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Semiconductor, Jarman + Gerhardt
Catalogue : 2006200 Nanowebbers | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 2:49 | Royaume-Uni | 2005

Semiconductor, Jarman + Gerhardt
200 Nanowebbers
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 2:49 | Royaume-Uni | 2005
Pour '200 Nanowebbers', Semiconductor a créé une toile moléculaire qui a été générée par la musique de Double Adaptor en fait. Avec des scripts écrits par eux-mêmes, les mélodies et les rythmes naissent à l'échelle manométrique ce qui déplace et se déforme à la résonance ; rebellant des aperçus de minuscules particules changeantes et interactives. Au fur et à mesure que les sons se construisent et d'autodétruisent, la toile se construit avec des éléments plus complexes qui enrobent le rythme de la musique et l'énergie.
Semiconductor créé des Films Sonores et qui révèlent notre monde physique en flux; les villes en mouvement, des paysages se déplaçant et des systèmes chaotiques. Depuis 1999, les artistes britanniques Ruth Jarman et Joseph Gerhardt ont exploré plusieurs processus d'animation numérique pour produire des films expérimentaux ou des animations en direct. Le point central de toutes ces ?uvres est le rôle du son, qui devient synonyme de l'image, car il crée, contrôle et la déchiffre ; en explorant la résonance par l'ordre naturel des choses. Finalement le travail numérique manufacturé est combiné avec le procédé analogue qui coupe le hasard et les erreurs dans le système informatique comme un co conspirateur. Ces travaux ont été exposés dans des galeries, des festivals, des cinémas et des biennales sur toute la planète. Les récentes expositions sont la Biennale de Venise, EMAF Allemagne, le Musée de Lyon d'Art Moderne, France et Inhabituel, Milan. La dernière contribution de Semiconductor dans le genre du cinéma en direct est leur logiciel de performance live dédié Sonic Inc ; un outil de sculpture 3D en temps réel où les sons sont crée par des entrées sonores spécifiques et par l'interaction et produisant des environnements audio créés et contrôlés sur le moment. Les dernières performances comprennent Transmediale ; Berlin, Tate Britain ; London and Images Festival; Toronto. Ils sont pour le moment basé au Space Science Laboratories à UC Berkeley et font des recherches pour de futures ?uvres d'art.
Marinella Senatore
Noe Sendas, X
Catalogue : 2009THE INDIFFERENT | Vidéo expérimentale | dv | couleur et n&b | 12:34 | Portugal | 2008

Noe Sendas, X
THE INDIFFERENT
Vidéo expérimentale | dv | couleur et n&b | 12:34 | Portugal | 2008
Cette vidéo est une réédition de fragments très courts réalisée à partir de plusieurs films, sur la base d'un simple constat : le moment de l'émotion la plus profonde ne coïncide souvent pas avec les évènements qui l?ont provoquée. Un homme se promène dans la rue, rentre dans un bâtiment, s?enfuit en courant par la rue principale, et s'arrête dans un square, pour revenir enfin exactement dans la même rue qu?au début, faisant de tout ceci une boucle parfaite. L'usage de la couleur et du noir et blanc permet de faire la distinction entre ce qui est « réel » et ce qui correspond à des projections, rêves ou fantômes.
Noé Sendas est né à Bruxelles en 1972 et vit et travaille à Berlin. Il a commencé à montrer ses ?uvres au milieu des années 1990. Sendas a recours à différents moyens d'expression : la vidéo, la sculpture, le son, le dessin et le son. Les références explicites et implicites à des artistes et des ?uvres littéraires, cinématographiques, musicales ou créations, font partie de ses principales matières premières.
Catalogue : 2007Take Off | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 4:2 | Portugal | 2005

Noe Sendas
Take Off
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 4:2 | Portugal | 2005
Le point de départ de cette vidéo est le combat entre les visions, les peurs d'un personnage fictif et ses souvenirs lors du décolage d'un avion. Elle mélange une collection de photographies avec de vraies images d'un accident d'avion et un morceau de la dernière séquence de peeping Tom de Michael Powell, refilmé et monté à nouveau. 'Les Métaphores de la peur', écrit par Nuno Crespo. Il est possible que l'on se réfugie dans une image lorsqu'on sent que l'on est en danger, lui donnant ainsi le pouvoir d'atténuer la douleur, de calmer notre imagination, c'est un fait reconnu : la preuve en est le concept bien connu de la catharsis. Certains objets qui ont cette qualité deviennent des talismans qui ont le pouvoir de dénouer certains noeuds que l'on peut avoir à l'intérieur de la pointrine ou du coeur. On pourrait dire que ces noeuds représentent la peur, l'angoisse, les sentiments étranges dont on ne sait pas vraiment quoi faire mais que l'on veut dénouer et dominer. La peur d'être dans un avion par exemple, la peur de ses bruits vrombissants et métalliques inatendus. Etre dans un avion, dans le ciel, ne convient pas forcément à un être dont l'habitat naturel est la terre. Au moment du décollage, l'idée de la chute devient omniprésente, la chute sur en terre inconnue où seul le destin, grâce à ses pouvoirs mystérieux et invisibles, est capable de décider et d'anticiper. Cristalliser ces peurs et ces angoisses en les transformant en iages est le travail de l'art et se solde par la construction de sens à laquelle on peut attribuer certaines preuves ou, si on préfère, illuminations : par conséquent, prendre conscience de ses propres peurs peut amener à une meilleure compréhension de sa propre intimité. La peur se présente elle-même comme une catégorie esthétique - touver sa parfaite image est une tâche impossible : aucune image ne peut lui corresponde exactement ; il s'agit toujours d'une tentative de médiaton, ou pour être plus précis, une tentative de domestication. La tâche de l'artiste est de faire le choix de ne pas dépasser sa peur, mais d'avancer en vivant avec elle. Ce qui fait que Noé Sendas continue de travailler, c'est ce processus dynamique et toujours incomplet, c'est le fait qu'il ignore si le moteur vrombissant de l'avion va s'arrêter, c'est l'envie de donner forme au soupçon, au soupçon selon lequel quelque chose pourrait arriver. Nuno Crespo, Lisbonne, Juillet 2005
Noé Sendas est né à Bruxelles en 1972 et a fait ses études à l'Ar.Co à Lisbonne. Il a également étudié à l'étranger comme par exemple au Royal College of Arts de Londres et à l'Art Institute de Chicago. Il a également effectué des résidences, notamment au Kunstlerhaus Bethanien. Au milieu des années 90, il a commencé à présenter son travail et sa carrière a connu un réel essor durant ces deux dernières années. Il a participé à plusieurs expositions, notamment à En Garde! à Porto en 2002-2003. C'était une exposition personnelle avec une matrice anthologique qui permettait de comprendre le parcours de l'artiste et de prendre conscience d'une préférence personnelle qui jusque là n'avait été que partiellement visible. Sendas a recours à différents modes d'expression : la vidéo, la sculpture, le son et le dessin. Sa matière première se compose de références implicites et explicites à des artistes ainsi qu'à des créations littéraires, filmiques ou musicales. Il cite par exemple Beckett et Shakespeare ainsi que différents réalisateurs parmi lesquels Godard et Coltrane. On peut également ajouter à son répertoire ses intérêts pour la réflexion dans l'art visuel et sa pratique. Parmi ses intérêts il y a le corps en tant qu'entité à la fois théorique et matérielle ; les méchanismes de perception des spectateurs ou encore le potentiel discursif des méthodes d'exposition. Le processus créatif de Sendas prend racine dans une méthode intellectuelle fondée sur l'association de matériaux d'origines différentes. La logique sous-jacente n'est pourtant pas la simple appropriation mais la définition d'une nouvelle manière de créer. Cette méthodologie a des affinités particulières avec les stratégies employées par les DJs et avec un instrument courant dans la musique pop actuelle, le sampler : il configure une appropriation de thèmes qui seront utilisés pour construire de nouveaux sons, plutôt que pour réaliser un simple collage.
Catalogue : 2006Lady Macbeth | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 7:0 | Portugal | 2003

