Catalogue > List by artist
Browse the entire list of Rencontre Internationales artists since 2004. Use the alphabetical filter to refine your search. update in progress
Rafiqul Shuvo
Catalogue : 2016Faster satiation, but only for Nevertheless behavior | Film expérimental | hdv | noir et blanc | 6:38 | Bangladesh | 2014
Rafiqul Shuvo
Faster satiation, but only for Nevertheless behavior
Film expérimental | hdv | noir et blanc | 6:38 | Bangladesh | 2014
A land of disaster and death, a land of Mourn, the political domination, social, cultural confliction are extreme , when the tragic events happen one after another and sufferings of people knows no bound , all these issues are never questioned. What are the connection do the people hold with nation?
Rafiqul Shuvo was born in 1982 in Dhaka, Bangladesh. He was from a national cricket academy and initially started his career as a cricketer but later on he moved in the field of visual arts and studied sculpture (B.F.A and M.F.A) in Dhaka University Faculty of Fine Arts .Back in 2012 he curated a major show named “Only God Can Judge Me” an art event in a abandoned factory which ran parallel to the Dhaka Art Summit. In the following year 2013 he curated another collective multimedia and avant-garde show called Mourn. He is the founder of ‘OGCJMart’ a non-organizational collective. He has, over the last ten years, participated in numerous exhibitions at home and abroad. He is a conceptual artist works in various media his practice mainly focusing on paintings, sculptures, videos and photography. Recently he is making several videos and finished working on of his first film.
Catalogue : 2015Artifacts, relating to upcoming events | Vidéo | hdv | noir et blanc | 13:1 | Bangladesh | 2014
Rafiqul Shuvo
Artifacts, relating to upcoming events
Vidéo | hdv | noir et blanc | 13:1 | Bangladesh | 2014
‘Timelessness’ is the key of this video. The quality is not referring to ignore time rather; it’s capacity to ignore the influence of Time-a vital ruler of our life. Every era carries thousands of master pieces. With the passage of time, number of pieces of a particular era reduces for less occupancy to the people of the following era. It’s because the time changes reality. What can travel more must less influenced by time. From the first human to now, what is still constant? –Human body and Nature. The video is about relationship of body with nature. Figure used in the video represents only body; actions are natural. The actions of figures are in playing mode, the purpose is absent but the pleasure is inevitable. The purposeless is meaningless- The truth that we are here and will not be. The audio exactly carries the screaming of the truth of that we are passing. The video with creates insecurity as it demolishes meaning of security. A very melancholic feeling of death but hints how to face? And finally how it brings color to life? The ending commentary- ‘Body is for usage…..’-depicts how the video is “Optimistic about nothing”.
Rafiqul Shuvo was born in 1982 in Dhaka, Bangladesh. He was from a national cricket academy and initially started his career as a cricketer but later on he moved in the field of visual arts and studied sculpture (B.F.A and M.F.A) in Dhaka University Faculty of Fine Arts. Back in 2012 he curated a major show named “Only God Can Judge Me” an art event in a abandoned factory which ran parallel to the Dhaka Art Summit. In the following year 2013 he curated another collective multimedia and avant-garde show called Mourn. He is the founder of ‘OGCJMart’ a non-organizational collective along with his 12 artist friends. He works with his OGCJMart friends and he helps to develop and promote their works. He has, over the last ten years, participated in numerous exhibitions at home and abroad. He is a conceptual artist works in various media his practice mainly focusing on paintings, sculptures, videos and photography. Recently he is making several videos and finished working on his first film.
Ludivine Sibelle
Catalogue : 2016Hérésies | Doc. expérimental | 16mm | couleur | 30:0 | France | 2015
Ludivine Sibelle
Hérésies
Doc. expérimental | 16mm | couleur | 30:0 | France | 2015
Sur quels fondements les sociétés se construisent-elles? Pourquoi créons-nous des règles et pourquoi les suivons-nous? Quels risques lorsque les systèmes s’effondrent? Ce sont les questions que posent les deux protagonistes du film Hérésies; un juge ecclésiastique luttant contre le protestantisme en 1689 et un scientifique du 20ème siècle reconnu pour sa contribution aux recherches sur le chaos. Le prêtre et le scientifique progressent dans le récit comme nous circulons dans un rêve. Ils nous ouvrent leurs mondes, nous proposent leurs visions faites de mouvements célestes et de mécaniques naturelles, de paysages hostiles et fascinants, d’animaux mystérieux et inquiétants. Un récit à la fois historique, scientifique, et métaphorique se tisse dans un réseau d’images et de voix pour créer ce qui pourrait s’appeler une fable documentaire .
Née le 28 juin 1983 à Reims, Ludivine Sibelle a étudié la photographie et la vidéo entre 2004 et 2009 à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Visuels de La Cambre, à Bruxelles. En 2012, elle entre au Fresnoy, Studio national des arts contemporains, où elle réalise son premier film, un court-métrage entre documentaire et fiction qui s’intitule « Le sacrifice des géants ». Ce film peut se voir comme le premier chapitre d’une vaste réflexion entreprise par l’artiste sur la question des croyances et des fondements mythologiques de nos sociétés contemporaines. Cette recherche se prolonge à travers la réalisation d’un second court-métrage, Hérésies. Le film s`appuie sur deux récits, l`un scientifique, l`autre religieux et historique, créant une dialectique comme prétexte à s`interroger sur la complexité des systèmes, ceux de la nature, des planètes, mais aussi et surtout, ceux des hommes.
Catalogue : 2014Le sacrifice des géants | Doc. expérimental | 16mm | couleur | 11:0 | France | 2013
Ludivine Sibelle
Le sacrifice des géants
Doc. expérimental | 16mm | couleur | 11:0 | France | 2013
Un crépitement léger accompagné d`une voix muette, nous emmènent à travers une série de paysages froids et désolés, au sein desquels se regroupent des silhouettes portant des torches. Ils accomplissent des rituels dont on ne distingue ni le sens ni l`objet. Lorsque la lumière du jour revient, il ne reste que des débris. Le sacrifice des géants est une fable documentaire qui traite de la disparition des mythes dans nos sociétés contemporaines, à travers l`observation de rites populaires.
Après trois années d`études à l`Ecole Nationale Supérieure des Arts Appliqués Duperré, à Paris, Ludivine Sibelle a étudié la photographie et la vidéo à l`Ecole Nationale Supérieure des Arts Visuels de La Cambre, à Bruxelles, entre 2004 et 2009. Sa pratique artistique oscille du dessin à la vidéo, en passant par la photographie, et plus récemment l`installation. En 2012, elle entre au Fresnoy où elle réalise son premier film, un court-métrage entre documentaire et fiction qui s`intitule Le sacrifice des géants.
Raphael Siboni
Catalogue : 2007La forme M | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 8:30 | France | 2005
Raphael Siboni
La forme M
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 8:30 | France | 2005
Il y a une table rouge pliante avec autour, des soldats vêtus de noir. La table rouge est le personnage principal du film. Les soldats en sont les accessoires. Il n?y a pas d?armes, mais des tubes noirs. Pas de corps, mais des housses noires à fermeture éclair. Le film se déploie et se déplie autour de la table, et la forme M., quelque part, est forcément quelque chose.
Raphaël Siboni est né en 1981. Il est diplômé des Beaux Arts de Paris. Il travaille et vit quelque part entre Paris et Roubaix. Entré en résidence au Fresnoy, Studio National d?Arts Contemporains, il travaille actuellement sur plusieurs projets, tel que le Kant Tuning Club.
