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Remco Schuurbiers, Radboud MENS - RA/RE
Catalogue : 2007Sichtbar Archiv | Performance | dv | couleur | 60:0 | Pays-Bas, Allemagne | 2006
Remco Schuurbiers, Remco PACKBIERS
Sichtbar Archiv
Performance | dv | couleur | 60:0 | Pays-Bas, Allemagne | 2006
Le développement d'internet et le flot d'informations qui s'y rattachent donnent une valeur croissante aux archives et aux collections en circuit fermé. Dans l'installation live Sichtbar Archiv, les artistes néerlandais Remco Packbiers et Remco Schuurbiers unissent leurs archives personnelles d'enregistrements d'images et de sons pour en faire une performance commune. 4 moniteurs, 4 magnétoscopes et 4 platines-disques mono se trouvent dans un bloc de bois spécialement construit pour l'occasion. Les images vidéo VHS et les sons des disques y sont mixés en live, superposés, opposés puis réunis en un nouveau collage. La structure "analogique" de l'installation, l'utilisation technique des appareils ainsi que l'interaction entre les artistes ne disparaît pas dans la perfection des mondes numériques, mais fait justement partie de l'installation. Sichtbar Archiv transpose deux systèmes clos dans un nouveau contexte spontané, intuitif et associatif, et permet au public de voir 100 ans d'images et de son.
Remco Schuurbiers (Pays-Bas) Remco Schuurbiers vit et travaille à Berlin. Son travaille consiste en compositions abstraites, films vidéo courts, intallations ou performances vidéo live. Il travaille à des projets avec des musiciens dans le domaine de la musique électronique contemporaine, produisant des performances audiovisuelles composées ou improvisées. Il travaille en outre comme photographe, est l'un des organisateurs du club transmediale et co-organisateur du projet/événement ?The Art of Pingpongcountry". En collaboration avec le directeur Ivan Stanev, il crée des films et des pièces de théâtre. www.clubtransmediale.de www.datenreport.org www.pingpongcountry.de
Catalogue : 2006The enchanted Sea | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 3:0 | Pays-Bas, Allemagne | 2005
Remco Schuurbiers
The enchanted Sea
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 3:0 | Pays-Bas, Allemagne | 2005
Remco Schuurbiers est originaire des Pays-Bas, il vit et travaille actuellement à Berlin. Son travail se situe aux confins de la vidéo et de l'audio numérique, créant ainsi des compositions, installations et performances abstraites. Il travaille souvent sur des projets en collaboration avec des artistes de la scène électronique et produit des performances audiovisuelles, compositions ou improvisations. Par ailleurs, il travaille en tant que photographe, et co-organisateur du 'Club Transmediale' et de 'The art of pingpongcountry'. Depuis peu, il travaille en collaboration avec le compositeur hollandais Huib Emmer sous le pseudonyme 'Datenreport' et également avec Radboud Mens pour l'?uvre "Pulse".
Catalogue : 2006Pulse | 0 | dv | | 30:0 | Pays-Bas, Allemagne | 2005
Remco Schuurbiers, Radboud MENS - RA/RE
Pulse
0 | dv | | 30:0 | Pays-Bas, Allemagne | 2005
Cette performance de Radboud Mens (son) et Remco Schuurbiers (vidéo) est une composition multimédia improvisée, fondée sur le dialogue entre les deux artistes. Les connexions numériques systématiques image/son s`opposent dans cette performance à une recherche de structures d`équivalences intuitives. Le matériau sonore et visuel de Pulse est un matériau numérique auto-généré. Il part de formes géométriques minimales les plus basiques et de sons basses fréquences, et se développe lentement en une texture hypnotique et de grande complexité. www.art-action.org
Remco Schuurbiers
Catalogue : 2007Sichtbar Archiv | Performance | dv | couleur | 60:0 | Pays-Bas, Allemagne | 2006
Remco Schuurbiers, Remco PACKBIERS
Sichtbar Archiv
Performance | dv | couleur | 60:0 | Pays-Bas, Allemagne | 2006
Le développement d'internet et le flot d'informations qui s'y rattachent donnent une valeur croissante aux archives et aux collections en circuit fermé. Dans l'installation live Sichtbar Archiv, les artistes néerlandais Remco Packbiers et Remco Schuurbiers unissent leurs archives personnelles d'enregistrements d'images et de sons pour en faire une performance commune. 4 moniteurs, 4 magnétoscopes et 4 platines-disques mono se trouvent dans un bloc de bois spécialement construit pour l'occasion. Les images vidéo VHS et les sons des disques y sont mixés en live, superposés, opposés puis réunis en un nouveau collage. La structure "analogique" de l'installation, l'utilisation technique des appareils ainsi que l'interaction entre les artistes ne disparaît pas dans la perfection des mondes numériques, mais fait justement partie de l'installation. Sichtbar Archiv transpose deux systèmes clos dans un nouveau contexte spontané, intuitif et associatif, et permet au public de voir 100 ans d'images et de son.
Remco Schuurbiers (Pays-Bas) Remco Schuurbiers vit et travaille à Berlin. Son travaille consiste en compositions abstraites, films vidéo courts, intallations ou performances vidéo live. Il travaille à des projets avec des musiciens dans le domaine de la musique électronique contemporaine, produisant des performances audiovisuelles composées ou improvisées. Il travaille en outre comme photographe, est l'un des organisateurs du club transmediale et co-organisateur du projet/événement ?The Art of Pingpongcountry". En collaboration avec le directeur Ivan Stanev, il crée des films et des pièces de théâtre. www.clubtransmediale.de www.datenreport.org www.pingpongcountry.de
Catalogue : 2006The enchanted Sea | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 3:0 | Pays-Bas, Allemagne | 2005
Remco Schuurbiers
The enchanted Sea
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 3:0 | Pays-Bas, Allemagne | 2005
Remco Schuurbiers est originaire des Pays-Bas, il vit et travaille actuellement à Berlin. Son travail se situe aux confins de la vidéo et de l'audio numérique, créant ainsi des compositions, installations et performances abstraites. Il travaille souvent sur des projets en collaboration avec des artistes de la scène électronique et produit des performances audiovisuelles, compositions ou improvisations. Par ailleurs, il travaille en tant que photographe, et co-organisateur du 'Club Transmediale' et de 'The art of pingpongcountry'. Depuis peu, il travaille en collaboration avec le compositeur hollandais Huib Emmer sous le pseudonyme 'Datenreport' et également avec Radboud Mens pour l'?uvre "Pulse".
Catalogue : 2006Pulse | 0 | dv | | 30:0 | Pays-Bas, Allemagne | 2005
Remco Schuurbiers, Radboud MENS - RA/RE
Pulse
0 | dv | | 30:0 | Pays-Bas, Allemagne | 2005
Cette performance de Radboud Mens (son) et Remco Schuurbiers (vidéo) est une composition multimédia improvisée, fondée sur le dialogue entre les deux artistes. Les connexions numériques systématiques image/son s`opposent dans cette performance à une recherche de structures d`équivalences intuitives. Le matériau sonore et visuel de Pulse est un matériau numérique auto-généré. Il part de formes géométriques minimales les plus basiques et de sons basses fréquences, et se développe lentement en une texture hypnotique et de grande complexité. www.art-action.org
Rolf Schuurmans
Catalogue : 2006Tuning | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 2:17 | Pays-bas, Belgique | 2005
Rolf Schuurmans
Tuning
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 2:17 | Pays-bas, Belgique | 2005
Quelqu'un joue avec un marteau sur son pied
Rolf Schuurmans est né aux Pays-Bas en 1972. Il réside et travaille aujourd'hui à Anvers, en Belgique. Il sculpte et travaille sur la musique et les sons, ainsi que les films et la vidéo, parfois en les associant. Depuis peu, le film est devenu son principal centre d'intérêt artistique.
Hannes Schüpbach
Catalogue : 2015Instants | Documentaire exp. | 16mm | couleur | 16:0 | Suisse | 2012
Hannes SchÜpbach
Instants
Documentaire exp. | 16mm | couleur | 16:0 | Suisse | 2012
Les instants arrivent, ils se manifestent pour nous et à travers nous. Comme la jeune fille qui atterrit dans l’image en déesse du vent et dont les mouvements se figent en attitudes, en une suite d’images arrêtées. Entre les instants, des relations, évidentes ou imaginées, se créent. Une main écrit phrase après phrase dans un carnet, s’interrompt, recommence ; elle marque ainsi une boucle et un retour en arrière. Ce qui a été ressenti prend alors forme. Les petits heurts, les frictions et les pauses dans la succession des images composent ce corps d’instants qui produit un langage. – H. S. (Traduction : Isabelle Ribadeau Dumas)
Hannes Schüpbach was born in Winterthur (Switzerland) in 1965. He is a visual artist and writer. Since 1999 Schüpbach has completed ten silent films. However, his artistic practice with elements of the cinematographic dates back to 1990, with spatial installations and serial paintings that can be experienced through movement. In the exhibition Stills and Movies at Kunsthalle Basel, 2009, a number of his large, connected series of paintings were shown for the first time. The exhibition also highlighted the conceptual interconnections between installations, performances, and films by Schüpbach; they all entice movement and unfold through memory. Cat.: Hannes Schüpbach: Cinema Elements, Films, Paintings, and Performances 1989–2008, Zurich: Scheidegger & Spiess, 2009, distributed in North America by Chicago University Press. His films have been presented at Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid, Harvard Film Archive, Cambridge, Tate Modern, London (2009); CCCB Barcelona, Kunstmuseum Bern (2011); Centre Pompidou, Paris, Kunsthalle Vienna, LUX/ICA Biennial of Moving Images, London, Kunstmuseum Winterthur (2012); Arsenal, Berlin, School of the Art Institute of Chicago (“Conversations at the Edge”), Toronto International Film Festival, Whitechapel Gallery, London (2013); International Film Festival Rotterdam, Literaturhaus Zürich (2014).