Noe Sendas
Lady Macbeth
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 7:0 | Portugal | 2003
NOÉ SENDAS Lady Macbeth Ecrit par Joao Pinharanda Noé Sendas, dans sa vidéo, cite les personnages de Macbeth et de sa femme. Utilisant une auto-représentation photographique obsédante, l'artiste nous met face à face avec les limites de la visibilité et de la représentation, avec les limites de l'existence éthique et politique de l'Homme. Dans le montage visuel, le visage, avec des expressions forcées de douleur et de peur, est souvent dupliqué par des miroirs (qui fonctionnent comme des reflets dans l'eau) et (le/nous) renvoie une image dont nous ne pouvons nous défaire. Des moments d'obscurité et des flashs vidéo intenses se suivent à un rythme irrégulier, indépendamment de la sonorité continue établie par les dialogues de la pièce de théâtre. Dans ces derniers, Noé Sendas mélange les répliques des deux versions cinématographiques de Macbeth : celle d'Orson Welles et celle de Polanski. On entend la mer, les cris de détresse des oiseaux de mer et les dialogues des personnages au bord de la dépression. Lady Macbeth tente en vain de laver le sang dont ils sont tâchés après la succession de meurtres sur lesquels ils ont fondé leur Pouvoir. La métaphore devient réalité.
NOÉ SENDAS Biographie Ecrite par Miguel Amado Noé Sendas (né à Bruxelles en 1972) a étudié à Ar.Co, à Lisbonnes. Sa formation comprend également des études dans des écoles étrangères, comme le Royal College of Arts, à Londres et la school of the Art Institute of Chicago, ainsi que des résidences (particulièrement celle du Kunstlerhaus Bethanien). Au milieu des années 1990, il commença à présenter son travail, et sa carrière s'est épanouie ces deux dernières années. Sa participation à de nombreuses expositions, tout particulièrement "En garde !" (Porto, 2002-2003), une exposition personnelle avec une matrice d'anthologie permettant une compréhension de la direction des artistes et réalisant une tendance personnelle qui jusque-là n'était que suggérée. Sendas a recours à différents moyens d'expression : vidéo, sculpture, son et dessin. Des références explicites ou implicites à des artistes, et des créations littéraires, cinématographiques ou musicales font partie de ses matières premières. Des citations de Shakespeare et Beckett, par exemple, sont récurrentes, ainsi que de divers réalisateurs tels que Godard et Coltrane. A son répertoire s'ajoutent également des soucis précis quant à la représentation et la pratique des arts visuels, notamment : le corps comme entité simultanément théorique et matérielle ; les mécanismes de perception de l'observateur ; ou le potentiel discursif des méthodes d'exposition. Le processus créatif de Sendas est ancré dans un dispositif intellectuel basé sur l'association de matériaux d'origines diverses. Cependant, la logique sous-jacente n'est pas seulement une logique d'appropriation, mais la définition d'une nouvelle paternité. Cette méthodologie partage des affinités électives avec des stratégies employées par les DJ et avec un instrument courant de la musique pop actuelle, le sampler, vu qu'il configure une appropriation de thèmes qui seront utilisés pour créer de nouveaux sons plutôt qu'un collage.
Noe Sendas
Catalogue : 2009THE INDIFFERENT | Vidéo expérimentale | dv | couleur et n&b | 12:34 | Portugal | 2008

Noe Sendas, X
THE INDIFFERENT
Vidéo expérimentale | dv | couleur et n&b | 12:34 | Portugal | 2008
Cette vidéo est une réédition de fragments très courts réalisée à partir de plusieurs films, sur la base d'un simple constat : le moment de l'émotion la plus profonde ne coïncide souvent pas avec les évènements qui l?ont provoquée. Un homme se promène dans la rue, rentre dans un bâtiment, s?enfuit en courant par la rue principale, et s'arrête dans un square, pour revenir enfin exactement dans la même rue qu?au début, faisant de tout ceci une boucle parfaite. L'usage de la couleur et du noir et blanc permet de faire la distinction entre ce qui est « réel » et ce qui correspond à des projections, rêves ou fantômes.
Noé Sendas est né à Bruxelles en 1972 et vit et travaille à Berlin. Il a commencé à montrer ses ?uvres au milieu des années 1990. Sendas a recours à différents moyens d'expression : la vidéo, la sculpture, le son, le dessin et le son. Les références explicites et implicites à des artistes et des ?uvres littéraires, cinématographiques, musicales ou créations, font partie de ses principales matières premières.
Catalogue : 2007Take Off | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 4:2 | Portugal | 2005

Noe Sendas
Take Off
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 4:2 | Portugal | 2005
Le point de départ de cette vidéo est le combat entre les visions, les peurs d'un personnage fictif et ses souvenirs lors du décolage d'un avion. Elle mélange une collection de photographies avec de vraies images d'un accident d'avion et un morceau de la dernière séquence de peeping Tom de Michael Powell, refilmé et monté à nouveau. 'Les Métaphores de la peur', écrit par Nuno Crespo. Il est possible que l'on se réfugie dans une image lorsqu'on sent que l'on est en danger, lui donnant ainsi le pouvoir d'atténuer la douleur, de calmer notre imagination, c'est un fait reconnu : la preuve en est le concept bien connu de la catharsis. Certains objets qui ont cette qualité deviennent des talismans qui ont le pouvoir de dénouer certains noeuds que l'on peut avoir à l'intérieur de la pointrine ou du coeur. On pourrait dire que ces noeuds représentent la peur, l'angoisse, les sentiments étranges dont on ne sait pas vraiment quoi faire mais que l'on veut dénouer et dominer. La peur d'être dans un avion par exemple, la peur de ses bruits vrombissants et métalliques inatendus. Etre dans un avion, dans le ciel, ne convient pas forcément à un être dont l'habitat naturel est la terre. Au moment du décollage, l'idée de la chute devient omniprésente, la chute sur en terre inconnue où seul le destin, grâce à ses pouvoirs mystérieux et invisibles, est capable de décider et d'anticiper. Cristalliser ces peurs et ces angoisses en les transformant en iages est le travail de l'art et se solde par la construction de sens à laquelle on peut attribuer certaines preuves ou, si on préfère, illuminations : par conséquent, prendre conscience de ses propres peurs peut amener à une meilleure compréhension de sa propre intimité. La peur se présente elle-même comme une catégorie esthétique - touver sa parfaite image est une tâche impossible : aucune image ne peut lui corresponde exactement ; il s'agit toujours d'une tentative de médiaton, ou pour être plus précis, une tentative de domestication. La tâche de l'artiste est de faire le choix de ne pas dépasser sa peur, mais d'avancer en vivant avec elle. Ce qui fait que Noé Sendas continue de travailler, c'est ce processus dynamique et toujours incomplet, c'est le fait qu'il ignore si le moteur vrombissant de l'avion va s'arrêter, c'est l'envie de donner forme au soupçon, au soupçon selon lequel quelque chose pourrait arriver. Nuno Crespo, Lisbonne, Juillet 2005
Noé Sendas est né à Bruxelles en 1972 et a fait ses études à l'Ar.Co à Lisbonne. Il a également étudié à l'étranger comme par exemple au Royal College of Arts de Londres et à l'Art Institute de Chicago. Il a également effectué des résidences, notamment au Kunstlerhaus Bethanien. Au milieu des années 90, il a commencé à présenter son travail et sa carrière a connu un réel essor durant ces deux dernières années. Il a participé à plusieurs expositions, notamment à En Garde! à Porto en 2002-2003. C'était une exposition personnelle avec une matrice anthologique qui permettait de comprendre le parcours de l'artiste et de prendre conscience d'une préférence personnelle qui jusque là n'avait été que partiellement visible. Sendas a recours à différents modes d'expression : la vidéo, la sculpture, le son et le dessin. Sa matière première se compose de références implicites et explicites à des artistes ainsi qu'à des créations littéraires, filmiques ou musicales. Il cite par exemple Beckett et Shakespeare ainsi que différents réalisateurs parmi lesquels Godard et Coltrane. On peut également ajouter à son répertoire ses intérêts pour la réflexion dans l'art visuel et sa pratique. Parmi ses intérêts il y a le corps en tant qu'entité à la fois théorique et matérielle ; les méchanismes de perception des spectateurs ou encore le potentiel discursif des méthodes d'exposition. Le processus créatif de Sendas prend racine dans une méthode intellectuelle fondée sur l'association de matériaux d'origines différentes. La logique sous-jacente n'est pourtant pas la simple appropriation mais la définition d'une nouvelle manière de créer. Cette méthodologie a des affinités particulières avec les stratégies employées par les DJs et avec un instrument courant dans la musique pop actuelle, le sampler : il configure une appropriation de thèmes qui seront utilisés pour construire de nouveaux sons, plutôt que pour réaliser un simple collage.
Catalogue : 2006Lady Macbeth | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 7:0 | Portugal | 2003