Berta Sichel
Catalogue : 2007Reina Sophia Museum | 0 | 0 | | 0:0 | Espagne | 2007
Berta Sichel
Reina Sophia Museum
0 | 0 | | 0:0 | Espagne | 2007
Le 10 septembre 1992, leurs Majestés le Roi Juan Carlos et la Reine Sofia ont inauguré la collection permanente du Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia (MNCARS). Ce qui n?avait été jusqu'alors qu?un endroit où se tenaient des expositions temporaires est devenu un véritable musée où les collections devaient être d?entretenues, développées et d?exposées. Le bâtiment dans lequel se trouve le MNCARS a été construit des années auparavant. En 1556, lors du règne de Felipe II, on a décida de rassembler tous les différents centres et hospices, éparpillés dans la ville de Madrid, en un même endroit, et trente ans plus tard, pendant le règne de Felipe III, le premier refuge fut ouvert Place Sainte Isabelle. D?autres installations furent ensuite ajoutées à ce refuge, comme l?Hôpital de Santa Catalina et l?Hôpital de la Pasión et on appela le complexe qui en résulta Hôpital General. Durant la deuxième moitié du 18ème siècle, après quelques difficultés, Carlos III chargea l?architecte Fransisco Sabatini de reprendre un projet d?hôpital qui initié par Hermosilla et conçu sous le règne de Fernando VI. Cependant, Sabatini ne parvint pas à terminer le projet et ne réussit à construire qu?une partie de ce qui avait été prévu dans les plans d?origine. Depuis cette époque, l?hôpital a subi différents ajouts et modifications et a été épargné de démolition grâce à un Décret Royal de 1977 qui l?a classé parmis les monuments historiques et artistiques nationaux. En 1980, Antonio Fernández Alba commenca les travaux de restauration et à la fin de l?année 1988, José Luis Iñiguez de Onzoño et Antonio Vásquez de Castro mirent la touche finale aux modifications, dont trois tours d?ascenseur de verre et d'acier qui avaient été conçues en collaboration avec l?architecte britannique Ian Ritchie particulièrement intéressantes. Deux ans auparavant, en 1986, certaines parties du bâtiment, qui était alors connu sous le nom de Centro de Arte Reina Sofia, furent ouvertes et seulement utilisées à cette époque pour accueillir des activités temporaires sous l??il vigilant de Carmen Giménez, directrice du Centre National des Expositions du Ministère de la Culture. Peu après, en 1988, un Décret Royal transforma le centre en musée national afin de remplacer l?ancien Museo Español de Arte Contemporáneo (MEAC). Le premier directeur de l?institution, qui occupa ce poste de juin 1988 à décembre 1990, fut Tomás Llorens. Le 28 décembre 1990, Maria del Corral prit la relève en tant que directrice. En septembre 1994, un nouveau directeur fut nommé : José Guirao Cabrera dirigea le centre jusqu?en mai 2000, date à laquelle il fut remplacé par Juan Manuel Bonet qui fut lui-même remplacé en juin 2004. Depuis le 7 juin 2004, c?est Ana Martinez de Aguilar qui occuppe le poste de directrice du musée.
Berta Sichel dirige le département audiovisuel du Museo Nacional Centre de Arte Reina Sofia (MNCARS) qui se trouve à Madrid, en Espagne.
Erin Siddall, Siddall, Erin : Igharas, Ts?m?
Catalogue : 2023Great Bear Money Rock | Installation multimédia | 16mm | couleur | 10:6 | Canada | 2021
Erin Siddall, Siddall, Erin : Igharas, Ts?m?
Great Bear Money Rock
Installation multimédia | 16mm | couleur | 10:6 | Canada | 2021
Installation Synopsis: Great Bear Money Rock traces how the land and the life of local Indigenous communities overlap. The Lake Is a Cup (16mm film, 2021) considers the material memories retained by the lake: What stories may be told by these waters if we become attuned to this more-than-human body? Made collaboratively, views of the ghost mine, Dél?n?, and the lake, are splintered by projection through a water bottle balanced on a long, narrow prism. Like water, but also like bodies, the film accumulates radioactivity. The installation is permeated by the mechanical sounds made by the projector in an almost-organic cadence that constantly brings us back to our own bodies. Retracing the narratives conserved in the waters of the lake and in the rocks strewn around the landscape, Great Bear Money Rock exposes the imperceptible—that which evades our senses but whose effects are nonetheless profoundly physical. Other installation elements of Great Bear Money Rock include a garden of crystals from the site of the mine, enclosed in glass bubbles to contain the weak radioactivity they emit. Even though the glass is fragile, it plays a doubly protective role: it keeps us from contact with the ore, and it preserves the territory in its translucent showcase—territory threatened by human activity. Large-format prints placed on structures show the heaps of stones that cover the abandoned mine. Assembled field recordings, in sync with the projection, inundate these rubbly landscapes.
Erin Siddall (lives in Vancouver, Canada) is a visual artist whose work encourages the viewer into thinking about the embodied experience of looking, beyond the subject at which they are looking. Erin’s practice also considers the photographic representation of the unrepresentable through invisible environmental hazards, hidden histories and traumatic events. She holds an MFA from the University of British Columbia and a BMA from Emily Carr University, both Vancouver, and has shown at venues including the Toronto Biennial of Art; Momenta Biennale, Montreal, the Vancouver Art Gallery; Gallery 44, Toronto; the Burrard Art Foundation Studio, Vancouver; and Nuit Blanche Saskatoon. Ts??m? Igharas (Tahltan First Nation, born in Smithers, Canada) is an interdisciplinary artist. She uses a potlatch methodology to create conceptual artworks and teachings influenced by her mentorship in Northwest Coast formline design at K’saan, her studies in visual culture and her time in the mountains. Ts??m? attended Emily Carr University of Art and Design (ECUAD), Vancouver, and received an MFA from OCAD U, Toronto. She won the 2018 Emily Award for outstanding ECUAD alumni and is one of the twenty-five 2020 Sobey Award winners. She has shown and performed in various places in Canada and internationally in Sweden, Mexico, USA and Chile.
Abigail Sidebotham
Catalogue : 2015Her Name is Herman | Doc. expérimental | hdv | couleur | 15:7 | Royaume-Uni | 2013
Abigail Sidebotham
Her Name is Herman
Doc. expérimental | hdv | couleur | 15:7 | Royaume-Uni | 2013
`Her Name is Herman` is a film about longing, masculinity and desire. It follows the true story of a farmer who, in 1976, through a definitive premonition discovered a huge unexploded WWII ‘Herman’ bomb buried deep beneath the ground on the Gower Peninsular in Wales. Weighing one ton and with a length of 2.5 meters this buried and alienated relic of history is seen as an archetype of trauma and the pursuit to reach and defuse it a masculine principle of conquest.
Abigail Sidebotham (b. 1985, Wales) is a multi media artist living in Brighton, UK. Her practice includes works with drawing, text, performance, photography and artist film. She earned her Bachelor of Arts in Photography at Brighton University in 2008 and Fine Art Masters from the Royal College of Art in 2013. Her work has been exhibited internationally in exhibitions such as; HotShoe Gallery, London, Altitude 1000+ Festival, Switzerland, DOX Centre for Contemporary Art, Prague and MART Galleria Civica, Trento, Italy. She has been awarded a number of prizes and residencies, including the Red Mansion residency programme in Beijing, China (2013) and received an honorary mention for her work exhibited at the DOX centre for Contemporary Art with the prize of a residency in Prague, Czech Republic (2014).