Dagmar Schürrer
Catalogue : 2021Galaxy | Vidéo expérimentale | mov | couleur | 3:48 | Autriche, Allemagne | 2020
Dagmar SchÜrrer
Galaxy
Vidéo expérimentale | mov | couleur | 3:48 | Autriche, Allemagne | 2020
Dans l’œuvre d’images en mouvement "GALAXY", la narratrice est la technologie elle-même. L'histoire est générée par un algorithme et propose une interprétation de la brève rencontre entre les deux personnages, Touch et Long Swipe, une rencontre d'amour et de déception. De petites déviations dans le langage, et la logique narrative, révèlent notre empreinte sociale sur la façon dont les histoires sont censées être racontées, et comment la technologie est programmée pour respecter ces perceptions. La mise en scène est une galaxie d'objets et d'images générée par ordinateur qui rappellent des formes organiques, mais démembrées et fragmentées, réfléchissant à la possibilité de créer de nouveaux mondes et de nouvelles histoires, dans l'espace numérique, en suivant un système subjectif de structure.
Dagmar Schürrer est artiste médiatique et vit à Berlin, en Allemagne. L'image numérique, trouvée et générée, est le matériau qui lui permet de former un langage visuel au-delà de la perception analogique. Elle assemble found footage, objets et animations générés par ordinateur, textes, dessins et sons pour former des montages sonores et vidéo complexes, présentés sur écran, sous forme d'installations ou combinés à de nouvelles technologies telles que la réalité augmentée. Elle est titulaire d'un diplôme en beaux-arts du Central Saint Martin's College, Londres (Royaume-Uni). Son travail a été exposé à l'international, notamment aux New Contemporaries de l'Institute of Contemporary Arts, Londres (Royaume-Uni); à la Biennale for Young Art Moscow, Moscou (Russie); au Plan8t Air Museum of Waste, Changsha (Chine); au Transmediale Vorspiel, Berlin (Allemagne) et à LUX moving image London, Londres (Royaume-Uni). Ses vidéos ont été projetées dans de nombreux festivals, notamment au SUPERNOVA Animation Festival à Denver (USA); au Seattle Film Festival (USA); au Athens Digital Arts Festival Athènes (Grèce); au Horn Experimental Film Festival, Jérusalem (Israël); au Tricky Women Animationfestival, Vienne (Autriche); ou encore au Diagonale – Festival des Oesterreichischen Films, Graz (Autriche). Ces dernières années, elle a reçu la bourse Goldrausch du Sénat de Berlin (Allemagne), et a été présélectionnée pour le Berlin Art Prize (Allemagne) et le Tenderpixel Award à Londres (Royaume-Uni).
Jonathan Schwartz
Catalogue : 2009copper green | Film expérimental | 16mm | couleur | 3:0 | USA | 2008
Jonathan Schwartz
copper green
Film expérimental | 16mm | couleur | 3:0 | USA | 2008
Une vieille photo d?un groupe d?étudiants et de professeurs ? un transfert d'idées ? jeux de langage/phrases codées. Une chanson est chantée ? populaire et lumineuse ? empruntée par « Alex and the droogs » ? modification du comportement ? trouvé dans la rue, un homme accompagne un lecteur de CD ? une couverture. I?m singing in the rain Just singing in the rain What a glorious feelin? I?m happy again I?m laughing at clouds So dark up above The sun?s in my heart And I?m ready for love
Jonathan Schwartz est basé à Boston (USA) et travaille principalement dans le domaine du cinéma et du son. Certaines de ses ?uvres ont été présentées au Festival de Film de New York, Views form the Avant-Garde, au Festival de Film de Rotterdam, aux Rencontres Internationales de Paris, au BFI London Film Festival, au ICA, au TIE, à l?Harvard Film Archive et à l?Images Festival, parmi d?autres.
Catalogue : 2008A logic sore | Film expérimental | 16mm | couleur | 3:0 | USA | 2006
Jonathan Schwartz
A logic sore
Film expérimental | 16mm | couleur | 3:0 | USA | 2006
Des lignes représentant des structures, une communauté, des mots assemblés comme des anagrammes. La radio est comme une invitation à se débarrasser de tous ses biens et à les jeter dans les airs tels des avions. Ou " The Bridge Between Matter & Spirit is Matter Becoming Spirit" de Paolo Soleri "A logic sore" fait partie d'un projet de 11 films qui, à la manière de chansons, forment un album de 33 minutes, en référence aux 33t qui ont été créées pour prolonger le son sur un disque. Avant les 33t, pendant les projections, il fallait changer de face au milieu de la bobine ce qui entraînait une interruption. Une interruption; chacun des 11 films est tourné comme sur pellicule (30,5 mètres/sans montage). Le son est une réponse. Ou un écho. "A logic sore" est l'anagramme d'arcologies (alliance d'architecture et d'écologie)
Jonathan Schwartz est né à Boston, Etats-Unis et a travaillé dans les domaines du son et du cinéma. Ses ?uvres sont composées à partir d'enregistrement audio familiaux, de collages, d'enregistrements de sons exagérés, et s'inspirent de voyages vers de pays lointains et d'errances dans des terres familières. Elles ont notamment été présentées en Europe, aux Etats-Unis, au Canada et dans des festivals comme le BFI London Film Festival, le Rotterdam Film Festival, le New York Film Festival et le TIE ? International Experimental Cinema Exposition. Ce projet de film en 16mm/33t en 11 parties/morceaux sera terminé à la fin de l'année 2007.
Catalogue : 2007Sunbeam hunter | Film expérimental | 16mm | couleur | 3:0 | USA | 2005
Jonathan Schwartz
Sunbeam hunter
Film expérimental | 16mm | couleur | 3:0 | USA | 2005
tout pour la prévention de la violence, consultez le manuel, cela pourrait mourir dans les années 70. la distance est maintenant votre boussole alors suivez les ombres jusqu´à votre point de repos. ou je me demandais si la sincérité pouvait avoir la priorité sur l´ironie et de surcharger quelques émotions passées. a propos des situations passées : il a été dit que 331/3 tr/min avait été créé en conjonction avec le cinéma - pour prolonger le son pour l´image. alors- tout pour l´extension du temps, consultez l´écho, il se pourrait qu´il disparaisse dans les nuages. Les photographes sont maintenant votre boussole alors suivez la terre jusqu´á vos vieux mondes imaginaires. ou je me demandais si cette image dans mes mains pouvait conjurer le passé des émotions présentes. à propos des situations présentes: ce film de 3 minutes est l´un des 11 qui composent un album de films d´une durée totale de 331/minutes - pour prolonger le lien avec les passés. alors- à propos des situations futures : tout pour la prévention de la violence.
Jonathan Schwartz (boston, Etats Unis) base son travaille sur le film et le son. Il a réalisé des oeuvres choisies parmi des enregistrements audio familiaux, des voyages dans des endroits lointains, des questionnements dans des endroits familiers, des collages et des enegistrements de sons exagérés. Certaines de ses oeuvres ont été exposées en Europe, aux Etats Unis, au CAnada et en des endroits tels que le Festival bfi du Film de Londres, TIE - exposition de cinéma expérimental, AntiMatter. Il est actuellement en train de terminer un film en 16mm / enregistrement lp en 11 parties/chansons.
Jonathan Schwartz
Catalogue : 2018The Crack-Up | Film expérimental | 16mm | couleur | 18:0 | USA | 2017
Jonathan Schwartz
The Crack-Up
Film expérimental | 16mm | couleur | 18:0 | USA | 2017
THE CRACK-UP “ the ability to hold two opposed ideas in the mind at the same time, and still retain the ability to function. One should, for example, be able to see that things are hopeless and yet be determined to make them otherwise ” (F. Scott Fitzgerald, The Crack-Up, 1936) Glaciers take time and glaciers hold time immensely, with sorrow and not sorrow, worry and not worry. There is a light that casts on and cast out from within, `a persistent body of dense ice that is constantly moving under its own weight` and slowly dissolving, it sounds enormous, urgent.
Jonathan Schwartz lives in Vermont (usa) where his creative practice includes 16mm films, things that look like list-making and collecting as a mode of research, and teaching film/associative thinking. He has had solo screenings Austrian Film Museum, UnionDocs, SF Cinematheque, Cinema Project, TIFF/Free Screen, and more. His work has been included in many film festivals including New York, Ann Arbor, Rotterdam, Toronto, Punto de Vista, Recontres Internationales, Exis, and more.
Catalogue : 2017A Mystery Inside of a Fact | Film expérimental | 16mm | couleur et n&b | 16:0 | USA | 2016
Jonathan Schwartz
A Mystery Inside of a Fact
Film expérimental | 16mm | couleur et n&b | 16:0 | USA | 2016
It arrives, in a fog, with songs, through dance or majestic animals or faces (gliding on the street), in shapes of light, maybe on a large bird of prey’s flight—gesture skyward. Some origins can be difficult to pinpoint, others blink back—infinitely.
Jonathan Schwartz makes short films that circulate primarily in an experimental and non-fiction film context. Films are generally constructed from fragmented collections and findings, from both exterior and interior spaces. His films have exhibited in many festivals including New York Film Festival "Views from the Avant-Garde" and “Projections”, TIFF "Wavelengths", Rotterdam, Ann Arbor, Images, Media City, Recontres Internationales, Exis, TIE, and others. Recent solo screenings include Austrian Film Museum, UnionDocs, Cinema Project, and San Francisco Cinematheque. He holds an MFA from Massachusetts College of Art, lives in Brattleboro, Vermont and is an associate professor at Keene State College.
Herbert Schwarze
Catalogue : 2006Als unsere Lieder noch wild & gefährlich waren | Film expérimental | dv | couleur | 6:30 | Allemagne | 2005
Herbert Schwarze
Als unsere Lieder noch wild & gefährlich waren
Film expérimental | dv | couleur | 6:30 | Allemagne | 2005
Mélange d'époques, karaoké:en 1968, Heintje chante la vieille chanson régionale "Mama"...Fondu enchaîné: un enfant de neuf ans regarde, maussade, quelque chose à la lentille, pendant que, dans la rue, les étudiants se révoltent. Un autre tube de cette époque, "Es fährt ein Zug nach Nirgendwo", conduit au groupe "Fehlfarben", qui montent sur scène en 2003 à Berlin et évoquent 1982: " Quand la réalité te dépasse, tu n'as plus d'ami, pas même l'alcool". Le punk allemand au meilleur de lui-même, qui dicte le tempo du film. Un voyage linéaire de 1945 à aujourd'hui avec de nombreux sauts dans le temps: les années 1848 dans le lied de Schuman, là-dessus un mirador qui rappelle le mur de Berlin - il se trouve près d'un container Toys'r us...des paysages allemands, symbole de la fin des utopies, chagrin d'amour, o Marie, jamais, plus jamais Auschwitz, mais des bombes sur Belgrade...du petit garçon à l'homme nu qui est allongé sur la plage dans la position de Christ...Es fährt kein Zug nach Nirgendwo...: (fr = "Il n'y a pas de train vers nulle part..."): Mélange d'époques. Karaoké. C'était au temps...