Noe Sendas
Lady Macbeth
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 7:0 | Portugal | 2003
NOÉ SENDAS Lady Macbeth Ecrit par Joao Pinharanda Noé Sendas, dans sa vidéo, cite les personnages de Macbeth et de sa femme. Utilisant une auto-représentation photographique obsédante, l'artiste nous met face à face avec les limites de la visibilité et de la représentation, avec les limites de l'existence éthique et politique de l'Homme. Dans le montage visuel, le visage, avec des expressions forcées de douleur et de peur, est souvent dupliqué par des miroirs (qui fonctionnent comme des reflets dans l'eau) et (le/nous) renvoie une image dont nous ne pouvons nous défaire. Des moments d'obscurité et des flashs vidéo intenses se suivent à un rythme irrégulier, indépendamment de la sonorité continue établie par les dialogues de la pièce de théâtre. Dans ces derniers, Noé Sendas mélange les répliques des deux versions cinématographiques de Macbeth : celle d'Orson Welles et celle de Polanski. On entend la mer, les cris de détresse des oiseaux de mer et les dialogues des personnages au bord de la dépression. Lady Macbeth tente en vain de laver le sang dont ils sont tâchés après la succession de meurtres sur lesquels ils ont fondé leur Pouvoir. La métaphore devient réalité.
NOÉ SENDAS Biographie Ecrite par Miguel Amado Noé Sendas (né à Bruxelles en 1972) a étudié à Ar.Co, à Lisbonnes. Sa formation comprend également des études dans des écoles étrangères, comme le Royal College of Arts, à Londres et la school of the Art Institute of Chicago, ainsi que des résidences (particulièrement celle du Kunstlerhaus Bethanien). Au milieu des années 1990, il commença à présenter son travail, et sa carrière s'est épanouie ces deux dernières années. Sa participation à de nombreuses expositions, tout particulièrement "En garde !" (Porto, 2002-2003), une exposition personnelle avec une matrice d'anthologie permettant une compréhension de la direction des artistes et réalisant une tendance personnelle qui jusque-là n'était que suggérée. Sendas a recours à différents moyens d'expression : vidéo, sculpture, son et dessin. Des références explicites ou implicites à des artistes, et des créations littéraires, cinématographiques ou musicales font partie de ses matières premières. Des citations de Shakespeare et Beckett, par exemple, sont récurrentes, ainsi que de divers réalisateurs tels que Godard et Coltrane. A son répertoire s'ajoutent également des soucis précis quant à la représentation et la pratique des arts visuels, notamment : le corps comme entité simultanément théorique et matérielle ; les mécanismes de perception de l'observateur ; ou le potentiel discursif des méthodes d'exposition. Le processus créatif de Sendas est ancré dans un dispositif intellectuel basé sur l'association de matériaux d'origines diverses. Cependant, la logique sous-jacente n'est pas seulement une logique d'appropriation, mais la définition d'une nouvelle paternité. Cette méthodologie partage des affinités électives avec des stratégies employées par les DJ et avec un instrument courant de la musique pop actuelle, le sampler, vu qu'il configure une appropriation de thèmes qui seront utilisés pour créer de nouveaux sons plutôt qu'un collage.
Shireen Seno
Catalogue : 2022To Pick a Flower | Doc. expérimental | hdv | couleur et n&b | 16:57 | Philippines | 2021
Shireen Seno
To Pick a Flower
Doc. expérimental | hdv | couleur et n&b | 16:57 | Philippines | 2021
My mother used to tell me that our dining table was as old as I am. I wonder how old the tree was when it was cut down to be turned into our table. I am fascinated in this kind of transmutation from the natural world to the human one, and how a tree takes on new lives long after it has been cut down. This video essay incorporates archival photographs from the American Colonial Era in the Philippines (1898–1946), exploring the sticky relationship between humans and nature and their entanglements with empire. Taking plants and trees as starting points, it aims to reflect on the intertwined roots of photography and capitalism in the Philippines.
Shireen Seno is an artist and filmmaker based in Manila whose work addresses memory, history, and image-making, often in relation to the idea of home. A recipient of the 2018 Thirteen Artists Award from the Cultural Center of the Philippines, she is known for her films which have won awards at Rotterdam, Shanghai, Olhar de Cinema, Vladivostok, Jogja-Netpac, and Lima Independiente and have screened at festivals including New Directors/New Films, Yebisu International Festival of Art & Alternative Visions, NYFF Currents, and institutions such as Tate Modern, UCCA Center for Contemporary Art, NTU Center for Contemporary Art Singapore, National Museum of Modern and Contemporary Art, Korea, and Portikus.
Shireen Seno
Catalogue : 2020A Child Dies, a Child Plays, a Woman is Born, a Woman Dies, a Bird Arrives, a Bird Flies Off | Vidéo | hdv | couleur | 4:46 | Philippines | 2018