Lina Sieckmann, Miriam Gossing
Catalogue : 2020Souvenir | Doc. expérimental | 16mm | couleur | 20:50 | Allemagne | 2019
Lina Sieckmann, Miriam Gossing
Souvenir
Doc. expérimental | 16mm | couleur | 20:50 | Allemagne | 2019
Souvenir explores the deserted inside of contemporary 36-hour- minicruise ferry ships between the Netherlands, Germany, Norway and the UK. As a low-budget replica of luxurious Caribbean cruises, the ship is in a constant state of transit, never arriving at a final destination. On board settings and décor bear reference to a European history of seafaring and trade while the actual ocean remains distant – in surveillance monitors, the on-board cinema and panoramic window fronts. A female voiceover is composed out of different interviews with seamen’s widows somewhere in between dialogue and inner monologue, circling around topics of distant love, fake luxury, colonial artifacts and a departure from society’s expectations. Starting from a documentary observation of the inside space, the limits of outer and inner reality become blurred over the course of the film. Single souvenirs as fetishized objects turn into a unified ornament as the point of view shifts from the individual to the collective. The film as a souvenir itself opens up memories of a colonial past, drawing a connection between the ship as the largest arsenal of imagination and the nautic space of the cinema.
As a directors duo they have produced several short films on 16-mm film, in which urban and private architecture, hyper-staged environment, subcultural individuals and the notion of desire are examined – combining documentary imagery with fiction and found footage.Their works are characterised by the depth of research and contact with communities and individuals, as well as by the clear lines in their approach to architecture and the worlds which shape desire, fear, anxiety, and alienation. There films have been awarded with numerous grants and scholarships and are shown internationally on film festivals and in art institutions, among them International Film Festival Rotterdam, Edinburgh International Film Festival, International Short Film Festival Oberhausen, Anthology Film Archives New York City, Hamburger Bahnhof – Museum für Gegenwart Berlin, MoMa Antwerp, Julia Stoschek Collection)
Luke Sieczek
Catalogue : 2008Phantom | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 6:20 | Pologne, USA | 2007
Luke Sieczek
Phantom
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 6:20 | Pologne, USA | 2007
PHANTOM (Luke Sieczek, 6:20 min., Digital Video, Color/Sound, 2007) PHANTOM recomposes two scenes from Jacques Tourneur`s film Cat People, reanimating the words and images of its heroine, played by the actress Simone Simon. Her voice reverberates a feeling of intense restlessness, while luminous specters emanate from all sides, surrounding her in a pulsing, phosphorescent glow. PHANTOM re-imagines a half-remembered midnight movie: the dying rays of a television screen are re-absorbed into a spectral, volatile afterimage.
Originally from Poland, Luke Sieczek is an independent film and video artist, whose films have been exhibited at numerous international film festivals and venues. His films and videos have shown at Museum of Modern Art, the New York Film Festival`s "Views from the Avant-Garde," the European Media Art Festival, and the Rotterdam International Film Festival, among others. While varying in genre and technique, his films and videos continue to explore concerns that include the investigation of place, memory, the status of the - immigrant - outsider, and the shifting and unstable relations of audio-visual time and space. Luke Sieczek studied at Bard College and received an MFA from the University of Wisconsin. He currently lives in Seattle, WA.
Amie Siegel
Catalogue : 2007Berlin Remake | Installation vidéo | dv | couleur et n&b | 14:0 | USA | 2005
Amie Siegel
Berlin Remake
Installation vidéo | dv | couleur et n&b | 14:0 | USA | 2005
BERLIN REMAKE est une installation vidéo composée de remakes image-pour-image de scènes de films provenant du studio de cinéma de l'Etat d'Allemagne de l'est (DEFA). Les scènes de films sont recrées et cadrées exactement comme dans les prises de vue originales, mis à part le fait que les images sont désormais peuplées d'architecture contemporaine et de vide historique - des moments de cinéma significatifs remis en scène à travers Berlin Est. Les scènes reproduites sont projetées à côté des scènes originales dans un espace sombre, il s'agit d'une double projection synchronisée. Cette installation vidéo est une étrange juxtaposition du passé et du présent, faisant de l'histoire (par exemple la RDA) simultanément un élément passé et présent, dramatique et banal, divisé et reconnecté. Comment
Amie Siegel, née en 1974 à Chicago, travaille avec le film, la vidéo, le son et l'écriture. Diplômée du Bard College et de la School of the Art Institute of Chicago, Amie Siegel a exposé ses oeuvres dans les lieux suivants : Whitney Museum of American Art, Kino Arsenal Berlin, Toronto Cinematheque, Museum of Fine Arts Boston, Facets Cinematheque, Austrian Film Museum. Elle a écrit "The Waking Life" (North Atlantic Books, 1999). Son premier long métrage, "Empathy", a été présenté en première au Festival international du film de Berlin, en 2003. Amie Siegel a reçu plusieurs bourses : MacDowell Colony, DAAD Berliner-Künstlerprogramm, Edith Russ Haus für Medienkunst. Elle vit entre New York et Berlin.
Judith Siegmund, Piontek
Catalogue : 2012Zu wenig zu viel? | Documentaire | dv | couleur | 18:0 | Allemagne | 2010
Judith Siegmund, Piontek
Zu wenig zu viel?
Documentaire | dv | couleur | 18:0 | Allemagne | 2010
Judith Siegmund, born 1965, is a concept and video artist and a philosopher. She lives in Berlin and teaches at UdK Berlin. (www.judithsiegmund.de) André Piontek is a video producer. He lives in Weissenfels and Berlin, and produces short movies with his company Vides Media.
Pola Sieverding
Catalogue : 2014Close to concrete | Installation vidéo | hdv | couleur | 15:20 | Allemagne, Portugal | 2011
Pola Sieverding
Close to concrete
Installation vidéo | hdv | couleur | 15:20 | Allemagne, Portugal | 2011
Pola Sieverding studierte an der Carnegie Mellon University Pittsburgh, am Surikov Institut in Moscow und machte 2007 ihren Meisterschüler bei Stan Douglas an der Universität der Künste Berlin. Seit dem hat sie vielfach international ausgestellt: Aram Art Gallery, Seoul; Palmengarten Museum für Moderne Kunst, Frankfurt am Main; Art in General, New York; Hamburger Bahnhof, Berlin; Lumiar Cité, Lissabon; Neue Gesellschaft für bildende Kunst, Berlin; Lena Brüning Galerie, Berlin; Anat Ebgi Gallery, Los Angeles et al. Seit 2011 arbeitet sie mit Orson Sieverding an audio-visuellen Performances, die u.a. im Kunstverein Heidelberg, bei ReMap 3 in Athen und in der Kunsthalle Düsseldorf aufgeführt wurden. 2012 kollaborierte sie mit Natascha Sadr Haghighian für http://pfad.d13.documenta.de/. Sie war als Artist in Residence nach Ramallah, Prag und Lissabon eingeladen und als Gastdozentin an die International Academy of Art Palestine. Pola Sieverding lebt und arbeitet in Berlin.