Herbert Schwarze, Allemagne né en 1959. De 1988 à 1993 études à la DFFB à Berlin. Cinéaste, dramaturge et régisseur. Membre de la commission de sélection des journées internationales du court-métrage d'Oberhausen, Allemagne. vit à Berlin. Filmographie DAS BLEIBT DAS KOMMT NIE WIEDER (1988-1992) GRETCHEN 2000 (1994) HUNGER NACH MEHR (mit Jutta Doberstein) (2001) UND IMMER WIEDER GEHT DIE SONNE AUF (2000-2005) und andere
Catalogue : 2006Und immer wieder geht die Sonne auf | Doc. expérimental | | couleur | 82:0 | Allemagne | 2005
Herbert Schwarze
Und immer wieder geht die Sonne auf
Doc. expérimental | | couleur | 82:0 | Allemagne | 2005
C?était comment déjà, hier? La chanson de Jürgen Marcus commence par ce qui a été perdu : le passé. Les Beatles avaient déjà compris que le passé ne revenait jamais, et qu?il était pratiquement impossible aujourd?hui, de se souvenir avec précision de quelle manière on l' avait ressenti. Le passé, c?est un paysage, une vue, une odeur, une mélodie de l?été pendant lequel le club a remporté le championnat régional? Le passé est un temps qui ne revient pas, un lieu sur lequel on ne peut pas revenir - puisqu?il a disparu. Dans tous les pays, excepté l?Allemagne, on nommerait ce passé « Heimat », le pays. Dans les années 90 on a définitivement pris congé de l?Allemagne de l?après-guerre. On a démoli les usines des années de la reconstruction et des années miraculeuses, excepté quelques-unes qui ont été déclarées monuments historiques, et dans lesquelles s?est établie l?industrie des loisirs. Ces monuments isolés dépassent de l?océan de parcs d'activité, de supermarchés et de parkings. Ce sont des plates-formes avec point de vue sur les changements de structures pour le public qui y assiste ? les indigènes. « Und immer wieder geht die Sonne auf / Et le soleil brillera à nouveau demain » est une invite sérieuse à lire et à saisir le paysage d?aujourd?hui à travers les chansons d?antan et tous les grands sentiments que comportent les standards. Ces tubes n'ont rien perdu de leur actualité; ils décrivent une vie pleine de nostalgie diffuse et insatiable. Un nouvel amour, c?est comme une nouvelle vie ; c?est ce que dit Jürgen Marcus ? et tout ceux qui n?ont pas cessé d?y croire, sont invités à chanter en choeur. « Und immer wieder geht die Sonne auf » est un film-karaoké. Jutta Doberstein
Herbert Schwarze, Allemagne Né en 1959. De 1988 à 1993 études au DFFB à Berlin. Cinéaste, dramaturge et conseiller de l?université. Membre de la commission de sélection des Journées Internationales du Court-Métrage à Oberhausen, Allemagne. Vit à Berlin.
Maya Schweizer
Catalogue : 2019Insolite | Vidéo | hdv | couleur | 12:16 | France, Allemagne | 2019
Maya Schweizer
Insolite
Vidéo | hdv | couleur | 12:16 | France, Allemagne | 2019
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Maya Schweizer was born in 1976 in Paris, France and studied at the Academy of Visual Arts Leipzig, and Berlin University of the Arts. She received international grants and most recently Project grant "Lieux de Mémoire and Desire",Kulturstiftung des Freistaates Sachsen, 2015. The Exhibition sponsor from the Institut für Auslandsbeziehungen, TCG Nordica, Kunming, China, 2013. The Robert Bosh Foundation, in Slovakia 2011, also in the Villa Aurora, Artist Grant from the Goethe-Institute in Los Angeles 2008-2009. Together with Clemens von Wedemeyer, she won the Prize of the German Competition at the Oberhausen Film Festival Oberhausen 2006. She recently had solo shows, such as; “Art | Memory | Placeâ€, Irish Museum of Modern Art, IMMA, Dublin Ireland, “Der sterbende Soldat von Les Millesâ€, Kuns
Maya Schweizer, Clemens von Wedemeyer
Catalogue : 2018A Tall Tale | Fiction expérimentale | hdv | couleur et n&b | 16:16 | France, Allemagne | 2017
Maya Schweizer
A Tall Tale
Fiction expérimentale | hdv | couleur et n&b | 16:16 | France, Allemagne | 2017
Maya Schweizer (b.in Paris, France) lives and works in Berlin. She studied at the university, Aix-Marseille I, at the Academy of Visual Arts Leipzig and Berlin University of the Arts, where she graduated. Maya Schweizer exhibited at Kunstverein Leipzig (2017-2018), Drawing Room Hamburg (2017-2018), Irish Museum of Modern Art, Dublin (2016); Skulpturenmuseum Glaskasten Marl (2016); Nordstern Videokunstzentrum, Gelsenkirchen (2016); Staatliche Kunsthalle Baden-Baden (2015);GRASSI Museum für Angewandte Kunst Leipzig (2015); MWW Wroclaw Contemporary Museum (2015). She recently screened at Videoart at Midnight, Berlin (2018), Traverses Vidéo, Toulouse (2018), Vancouver International Film Festival, Canada (2017), Cinema in viennacontemporary, Vienna, Austria (2017), in Oberhausen 63. International Kurzfilmtage Oberhausen (2017) and at the 67. Berlinale, Forum Expanded, Berlin (2017). She received the Research stipends from the Berlin Senat (2017), Research grant from Goethe Institute Neapels and the Fundazione Morra-Museo Nitsch, Naples (2017), and the residency at the Watchtower, Flutgraben, Berlin (2016-2017).
Catalogue : 2017Texture of Oblivion | Doc. expérimental | hdv | couleur et n&b | 18:0 | France, Pologne | 2016
Maya Schweizer
Texture of Oblivion
Doc. expérimental | hdv | couleur et n&b | 18:0 | France, Pologne | 2016
The film begins with footage of a city of ruins, when the entire cityscape of Warsaw is covered with stones. It is 1945. Themed around stones as carriers of historical memory, the movie is so closely filmed that the viewer can never see the city`s memorials in their entirety. Special attention, though, is paid to the author of the Umschlagplatz Wall, a monument located in the former Ghetto. Hanna Szmalenberg is explaining the process of realization of the Umschlagplatz as the camera winds through a snow-covered sculpture garden.
Maya Schweizer, born in Paris studied art and art history at the university of Aix-en-Provence (1995-1998). She moved to Germany and studied at the School of Visual Arts in Leipzig (HGB) (1999-2002) and move in Berlin 2003 where she finished her studies at the Berlin University of the Arts (UdK) with Professor Lothar Baumgarten and graduated in 2006. She had solo shows in Westfalischen Kunstverein, Muenster (2010), Frankfurter Kunstverein, (2011) with Clemens von Wedemeyer, in the Kunstverein Langenhagen (2013), Kunsthalle Baden-Baden (2015), at the Irish Museum of Modern Art, Dublin (2016). Schweizer was also involved in many international exhibitions, such as “Of Mice and Men,” Berlin Biennale (2006), “Storylines,” Kunstraum Munich, (2006), “Um-Kehrungen, Interaktion I - Speaker”s Corner,” Kunstverein Braunschweig (2007), “Magellaneous Cloud,” Centre Georges Pompidou, Paris (2007), “Urban Stories,” The X Baltic Triennial of International Art, CAC Vilnius (2009), “Auto-Kino!,” Temporare Kunsthalle, Berlin (2010), “Ambigous Being,” exhibitions in Berlin, Tel Aviv, and Taipei, tamtamART, Berlin / Kav16 Community Gallery, Tel Aviv / Hong Gah Museum, Taipei (2012), “Die Stadt, die es nicht gibt,” Ludwig Forum, Aachen (2012), “Vot ken you mach!,” Kunsthaus Dresden (2013), efa (Elisabeth Foundation for the Arts, New York, USA (2013). At “Villa Romana 1905”2013 Das Künstlerhaus in Florenz,” Bundeskunsthalle, Bonn, (2013), “Gestern die Stadt von Morgen,” Kunstmuseum Mälheim an der Ruhr, (2014),. “Sammlungsalphabet,” Sammlungsausstellung, Museum of Contemporary Art (GfZK), Leipzig (2014), and the forthcoming “Im inneren der Stadt. Öffentlicher Raum und Frei-Raum,” Gesellschaft für Aktuelle Kunst (GAK), Bremen, (2015). At the Museum MWW Muzeum Wspó?czesne, Wroc?aw, Poland, (2015), Videokunstzentrum, Gelsenkirchen, (2016), in VOX, Montreal (2016), and at POLIN Museum, Warsaw (2016).
Catalogue : 2016Le Soldat mourant des Milles | Film expérimental | hdv | couleur | 13:0 | France, Allemagne | 2014
Maya Schweizer
Le Soldat mourant des Milles
Film expérimental | hdv | couleur | 13:0 | France, Allemagne | 2014
A video work, in which the daily routine of Les Milles is caught up by its past - a former brickyard in the town`s center was used as internment camp for Germans during World War II and served as concentration camp later on. With the use of montage cutting techniques the artist succeeds in letting the past burst into present.