Shireen Seno
A Child Dies, a Child Plays, a Woman is Born, a Woman Dies, a Bird Arrives, a Bird Flies Off
Vidéo | hdv | couleur | 4:46 | Philippines | 2018
"A child dies, a child plays, a woman is born, a woman dies, a bird arrives, a bird flies off", is a voyeuristic glimpse of both local birds and migratory ones that make the Philippine marshlands their home for a time.
Shireen Seno is a lens-based artist whose work addresses memory, history, and image-making, often in relation to the idea of home. She was born to a Filipino family in Japan, where she spent most of her childhood. She has had two solo exhibitions and is a 2018 recipient of the 13 Artists Award from the Cultural Center of the Philippines. Her photo zine Trunks, produced while in residency at Objectifs Centre for Photography and Filmmaking, has been exhibited widely. She started out in film shooting stills for Lav Diaz before going on to direct her debut feature, Big Boy (2012), shot entirely on Super 8. It premiered at Rotterdam and won Best First Film at the Festival de Cine Lima Independiente. Her second film, Nervous Translation (2018), is about a girl who finds out about a pen that can translate the thoughts and feelings of nervous people. It premiered in Hivos Tiger Competition in Rotterdam and won the NETPAC Award for Best Asian Film. Other awards include: Critics’ Prize at Olhar de Cinema - Curitiba International Film Festival, Asian New Talent Award for Best Script Writer at Shanghai International Film Festival, Jury Special Mention at Pacific Meridian International Film Festival of Asia-Pacific Countries in Vladivostok, and Silver Hanoman at Jogja-Netpac Asian Film Festival. It also screened at MoMA as part of New Directors/New Films, Tate Modern as part of their Artists’ Cinema program, and at the Tokyo Photographic Art Museum for Yebisu International Festival for Art & Alternative Visions.
Anne Katrine Senstad
Catalogue : 2012The Locker Plant Projections | Vidéo expérimentale | hdv | couleur | 8:21 | Norvège, USA | 2011
Anne Katrine Senstad
The Locker Plant Projections
Vidéo expérimentale | hdv | couleur | 8:21 | Norvège, USA | 2011
The Locker Plant Projections is part of a site specific projection video series of my video-installation piece Colour Kinesthesia. The Projections of the abstract colors and the act of projecting in itself become the vehicle for the merging of colors with the environment and that existential and poetic narrative of enlightening our surroundings. In this piece the known Donald Judd building in Marfa, TX - The Locker Plant, is subject to the projections, as well as the South Western Texas Railroad and local trees. In merging the movement of colors with an archetypal architectural form, passing people and natural life activity during the night, we experience an added level to the notion of spatial relations, time and volume. The music of J G Thirlwell, known from Foetus, Manoriexia and Wiseblood - creates a cinematic mood to the minimalist references. The Locker Plant is a former butcher and meat packing plant, one of a group of buildings Donald Judd acquired in Marfa, TX - it is now part of The Chinati foundation.
Anne Katrine Senstad is a multidisciplinary Norwegian artist who lives and works in New York. She works with light, installation, photography, video, site specific and land art. She was educated at Parsons School of Design and The New School for Social Research in New York. She is currently working with the internationally renowned architecture firm Snøhetta, where she has been awarded the public art commission for their first completed U.S. building ? a performing arts center in Bowling Green, Ohio, The Wolfe Center for the Arts at BGSU. Senstad will be creating a monumental mural consisting of 39 photographic, aluminum and Plexiglas panels extending over 28 feet high and 86 feet long (8 x 28 meters). The monumental mural piece entitled The Eternal is scheduled to officially open December 2011. She has exhibited widely internationally at Zendai Moma in Shanghai, ThisisNotAgallery in Buenos Aires, Utsikten Kunstsenter and Stiftelsen 3,14 in Norway, Bjorn Ressle Gallery, Gallery Nine5 and Elga Wimmer Gallery in NY, Pink Gallery in Seuol and KK Projects in New Orleans amongst others. Her work is represented in Gallery, Institutions, corporate and private collections.
Katia Sepulveda
Catalogue : 2019Songwashing | Vidéo | hdv | couleur | 5:0 | Allemagne, 0 | 2018
Katia Sepulveda
Songwashing
Vidéo | hdv | couleur | 5:0 | Allemagne, 0 | 2018
Stratos Serafeimidis
Catalogue : 2023a short film about an egg | Fiction | mp4 | couleur | 5:44 | Grèce | 2022

Stratos Serafeimidis
a short film about an egg
Fiction | mp4 | couleur | 5:44 | Grèce | 2022
The film is about the director's attempt to stage a play, a series of unexpected events has inexplicable results for the actors. At the same time, the egg is constantly lurking between the directors and the actors.
Stratos Serafimidis(1997) was born and live in Drama,Greece.He studied at the Department of Visual Arts and Art Sciences of the School of Fine Arts University of Ioannina. He has participated in group exhibitions and in various research projects.Currently, he is studying in M.A in Digital Arts at Athens School of Fine Arts.He lives and works in Athens,Greece.
Gleb Sereda
Catalogue : 2023Kros | Film expérimental | 0 | couleur | 52:0 | Russie | 2023