Liina Siib
Catalogue : 2023August Procession | Doc. expérimental | 4k | couleur | 11:0 | Estonie | 2022
Liina Siib
August Procession
Doc. expérimental | 4k | couleur | 11:0 | Estonie | 2022
“August Procession” is about different tempos co-existing at the same time. The light from windows registers the passing of time in the abandoned factory building, the speed of the bus determines the length of the passengers’ conversation. The minutes have been counted until sunset. And then there’s memory time. Time to recall. Perhaps to celebrate together and feel a sense of belonging. “August Procession”, filmed in Narva area, enters into a mental dialogue with events that occurred at the eastern border of Estonia and the European Union in August 2022. The central theme in local news was the plan of the removal of the tank monument to the Soviet ‘liberators’, erected 52 years ago. Local habitants were used to see the tank on the plinth nearby the road while driving to the beach. The tank was removed on 16 August by the Estonian government, due to various tensions, caused by the Russian war in Ukraine and dramatically changed geopolitical situation. Several Russian speaking people in Narva fell into mourning because the tank was an important souvenir for them. The religious procession took place a week later, from a retreat to a famous orthodox monastery in the area.
Liina Siib is a visual artist, filmmaker, educator and curator from Tallinn, Estonia. She has studied printmaking and photography at the Estonian Academy of Arts, photography and video in exchange at the University of Westminster in London. Currently she works as the Professor of Graphic Art at the Estonian Academy of Arts. Film, photography and installation as her main interests, she explores various manifestations of people’s everyday practices and social space. Her works deal with characters, spaces and situations that tend to go unnoticed due to their ordinariness or are silenced or ignored. She has made experimental documentary videos and staged short films that have been shown mostly in the gallery and exhibition context, sometimes using the format of expanded cinema. In 2011, her project “A Woman Takes Little Space” represented Estonia at the 54th Venice Art Biennale. Besides that her works have been shown at the international art biennales in Riga, Tallinn, Moscow, Rauma, Cerveira, Ljubljana and Rijeka. Recently, she has been artist at residence at the NART Narva Art Residency. Her work has been included in several public and private collections. In 2006 she received the Annual award of the Estonian Cultural Endowment. Full CV at: liinasiib.com/biography/
Catalogue : 202125.02._26.02. | Doc. expérimental | hdv | couleur | 9:28 | Estonie | 2020
Liina Siib
25.02._26.02.
Doc. expérimental | hdv | couleur | 9:28 | Estonie | 2020
La vidéo "25.02._26.02." fait partie de l'installation tragicomique "Huldufólk" de Liina Siib. "Huldufólk" signifie "les gens cachés" en islandais - il s'agit d'êtres surnaturels qui ont l'apparence et le comportement de personnes normales mais qui ont leurs propres activités dans leur propre monde parallèle. Ils peuvent se rendre visibles pour les humains, qui peuvent les voir à travers le verre coloré. La vidéo est filmée un dimanche soir et un lundi matin, dans les rues et les arrière-cours du centre-ville de Reykjavik. Elle est inspirée par la nouvelle "Sunday evening to Monday morning" d'Ásta Sigurðardóttir (1951), qui décrit le voyage d'une femme ivre dans les rues de Reykjavik, et son aliénation. Le lieu géographique précis n'a pas vraiment d'importance dans la vidéo, si ce n'est peut-être qu’on reconnaît les longues nuits, le froid et les forts vents; les activités dépeintes et leurs attributs peuvent être trouvés partout dans le monde. Le matériel filmique a été collecté en 2018, lorsque l'artiste a travaillé en résidence à la Steina et Woody Vasulka Archive de la Galerie nationale d'Islande, Reykjavik (Islande).
Liina Siib a étudié la gravure et la photographie à l'Académie des arts d'Estonie, Tallinn (Estonie). Dans sa pratique artistique, elle utilise les moyens du film, de la vidéo, de la photographie et de l'installation. Liina Siib est intriguée par les diverses manifestations de l'espace social et des activités quotidiennes des gens. Ses œuvres traitent de personnages, d'espaces et de situations qui ont tendance à passer inaperçus en raison de leur banalité, à être réduits au silence ou à être ignorés. Liina Siib combine ses observations de terrain avec des sources d’archives, des récits historiques et divers récits imprégnant la société, ainsi qu'avec des approches psychanalytiques et des théories de l'art et du film contemporains. Liina Siib a organisé des expositions personnelles en Estonie, en Allemagne, en Belgique, en France, en Suède, en Finlande et en Lettonie. En 2011, son projet artistique "A Woman Takes Little Space" a représenté l'Estonie à la 54e Biennale d'art de Venise (Italie). Parmi ses récents projets d'expositions et de films, citons "Linda Vilde Museum", au Eduard Vilde Museum, Tallinn (Estonie) [2021]; "Huldufólk / Hidden People", à la Hobusepea Gallery, Tallinn (Estonie) [2020]; "Politics of Paradise", au Tallinn Art Hall (Estonie) [2019]; RIBOCA1 - Riga International Biennial of Contemporary Art (Lettonie) [2018]; et "Urban Symphony in E-minor", à la Sinne Gallery, Helsinki (Finlande) [2018]. Depuis 2015, elle travaille en tant que responsable et professeure au département d'art graphique de l’Académie des arts d'Estonie, Tallinn (Estonie).
Catalogue : 2017Orbs | Vidéo | hdv | couleur | 3:15 | Estonie | 2016
Liina Siib
Orbs
Vidéo | hdv | couleur | 3:15 | Estonie | 2016
In the video “Orbs” we see two persons playing with an old armillary sphere. This old tool is a model of objects in the sky, one of the oldest astronomical instruments in the world, one of the first models ever made. Representing the heavens with the sun as center, it is known as Copernican armillary. By a simple gesture of moving the armillary rings as heavens, one can demonstrate how the stars move. We see the two people moving the stars and by that they are moved by the stars.
Liina Siib is a visual artist who lives in Tallinn, Estonia. She holds an MA in photography from the Estonian Academy of Arts. The themes of her works range from femininity and social space to different manifestations of people’s everyday practices, to work and leisure time routines. She works with video, installation, photography and performance. Liina Siib has had solo exhibitions in Estonia, Germany, Belgium, France, Sweden, Finland and Latvia. Her works have been presented at a number of exhibitions and festivals in Europe, Asia and the USA. In 2011, Liina Siib represented Estonia at the 54th Venice Art Biennale with her project ‘A Woman Takes Little Space’. She has also curated art and culture projects in Estonia, the UK and Belgium. Since 2015, she works as the Professor of Graphic Art at the Estonian Academy of Arts.
Catalogue : 2014Mass Line: Office 1 | Vidéo expérimentale | hdv | couleur et n&b | 12:41 | Estonie, Suède | 2013
Liina Siib
Mass Line: Office 1
Vidéo expérimentale | hdv | couleur et n&b | 12:41 | Estonie, Suède | 2013
Mass Line: Office 1 is a karaoke video produced for the large scale performance Mass Line at the Lilith Performance Studio in Malmö. Mass Line merges China and the western world?s political ideologies to a peculia, thorough analysis and practice-oriented observation of systems, prohibitions and orders, both big as well as small ones. Mass Line is distinctly political but yet at the same time a highly poetic performance, where most of the part is based upon the artist?s own observations and life experience from living in a closed country. In Mass Line Liina Siib plays with big political and social systems we all have to follow in order to be part of the group. Systems whose intensions are to keep us occupied, to act correct and keep us in line. In countries with strict leadership and control system people use to perform, to be someone else in public than at home. Everyone becomes an actor ready to stage what the system expects from them, performing ideologies as one?s second nature as a wise survival tactics of everyday life. At the end it is impossible to decide what is a performance and what is not.