Maya Schweizer was born in 1976 in Paris, France and studied at the Academy of Visual Arts Leipzig, and Berlin University of the Arts (with Lothar Baumgarten). Maya Schweizer works with diverse media: the focus of her work lies in the making of short films based on documentary material. „Identity, biography, politics, history and memory are recurring themes in Maya Schweizer’s photographs and videos... In general, the artist generates an incomplete tableau of collective memory and questions the way history is produced and visually recorded. „(Cynthia Krell). The artist approaches the relation of montage editing techniques with the concept of film and memorial and film as memorial — a relation which traces back to the very beginnings of montage as it does to research findings by French historian Pierre Nora. Recurring moments in Schweizer’s multiform art practice revolve around the examination of subtly treated processes of memory regarding historic-political events in public space. In the places, structures and situations she investigates, historical threads intersect. She received international grants and most recently Project grant "Lieux de Mémoire and Desire",Kulturstiftung des Freistaates Sachsen (KdFS), 2015. The Exhibition sponsor from the Institut für Auslandsbeziehungen (ifa), TCG Nordica, Kunming, China, 2013. The Robert Bosh Foundation, in Slovakia 2011, also in the Villa Aurora, Artist Grant from the Goethe-Institute in Los Angeles 2008-2009. Together with Clemens von Wedemeyer, she won the Prize of the German Competition at the Oberhausen Film Festival Oberhausen 2006. She recently had solo shows, such as; Der sterbende Soldat von Les Milles, Kunsthalle Baden-Baden, Germany 2015. Edith Seeshow’s Notes at the Kunstverein Langenhagen, 2013. Metropolis. Report from China with Clemens von Wedemeyer at the Frankfurter Kunstverein, 2011. The Same Story Elsewhere at the Westfälisher Kunstverein, Münster, Germany, 2010. Schweizer was also involved in many international exhibitions, such as; Inside the City. Public Space and Free Space at the GAK, Bremen, Germany, 2015. Vot ken you mach ?, Muzeum Wspólczesne Wroclaw, Poland, 2015. Collection Alphabet at the Museum of Contemporary Art (GfZK), Leipzig, 2014. The city that doesn´t exist at Ludwig Forum, Aachen, 2012. Ambigous Being, Hong Gah Museum,Taipei 2012. Take me to your leader!, Kunstmuseum Bergen, Norway, 2011. Here and There, at the Wallace Gallery, New York and at the Oonagh Young Gallery, in Dublin, 2011. 15 Jahre Villa Aurora. Transatlantische Impulse, AdK - Akademie der Künste, Berlin, 2011. Of Other Spaces at the Bureau for Open Culture, Columbus, Ohio, USA 2011.
Catalogue : 2015I, an archeologist | Documentaire expérimental | hdv | couleur | 20:0 | France | 2014
Maya Schweizer
I, an archeologist
Documentaire expérimental | hdv | couleur | 20:0 | France | 2014
A young archaeologist working as a tourist guide is in a dark space with her light operator and an imaginary group. She would like to rehearse her tour in the Jewish catacombs of Rome. The scene becomes a monologue of the young woman, in which she mingles fragments of the history of the Jewish catacombs with thoughts on her appearance and instructions to the lighting engineer. The narration hovers between a stage play and the real historical site.
MAYA SCHWEIZER Born in 1976 in Maisons-Alfort/ France the artist lives and works in Berlin. She has studied Fine Arts and Arts History at the University in Aix-en-Provence, at the Hochschule für Grafik undBuchkunst in Leipzig and at the University of Arts Berlin with Lother Baumgarten. Her works are based on documentary materials which she weaves into (hi)stories by means of excerpts, images, sound samples and texts. She has been part of residency programs as KAIR- Kosice by the Robert-Bosch-Foundation, the Künstlerinnenprogramm Senat Berlin, the residency program of the Goethe-Institute in Villa Aurora Los Angeles. Her works have been internationally shown in solo exhibitions as very recently, DIE MINIATUREN AUS RAVENSBRÜCK UND DER STERBENDE SOLDAT VON LES MILLES, (2014) together with Antje Majewski at after the butcher, Berlin. EDITH SEESHOW´S NOTES, (2013) at the Kunstverein Langenhagen, Germany, IT’S NOT ABOUT NOTHING (2012) at the gallery Katharina Bittel in Hamburg, METROPOLIS, REPORT FROM CHINA (2011) at Frankfurter Kunstverein and THE SAME STORY ELSEWHERE (2010) at Westfälischer Kunstverein in Münster. Also she contributed to group shows as GESTERN DIE STADT VON MORGEN (2014), Kunstmuseum Mülheim an der Ruhr, LAST YEAR AT MARIENBAD, REDUX, (2014) at the Elisabeth Foundation for the Arts, New York, VOT KEN YOU MACH ! (2013) at Kunsthaus Dresden, DIE STADT, DIE ES NICHT GIBT, at the Ludwig Forum Aachen AI WEI WEI IS IN CHINA at Fichtebunker, Berlin, TRANSATLANTISCHE IMPULSE at Akademie der Künste, Berlin, NEL PALAZZO DI CRISTALLO in CA`ASI/ Venezia, HERE AND THERE Wallace Gallery New York, and URBAN STORIES at The X Baltic Triennial of International Art, CAC, Vilnius in Lituania.
Catalogue : 2009from the classroom | Art vidéo | dv | couleur | 6:0 | France, Allemagne | 2008
Maya Schweizer
from the classroom
Art vidéo | dv | couleur | 6:0 | France, Allemagne | 2008
« From the Classroom » est une projection sur un écran divisé en deux, formée d?images trouvées sur YouTube. L'image de gauche montre des jeunes filles de la salle de classe en train de danser, apparemment filmées par leurs amis pendant la pause. Sur l?image de droite, on voit un tableau noir sur lequel est écrit un texte, rédigé dans un style de journal intime. Le texte décrit le trajet qu?une femme prend tous les jours pour se rendre au travail.
http://www.mayaschweizer.com/site/DOWNLOADS/Mschweizerbio.pdf Born 10 january 1976 in Maisons-Alfort, France Lives in Berlin ----- February 2007 Universität der Künste, Berlin, Germany Master Degree January 2005 Universität der Künste, Berlin, Germany Diploma April 2003 Universität der Künste, Berlin, Germany Fine art School, Berlin In the class of Lothar Baumgarten and Katharina Sieverding. 2000-2002 Hochschule für Grafik und Buchkunst, Leipzig, Germany School of visual arts, Leipzig June 1998 Licence, Degree of Visual arts 1998-1995 Université d ́Aix-en-Provence Visual arts. June 1995 Bachelor ́s degree, option Visual arts, Aix-en-Provence, France Residency Programm, Prizes : 2008 Villa Aurora, Artits Grant from the Goethe-Institut Los Angeles 2008-2010 Karl-Hofer Stipendium, Grant from the Karl-Hofer Gesellschaft, Berlin 2006 First Prize of the German Programm Kurzfilmtage Oberhausen 2006 Grant from the DAP, (Department of the visual arts), Paris, France 2005-2006 Residency and Film Project with Clemens von Wedemeyer at the Contemporary Art Center of in Bretigny, France Realisation and Production of the film Rien du tout (nothing at all) with Clemens von Wedemeyer.
Catalogue : 2008Metropolis, report from China | Doc. expérimental | dv | couleur | 42:0 | France, Allemagne | 2006
Maya Schweizer, Clemens von Wedemeyer
Metropolis, report from China
Doc. expérimental | dv | couleur | 42:0 | France, Allemagne | 2006
2004, 80 ans après la visite de Fritz Lang à New York et dans le même temps estimé des projections futuristes de son film « Metropolis »... Nous sommes venus en Chine pour trouver des lieux de tournages, pour parler à des travailleurs et des architectes, des scénaristes et des romanciers à Shanghai et Beijing pour rechercher si le film entier pouvait être remis en scène ici. Mais voulons nous que ce film ce répète, pour qu'il devienne réel? Peut être en chine avons nous vu une variante de « Metropolis », qui est déjà devenue réalité...
Maya Schweizer, née à Maisons-Alfort, en 1976. Débute ses études d´arts Plastiques à Aix-en-Provence à l´université, en 1998 obtient sa Licence. S´inscrit à l´école des beaux-arts de Leipzig, (HGB) puis entre en équivalence à l´école des beaux-arts de Berlin, (UdK) dans la classe de Lothar Baumgarten où elle est diplomée en janvier 2005. Residences, Bourses & Prix : 2006,Mai, Allemagne, Oberhausen Premier Prix du festival de film d´Oberhausen. en avril,Bourse du DAP (Délégation aux arts plastiques). 2005-2006, en Nov-mars, au Centre d´Art Contemporain de Brétigny (CAC de Bretigny /Orge, Bretigny). Réalisation et production avec Clemens von Wedemeyer du Film Rien du tout. Co-production; Galerie Jocelyn Wolff, CAC Bretigny, (Pierre Bal-Blanc), Château Rouge production(Gaelle Jones), Collection Giovanni Springmeier. Postproduction: bourse du NRW de Cologne
Catalogue : 2008Passing down, Frame 1 | Doc. expérimental | dv | couleur | 10:38 | France, Allemagne | 2007
Maya Schweizer
Passing down, Frame 1
Doc. expérimental | dv | couleur | 10:38 | France, Allemagne | 2007
De retour à Berlin, j´essaie de reconstruire,à partir d´enregistrements que j´ai fait d´elle, une partie de l´histoire de ma grand-mère lorsqu´elle vivait à Lyon, pendant la seconde guerre mondiale.
Née à paris, Licence d´arts plastiques à L´université d´aix-en-provence. Études à l´école des beaux.arts de Leipzig (HGB), en photographie et vidéo puis Diplôme et post-diplôme à l´école des beaux-arts de Berlin(UdK). Vit à Berlin
Daniel Schweizer
Catalogue : 2007White terror | Documentaire | dv | couleur et n&b | 89:37 | Suisse, Russie | 2005
Daniel Schweizer
White terror
Documentaire | dv | couleur et n&b | 89:37 | Suisse, Russie | 2005
White Terror ("Terreur Blanche") est le dernier volet d´une trilogie sur les skinheads, la haine et le racisme. En 2 ans d´enquête sur le groupe extremiste le plus actif, leurs liens internationaux, de Stockholm à Dallas en passant par Moscou, ont été révélés. Daniel Schweitzer, qui a réalisé des documentaires acclamés sur l´attitude des skinheads, enquête sur la force qui se cache derrière le "White Power" (Pouvoir blanc") et les slogans du "nouveau racisme".