Gleb Sereda
Kros
Film expérimental | 0 | couleur | 52:0 | Russie | 2023
This is a metaphorical story about two young skaters who are trying to make sense of themselves in the world.
Marta Serna
Catalogue : 2015SnakeBoy | Animation | hdv | noir et blanc | 0:34 | Espagne | 2014
Marta Serna
SnakeBoy
Animation | hdv | noir et blanc | 0:34 | Espagne | 2014
SnakeBoy is the first video of the serie Immaculate Dreams. It’s an animated portrait of a real person who creates a fictionalised version of himself, in what represents a journey through his own dreams. It features SnakeBoy riding a snake as a cowboy, truly enjoying being in control of the situation. Immaculate Dreams is about the possibility of turning a dark or unpleasant journey into something luminous and flawless through the exorcism of staging. The main characters will have to stage some of their dreamlike experiences in order to carry out their own “animated portrait of their dreams” and hence portraying themselves in a more intimate, personal way.
Marta Serna. Visual artist. Graduated from Complutense University of Madrid (1993) with a degree in Fine Arts, majoring in Painting. She also studied Classical Dance at the Royal College of London, Spanish Dance at the Royal Conservatory of Córdoba and Oriental Dance. She has created stage sets for films, theatre and television, and has taken part with diferent dance companys In worshops and performances, including Contemporary Stage. As a visual artist she is concentrated on drawings and illustration, traditional animation video, mural Installations in vinyl and plastics sculptures . She has shown her work in Spain, U.K, France, Germany, Bulgary, Yugoslavia, Lebannon, Jordan, Algeria Mexico and USA. Serna’s latest solo exhibition are: “SnakeBoy”Open Studio, Madrid (2014),”Abecedario para Monstruitos” Rita Castellote Gallery, Madrid(2012)” Misty Eyes & Mourning Stones” Gallery Asm28 , Madrid ( 2011), “Winter Tale” Espacio Frágil, Madrid . “Black Sparkle”, Espacio Marzana, Bilbao, and “Black Wings”, Domus Artium, Salamanca, all of them in Spain (2010). “Dark Delicate”, Galeria Cubo Azul, León (2009) “Blood Breath”, NO-ID Gallery, London, and “Cruel butFair”, Rosa Santos Gallery, Valencia (2008) “Havoc Amazing Cosmic Trip”, Proyect 142, London (2007) “Havoc Oddity”, Cubo Azul Gallery, León. 2006) and the visual proyect “Bloody Little Creatures” in London for the musical group The Cure. In 2008 receives the Prize of Artístical Creation for the Madrid Community for the creation of traditional video animation Cat Power.
Catalogue : 2013Misty Eyes | Animation | dv | couleur et n&b | 1:10 | Espagne | 2011
Marta Serna
Misty Eyes
Animation | dv | couleur et n&b | 1:10 | Espagne | 2011
Presentation of the work and sinopsis Marta Serna?s current work is driven by her interest in the chaotic states of the mind, dreams, lethargy,myths,the boundary between reality and fiction, the subconscious adn their influence on human behaviour. In 2011, she developed the proyect ? Misty Eyes & Mourning Stones?, alluding firstly to the English expression of having the eyes blurred, as with tears, and secondly to the shiny, jet black jewels and stones used during the Victorian era, wich were primary elements in the mourners? attire between the seventeenth and nineteenth centuries. The combination of both expressions evokes the feeling of mourning and crying for oneself. The origin of the proyect is a restless interest for the chaotic state of the mind, when it feels confused and dreams with the possibility of getting rid of our internal mist. This leads to an open reflection about a mental space torn between lucidity and darkness, a lethargic state of the brain with magical, enchanted and supernatural connotations. The videos that I presented to Rencontres Internationales are part of this work. The first one, ?Misty Eyes? (2011),is a reflection about the nature of evil, whether it si produced by oneself or by our environment. The protagonist, combining human and animal characteristics, seems to be unprotected and lost, abandoned in the middle of nowhere and plunged into the immensity of the mist. When the landscape starts to become clear and the blur fades away, we can finally see that the mist comes from her mouth,plunging the forest into darkness again. She is held in her own environment and wilderness.
Marta Serna. Visual artist. Graduated from Complutense University of Madrid (1993) with a degree in Fine Arts, majoring in Painting. She also studied Classical Dance at the Royal College of London, Spanish Dance at the Royal Conservatory of Córdoba and Oriental Dance. She has created stage sets for films, theatre and television, and has taken part with diferent dance companys In worshops and performances, including Contemporary Stage. As a visual artist she is concentrated on illustration, traditional animation video, mural Installations in vinyl and plastics sculptures . . She likes drawing disfunctional caracters without scene and checking the roles of power on childhood. The mission on her work is to reflect on human, animal, spiritual and artificial natures and on the ritual of compensation we have to do to adapt ourselves to the surrounding environment. She has shown her work in Spain, U.K, France, Germany, Bulgary, Yugoslavia, Lebannon, Jordan, Algeria Mexico and USA. Now she is currently working with Asm28 Gallery in Madrid and Espacio Marzana Gallery in Bilbao, Spain. Serna?s latest solo exhibition are: ? Misty Eyes & Mourning Stones? Galeria Asm28 , Madrid ( 2011), ?Winter Tale? Espacio Frágil, Madrid . ?Black Sparkle?, Espacio Marzana, Bilbao, and ?Black Wings?, Domus Artium, Salamanca, all of them in Spain (2010). ?Dark Delicate?, Galeria Cubo Azul, León (2009) ?Blood Breath?, NO-ID Gallery, London, and ?Cruel butFair?, Galeria Rosa Santos, Valencia (2008) ?Havoc Amazing Cosmic Trip?, Proyect 142, London (2007) ?Havoc Oddity?, Galeria Cubo Azul, León. 2006) And collectives like ? The Noise of Bubbles?, Red Bull Academy, Matadero, Madrid. ?Gráfica. 30 Artists from young Spain? Cervantes Institute of Lebanonn, Jordan, Bulgary, Algiers, (2012 ). ?Rencontres Internationales?, with the video proyection ?Power Trilogy?? at Pompidou in Paris , Haus der Kulturen der Welt in Berlín and the Auditorio del Ministerio de Cultura in Madrid (2011_2010) ?Merrie Melodies?, Domus Artium, Salamanca (2010) ?Premios Creación Artistica Comunidad de Madrid?, ARCO 2009 ?Bloody Boots?, ARCO 2008, and the visual proyect ?Bloody Little Creatures? in London for the musical group The Cure. In 2008 receives the Prize of Artístical Creation for the Madrid Community for the creation of traditional video animation Cat Power.
Catalogue : 2011BLACK WINGS | Animation | dv | couleur | 2:7 | Espagne | 2010
Marta Serna
BLACK WINGS
Animation | dv | couleur | 2:7 | Espagne | 2010
BLACK WINGS Black Wings is the third video that complete ?Power Trilogy?. The main theme is the transference to the character of the spiritual and magic nature that bestows on it special powers, focussing on mental and crerative facets. Story tells about a black crow flying over the sky. Down on earth, a little girl is waiting for him. The bird goes down to alighted on her arm. Between them exist a secret language. The girl turns her body and gives back to spectator. We don?t know what?s happend, but suddenly she is very convulsioned and begans to grow a smooth down on her shoulder blade. In a few seconds, she has a new couple of sparkling black wings.She is ready to take off? Black Wings is connected to one of the most ancient wishes of human been: Possibility of fly. The black crow is the driver of the transference. The bird gives her the opcion to explore the world of the ideas, dreams, fantasy, illusions?..the stranger world of imagination and creativity.
Biographical note Marta Serna. Visual artist. Graduated from Complutense University of Madrid (1993) with a degree in Fine Arts, majoring in Painting. She also studied Classical Dance at the Royal College of London, Spanish Dance at the Royal Conservatory of Córdoba and Oriental Dance. She has created stage sets for films, theatre and television, and has taken part with diferent dance companys In worshops and performances, including Contemporary Stage. As a visual artist she is concentrated on illustration, traditional animation video, mural Installations in vinyl and plastics sculptures . She has shown her work in Spain, U.K, Mexico and USA. Now she is currently working with Espacio Marzana Gallery in Bilbao, Spain. Serna?s latest solo exhibition are ? Winter Tale? Espacio Frágil, Madrid., ?Black Sparkle?, Espacio Marzana, Bilbao and ?Black Wings?, Domus Artium, Salmanca, all in Spain (2010). ?Dark Delicate?, Cubo Azul Gallery, León (2009). ?Cruel but Fair?, Rosa Santos Gallery, Valencia and ? Blood Breath?, NO-ID Gallery, London (2008). ?Havoc Amazing Cosmic Trip?, Proyect 142, London ( 2007). And Colectives like ?Merrie Melodies?, Domus Artium, Salamanca (2010) ? ARCO 2009 Premios Creación Artística Comunidad de Madrid? ?Bloody Boots? ARCO 2008, and the visual proyect ?Bloody Little Creatures? for the goup The Cure in London.
Catalogue : 2011BLOODY BOOTS | Animation | dv | couleur | 1:10 | Espagne | 2008
Marta Serna
BLOODY BOOTS
Animation | dv | couleur | 1:10 | Espagne | 2008
BLOODY BOOTS Bloody Boots is a traditional animation video and the first one about ?Power Trilogy?, whose mission is to reflect on our human, animal, artificial and spiritual nature and on the ritual of compensation we have to undertake to ensure that we adapt to our surrounding environment. The story tells about a normal pair of boots turns, by the vital and regenerator effect of blood, in autentic magic object of power. The blood that flows from earth transform the boots in protectives and magics. The ?new? boots gives the girl a big power. Now she is mentally and physically prepared to croos any territory. The blood is portrayed as the vital fluid that serves as a conduit for the realisation of the ritual and confers a special power on the object. Blood gives people a human condition and bestows an inheritance, a genetic nature. The content of the video is anchored in the earthly, working wih the human.
Biographical note Marta Serna. Visual artist. Graduated from Complutense University of Madrid (1993) with a degree in Fine Arts, majoring in Painting. She also studied Classical Dance at the Royal College of London, Spanish Dance at the Royal Conservatory of Córdoba and Oriental Dance. She has created stage sets for films, theatre and television, and has taken part with diferent dance companys In worshops and performances, including Contemporary Stage. As a visual artist she is concentrated on illustration, traditional animation video, mural Installations in vinyl and plastics sculptures . She has shown her work in Spain, U.K, Mexico and USA. Now she is currently working with Espacio Marzana Gallery in Bilbao, Spain. Serna?s latest solo exhibition are ? Winter Tale? Espacio Frágil, Madrid., ?Black Sparkle?, Espacio Marzana, Bilbao and ?Black Wings?, Domus Artium, Salmanca, all in Spain (2010). ?Dark Delicate?, Cubo Azul Gallery, León (2009). ?Cruel but Fair?, Rosa Santos Gallery, Valencia and ? Blood Breath?, NO-ID Gallery, London (2008). ?Havoc Amazing Cosmic Trip?, Proyect 142, London ( 2007). And Colectives like ?Merrie Melodies?, Domus Artium, Salamanca (2010) ? ARCO 2009 Premios Creación Artística Comunidad de Madrid? ?Bloody Boots? ARCO 2008, and the visual proyect ?Bloody Little Creatures? for the goup The Cure in London.
Catalogue : 2011CAT POWER | Animation | dv | couleur | 1:44 | Espagne | 2009
Marta Serna
CAT POWER
Animation | dv | couleur | 1:44 | Espagne | 2009
CAT POWER Cat Power, the second video of ?Power Trilogy?, is the title that served as a source of inspiration for the underlying argument of the video: a girl gains the confidence of a little kitten by petting and them??eats it! In just a few seconds she gets a new projecting appendix. Cat Power refers to the recovery of wild untamed power through a ritual of appropiation. The central character appropiates the intuitive and wild part of the animal. The death of the cat is not in vain, it is necessary to recover a lost and forgotten wild nature. A mutation is produced. Both, human and animal coexist in the same body. They are no longer who they used to be and have become a new hybridised being gifted with new characteristics that make it more complete and fit for survival. The conduit in that video is the cat, whose sacrifice transmits a savage instinct and nature to the central character. This video explores the atavistic underpinnings of intuition.
Biographical note Marta Serna. Visual artist. Graduated from Complutense University of Madrid (1993) with a degree in Fine Arts, majoring in Painting. She also studied Classical Dance at the Royal College of London, Spanish Dance at the Royal Conservatory of Córdoba and Oriental Dance. She has created stage sets for films, theatre and television, and has taken part with diferent dance companys In worshops and performances, including Contemporary Stage. As a visual artist she is concentrated on illustration, traditional animation video, mural Installations in vinyl and plastics sculptures . She has shown her work in Spain, U.K, Mexico and USA. Now she is currently working with Espacio Marzana Gallery in Bilbao, Spain. Serna?s latest solo exhibition are ? Winter Tale? Espacio Frágil, Madrid., ?Black Sparkle?, Espacio Marzana, Bilbao and ?Black Wings?, Domus Artium, Salmanca, all in Spain (2010). ?Dark Delicate?, Cubo Azul Gallery, León (2009). ?Cruel but Fair?, Rosa Santos Gallery, Valencia and ? Blood Breath?, NO-ID Gallery, London (2008). ?Havoc Amazing Cosmic Trip?, Proyect 142, London ( 2007). And Colectives like ?Merrie Melodies?, Domus Artium, Salamanca (2010) ? ARCO 2009 Premios Creación Artística Comunidad de Madrid? ?Bloody Boots? ARCO 2008, and the visual proyect ?Bloody Little Creatures? for the group The Cure in London.
Toni Serra, Ali ABU
Catalogue : 2007Last night dikr | Doc. expérimental | dv | couleur | 7:0 | Espagne, Maroc | 2005

