und Videoarbeiten. Diese wurden u.a. im Schweizer Pavillon an der Weltausstellung Zaragoza 08, im plug_in Basel (Einzelausstellungen), im ZKM Karlsruhe, Swiss Institute New York, Museum für Gegenwartskunst Basel, der Kunsthalle BL und an zahlreichen Festivals gezeigt. Er ist Mitglied der VIA, AudioVideoKunst, Basel und unterrichtet an der SfG Basel.
Doris Schmid
Catalogue : 2025I speak the night | Vidéo expérimentale | hdcam | couleur | 19:0 | Suisse, Allemagne | 2023
Doris Schmid
I speak the night
Vidéo expérimentale | hdcam | couleur | 19:0 | Suisse, Allemagne | 2023
Die Arbeit beginnt und endet mit der Einstellung eines Schneeberges bei Vollmond, der den Berg majestätisch erstrahlen lässt. Das Bild repräsentiert als Ausgangs- und Endpunkt symbolhaft Anliegen und Leitmotiv von I speak the night: die Reflexion von Wahrnehmung, Imagination und künstlerischem Ausdruck der kollektiven, realen Aussenwelt in Bezug mit dem subjektiven Innenleben jedes Einzelnen. Die Grundstruktur des Videos basiert auf drei Strängen, die poesievoll zu einer Komposition verwoben sind: fotografische Bilder der Künstlerin, improvisierte Klänge einer Musikerin und Lyrik zweier Dichterinnen. Die visuelle Ebene besteht aus einer Folge unzähliger Cyanotypien auf Grundlage von Fotografien, ergänzt mit surrealen Videosequenzen. Die Musik setzt den Rhythmus und eröffnet zugleich weite Klangräume. Die symbol- und rätselhafte Sprache der Gedichte – in Texttafeln eingeschnitten – vereint sich assoziativ mit den Bildern und dem Ton. Im Kern der Arbeit steht in metaphorischer Weise die Dunkelheit der Nacht, die vieles verbirgt, im Gegensatz zum Licht mit den Sinnbildern von Sonne und Vollmond. Gleichsam aus der Nacht heraus lässt das analoge Verfahren der Cyanotypie die Bilder ins Licht treten, handgefertigte Unikate mit charakteristischer tiefblauer Einfärbung: traumhafte und sehnsüchtige Reminiszenzen an Orte, Räume, Natur, Landschaften, Tiere oder Menschenkörper. Die Bilder zeugen von einer physischen, wesenshaften Präsenz. Zugleich muten sie als sublime vielschichtige Seelenzustände an in Verbindung mit Naturelementen wie Wasser und Feuer. Die Künstlerin lotet mit der Verwendung der Cyanotypie im medialen Wechselspiel mit Video experimentell ästhetische Möglichkeiten aus. Dank der magievollen Bildkraft in soghafter Verbindung mit Musik und Text gelingt es ihr, eine eindrückliche Plastizität, Sinnlichkeit und Sinnhaftigkeit zu erzeugen. Die Arbeit schlägt uns Betrachtende in den Bann und setzt unweigerlich unsere Imagination in Gang. Text: Bruno Z’Graggen
1974* Switzerland, Visual artist with video, installation and photography. Studies in Basel and Zurich (painting and video/new media). Since 2000 participation in video festivals, exhibitions, art projects, screenings and numerous collaborative audio-visual projects with musicians, sound artists and artist radio projects. Prizes (such as Videotage Basel, NAB, shift Festival Basel, Shortlist Medienkunstpreis SEHNERV). Residencies in Tokyo, Vienna, Berlin, San Francisco, Paris and Nairs. Lives in Berlin and Zürich.
Stephana Schmidt
Catalogue : 2008Handy moovie | Vidéo expérimentale | | couleur | 3:15 | Allemagne | 2006
Stephana Schmidt
Handy moovie
Vidéo expérimentale | | couleur | 3:15 | Allemagne | 2006
Arrival, finally again! But where is that? What sort of thing is a piano becoming when being transformed into distorted electronic streams by a mini-microphone? Elevated randomly from the archive, data have been put together into a memory package. This feeling between the places is, whose notion the entire metropolitan community can share. All takes have been shot with "handy devices". Time window: 5 years.
Stephana Schmidt was born 1976 in Halle/S., ex-GDR. After various daydreams, music experiments plus an education on classical piano he studied Philosophy and doing Photographs. He graduated in Visual Arts at Bauhaus Weimar and Fine Arts at Beaux Arts Toulouse. Ever since he lives and works as a "Multipurpose Artist" in Berlin running the "Gedankenschmied-Project".