Né en 1959 à Genève, il y étudie à l´ESAV (Visual Arts School) et obtient un double diplôme dans les départements d´expression graphique et d´audiovisuel. Il étudie ensuite à l´ESEC (Cinema Studies, Paris). Il est assistant directeur indépendant au Service de diffusion Suisse-Romand (TSR) et producteur indépendant entre 1983 et 1993. Il vit à Genève et Paris.
Maya Schweizer
Catalogue : 2018A Tall Tale | Fiction expérimentale | hdv | couleur et n&b | 16:16 | France, Allemagne | 2017
Maya Schweizer
A Tall Tale
Fiction expérimentale | hdv | couleur et n&b | 16:16 | France, Allemagne | 2017
Maya Schweizer (b.in Paris, France) lives and works in Berlin. She studied at the university, Aix-Marseille I, at the Academy of Visual Arts Leipzig and Berlin University of the Arts, where she graduated. Maya Schweizer exhibited at Kunstverein Leipzig (2017-2018), Drawing Room Hamburg (2017-2018), Irish Museum of Modern Art, Dublin (2016); Skulpturenmuseum Glaskasten Marl (2016); Nordstern Videokunstzentrum, Gelsenkirchen (2016); Staatliche Kunsthalle Baden-Baden (2015);GRASSI Museum für Angewandte Kunst Leipzig (2015); MWW Wroclaw Contemporary Museum (2015). She recently screened at Videoart at Midnight, Berlin (2018), Traverses Vidéo, Toulouse (2018), Vancouver International Film Festival, Canada (2017), Cinema in viennacontemporary, Vienna, Austria (2017), in Oberhausen 63. International Kurzfilmtage Oberhausen (2017) and at the 67. Berlinale, Forum Expanded, Berlin (2017). She received the Research stipends from the Berlin Senat (2017), Research grant from Goethe Institute Neapels and the Fundazione Morra-Museo Nitsch, Naples (2017), and the residency at the Watchtower, Flutgraben, Berlin (2016-2017).
Catalogue : 2017Texture of Oblivion | Doc. expérimental | hdv | couleur et n&b | 18:0 | France, Pologne | 2016
Maya Schweizer
Texture of Oblivion
Doc. expérimental | hdv | couleur et n&b | 18:0 | France, Pologne | 2016
The film begins with footage of a city of ruins, when the entire cityscape of Warsaw is covered with stones. It is 1945. Themed around stones as carriers of historical memory, the movie is so closely filmed that the viewer can never see the city`s memorials in their entirety. Special attention, though, is paid to the author of the Umschlagplatz Wall, a monument located in the former Ghetto. Hanna Szmalenberg is explaining the process of realization of the Umschlagplatz as the camera winds through a snow-covered sculpture garden.
Maya Schweizer, born in Paris studied art and art history at the university of Aix-en-Provence (1995-1998). She moved to Germany and studied at the School of Visual Arts in Leipzig (HGB) (1999-2002) and move in Berlin 2003 where she finished her studies at the Berlin University of the Arts (UdK) with Professor Lothar Baumgarten and graduated in 2006. She had solo shows in Westfalischen Kunstverein, Muenster (2010), Frankfurter Kunstverein, (2011) with Clemens von Wedemeyer, in the Kunstverein Langenhagen (2013), Kunsthalle Baden-Baden (2015), at the Irish Museum of Modern Art, Dublin (2016). Schweizer was also involved in many international exhibitions, such as “Of Mice and Men,” Berlin Biennale (2006), “Storylines,” Kunstraum Munich, (2006), “Um-Kehrungen, Interaktion I - Speaker”s Corner,” Kunstverein Braunschweig (2007), “Magellaneous Cloud,” Centre Georges Pompidou, Paris (2007), “Urban Stories,” The X Baltic Triennial of International Art, CAC Vilnius (2009), “Auto-Kino!,” Temporare Kunsthalle, Berlin (2010), “Ambigous Being,” exhibitions in Berlin, Tel Aviv, and Taipei, tamtamART, Berlin / Kav16 Community Gallery, Tel Aviv / Hong Gah Museum, Taipei (2012), “Die Stadt, die es nicht gibt,” Ludwig Forum, Aachen (2012), “Vot ken you mach!,” Kunsthaus Dresden (2013), efa (Elisabeth Foundation for the Arts, New York, USA (2013). At “Villa Romana 1905”2013 Das Künstlerhaus in Florenz,” Bundeskunsthalle, Bonn, (2013), “Gestern die Stadt von Morgen,” Kunstmuseum Mälheim an der Ruhr, (2014),. “Sammlungsalphabet,” Sammlungsausstellung, Museum of Contemporary Art (GfZK), Leipzig (2014), and the forthcoming “Im inneren der Stadt. Öffentlicher Raum und Frei-Raum,” Gesellschaft für Aktuelle Kunst (GAK), Bremen, (2015). At the Museum MWW Muzeum Wspó?czesne, Wroc?aw, Poland, (2015), Videokunstzentrum, Gelsenkirchen, (2016), in VOX, Montreal (2016), and at POLIN Museum, Warsaw (2016).
Catalogue : 2016Le Soldat mourant des Milles | Film expérimental | hdv | couleur | 13:0 | France, Allemagne | 2014
Maya Schweizer
Le Soldat mourant des Milles
Film expérimental | hdv | couleur | 13:0 | France, Allemagne | 2014
A video work, in which the daily routine of Les Milles is caught up by its past - a former brickyard in the town`s center was used as internment camp for Germans during World War II and served as concentration camp later on. With the use of montage cutting techniques the artist succeeds in letting the past burst into present.
Maya Schweizer was born in 1976 in Paris, France and studied at the Academy of Visual Arts Leipzig, and Berlin University of the Arts (with Lothar Baumgarten). Maya Schweizer works with diverse media: the focus of her work lies in the making of short films based on documentary material. „Identity, biography, politics, history and memory are recurring themes in Maya Schweizer’s photographs and videos... In general, the artist generates an incomplete tableau of collective memory and questions the way history is produced and visually recorded. „(Cynthia Krell). The artist approaches the relation of montage editing techniques with the concept of film and memorial and film as memorial — a relation which traces back to the very beginnings of montage as it does to research findings by French historian Pierre Nora. Recurring moments in Schweizer’s multiform art practice revolve around the examination of subtly treated processes of memory regarding historic-political events in public space. In the places, structures and situations she investigates, historical threads intersect. She received international grants and most recently Project grant "Lieux de Mémoire and Desire",Kulturstiftung des Freistaates Sachsen (KdFS), 2015. The Exhibition sponsor from the Institut für Auslandsbeziehungen (ifa), TCG Nordica, Kunming, China, 2013. The Robert Bosh Foundation, in Slovakia 2011, also in the Villa Aurora, Artist Grant from the Goethe-Institute in Los Angeles 2008-2009. Together with Clemens von Wedemeyer, she won the Prize of the German Competition at the Oberhausen Film Festival Oberhausen 2006. She recently had solo shows, such as; Der sterbende Soldat von Les Milles, Kunsthalle Baden-Baden, Germany 2015. Edith Seeshow’s Notes at the Kunstverein Langenhagen, 2013. Metropolis. Report from China with Clemens von Wedemeyer at the Frankfurter Kunstverein, 2011. The Same Story Elsewhere at the Westfälisher Kunstverein, Münster, Germany, 2010. Schweizer was also involved in many international exhibitions, such as; Inside the City. Public Space and Free Space at the GAK, Bremen, Germany, 2015. Vot ken you mach ?, Muzeum Wspólczesne Wroclaw, Poland, 2015. Collection Alphabet at the Museum of Contemporary Art (GfZK), Leipzig, 2014. The city that doesn´t exist at Ludwig Forum, Aachen, 2012. Ambigous Being, Hong Gah Museum,Taipei 2012. Take me to your leader!, Kunstmuseum Bergen, Norway, 2011. Here and There, at the Wallace Gallery, New York and at the Oonagh Young Gallery, in Dublin, 2011. 15 Jahre Villa Aurora. Transatlantische Impulse, AdK - Akademie der Künste, Berlin, 2011. Of Other Spaces at the Bureau for Open Culture, Columbus, Ohio, USA 2011.
Catalogue : 2015I, an archeologist | Documentaire expérimental | hdv | couleur | 20:0 | France | 2014
Maya Schweizer
I, an archeologist
Documentaire expérimental | hdv | couleur | 20:0 | France | 2014
A young archaeologist working as a tourist guide is in a dark space with her light operator and an imaginary group. She would like to rehearse her tour in the Jewish catacombs of Rome. The scene becomes a monologue of the young woman, in which she mingles fragments of the history of the Jewish catacombs with thoughts on her appearance and instructions to the lighting engineer. The narration hovers between a stage play and the real historical site.
MAYA SCHWEIZER Born in 1976 in Maisons-Alfort/ France the artist lives and works in Berlin. She has studied Fine Arts and Arts History at the University in Aix-en-Provence, at the Hochschule für Grafik undBuchkunst in Leipzig and at the University of Arts Berlin with Lother Baumgarten. Her works are based on documentary materials which she weaves into (hi)stories by means of excerpts, images, sound samples and texts. She has been part of residency programs as KAIR- Kosice by the Robert-Bosch-Foundation, the Künstlerinnenprogramm Senat Berlin, the residency program of the Goethe-Institute in Villa Aurora Los Angeles. Her works have been internationally shown in solo exhibitions as very recently, DIE MINIATUREN AUS RAVENSBRÜCK UND DER STERBENDE SOLDAT VON LES MILLES, (2014) together with Antje Majewski at after the butcher, Berlin. EDITH SEESHOW´S NOTES, (2013) at the Kunstverein Langenhagen, Germany, IT’S NOT ABOUT NOTHING (2012) at the gallery Katharina Bittel in Hamburg, METROPOLIS, REPORT FROM CHINA (2011) at Frankfurter Kunstverein and THE SAME STORY ELSEWHERE (2010) at Westfälischer Kunstverein in Münster. Also she contributed to group shows as GESTERN DIE STADT VON MORGEN (2014), Kunstmuseum Mülheim an der Ruhr, LAST YEAR AT MARIENBAD, REDUX, (2014) at the Elisabeth Foundation for the Arts, New York, VOT KEN YOU MACH ! (2013) at Kunsthaus Dresden, DIE STADT, DIE ES NICHT GIBT, at the Ludwig Forum Aachen AI WEI WEI IS IN CHINA at Fichtebunker, Berlin, TRANSATLANTISCHE IMPULSE at Akademie der Künste, Berlin, NEL PALAZZO DI CRISTALLO in CA`ASI/ Venezia, HERE AND THERE Wallace Gallery New York, and URBAN STORIES at The X Baltic Triennial of International Art, CAC, Vilnius in Lituania.