Toni Serra, Ali ABU
Last night dikr
Doc. expérimental | dv | couleur | 7:0 | Espagne, Maroc | 2005
Inspiré d'un poème de Najmudin Kubra, maitre souffi du XIIème siècle, "Las Night Dikr", un "documentaire d'auteur", montre la route d'un groupe d'hommes assoiffés, à la recherche d'eau dans les terres désertiques de l'intérieur du Maroc. Minute après minute, image après image, ce chemin, plein de métaphores et de symboles, semble nous conduire vers ce monde intérieur que, selon le poète, tout être humain porte en lui. Un homme torse nu, à la poitrine trouée, nous invite à nous connaître, à nous comprendre nous et nos désirs, à comprendre ce que nous poursuivons. "Last Night Dikr" est un phare, une compilation de documents destinées à aider, à diriger le voyageur sur le chemin de la spiritualité.
Toni Serra vit entre Duar Msuar, au Maroc, et Barcelone. Il a étudié l'Histoire de l'Art et la Philosophie à l' Universidad de Barcelona et la Vidéo et la Photographie à la School of Visual Arts de New York. Réalisateur, Toni Serra est directeur des archives de l'OVNI, l'Observatoire de la Vidéo Non Identifiée. Ses ?uvres questionnent l'excès d'images, la simulations et le spectaculaire. Disposant de trop de matériel, il révèle au spectateur ce qui est resté dissimulé jusqu'à aujourd'hui. En parallèle à "Retroyou" de Joan Leandre, il développe "Babylon Archive", un projet d'archéologie médiatique. Il a compilé divers cycles de vidéos, dont "Malestar a les Ciutats" et "TransArab ? Nou Vídeo Àrab" ainsi que la programmation vidéo du MACBA 1996-97. Il a reçu, en 2002, le Prix d'Arts Plastiques de la Ville de Barcelone pour son installation "Fes Ciutat Interior" et, en 2004, le Prix du Patrimoine de Catalogne pour le projet "Arxius" de l'OVNI.
Ilan Serruya
Catalogue : 2019Reunión | Documentaire | mov | couleur | 65:0 | Espagne | 2018
Ilan Serruya
Reunión
Documentaire | mov | couleur | 65:0 | Espagne | 2018
“Reunion” is the encounter between a father and a son. A moment marked by landscape, distance and silence. Ilan is cutting his own hair. He is getting ready to travel to Reunion Island. There lives his father, Raphael. An island is a piece of land surrounded by water on all its parts. A reunion is the act of making two or more things coincide at one point, sometimes colliding with one another. This meeting between the father and the son is distinguished by the absence of words, by everyday gestures, by different body postures, by the expression of their faces and by the few sentences that articulate an attempt to resume what seems to be an impossible dialogue. Raphael smokes on the chair, studying his son with his eyes. He is breathing hard. Among them, a camera acts as an intermediary. It observes them together and separately. It is a mediation device: it restrains the dialogue, registers the look on their faces and records the silence. The camera favors the meeting to take place. It protects them from the past and places them only in the present. We do not know the reasons that led them to this situation, nor the time that happened since they last saw each other. We only know that they are there, in Reunion. A path in the forest. Roots in the ground. Fog and cracks.
Ilan Serruya grew up between the cities of Mar del Plata (Argentina) and Seville (Spain). He studied Fine Arts (Universidad Complutense de Madrid), holds a degree in Film Editing (Instituto del Cine de Madrid) and Master LAV (Audiovisual Laboratory of Creation and Contemporary Practice). His search as a visual artist go into focusing on to autobiographical events, and his works often reveal some found domestic material. His feature film “Reunion” (2018) was selected for Input 2018 -Space for tutoring and advising film projects organized by (S8) Mostra de Cinema Periférico-. “Reunion” had its world premiere at Doclisboa (International competition) and its Spanish premiere at Seville European Film Festival (Endless Revolutions competition). The world premiere of “What is a zeide for?” (2018) was held by Filmadrid International Film Festival. His short film “The lost distance” (2016) participated in cinema screenings at Guadalajara (Mexico), Rome (Italy), Prague (Czech Republic) or festivals like Una casa: Muestra de cine documental autobiográfico (Spain).
Jens Settergren
Catalogue : 2021The GPS Will Take Me Home | Vidéo expérimentale | hdv | couleur | 8:49 | Danemark | 2019