Liina Siib is a video and photography artist born and based in Tallinn, Estonia. She studied graphic art and photography at the Estonian Academy of Arts, where she also earned an MA in photography. In 2002 she was in exchange at the Westminster University in London at the Photographic Studies MA course. Several of Liina Siib`s art works have a starting point in the experience of living in a both socialistic and capitalistic system, and in the antagonism that appears in shifting between two systems. In her photo, video and room installations, the artist explores various topics, ranging from femininity and social space to different representations of people?s everyday practices and daily routines. In 2011 Liina Siib represented Estonia with her project A Woman Takes Little Space at the 54th Venice Art Biennale. She has had over thirty solo exhibitions in Estonia, Germany, Belgium, France, Finland and Latvia. Her works have been presented at a number of international group shows and festivals in Estonia, Europe, Asia and the USA. In October 2013 her large-scale performance Mass Line in a close collaboration with the Lilith Performance Studio was presented at the Lilith Performance Studio in Malmö, Sweden.
Catalogue : 2012UNSOCIAL HOURS | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 10:2 | Estonie | 2011
Liina Siib
UNSOCIAL HOURS
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 10:2 | Estonie | 2011
The video Unsocial Hours (2011) explores the model of the cycle of women?s work and social life through food in contemporary Estonia; to be more specific, cheap pastries produced in a bakery that works through the night and which are sold in the kiosks at Tallinn Railway Station, and eaten in cafes in Lasnamäe or during breaks by doctors and nurses working at Pelgulinna Maternity Hospital. Along with a focus on space, there is also a strong emphasis on time ? the circling of time, and a certain element of ritual repetition and ?not getting anywhere?.
Liina Siib was born in 1963 in Tallinn, Estonia, where she currently lives and works. She studied graphic art and photography at the Estonian Academy of Arts, where she also earned an MA in photography. In her photo, video and site-specific room installations, she explores various topics, ranging from femininity and social space to different representations of people in their everyday activities. She has had thirty solo exhibitions in Estonia, Germany, Belgium, France, Finland, Latvia and Italy. Her works have been presented at a number of exhibitions and festivals in Estonia, Europe, Asia and the USA. Her works are in the collections of the Art Museum of Estonia, the Tartu Art Museum, the Moderna Museet in Stockholm, the Neues Museum für Kunst und Design in Nuernberg etc. In 2011 her project ?A Woman Takes Little Space? represented Estonia at the 54th Venice Biennale.
Catalogue : 2007House of Sleep | Fiction | dv | couleur | 12:23 | Estonie | 2004
Liina Siib
House of Sleep
Fiction | dv | couleur | 12:23 | Estonie | 2004
La caméra tourne autour des pièces d'une vieille maison du début du XIXe siècle, dans le Nord de Londres. Cette improvisation basée sur la nouvelle de Muriel Spark, "Memento Mori" (1959), permet de mieux comprendre la vidéo. Les plus vieilles personnes de la classe aisée de London sont appelées au téléphone par un interlocuteur mystérieux qui répète inlassablement le même message : "Rappelez-vous que vous allez mourir!" La police est incapable de mettre la main sur cet individu, et les personnes âgées finissent tôt ou tard par mourir, pour différentes raisons, notamment suite à des vols et à des meurtres. Les évènements s'articulant entre les signes de contrôle, l'observation et la cérémonie du thé culminent avec l'arrivée du livreur de lait qui découvre les bouteilles de lait qui n'ont pas été ramassées sur le pas de la porte. La peur de l'intrus, d'une éventuelle rencontre avec la mort à l'approche de la vieillesse, la solitude et la possession de biens, sont des conditions qui peuvent être expérimentées par n'importe qui, quelque soit sa situation financière ou sa nationalité.
LIINA SIIB Née à Tallinn, en Estonie, où elle est actuellement artiste indépendante. MFA d'études de photographie, Académie des arts d'Estonie; études de photographie à l'Université de Westminster, à Londres (échange). 25 expositions personnelles en Estonie, Latvia, Belgique, France, Allemagne et Finlande. A participé à des expositions de groupes en Estonie et à l'étranger - notamment à la Villa Manin à Codroipo, en Italie, au Musée Finlandais de Photographies à Helsinski, au Musée Moderne de Stockolm, au Hamburger Bahnhof de Berlin, à la Corcoran Gallery of Art de Washington. Des oeuvres dans les collections du Nouveau Musée d'Art et de Design de Nuremberg, dans celles du Musée Moderne de Stockholm etc... Réalise des vidéos depuis 2002.
Catalogue : 2007Kiosk | Doc. expérimental | dv | couleur | 2:56 | Estonie | 2005
Liina Siib
Kiosk
Doc. expérimental | dv | couleur | 2:56 | Estonie | 2005
"Kiosk" en turc et "periptero" en grec. En turc, le mot se réfère aussi à un objet qui agit comme une ombre ou comme un faiseur-d'ombres. "Peripteros" à Athènes. "Periptero" à Syntagma Square. Démocratie. Bouteilles d'eau. Cigarettes. Tickets de bus. Encas. Ceintures en cuir. Des millions d'autres choses accumulées, comme des magazines, des bonbons, des lunettes de soleil, des journaux etc... Rhétorique de l'accumulation de produits. Tout dans un kiosque. Chaque chose doit être consommer sous la chaleur de la culture méditerranéenne. N'importe quel être humain contemporain, même un flâneur pourrait immédiatement en avoir besoin dans les rues d'Athènes. Les kiosque est ouvert sur certains ou sur tous les côtés. Hautement absorbant. Ancrages compulsifs de trajectoires sonores. Un point focal dans la rue très dense de razzmatazz. Aujourd'hui, il y a beaucoup de kiosques en Grèce. Un kiosque à Anastassopoulos, à Kolonaki Square, à Athènes. Un kiosque à Tassias, à Apergi Square, à Athènes. Le kiosque est probablement la chose la plus ordinaire et la plus extraordinaire à Athènes. Un kiosque à Omonia Square. Rencontres chanceuses. Maison-machine rapide à satisfaire les plus urgents désirs dans la rue. Equivalent moderne en condensé du Forum antique?
LIINA SIIB Née à Tallinn, Estonie, où elle est actuellement artiste indépendante. MFA d'études de photographie, Académie des arts d'Estonie; études de photographie à l'Université de Westminster, à Londres (échange). 25 expositions personnelles en Estonie, Latvia, Belgique, France, Allemagne et Finlande. A participé à des expositions de groupes en Estonie et à l'étranger - notamment à la Villa Manin à Codroipo, en Italie, au Musée Finlandais de Photographies à Helsinski, au Musée Moderne de Stockolm, au Hamburger Bahnhof de Berlin, à la Corcoran Gallery of Art de Washington. Des oeuvres dans les collections du Nouveau Musée d'Art et de Design de Nuremberg, dans celles du Musée Moderne de Stockholm etc... Réalise des vidéos depuis 2002.