Nicolaas Schmidt
Catalogue : 2023First Time [The Time for All but Sunset - Violet] | Fiction expérimentale | 0 | couleur | 49:0 | Allemagne | 2021
Nicolaas Schmidt
First Time [The Time for All but Sunset - Violet]
Fiction expérimentale | 0 | couleur | 49:0 | Allemagne | 2021
We listen to music and are on the way. In doing so, we see things and the world differently than before. So that things don't always go on like this, but may become better: Two boys meet on a train ride. Something is born – not much and yet everything. Enjoy a Golden Hour Carousel Ride. A Common Sensations Music Movie.
Nicolaas Schmidt lives and works as Filmmaker, Video- and Concept Artist in Hamburg, Europe. He studied Fine Arts, Time Based Media and Visual Communication (Film) at Hamburg Academy of Fine Arts. His works are shown at international film festivals, exhibitions and other contingencies.
Johanna Maj Schmidt, Charlotte Ruppert
Catalogue : 2021My Happiness Depends On You | Performance multimédia | mp4 | couleur | 60:0 | Allemagne | 2020
Johanna Maj Schmidt, Charlotte Ruppert
My Happiness Depends On You
Performance multimédia | mp4 | couleur | 60:0 | Allemagne | 2020
Prenant la forme d'une figure dédoublée inspirée de Dolly Parton, les interprètes sont assises sur une boîte dans laquelle un écran plat est intégré. L'écran montre une vidéo en streaming tirée d'un jeu de tir multijoueur en ligne. Assises au-dessus du personnage du jeu, les deux interprètes portent des robes de mariée, des perruques blondes aux longs cheveux ondulées, un maquillage excentrique et des faux seins gros à en être grotesques (monstruosité féminine). Elles tiennent dans leurs mains des paniers à quête, habituellement utilisés pour la quête dans les églises. De temps en temps, elles s’exclament en chevrotant "My happiness depends on you!" (extrait de la chanson "Jolene" de Dolly Parton, et qui se traduit par "Mon bonheur dépend de toi!") en chœur dans un refrain lancinant. Ce faisant, elles fixent chacune un visiteur dans les yeux avec intensité, une sorte de fureur, des attentes. Alors que la vidéo en streaming met en évidence un désir potentiellement nostalgique de la figure du héros, les deux Dolly remettent en question l'héroïsme en tant que tel. Si la figure du héros revendique traditionnellement une forme de singularité par le sacrifice d'un seul individu (homme) fort au nom d'une idéologie, une réponse (féministe) à l’attention portée au héros exceptionnel pourrait être de revenir à l'interdépendance. Dans ce contexte, la phrase "My happiness depends on you!" pourrait être perçue, positivement, comme une morale anti-héroïque ou, négativement, comme une soumission volontaire. Ainsi, elle fait allusion à la relation ambivalente entre dépendance et indépendance.
Johanna Maj Schmidt a obtenu un Master en art et politique à la Goldsmiths University of London, Londres (Royaume-Uni), en 2015. Depuis 2017, elle étudie les arts médiatiques à la Hochschule für Grafik und Buchkunst Leipzig (Allemagne) dans la classe de Clemens von Wedemeyer. Dans le cadre d'une école doctorale sur le populisme de droite, elle rédige son doctorat sur les représentations de la figure du héros dans les mèmes internet d'extrême droite au sein des sociétés dites post-héroïques. Ses œuvres ont été présentées à la 6e Athens Biennale for Contemporary Art, Athènes (Grèce); à la 3e NSK Folk Art Biennale, Trbovlje (Slovénie); et au Soundcheck Philosophie Festival au LOFFT – Leipziger Off-Theater, Leipzig (Allemagne). Charlotte Ruppert a suivi une formation professionnelle d’assistante de management spécialisée en communication de bureau au Statistisches Bundesamt, Wiesbaden (Allemagne). Ensuite, elle a décidé d'étudier les Beaux-Arts à la Hochschule für Gestaltung, Offenbach-sur-le-Main (Allemagne), où elle a terminé son premier cycle universitaire en peinture. Depuis 2017, elle poursuit ses études à la Hochschule für Grafik und Buchkunst Leipzig (Allemagne) dans la classe de Helmut Mark. Ses dessins et peintures ont été exposés à Rosa Stern, Munich (Allemagne) et à Westpol Airspace, Leipzig (Allemagne). Elle est cofondatrice et directrice artistique de Hitness Club e.v., une chaîne de télévision gérée par les artistes.
Antoine Schmitt
Catalogue : 2010Facade Life | Installation multimédia | | | 0:0 | France | 2010
Antoine Schmitt
Facade Life
Installation multimédia | | | 0:0 | France | 2010