Jens Settergren
The GPS Will Take Me Home
Vidéo expérimentale | hdv | couleur | 8:49 | Danemark | 2019
Dans "The GPS Will Take Me Home", des pigeons chantent et discutent dans une langue futuriste à propos de divers sujets, incluant la technologie GPS, l'amour et le prolongement médical de la vie humaine. Ils communiquent et interagissent avec des appareils électroniques comme un four à micro-ondes, un robot aspirateur et un cryostat - une machine créée dans le but de congeler et ramener à la vie des corps humains dans le futur. Les pigeons apparaissent comme des hybrides, entre organisme et machine. Ils chantent des chansons pop autotunées, influencées par la dance music, mêlées à des enregistrements de champs électromagnétiques et de sons de synthétiseur, créant des tensions entre émotionnel et artificiel. Tels des oracles recevant des signes d'un futur qui ne peut être vu qu'à travers le brouillard. Les pigeons sont omniprésents dans les grandes métropoles. Ils se sont adaptés à notre mode de vie et ont substitué les agglomérations humaines à leurs habitats naturels. On peut considérer le pigeon comme un observateur domestiqué de la vie humaine, mais dans "The GPS Will Take Me Home", il apparaît comme un être doué de sens, un cyborg, portant un regard particulier sur le monde des humains.
Jens Settergren est artiste visuel. Il habite à Copenhague, au Danemark. Il s'intéresse au processus de production des imaginaires collectifs, des mythologies contemporaines, des désirs et de la culture visuelle. Ses œuvres reflètent la façon dont ces sujets sont exprimés dans les images, les objets et le langage. Il interroge les corrélations entre la technologie, la nature, la cognition et le pouvoir. Il a exposé à l'international dans des musées et des lieux tels que le Statens Museum for Kunst (Danemark), l’INCA – Institute for New Connotative Action (États-Unis), die raum (Allemagne), le KØS Museum of public art (Danemark), la Kunsthal Aarhus (Danemark), la Kunsthal Nord (Danemark), la Struer Tracks Biennial (Danemark), The Great Poor Farm (États-Unis) et Art Museum Brandts (Danemark). Jens Settergren a obtenu son diplôme de l'Académie des arts du Jutland (Danemark) en 2016. En 2019, il a été résident à l'ISCP – International Studio & Curatorial Program à New York (USA), et en 2020, il a reçu le Carl Nielsen et Anne Marie Carl-Nielsen Talent Award.
Anne-lise Seusse
Catalogue : 2013De la guerre, Mont royal , fragments | Vidéo | hdv | couleur | 15:16 | France, Canada | 2011
Anne-lise Seusse
De la guerre, Mont royal , fragments
Vidéo | hdv | couleur | 15:16 | France, Canada | 2011
De la guerre, Mont Royal,fragments 2011 présentée est une double projection qui se focalise sur un parc de Montréal connu pour regrouper différentes activités de loisir et de plein air. En position centrale, situé sur une colline dominant la ville, le parc du Mont Royal cristallise par son esthétique tout un imaginaire tenant à l?idée de ré-ensauvagement dans la ville. Anne-Lise Seusse s?intéresse à ce lieu comme générateur de liens, et aux personnes qui y évoluent, dont elle tire cependant des portraits solitaires. De manière synchrone, apparaissent lentement des vues de l?environnement, où se gravent des restes de rituels, et les portraits, saisis dans des moments de repos, d?inaction. Mêlant la nature aux bruits de la ville proche, le son restitué des lieux contribue à une atmosphère d?attente vaguement menaçante. L?un des deux écrans de projection est en outre ponctué de textes extraits du célèbre traité de stratégie militaire De la guerre de Von Clausewitz, paru à titre posthume à partir de 1832 et qui gardera une certaine actualité en matière de réflexion politique et économique. Les descriptions implacables et les raisonnements dialectiques donnent alors une coloration et un rythme particuliers au scénario créé par Anne-Lise Seusse, entre réalité fantasmée et hostilité anticipée.
Photographe et vidéaste, Anne-Lise Seusse s?intéresse à des territoires situés aux lisières des villes et investis par des activités de loisirs (ball-trap, moto-cross, cérémonies de communautés de Second Life?). Espaces périphériques indéfinissables, entre l?urbain et le naturel, ces zones a priori sans qualité ni identité se marquent peu à peu d?un relief et d?un imaginaire bien particuliers. En position d?anthropologue, l?artiste « zoome » sur ces espaces porteurs de récits et se rapproche de leurs occupants en réalisant des portraits à la fois objectifs et rêveurs. Les lieux portent les empreintes des interventions humaines, parfois évocatrices d?une nouvelle forme de « earth art » (trous creusés dans la terre, rampes de planches de bois, couleurs des matériaux?). Les personnes revêtent les signes distinctifs de personnages (costumes de jeux de rôles?) et se prêtent sobrement à la pose, à la prise de vue extrêmement précise de l?artiste, qui travaille à la chambre, dans le paysage même.
Igor Sevcuk
Catalogue : 2008Gravity | Doc. expérimental | dv | couleur | 13:20 | Bosnie-Herzégovine, Pays-Bas | 2005

Igor Sevcuk
Gravity
Doc. expérimental | dv | couleur | 13:20 | Bosnie-Herzégovine, Pays-Bas | 2005
"Gravity" explore la tension entre l'amour (sujet supposé du film) et le souvenir traumatisant d'une vieille dame (personnage central du récit). Elle raconte l'histoire d'un petit garçon qui aimait grimper dans les arbres et a un jour fait une chute. Derrière elle, un homme perché sur une échelle est en train de tailler des vignes. Cet acte apparemment rituel contraste avec les tirs oppressants des avions et les nuages dans le ciel. Progressivement, l'histoire d'amour maternel se transforme en force totalitaire toute puissante. La vidéo est ponctuée par le musique de Laibach/NSK, "Nova Acropola" (1983). "On ignore plus ou moins que l'objet historique à l'étude, la terre, possède ses particularités métaphysiques, qui ont tendance à se cacher derrière une apparence ordinaire. Nous parlons ici de bâtard géographique et philosophique, dont les détails logiques et physiques sont difficiles à sonder." Peter Sloterdijk, Theory of Globalisation.
Igor Sevcuk est né en 1972, en Bosnie-Herzegovine, ex-Yougoslavie. Depuis 1991, il vit et travaille aux Pays-Bas. Il est diplômé en arts visuels du Piet Zwart Institute de Rotterdam. Il a obtenu le "Prix de Rome" en 2002 dans la carégorie film et vidéo. Depuis 1999, Sevcuk travaille sur des installations vidéo, des films et des documentaires. Il recherche la tension entre les concepts de liberté et les limites réelles du système humain. Parmi ses oeuvres: "Looking for Rebels" (2000), "Kalle" (2004), "Gravity" (2005), "Haso" (2007).
Catalogue : 2007Kalle | Doc. expérimental | dv | couleur et n&b | 20:0 | Bosnie-Herzégovine, Pays-Bas | 2005

Igor Sevcuk
Kalle
Doc. expérimental | dv | couleur et n&b | 20:0 | Bosnie-Herzégovine, Pays-Bas | 2005
En juillet 2003, Igor Sevcuk a accompagné, en tant que traducteur, un groupe d'étudiants néerlandais lors de leur tournée en Ex-Yougoslavie. Les informations qu'il a récolté pendant ces concerts ont été la base dune enquête plus poussée. Il l'a appelée 'Kalle'. Pour résumer, il s'est intéressé dans 'Kalle' aux mythes religieux et historiques que l'on retrouve dans la vie quotidienne. Qu'est-ce que la 'Messe en si mineur' de Bach a en commun avec les symptômes d'un chien fou ? Et comment se fait-il que ce 'chien des Balkans' porte le nom scandinave de Kalle ? Dans la vidéo de 20mn le vert et le rouges, couleurs complémentaires, altèrent les opinions et les remettent en question. A travers les installations supplémentaires, ces couleurs soulignent d'autant plus les contradictions dans l'identité du chien. La vidéo de 20mn est projetée sur un mur. Une carte de l'Europe montre l'origine et du nom Kalle et comment il s'est propagé. A côté de cette carte il y a une image anamorphique de 4,5 mètres de long et composée d'épreuves au format A4. Accompagnées d'une petite photographie, de deux drapeaux de pays en papier et de leurs légendes, elles représentent 'l'Europe de Kalle'. Au milieu de cette 'documentation', un écran supplémentaire montre des vidéo de la jeunesse de Kalle. Dans cette vidéo de 5mn siffle une sorte de 'variation pour chien' de la messe de Bach.
Igoe Sevcuk est né en 1972 en Bosnie Herzégovine / Ex-Yougoslavie. Depuis 1991 il vit et travaille aux Pays-Bas. Après être sorti d'une école d'art de La Hague, Sevcuk a obtenu une maîtrise à l'institut Piet Zwart à Rotterdam. Lors des récompenses pour l'art néerlandais, 'Prix de Rome 2002', il a obtenu le premier prix dans la catégorie filme et vidéo. De 2004 à 2005 il a participé à la Research Residency Rijksacademie à Amsterdam. En 2007 il sera invité au Studio National d'Art de Chandong (Changdong National Art Studio) en République de Corée.
Masha Sha
Catalogue : 2007Clamp | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 3:0 | Russie | 2006