Colectivo Silencio
Storihle Sille
Catalogue : 2023Gruppekritikken | Film expérimental | mp4 | couleur | 74:0 | Norvège | 2022
Storihle Sille
Gruppekritikken
Film expérimental | mp4 | couleur | 74:0 | Norvège | 2022
The Group Crit is a pedagogical and cinematic experiment - a satirical examination of group critique as a teaching form. By means of a LARP (live action role-playing game) created by the Norwegian artist/filmmaker Sille Storihle, students at the Kabelvåg School of Moving Images under The Arctic University Museum of Norway explore political currents in contemporary art. The students are players who develop their own stories within the game based on scripted characters, and everything is filmed by students in character. With its self-established rules of the game, The Group Crit challenges traditional forms of production, through a performative framework using diegetic documentation. A hybrid, heated and humorous experimental work taking the temperature on the art field as the arena for political debate.
Sille Storihle is an artist and educator based in Oslo, working primarily with moving images and printed matter. Their artistic practice encompasses a body of work in dialogue with queer archives and pasts, exploring relationships between power and performativity. From 2012 to 2020, Storihle ran the queer-feminist platform FRANK together with Liv Bugge. The platform originated as a salon, which developed into a wide range of projects in different locations with various co-curators. Their current research and work focus on live action role-playing games (LARP) as an artistic methodology in the production of moving images. They have exhibited at the National Museum, Oslo, 2023, 2022, 2014; M HKA – Museum of Contemporary Art Antwerp, 2020; Kunsthall Oslo, 2018, 2017, 2013; GiBCA – Göteborg International Biennial for Contemporary Art, 2017; Performa, New York, 2013; and Sharjah Biennial 11, 2013, among many others. Storihle holds a BFA from Trondheim Academy of Fine Art and an MA in Aesthetics and Politics from the California Institute of the Arts, Los Angeles. Since 2016, they have been Assistant Professor at Kabelvåg School of Moving Images, UiT The Arctic University of Norway, Tromsø.
Fern Silva
Catalogue : 2018The Watchmen | Film expérimental | 16mm | couleur | 10:0 | USA | 2017
Fern Silva
The Watchmen
Film expérimental | 16mm | couleur | 10:0 | USA | 2017
In The Watchmen, pulsating orbs, panopticons, roadside rest stops, and subterranean labyrinths confront the scope of human consequences and the entanglement of our seeking bodies. Regressions in missing time, caught in the act of captivity, confined to the carceral and perpetuated by movie sets, television sets, and alien encounters at bay. The corporeal cycle of control revolves as steadily as the sight of those who watch from above.
Fern Silva (b. 1982, USA/Portugal) is an artist who primarily works in 16mm. His films consider methods of narrative, ethnographic, and documentary filmmaking as the starting point for structural experimentation. He has created a body of film, video, and projection work that has been screened and performed at various festivals, galleries, museums and cinematheques including the Toronto, Berlin, Locarno, Rotterdam, New York, London, Melbourne, and Hong Kong International Film Festivals, Anthology Film Archives, Gene Siskel Film Center, Cinemateca Boliviana, Museum of Art Lima, Brooklyn Academy of Music, Museum of Contemporary Art Chicago, New Museum, Greater New York at MOMA P.S.1, and Cinema du Reel at the Centre Georges Pompidou. He has organized and curated screenings at venues including the Nightingale Cinema, Gallery 400, and DINCA Vision Quest in Chicago. His work has been featured in publications including Film Comment, Cinema Scope, Filmmaker Magazine, Millennium, and Senses of Cinema. He studied art and cinema at the Massachusetts College of Art and Bard College. He is Visiting Faculty at Bennington College and is based in New York.
Henrique Silva
Catalogue : 2007Cerveira Bienal | 0 | 0 | | 0:0 | Portugal | 2007
Henrique Silva
Cerveira Bienal
0 | 0 | | 0:0 | Portugal | 2007
La Biennale de Cerveira, est un événement créé en 1978, par un groupe d?artistes, dans le but de promouvoir l?art contemporain et de créer un lieu de rencontre pour les artistes : Il est possible d`y échanger des expériences et de promouvoir la recherche aussi bien dans les arts traditionnels que dans les nouvelles technologies. Durant ces 30 dernières années, la Biennale est devenue Internationale, a conquis une place particulière parmi les jeunes artistes indépendants, et a établi des partenariats avec d?autres institutions nationales et internationales similaires. Aujourd?hui la Biennale de Cerveira dispose d'un bureau permanent, un Musée d?art moderne ouvert toute l?année, des ateliers de gravure, sérigraphie, lithographie, photo, céramique, laboratoire dédié aux arts digitaux. La Biennale met à disposition des créateurs, de manière permanente, une MAISON DE L?ARTISTE, avec 4 chambres et 17 lits, qui permet d'organiser des stages pour les professionnels ainsi que des cours d?initiation. Lors de cette XIVème Biennale de Cerveira, la Fondation Maeght sera représentée, l?artiste suisse Pascal Nordmann y participera, et on pourra y voir un hommage à l?artiste portugais Júlio Resende, un concours ouvert aux artistes de toute nationalité sur un thème d?actualité « Les nouvelles croisées » en rapport aux guerres au Nord de l?Afrique et en Irak, une représentation d?architectes internationaux, la participation d'artistes en poésie visuelle (organisé par Pedro Oliver des Canaries), une représentation des Universités Portugaises et des activités musicales et performances. Du fait de sa situation géographique, à la frontière avec la Galicie, la participation espagnole est très importante, entrecroisant expositions et coopérations avec l?Université de Vigo et le Centre Culturel de Ourense.
Henrique Silva, né 1933, est diplômé de l`Université de Paris VIII en Arts plastiques. Il a vécu à Paris de 1957 à 1977, ou encore à Zurich, Bâle, Bruxelles et Belfast. Il participé à des séminaires et des réunions internationales, parmi lesquelles on peut citer le séminaire "savoir faire formation" au Cicopa (Bruxelles en 1986) et le séminaire international sur les politiques de développement territorial sur invitation de l'OCDE en Crète, le réseau des Centres Culturels en Europe à Delfos, France et Irlande, ayant organisée la 1er rencontre des centres Culturels Européens à Porto. Il est membre de plusieurs jurys nationaux et internationaux qui font référence à plus de 10 publications portugaises et étrangères et ayant réalisé plus de 140 expositions en Europe. Il est actuellement Directeur du Musée d`Art Contemporain de la Biennale de Cerveira, Administrateur de la Fondation Biennale de Cerveira et Directeur du Cours de Design de l`École Supérieure Gallaecia.
Jeff Silva
Catalogue : 2008Balkan Rhapsodies | Doc. expérimental | dv | couleur et n&b | 54:30 | USA | 2007
Jeff Silva
Balkan Rhapsodies
Doc. expérimental | dv | couleur et n&b | 54:30 | USA | 2007
"Balkan Rhasodies" est un documentaire en 78 parties qui tisse une mosaïque de rencontres, d'observations et de réflexions issues des voyages de l'artiste à travers la Serbie et le Kosovo déchirés par la guerre. Il a été le premier américain autorisé en Serbie après les bombardements de l'OTAN en juin 1999, et les images qu'il a tournées forment le coeur du projet. Il est retourné aux Balkans en 2000 et une dernière fois en 2005 pour achever son projet. Au centre du projet, on trouve une structure épisodique mais intégrée inspirée de la forme libre et émotionnelle des rhapsodies musicales du dix-neuvième siècle, qui se caractérisent par une série de courtes compositions non-linéaires et d'humeurs, de couleurs et de tonalités contrastrées. La structure de la rhapsodie déstabilise le temps linéaire, mettant en évidence la fragmentation du temps, de la mémoire et de l'histoire et les implications métaphoriques de ce qu'il est advenu de l'ancienne Yougoslavie. Les rhapsodies des Balkans entremêlent un réseau de fragments visuels et sonores, oscillant entre les images vérité intimistes, les témoignages candides de survivants, des interludes musicaux humoristiques, des commentaires d'intellectuels américains renommés comme Howard Zinn et Noam Chomsky, et des images télévisées et internet appropriées. La collection de détritus et de débris de mémoires, de preuves et d'expériences crée un écho mélodique qui résonne avec l'absurdité de la situation et reflète un impératif politique et social au-delà des conflits en Yougoslavie, concernant les crises d'aujourd'hui.