Catalogue : 2009from the classroom | Art vidéo | dv | couleur | 6:0 | France, Allemagne | 2008
Maya Schweizer
from the classroom
Art vidéo | dv | couleur | 6:0 | France, Allemagne | 2008
« From the Classroom » est une projection sur un écran divisé en deux, formée d?images trouvées sur YouTube. L'image de gauche montre des jeunes filles de la salle de classe en train de danser, apparemment filmées par leurs amis pendant la pause. Sur l?image de droite, on voit un tableau noir sur lequel est écrit un texte, rédigé dans un style de journal intime. Le texte décrit le trajet qu?une femme prend tous les jours pour se rendre au travail.
http://www.mayaschweizer.com/site/DOWNLOADS/Mschweizerbio.pdf Born 10 january 1976 in Maisons-Alfort, France Lives in Berlin ----- February 2007 Universität der Künste, Berlin, Germany Master Degree January 2005 Universität der Künste, Berlin, Germany Diploma April 2003 Universität der Künste, Berlin, Germany Fine art School, Berlin In the class of Lothar Baumgarten and Katharina Sieverding. 2000-2002 Hochschule für Grafik und Buchkunst, Leipzig, Germany School of visual arts, Leipzig June 1998 Licence, Degree of Visual arts 1998-1995 Université d ́Aix-en-Provence Visual arts. June 1995 Bachelor ́s degree, option Visual arts, Aix-en-Provence, France Residency Programm, Prizes : 2008 Villa Aurora, Artits Grant from the Goethe-Institut Los Angeles 2008-2010 Karl-Hofer Stipendium, Grant from the Karl-Hofer Gesellschaft, Berlin 2006 First Prize of the German Programm Kurzfilmtage Oberhausen 2006 Grant from the DAP, (Department of the visual arts), Paris, France 2005-2006 Residency and Film Project with Clemens von Wedemeyer at the Contemporary Art Center of in Bretigny, France Realisation and Production of the film Rien du tout (nothing at all) with Clemens von Wedemeyer.
Catalogue : 2008Metropolis, report from China | Doc. expérimental | dv | couleur | 42:0 | France, Allemagne | 2006
Maya Schweizer, Clemens von Wedemeyer
Metropolis, report from China
Doc. expérimental | dv | couleur | 42:0 | France, Allemagne | 2006
2004, 80 ans après la visite de Fritz Lang à New York et dans le même temps estimé des projections futuristes de son film « Metropolis »... Nous sommes venus en Chine pour trouver des lieux de tournages, pour parler à des travailleurs et des architectes, des scénaristes et des romanciers à Shanghai et Beijing pour rechercher si le film entier pouvait être remis en scène ici. Mais voulons nous que ce film ce répète, pour qu'il devienne réel? Peut être en chine avons nous vu une variante de « Metropolis », qui est déjà devenue réalité...
Maya Schweizer, née à Maisons-Alfort, en 1976. Débute ses études d´arts Plastiques à Aix-en-Provence à l´université, en 1998 obtient sa Licence. S´inscrit à l´école des beaux-arts de Leipzig, (HGB) puis entre en équivalence à l´école des beaux-arts de Berlin, (UdK) dans la classe de Lothar Baumgarten où elle est diplomée en janvier 2005. Residences, Bourses & Prix : 2006,Mai, Allemagne, Oberhausen Premier Prix du festival de film d´Oberhausen. en avril,Bourse du DAP (Délégation aux arts plastiques). 2005-2006, en Nov-mars, au Centre d´Art Contemporain de Brétigny (CAC de Bretigny /Orge, Bretigny). Réalisation et production avec Clemens von Wedemeyer du Film Rien du tout. Co-production; Galerie Jocelyn Wolff, CAC Bretigny, (Pierre Bal-Blanc), Château Rouge production(Gaelle Jones), Collection Giovanni Springmeier. Postproduction: bourse du NRW de Cologne
Catalogue : 2008Passing down, Frame 1 | Doc. expérimental | dv | couleur | 10:38 | France, Allemagne | 2007
Maya Schweizer
Passing down, Frame 1
Doc. expérimental | dv | couleur | 10:38 | France, Allemagne | 2007
De retour à Berlin, j´essaie de reconstruire,à partir d´enregistrements que j´ai fait d´elle, une partie de l´histoire de ma grand-mère lorsqu´elle vivait à Lyon, pendant la seconde guerre mondiale.
Née à paris, Licence d´arts plastiques à L´université d´aix-en-provence. Études à l´école des beaux.arts de Leipzig (HGB), en photographie et vidéo puis Diplôme et post-diplôme à l´école des beaux-arts de Berlin(UdK). Vit à Berlin
Maya Schweizer
Catalogue : 2022Voices and Shells | Fiction expérimentale | 4k | couleur et n&b | 18:10 | Allemagne, France | 2020
Maya Schweizer
Voices and Shells
Fiction expérimentale | 4k | couleur et n&b | 18:10 | Allemagne, France | 2020
Tout commence dans l‘obscurité, on entend de l‘eau couler dans un tunnel ... Des voix résonnent dans ces égouts, on se croirait dans le gouffre de Munich sous l‘Isar. Ces voix racontent des fragments d‘histoires : sur des personnes disparues, la violence, la perte de mémoire ... Puis la caméra refait surface et scrute les façades de la ville, y compris celles du « Troisième Reich » . La ville est comme un corps qui serpente à travers le temps, le passé et le présent. En guise de leitmotiv, une spirale traverse les souvenirs: un escargot, un vortex, un escalier en colimaçon, les voix du passé qui se répètent à l’infini... Le film est un collage qui superpose les traces de l‘histoire et les formes de la nature, en réunissant sur un même plan des images et des sons de sources différentes.
Born in Paris, she studied art and art history in Aix-en-Provence (1995-1998), moved to Berlin in 1998 and worked for a year as an assistant for artistic projects in Küntlerhaus Bethanien. From 1999 to 2002, begins art studies at the Academy of Visual Arts in Leipzig and continues in early 2003 in the class of Lothar Baumgarten at the Berlin University of the Arts, where she received her postgraduate studies degree (Meisterschülerin Abschluss) in 2007. Schweizer works with different media, with a particular focus on experimental video works. She has had numerous solo exhibitions (including Westfälischer Kunstverein Münster 2010, Frankfurter Kunstverein 2011, Kunsthalle Baden-Baden 2014, Irish Museum of Modern Art, Dublin 2016, Kunstverein Leipzig 2018, Museum Villa Stuck, Munich, 2020/21, Double Feature, Schirn Kunsthalle Frankfurt 2021) and has shown her work in group exhibitions and at biennials (including Berlin Biennale, 2006, Centre Georges Pompidou, 2007, The Elizabeth Foundation for the Arts, New York, 2013, Kunsthaus Dresden, 2016, Anren Biennale 2017, China, Manifesta 13, 2020, Neuen Berliner Kunstverein e.V., Berlin 2020, Heidelberger Kunstverein, 2022, Forum expanded exhibition, Silent Green, Berlin 2022). Her videos have already been selected for numerous festivals and events, including Forum expanded during the 67th (2017) and the 72.nd (2022) Berlin International Film Festival, the Vancouver International Film Festival (2017, 2020), Gli Incontri Internazionali del Cinema, Sorrento, Italy (2019), at the 36. Kasseler Dokfest, (2019) and at the International Short Film Festival Oberhausen (2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2022), where L’étoile de mer was awarded the e-flux prize in 2019. Examples of grants, and artist residencies she has received include a grant from the Villa Aurora, Los Angeles (2008), Studio grant, Karl Hofer Gesellschaft, Berlin (2008–2010), Toni and Albrecht Kumm Prize for the Promotion of Fine Arts, (2009), Artist in Residence, Lieu d’arts contemporains 3bisf, Aix-en-Provence, France (2010), Košice Artist in Residence (K.A.I.R.), Košice, Slovakia (2011), Artist in Residence, Museum POLIN, Warsaw, Poland (2016),work grant from the Berlin Senate (2019), the Funding programme for women artists in film/video, (2021), the Research Grant from the Berlin Senate as well (2017, 2021). So far, four monographs on her work have been published: Voices, Stimmen (Walther and Franz König, Köln 2121), Where Ivy Cracks The Wall (Naima, Paris / Berlin 2019), Lieux de Mémoire and Desire (Archive Books, Berlin 2015), Maya Schweizer?The Same Story Elsewhere (Spector Books, Leipzig 2010)
Michaela Schwentner
Catalogue : 2015PENELOPE / IN THE SCENERY / REFLECTING / RELATIONS | Vidéo | hdv | couleur et n&b | 14:40 | Autriche | 2013
Michaela Schwentner
PENELOPE / IN THE SCENERY / REFLECTING / RELATIONS
Vidéo | hdv | couleur et n&b | 14:40 | Autriche | 2013
PENELOPE / IN THE SCENERY / REFLECTING / RELATIONS is an essayistic short film about love and storytelling, focussing on possible structures and forms of storytelling. The film is an experimental arrangement, a study of unconventional forms. Fragments of personal history, stories are woven together and reconstructed. An image within an image is shifted and repositioned. The cinematic narration of an experienced love is the starting point of PENELOPE / IN THE SCENERY / REFLECTING / RELATIONS. But this narration is arranged in manifold ways and on several layers: the staging is arranged as a mise en abyme. The figure speak to a a friend of hers and sometimes also towards the audience; she talks about a desired subject which is absent throughout the whole film — it`s merely a blank. In his analysis of Marcel Prousts "À la Recherche du Temps perdu" Walter Benjamin speaks of "Penelope work". By this, he means not remembrance per se, but the interweave of memories. PENELOPE / IN THE SCENERY / REFLECTING / RELATIONS is about the way how these memories could be interwoven by the means of narration. But unlike the ancient Penelope it`s not a carpet that is woven together with yarn, she’s weaving individual threads of narration together to one whole image of souvenirs, of memories.