Masha Sha
Clamp
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 3:0 | Russie | 2006
Le resserrement dans les pinces de la grise et banale réalité, au moins, il est encore une force qui aspire à l'air libre.
Etudes: 2003 ? 2005 Pro Arte Institute, Fondation pour l'art et la culture, programme d'études des nouveaux arts des médias, Saint-Petersbourg 2000 ? 2005 Université des arts et de la culture, technologies sociales et culturelles, Saint-Petersbourg 2000 ? 2001 Collège d'optique et de mécanique de Saint-Petersbourg. Photographie Récompenses: Premier prix du jeune artiste "nouvelle génération", concours d'art contemporain de l'état de Russie, Mars 2006
Tejal Shah
Catalogue : 2013Between the Waves | Vidéo | hdv | couleur | 26:14 | Inde | 2012
Tejal Shah
Between the Waves
Vidéo | hdv | couleur | 26:14 | Inde | 2012
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Tejal Shah (b. 1979) is a multi-disciplinary artist primarily working with video, photography, performance, sound and installation. Her work, like herself, is feminist, queer and political. She has exhibited widely in museums, galleries and film festivals. Recent presentations include, Paris-Delhi-Bombay?, Centre Pompidou, Paris, 2011, Where Three Dreams Cross, Whitechapel Gallery, London, 2010; Lost and Found - Queerying the Archive, Nikolaj Contemporary Art Center, Copenhagen, 2009; Global Feminisms, Brooklyn Museum, NY, 2007 and Saturday Live, Tate Modern, London, 2006. Solo exhibitions include The Incidental Self, Barbara Gross Gallery, Munich, 2011; There is a spider living between us, La Centrale, Montreal, 2011; Pentimento, Kashi Art Gallery, Cochin, 2009; ?What are You??, Thomas Erben Gallery, New York and Galerie Mirchandani + Steinruecke, Bombay, 2006 and The Tomb of Democracy, Alexander Ochs Gallery, Berlin, 2003. Her work is in the collection of Centre Georges Pompidou, Paris; Devi Art Foundation, New Delhi and several other private collections in India and abroad. Tejal Shah is a multi-disciplinary artist working primarily with video, photography, performance, sound and installation. Her work, like herself, is feminist, queer and political. She has exhibited widely in museums, galleries and film festivals. Her photography, video work and installation art questions the normal and the queer, bringing to light the dissonance between norm and, perception of the norm.
Tejal Shah, Natasha MENDONCA
Catalogue : 2006Anando's Door | Art vidéo | dv | couleur | 4:57 | Inde | 2005

Tejal Shah, Natasha MENDONCA
Anando's Door
Art vidéo | dv | couleur | 4:57 | Inde | 2005
Shake
Catalogue : 2025Who is Writing History? | Vidéo | hdv | couleur | 24:56 | Taiwan | 2023

Shake
Who is Writing History?
Vidéo | hdv | couleur | 24:56 | Taiwan | 2023
What aspects of our own identity construction stem from the collective memory of the previous generation? And what kind of collective memory will we pass on to the next generation? The resulting 12 performance art pieces, centered around the theme of identity construction, resemble narrative fragments of minor history, reconstructed using the language of film imagery. As an archive, film aids in remembering society and offers a contemporary interpretation of history. Is it a societal memory of the past or a historical narrative?
Visual artist, Shake studied in Paris Cergy National Graduate School of Art. She employs film language as the methodology to experiment the moving image narrative. Her recent works center on Asian geopolitical history, identity construction and relation between collective/individual memory. Shake has done multiple international artist residencies, and her works have been exhibited in France, Korea, Japan, the US, etc.
Catalogue : 2018Subduction Zones: Our Status Quo | Film expérimental | 4k | couleur | 4:8 | Taiwan | 2016
Shake
Subduction Zones: Our Status Quo
Film expérimental | 4k | couleur | 4:8 | Taiwan | 2016
Located at the subduction zone where the Eurasian Plate converges with the Philippine Sea Plate, the island of Taiwan has developed a unique topography as a result of the downwelling tectonic activity. Similarly, Taiwan’s position at the boundaries of different political forces within the global geography, and the hidden forces exerted by political, economic, cultural, and ideological plates, have shaped its national identity. Taiwan’s unique landscape and geopolitical history serves as a theme for The Subduction Zone by Shake. Comprised of three short films entitled Our Status Quo, Our Story and Our Suite de Danses, the work traces the intersection of the tectonic plates and travel to Taipei’s Tatun Volcanoes; the Yuli to Antun section of the old railway line in Hualian that traverses the Eurasian Plate and Philippine Sea Plate; and to the Jili Badlands in Taitung. In the eyes of a geologist, these locations are ideal textbook examples of plate tectonics; but what Shake contemplates is whether these landscapes enable an imagining of the political struggles that have taken place on this island. How does an individual find a resting place within the conflicts of divergent social structures, political systems, and ideological modes? How can the status of the self be reimagined and the story of the self be told? In addition to landscapes, Shake also includes constructions of narrative elements in the film, such as archived historical documents, personal memoire, school activities, and cultural rituals, in the artistic practice of cinematic writing.
Cinematic writing (écriture cinématographique), is the initial creative approach that inspired Shake’s work. In order to experiment the possibility of narrative form, she plays with the plasticity of moving image to liberate the sense of sound and image, and then make them derived. Meanwhile, so as to resist the film’s rigid institutional mode of representation, in addition to the filming as the only manner, she also tries to work with other different medium and expression form to experiment. Recently, she tries to study Asian geopolitical history in her works. She has participated many international artist residency program, and presented her works in different countries.
Lior Shamriz
Catalogue : 2008Before the Flowers of Friendship Faded Friendship | Film expérimental | dv | couleur | 7:0 | Israel, Allemagne | 2007

Lior Shamriz
Before the Flowers of Friendship Faded Friendship
Film expérimental | dv | couleur | 7:0 | Israel, Allemagne | 2007
Ce court métrage experimental, conduit principalement par des dialogues, narre l'histoire d'une rencontre de trois vieux amis. Le but était de créer un effet emotionel inhabituel en construisant une image réaliste d'après une bande son bien plus sombre, enregistrée avant le tournage. Les acteurs ont ensuite mimé la bande son une fois montée.
Né à Ashkelon, Israel, 1978 Etudie a la Jerusalem Film School. (2002-2005) Institut for time-based media à l'université des arts(UdK) Berlin. Fait des films et de la musique.
Catalogue : 2007Tiru Et Mi Hikhnasti Habaita | Documentaire | dv | couleur | 20:0 | Israel | 2004

Lior Shamriz
Tiru Et Mi Hikhnasti Habaita
Documentaire | dv | couleur | 20:0 | Israel | 2004
A l´âge de 19 ans, je me suis fait réformer après un court passage à l´armée, et peu de temps après je quittai le foyer parental. Bientôt je devins un "connard immoral", et eux des "provinciaux vieux-jeu". En mars 2004, après que mon frère aîné se soit installé avec sa copine catholique à Madrid et que mon plus jeune frère se soit engagé au sein des forces israéliennes malgré ses ennuis de santé, mes parents se retrouvèrent seuls à la maison. A cette période, la situation en Israel était loin d´être bonne, comme presque toujours. Des attentats-suicides avaient lieu dans les villes israeliennes malgré la "Barrière" ou "Mur" nouvellement construit et qui devait empêcher de telles opérations. A cette époque mon père était très fragile, écoutant sans cesse de la vieille musique iranienne, pays qu´il avait quitté à l´âge de 14 ans. Ma mère devenait peu à peu accro aux histoires des Telenovelas à la télé, et elle les regardait du matin au soir. J´avais envie de dépeindre cette époque dans la vie de mes parents, en documentant une de mes visites à leur maison, qui est également la mienne. Je promenais une mini caméra dv dans mes mains, ce qui me permettait de filmer mon point de vue en queslque sorte, parfois comme une caméra candide, parfois prenant activement part à l´action.
Né en 1978 à Ashkelon, Israel. Vit à Berlin. Étudia à l´École de cinéma de Jerusalem. Fréquente l´UdK Berlin, département de Experimentelle Medien (médias expérimentaux). 2005 - "Return to the Savanna", 75 mins, programme de six courts métrages 2006 - "Ho! Terrible Exteriors" court métrage de 30 mins , "The Farewell" - une coopération avec la troupe de théâtre de rue Zaza, 50 minutes, "Japan Japan" (à venir) - experimental