Jeff Silva est artiste, enseignant et conservateur. Il vit à Boston. Il a étudié le cinéma et la photographie à l'Ithaca College et a reçu un diplôme en arts visuels au Vermont College of Fine Arts de Montpelier. Actuellement, il est attaché d'enseignement à Harvard et professeur adjoint à l'Emerson College en études de film et réalisation de films expérimentaux et ethnographiques. Avant d'enseigner, il a travaillé comme producteur au MIT, où il a créé des centaines vidéos éducatives en physique et dans d'autres sciences. Jeff est aussi co-fondateur et conservateur de la "Balagan Experimental Film Series", saluée par la critique, au Coolidge Corner Theater. Au cours des dix dernières années, Jeff a développé une oeuvre multiple, allant d'installations multi-channel à des courts métrages et des films expérimentaux, montrés dans des festivals et des galeries à l'échelle internationale.
André Silva
Catalogue : 2006Spam letter + google image search = video entertai | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 3:0 | USA | 2005
André Silva
Spam letter + google image search = video entertai
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 3:0 | USA | 2005
Each word of a spam letter is matched with one of hundreds of available online images that have been linked, in some way, to that word. A text-to-voice-program narrates the letter.
Andre Silva is a third year M.F.A. Candidate in Film & Video Production at the University of Iowa. His films have screened at about 30 festivals within the past year and have won awards at the Ann Arbor Film Festival, the Humboldt International Short Film Festival and Atlanta Underground Film Festival. Currently, he is working on his thesis, a 7-minute animated film, Ichthyopolis , which is a fantastical journey into the material and immaterial lives of fish. The film will utilize 16mm stop-motion, live action video and computer generated 3-D animation. Aside from working on his films, Andre recently taught film and video production courses at the University of Iowa. For the past two summers, he taught digital animation at Northwestern University's National High School Institute. He was also one of the co-founders of Iowa City Microcinema, a local organization dedicated to bringing visiting artists to Iowa City and hosting filmmaking events such as the "24-hour video race." Beginning in the Fall of 2006, Andre will teach film production courses at the University of Wilmington at North Carolina as a Guest Artist.
Fern Silva
Catalogue : 2022Rock Bottom Riser | Doc. expérimental | super 16mm | couleur | 70:0 | Portugal, USA | 2021
Fern Silva
Rock Bottom Riser
Doc. expérimental | super 16mm | couleur | 70:0 | Portugal, USA | 2021
From the earliest voyagers who navigated by starlight to the discovery of habitable planets by astronomers, Rock Bottom Riser examines the all-encompassing encounters of an island world at sea. As lava continues to flow from the earth’s core on the island of Hawaii – posing an imminent danger – a crisis mounts. Astronomers plan to build the world’s largest telescope on Hawaii's most sacred and revered mountain, Mauna Kea. Based on ancient Polynesian navigation, the arrival of Christian missionaries, and the observatory’s ability to capture the origins of the universe, Rock Bottom Riser surveys the influence of settler colonialism, the search for intelligent life, and the discovery of new worlds as we peer into our own planet's existence.
Fern Silva (1982, USA/Portugal) is an artist who started working as an editor and cameraperson in NYC. His early films were centered on his relationship to Portugal and have since expanded, underlining the influence of global industry on culture and the environment. For over a decade, his 16mm films have been screened widely in festivals, museums, and cinematheques including the New York, Toronto, Berlin, Locarno, Rotterdam, and Hong Kong International Film Festivals, MOMA, New Museum, Anthology Film Archive, and the Harvard Film Archive. They've been awarded prizes from the Ann Arbor Film Festival, 25FPS, Zinebi, and an Agora Award from the Thessaloniki International Film Festival. His work has been featured in publications including Cinema Scope, Film Comment, and the New York Times. He's taught filmmaking at various institutions including the University of Illinois at Chicago, Bard College, and Bennington College and has received support from the Jerome Foundation, New York Foundation for the Arts, MacDowell, and the Radcliffe Institute for Advanced Study as well as the Film Study Center at Harvard University. He studied film at the Massachusetts College of Art and Bard College and is currently based in Greece and the US.
Rui Silveira
Catalogue : 2012POLIGRAD | Doc. expérimental | hdv | couleur | 5:57 | Portugal | 2010
Rui Silveira
POLIGRAD
Doc. expérimental | hdv | couleur | 5:57 | Portugal | 2010
POLIGRAD is a vision of the City resulting from the synthesis made in the mind of a voyager by his focused itinerary through several Eastern European cities.
Rui Silveira was born in Campo Maior in 1983 and lives at the present in Lisbon. With a BSc in Communication Design by the Fine Arts Faculty of Lisbon (FBAUL), he develops video-based projects. At the moment he attends the Independent Study Program at Maumaus, School of Visual Arts and the Master in Communication Design and New Media at FBAUL. So far, his work has had a dominant documental aspect with sound playing a privileged communicating role and, furthermore, there are questions that have persisted as, for instance, the dialectics between local and global.
Catalogue : 2009Ni Dilli | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 0:55 | Portugal | 2008
Rui Silveira
Ni Dilli
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 0:55 | Portugal | 2008
La vidéo « Ni Dilli » crée un espace pour des paysages sonores expérimentaux, associant certains sons (détachés de leur contexte musical) à des actions implicites de l'image. En utilisant les procédés numériques de capture du son et de l'image, Rui Silveira tente d?explorer la manière dont ces éléments peuvent suggérer un lieu géographique spécifique, ainsi qu?un univers personnel, en évitant, néanmoins, une vision subjective.
Rui Silveira a récemment obtenu un diplôme en design de communication, en mettant l'accent sur le design graphique utilisant les médias audiovisuels. L'artiste s?intéresse particulièrement aux relations entre le son et l'image (vidéo ou photographie). Silveira travaille actuellement à un documentaire sur un immeuble en construction qui utilise des ressources locales, dans le contexte d?un environnement urbain chaotique et d?une société à la très forte identité. L'artiste considère la vidéo expérimentale comme le moyen parfait pour réaliser son ?uvre.
Shelly Silver
Catalogue : 2020Score for Joanna Kotze | Vidéo | hdv | couleur | 4:10 | USA, Italie | 2019
Shelly Silver
Score for Joanna Kotze
Vidéo | hdv | couleur | 4:10 | USA, Italie | 2019
Catalogue : 2020A Tiny Place That is Hard to Touch | Fiction expérimentale | hdv | couleur | 39:40 | USA, Japon | 2019
Shelly Silver
A Tiny Place That is Hard to Touch
Fiction expérimentale | hdv | couleur | 39:40 | USA, Japon | 2019
In a faceless apartment in Tatekawa, Tokyo, an American woman hires a Japanese woman to translate interviews about Japan’s declining birthrate. The American woman is presumptuous in her knowledge of Japan; the Japanese woman suffers from a self-professed excess of critical distance. They grate, fight, and crash together in love or lust, at which point their story gets hijacked into science fiction territory, as the translator interrupts their work sessions with stories from a world infected with the knowledge of its own demise. This neighborhood has already known devastation, having been wiped out the night of 9 March 1945 by American bombs. The third protagonist is the Tatekawa itself, the canal covered by an elevated highway that runs past the translator’s apartment, which gives the neighborhood its name. Reflecting back the concrete world in distorted patterns of blue, green, or glittering black, the Tatekawa transports a shifting procession of birds, shoes, condoms, crabs, plastic bags, flowers, big fish, little fish, death, life.