*1970 in Linz, living and working in Vienna. Conceptual video artist mainly working with time-based media (film, video, sound). Studies of philosophy, history, history of the arts, dramatics and film theory in Vienna. Lecturer at Institute of Art and Design, Technical University of Vienna and at Film Academy Vienna. Cooperations with musicians on audiovisual projects and live performances in Austria and abroad. International screenings and exhibitions.
Hanna Schygulla, Jacques SECHAUD
Catalogue : 2006Protocoles de rèves | Documentaire | 0 | couleur | 47:0 | Allemagne, France | 2005
Hanna Schygulla, Jacques SECHAUD
Protocoles de rèves
Documentaire | 0 | couleur | 47:0 | Allemagne, France | 2005
Dans le documentaire "Protocoles de rêves", Hanna Schygulla, figure emblématique du cinéma allemand et de l`?uvre de Rainer Maria Fassbinder, s`autofilme depuis 1977, expérimente, déconstruit et reconstruit sa propre image.
« Jeune comédienne, Hanna SCHYGULLA a provoqué l`impérieuse passion et les larmes amères de Petra von Kant dans le film de Fassbinder. Ensuite, elle a été sa Lili Marlène, sa Maria Braun, sa "femme allemande"... Héroïne d`une vingtaine de films phares de Fassbinder, emblème du renouveau du cinéma allemand, Hanna SCHYGULLA a tourné avec Schlöndorf, Wenders, von Trotta, puis Ferreri, Saura, Godard, Wajda, Scola, Deville... Elle vit aujourd`hui à Paris.»
Frances Scott
Catalogue : 2021Valentina | Film expérimental | 16mm | noir et blanc | 3:55 | Royaume-Uni | 2020
Frances Scott
Valentina
Film expérimental | 16mm | noir et blanc | 3:55 | Royaume-Uni | 2020
"Valentina" est un prélude à "Wendy", à la fois portrait spéculatif de la compositrice et musicienne Wendy Carlos et message de fan adressée à celle qui se décrit elle-même comme "The Original Synth". Dans "Valentina", une bobine de 30 mètres de film 16mm, traitée à la main, tournée-montée lors de répétitions, sert de partition silencieuse à une lecture. La performeuse et danseuse Valentina Formenti se rappelle une partie de la retranscription d’une interview de Wendy Carlos, plus tard remontée pour être publiée dans le magazine "Playboy" en 1979. Alors que l'interview du magazine était considérée comme la première annonce publique de la transition de genre de Wendy Carlos, les passages absents, exclus du montage final, incluent ses intérêts connexes pour la cartographie, la physique, les transformations mathématiques, l'astronomie et sa pratique de la photographie des éclipses solaires. Les multiples voix de Valentina sont traduites par le Vocoder et collées avec la performance du musicien Tom Richards sur le "Mini-Oramics", projet inachevé de Daphne Oram, afin de suggérer une naissance par synthèse sonore. "... imaginer un monde sans genre, qui est peut-être un monde sans genèse, mais peut-être aussi un monde sans fin." (Donna Haraway, ’A Manifesto for Cyborgs’, Socialist Review, no.80, 1985)
Frances Scott (née en 1981) habite à Londres. Elle est artiste et travaille avec les images en mouvement. Son travail s’intéresse aux récits et aux histoires à la limite de la production filmique et de ses dispositifs, pour produire des films composés de leurs fragments métonymiques. Ses projets sont souvent réalisés dans le cadre d'échanges avec d'autres spécialistes, groupes et publics, et développés par le biais de recherches dans des archives et collections aussi bien physiques qu’en ligne. Elle associe et allie divers matériaux, des supports filmiques analogiques et numériques, pour créer des scénarios complexes, à la fois scénarisés et improvisés. Son travail de réalisation, qui s'inspire de ce processus de collaboration et de recherche, prend de multiples formes: expositions, installations, projections, événements, diffusions radiophoniques et publications. Des présentations récentes ont eu lieu notamment à la transmediale x CTM, Berlin (Allemagne); au 57e NYFF – New York Film Festival (USA); au Edge of Frame & Close Up Film Centre, Londres (Royaume-Uni); au Het Bos, Anvers (Belgique); à The Bower, Londres (Royaume-Uni); à Tate St Ives, Saint Ives (Royaume-Uni); au Annely Juda Fine Art & The Russian Club, Londres (Royaume-Uni); à la Whitechapel Gallery, Londres (Royaume-Uni); au Yorkshire Sculpture Park & Art Licks, Wakefield (Royaume-Uni); à la South West Film & Television Archive, Plymouth (Royaume-Uni); et à la Focal Point Gallery, Southend-on-Sea (Royaume-Uni). Frances Scott a reçu le prix Stuart Croft Foundation Moving Image Award (2017), et travaille actuellement sur un nouveau film commissionné par TACO!, Londres (Royaume-Uni), en vue d’une exposition solo et d’une publication prévue en 2022.
Catalogue : 2020PHX [X is for Xylonite] | Film expérimental | 16mm | couleur et n&b | 12:44 | Royaume-Uni | 2019
Frances Scott
PHX [X is for Xylonite]
Film expérimental | 16mm | couleur et n&b | 12:44 | Royaume-Uni | 2019
In ‘PHX [X is for Xylonite]’, the first semi-synthetic plastics are considered through their relationship to the chemical and industrial development of photography and film, where cellulose nitrate was used as the base for film-stock until the mid-20th century and in props’ production. Against a collage of digital animation and hand-processed 16mm film, the soundtrack proposes a warped love song between the organic and synthetic, where human voices and recordings in shellac - lacquer obtained from the secretion of the Coccus Lacca insect - are transformed through a Vocoder. Scientist and laboratory technician, Dr. Miriam Wright, reads extracts from Roland Barthes? essay ?Plastics? (1957), colour experiments from a British Xylonite Company laboratory formula book (1888) and symptoms of plastics degradation; ?crazing?, ?yellowing? and ‘bloom’. Although Barthes suggests that plastic “embodies none of the genuine produce of the mineral world: foam, fibres, strata”, in ‘PHX’ plastics are proposed as strata; so that the layers that make up the film - its emulsion and plastic substrate - are made evident; like its material seams that will, in future sedimentary rock layers, signal our Anthropocene era and its flawed capitalist productions.
Frances Scott works with moving image, presented through screenings, installations, events and publications. Her work often considers material that exists around the periphery of the cinematic production and its apparatus, proposing films composed of their metonymic fragments. Recent exhibitions and screenings include: 'Projections', 57th New York Film Festival; New York (2019); Institute of Making, University College London (2019); Edge of Frame / London International Animation Festival, Close-Up Film Centre (2019); Nunnery Gallery, London (2019); Het Bos, Antwerp, Belgium (2018); The Bower, London (2018); Tate St Ives (2018); Annely Juda Fine Art / The Russian Club, London (2018); Yorkshire Sculpture Park / Art Licks (2017); Whitechapel Gallery (2015 /2017); Peninsula Arts / South West Film & Television Archive, Plymouth (2017); Focal Point Gallery, Southend (2016); and ‘Selected III’ videoclub FLAMIN screenings in the UK (2013) and USA (2014) including Anthology Film Archives, New York, Seattle International Film Festival, and LA Film Forum. Frances was recipient of the Stuart Croft Foundation Moving Image Award (2017) and associate artist at the Moving Image Research Centre (MIRC), University of East London (2018-2019). She is currently working on research towards her first long-form film, ‘Wendy’, a new film commissioned by TACO! (Thamesmead Arts and Culture Office), London.
Frances Scott
Catalogue : 2022Aureole | Film expérimental | 16mm | couleur | 7:32 | Royaume-Uni | 2021
Frances Scott
Aureole
Film expérimental | 16mm | couleur | 7:32 | Royaume-Uni | 2021
In meteorology, the aureole is an atmospheric, optical phenomenon; the visible inner disc of a corona, produced by the diffraction of light from the sun or the moon, bright starlight or planet-light. Aureole brings together unused celestial images from Scott’s earlier film, Diviner (2017), with vocoder-readings from Ursula K. Le Guin’s novel The Left Hand of Darkness (1969), scored by Chu-Li Shewring’s remix of the House track Brighter Days (1992) by Cajmere featuring Dajae. Aureole is a transition between a ‘lost’ chapter from Diviner and Wendy (2022, forthcoming), a film fan-letter to composer Wendy Carlos, whose many interests include solar eclipse photography. Accelerating to a euphoric end, the film is the duration of the longest total solar eclipse, when the moon completely covers the sun.
Frances Scott (b. 1981) is a London-based artist working with moving image. Her work considers the narratives and histories at the periphery of cinematic production and its apparatus, to produce films composed of their metonymic fragments. Her projects are often made in exchange with other specialists, groups and publics, and developed through research using online and physical archives and collections. She associates and composites diverse materials, analogue and digital film media, to create intricate scenarios that are both scripted and improvised. Her film work, informed by this collaborative and research-led process, takes multiple forms, through exhibitions to installations, screenings, events, broadcasts and publications, including recent presentations at: transmediale x CTM, Berlin; 57th New York Film Festival, Lincoln Center, New York; Edge of Frame & Close Up Film Centre, London; Het Bos, Antwerp; The Bower, London; Tate St Ives, Cornwall; Annely Juda Fine Art & The Russian Club, London; Whitechapel Gallery, London; Yorkshire Sculpture Park & Art Licks; South West Film & Television Archive, Plymouth; and Focal Point Gallery, Southend. Frances Scott was recipient of the Stuart Croft Foundation Moving Image Award (2017), and is currently working on a new film commissioned by TACO!, London for a solo exhibition and publication in 2022.