Shelly Silver is a New York based artist working with the still and moving image. Her work explores contested territories between public and private, narrative and documentary, and--increasingly in recent years--the watcher and the watched. She has exhibited worldwide, including at the Museum of Modern Art in New York, Tate Modern, Centre Georges Pompidou, the Museum of Contemporary Art in Los Angeles, the Yokohama Museum, the London ICA, and the London, the Singapore, New York, Moscow, and Berlin Film Festivals. Silver has received fellowships and grants from organizations such as the John Simon Guggenheim Foundation, the NEA, NYSCA, NYFA, the Jerome Foundation, the Japan Foundation and Anonymous was a Woman. Her films have been broadcast by BBC/England, PBS/USA, Arte/Germany, France, Planete/Europe, RTE/Ireland, SWR/Germany, and Atenor/Spain, among others, and she has been a fellow at the DAAD Artists Program in Berlin, the Japan/US Artist Program in Tokyo, Cité des Arts in Paris, and at the Lower Manhattan Cultural Council. Silver is Associate Professor and Director of Moving Image, Visual Arts Program, School of the Arts, Columbia University.
Catalogue : 2019This Film | Film expérimental | 16mm | noir et blanc | 6:53 | USA, Allemagne | 2018
Shelly Silver
This Film
Film expérimental | 16mm | noir et blanc | 6:53 | USA, Allemagne | 2018
Filming is alchemy; preserving, seeing, devouring, cutting. Chopping the flow of images with a push of a button. It privileges a solitary unseen protagonist, choosing this over that and then that, it eats anything, not everything. The world hacked into fragments, jumps, frames. Kidnapped buildings gestures people animals happening now, again now, again now. The displacement of what was once to what is now seen carries the odor of end, regardless of the incessant movement of one frame to the next, a machine forcing the celluloid frames forced to run, jump, trip, turning it all into a sad slapstick -- slapstick also embodies heartbreak. A meeting with an old friend, possibly for the last time. [Or] a throwback to a kind of film I never made. But if I did, it would be a noisy film with silence.
Shelly Silver is a New York based artist working with the still and moving image. Her work explores contested territories between public and private, narrative and documentary, and--increasingly in recent years--the watcher and the watched. She has exhibited worldwide, including at the Museum of Modern Art in New York, Tate Modern, Centre Georges Pompidou, the Museum of Contemporary Art in Los Angeles, the Yokohama Museum, the London ICA, and the London, the Singapore, New York, Moscow, and Berlin Film Festivals. Silver has received fellowships and grants from organizations such as the John Simon Guggenheim Foundation, the NEA, NYSCA, NYFA, the Jerome Foundation, the Japan Foundation and Anonymous was a Woman. Her films have been broadcast by BBC/England, PBS/USA, Arte/Germany, France, Planete/Europe, RTE/Ireland, SWR/Germany, and Atenor/Spain, among others, and she has been a fellow at the DAAD Artists Program in Berlin, the Japan/US Artist Program in Tokyo, Cité des Arts in Paris, and at the Lower Manhattan Cultural Council. Silver is Associate Professor and Director of Moving Image, Visual Arts Program, School of the Arts, Columbia University.
Catalogue : 2009in complete world | Doc. expérimental | dv | couleur | 56:0 | USA | 2008
Shelly Silver
in complete world
Doc. expérimental | dv | couleur | 56:0 | USA | 2008
« In Complete World » est un long-métrage composé d?interviews de rue réalisées dans tout New York. Mêlant questions politiques (« Sommes-nous responsable du gouvernement que nous avons ? ») à des interrogations plus existentielles (« Sentez-vous que vous avez le contrôle de votre vie ? »), la vidéo se concentre sur la tension entre les responsabilités individuelles et collectives. « In Complete World » peut être vu comme un mode d?emploi pour le citoyen du XXIe siècle, de même que comme un aperçu des opinions de différents groupes d?Américains et de la perception qu?ils ont de leur propre image. Cette vidéo constitue un témoignage sur peuple new-yorkais du nouveau millénaire, qui offre librement à une parfaite étrangère des révélations profondes, provocantes et parfois tendres, juste parce qu?elle le leur demande.
Shelly Silver est une réalisatrice basée à New York (USA). Son travail, qui explore un vaste éventail de sujets, questions et genres, interroge les relations personnelles et sociétales qui nous rapprochent et nous limitent, les détours du plaisir et du désir, les histoires que l?on raconte sur nous et celles que nous construisons sur nous-même. Les ?uvres de Silver ont été exposées fréquemment dans tous les USA, l?Europe et l?Asie, dans des lieux comme le Centre Georges Pompidou de Paris (France), le Museo Reina Sofia de Madrid (Espagne), le Doulon Museum de Shanghai (Chine), le Musée d?Art de Yokohama (Japon) mais aussi dans les festivals de cinéma de New York, Londres (Royaume-Uni), Berlin (Allemagne), Singapour et Moscou (Russie). Ses films ont obtenu des prix aux festivals de cinéma de Moscou, Woodstock (USA), Chicago (USA), Atlanta (USA), ainsi qu?au festival de documentaire de Leipzig (Allemagne). Elle a reçu de nombreuses aides financières et des bourses.
Catalogue : 2006What i'm Looking For | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 15:0 | USA | 2004
Shelly Silver
What i'm Looking For
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 15:0 | USA | 2004
Une jeune femme entreprend de photographier des moments d'intimité dans l'espace public. Elle se ballade dans les rues de New York City et depuis que les relations sociales ont dérivé sur Internet, elle commence à approcher les gens sur un site internet de rencontre et elle écrit : "Je cherche des gens qui aimeraient être photographiés en public, et révéler quelque chose d'eux-mêmes..."
Shelly Silver vit et travaille à New York. Elle utilise la vidéo, le film et la photographie, pour une ?uvre qui comprend plusieurs sujets et registres. Elle explore les multiples relations qui nous connectent et nous restreignent, les chemins tortueux du plaisir et du désir, les histoires qui sont racontées à notre sujet, ou que nous nous racontons à nous-mêmes. Son travail a été montré aux Etats-Unis, en Europe, en Asie, notamment au MoMa, New York, au musée d?art contemporain de Los Angeles, au centre George Pompidou, au Musée de Kyoto, à l?ICA, Londres, au festival du fil de Singapour. Shelly Silver a gagné de nombreux prix, au festival international du documentaire à Leipzig, à l?Australian International Film and Video Festival, au Houston International Film Festival. Elle a reçu plusieurs bourse et récompenses, incluant le National Endowment for the Arts, le DAAD, le New York State Council on the Arts, la New York Foundation for the Arts, la Jerome Foundation, la Japan Foundation, et l?Anonymous Was a Woman Foundation. Shelly Silver enseigne à la Cooper Union et à la School of Visual Arts.