Erica Scourti
Catalogue : 2008The Speech of Reason | Art vidéo | dv | couleur | 3:12 | Royaume-Uni | 2006
Erica Scourti
The Speech of Reason
Art vidéo | dv | couleur | 3:12 | Royaume-Uni | 2006
Des fragments des plus grands discours de cinéma (sélectionnés par le site American Rhetoric) sont montés de façon à créer un morceau d'éloquence qui fait passer des messages mêlés sur la "condition humaine" et sur les dirigeants (réels et fictifs) qui essaient de la façonner. La bande-son originale du film est remplacée par une voix générée par ordinateur, ôtant ainsi aux discours leur pouvoir émotionnel en applanissant les différentes perspectives des orateurs pour qu'il ne reste qu'une seule voix. Le travail d'Erica porte souvent sur les clichés du langage dans la culture populaire et tente de leur redonner vie en les remixant et en les plaçant dans un nouveau contexte. Cette oeuvre poursuit ce projet en étudiant le langage utilisé dans les prises de paroles publiques, et le culte de la personnalité que cela implique souvent.
Erica Scourti est née à Athènes, en Grèce, en 1980. Elle vit à Londres depuis 1998, où elle a fait des études de chimie. Elle a également étudié les beaux-arts à la Middlesex University, où elle a obtenu son BA. Son oeuvre a été montrée au niveau international, par exemple à Videonale 11, Purescreen Artists Film & Video à Bureau gallery et aux Recontres Internationales 2006 à Berlin et Paris. Récemment, elle a effectué une résidence au premier festival d'art contemporain d'Anso, dans les Pyrénées. Elle montrera son oeuvre au musée Reine Sofia à Madrid et au Wewerka Pavilion pendant le Munster Sculpture Project 2007.
Catalogue : 2007Trailer Truths III | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 2:25 | Royaume-Uni | 2004
Erica Scourti
Trailer Truths III
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 2:25 | Royaume-Uni | 2004
"Trailer Truths III" est le troisème épisode d'une trilogie de court-métrages faits de textes découpés de bandes annonces de films. Des mots et des phrases sont collées pour créer un nouveau texte qui coordonne l'avancée d'une critique de société à une action directe fatidique, dans un film qui parodie la notion du style Hollywoodien et appelle aux armes. En utilisant souvent le langage réductif et émotif propre au divertissement, incarné par des bandes annonces, pour aborder des problèmes sensibles et complexes, ce film reflète la partialité des superproductions et des divisions manichéennes.
Erica Scourti est née à Athènes en 1980 mais vit à Londres depuis 1998 où elle vint pour étudier la Chimie. Après avoir obtenu sa Licence d'Art aux Beaux-Arts à l'Université de Middlesex, son travail a été projeté internationalement et surtout en Grande-Bretagne, et a été choisi comme démonstration itinérante pour la galerie online tank.tv. D'autres projections récentes comprennent le "Oberhausen Short Film Festival Lounge", "EMAF ?Smart Art? discussion and Pursescreen at Bureau gallery", Manchester. Elle entreprend actuellement un diplôme en Art & Philosophie à l'Université de Birkbeck à Londres.
Erica Scourti
Catalogue : 2006Trailer Truths | Art vidéo | dv | couleur | 1:55 | Grèce, Royaume-Uni | 2004
Erica Scourti
Trailer Truths
Art vidéo | dv | couleur | 1:55 | Grèce, Royaume-Uni | 2004
Trailer Truths I is the first installment of a trilogy of short films made up of text taken from movie trailers. Words and phrases are collaged together to create a darkly humorous text about war, evil and propaganda. The work playfully addresses the representation of power and language in the media, and the role of belief in the popular consciousness.
Erica Scourti grew up in Athens, leaving at 18 to study Chemistry in London. After a year on the course she quit and, after a stint at London College Fashion and Goldsmiths, graduated from Middlesex University?s BA Fine Art course in 2003. She now lives and works in East London and Essex. Her work will be appearing in the 15th Mostyn Open Competition in March 2005. Recent film screenings include: The One Night of Video & Audio, Umbrella Arts Group, Cardiff, Wales; Max 5 Video Festival, Café Gallery Projects, London; 3rd RestCycling Festival, Berlin; tank.tv on-line (www.tank.tv); Shot By The Sea, Electric Palace Cinema, Hastings; Winter Fantasia, Space Studios, London; and Trampoline ? Reactor, a live link-up to Berlin, held at Broadway Cinema, Nottingham in 2005. Courtesy Castlefield Gallery
Alexandria Searls
Catalogue : 2006Black spot | Film expérimental | super8 | couleur | 1:40 | USA | 2004
Alexandria Searls
Black spot
Film expérimental | super8 | couleur | 1:40 | USA | 2004
Dans un cimetière d'avions, des avions de guerre sont laissés à l'abandon ou mis à la casse.
Alexandria Searls enseigne la production des médias à l'Université de Virginie. Elle est également une photographe exposée dans le monde entier.
Alan Segal
Catalogue : 2023Via Negativa | Fiction expérimentale | dcp | couleur | 63:0 | Argentine | 2022
Alan Segal
Via Negativa
Fiction expérimentale | dcp | couleur | 63:0 | Argentine | 2022
F begins to follow two young anarchists who sporty usurp abandoned commercial storefronts and apartments. These three strangers will become closer after subtle acts of trespassing and sporadic forays into civil disobedience. The longing for exile and the fantasy that a promising future is somewhere else contaminates F. The city is immersed in an eternal holding pattern, becoming into a singular artifact, as melancholy as uncanny.
Alan Martín Segal was born in Buenos Aires, Argentina. He is an artist and filmmaker whose work has been presented in various international institutions, galleries, and biennials including the Hessel Museum of Art, Annandale-on-Hudson, New York; Buenos Aires Museum of Modern Art; BIENALSUR, Buenos Aires; The Kitchen, New York; and SculptureCenter, New York and Dia, New York. His films have been featured in film festivals such as the New York Film Festival; Vienna International Film Festival; FIDMarseille; Rencontres Internationales, Paris/Berlin; Jeonju International Film Festival, Korea; and Festival Internacional de Cine de Mar del Plata, Argentina. Segal lives in New York.
Catalogue : 2020Key, Washer, Coin | Doc. expérimental | 4k | couleur | 15:0 | Argentine | 2018
Alan Segal
Key, Washer, Coin
Doc. expérimental | 4k | couleur | 15:0 | Argentine | 2018
“Key, washer, coin” is a video piece that combines techniques from the reenactment, animation, music, and other fields to ruminates towards language and capitalist exchange. The formal and semantic languages of advertisements are dissected, breaking the marketing model down to its component parts, highlighting the complex capitalist infrastructure that fuels our economic reality. Advertisement shorts, graphic design pieces, marketing texts are rarely mistaken for art. That is due to a congenital wound: those forms cannot cover up their commercial nature, the evident and immediate presence of the money. The invisible hand of these disciplines is the labor of scientists, formal semantic researchers, cryptographers and engineers. By learning from these disciplines is it possible to create an original flowchart of resources; simultaneously critical, persuasive and disillusioning outcomes/pieces are expected.
Alan Segal is a Buenos Aires-based artist whose work has been shown nationally and internationally. Segal’s video work has been presented at film festivals such as the New York Film Festival, Viennale, Rencontres Internationales Paris/Berlin and, Mar del Plata International Film Festival. Among his recent group exhibitions are include Praising the surface at the Hesell Museum of Art (New York, USA), To push an ism at MAMBA (Buenos Aires Museum of Modern Art, Argentina), The Kitchen (New York, USA), A word is a shadow that falls on a lot of things at Ausstellungsraum Klingental (Basel, Switzerland), Desarticulaciones at Blau Projects (São Paulo, Brazil) and Variaciones sobre lo no mismo at MACBA (Buenos Aires Museum of Contemporary Art, Argentina). He also shows his work in international biennials; Visual Resonances at the BIENALSUR (the South America contemporary Art Biennial) and Draft Systems at The WRO Biennale (Wroclaw, Poland). As a film editor, Segal teamed up Gastón Solnicki for the films Kékszakállú (Argentina/Uruguay, 2016) and Introduzione all ‘Oscuro (Argentina/Austria, 2018). For his work in this film, he won the FIPRESCI award for the Best Editing at the Venice Film Festival. Segal studied at ENERC (Argentine National Film School), Skowhegan School of Painting and Sculpture (USA) and, UTDT Program for Artists (Argentina). He received his MFA from Bard College (USA).
Catalogue : 2018Una investigación interrumpida de R (An Interrupted Investigation of R) | Fiction expérimentale | 4k | couleur | 13:50 | Argentine | 2017
Alan Segal
Una investigación interrumpida de R (An Interrupted Investigation of R)
Fiction expérimentale | 4k | couleur | 13:50 | Argentine | 2017
"An interrupted investigation of R" is an epistemological sci-fi detective short film. This project is an adaptation of Stanislav Lem`s “ The Investigation ”. The work pretends to contribute to the regime of Extra Science Fiction, as was developed by Quentin Meillassoux. A synopsis of the book that I found at Goodreads: "An officer at Scotland Yard is assigned to investigate an eerie case of missing-and apparently resurrected-bodies. To unravel the mystery, Lt. Gregory consults scientific, philosophical, and theological experts, who supply him with a host of theories and clues". I used that minimal narrative as an excuse to address some of this questions and ideas. What would happen if experimental science became impossible and cannot deploy its theories? What exactly guarantees for us, but also what convinces us that natural laws will still be valid in the next moment? How is the bound in between science and fiction? It seems like the science allows the construction of a storyline because stories happen in ordered worlds. The way the merger of the virtual and the digital elicits a context of indetermination. How will the construction of different models of representation affect our perception of a specific phenomenon?
Alan Segal (AR), born in 1985, he studied at Skowhegan School of Painting and Sculpture, Program for Artist and Curators, Universidad Di Tella, and is currently completing his master in Fine Arts at The Milton Avery Graduate School of the Arts at Bard College. He uses drawings, video, coding and sound to design works that reveal alternative systems of communicative convention. “Tutorial ” was his last solo show at Zmud. Recent group exhibitions include "A word is a shadow that falls on a lot of things" at Ausstellungsraum Klingental (Basel, Switzerland), “Praising the surface ”at the Hesell Museum of Art (New York, USA) and “ To push an ism ” at MAMBA (Buenos Aires Museum of Modern Art). He also shows his work in international biennials; "Visual Resonances" at the BIENALSUR (the South America contemporary Art Biennial) and "Draft Systems" at The WRO Biennale (Wroclaw, Poland).